n° 18764 | Fiche technique | 84588 caractères | 84588Temps de lecture estimé : 48 mn | 06/01/19 corrigé 06/06/21 |
Résumé: Comme depuis presque une semaine, j'ai le grand plaisir de me réveiller dans le même lit qu'Émilie, ce qui n'est pas négligeable. | ||||
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Auteur : Patrik (Carpe diem diemque) Envoi mini-message |
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Deuxième section d’une petite histoire en trois parties, juste pour la détente…
Voici venir la suite de ce séjour plutôt particulier.
Installez-vous confortablement que je vous narre la chose.
Mais avant, un rapide résumé :
Nous sommes deux couples ayant échangé nos partenaires pour quinze jours.
Nous habitons tous les quatre dans la même villa pour quinze jours, près de Saint-Tropez, et Émilie (la vraie épouse d’Étienne, mon copain d’enfance), qui est ma nouvelle femme temporaire, se révèle être très chaude (ce qui n’est pas pour me déplaire), alors qu’elle traînait auparavant une réputation de coincée du cul (appelons un chat, un chat). Quant à Léa, ma vraie femme, elle ne déteste pas trop sa nouvelle condition avec Étienne…
De plus, sur place, nous avons rencontré Martial qui nous a proposé de venir samedi à une soirée un peu spéciale.
Voilà, vous savez tout, ou presque…
Sinon, (re)lisez le premier épisode :)
Comme depuis presque une semaine, j’ai le grand plaisir de me réveiller dans le même lit qu’Émilie, ce qui n’est pas négligeable. Et bien sûr, le réveil est très sensuel et sexuel, car ma compagne est vorace. Je suis étonné du contraste entre l’ancienne version d’Émilie et la nouvelle version. De plus, ça me change beaucoup de ma vraie femme, Léa.
Elle ne se fait pas prier, et j’ai le bonheur se sentir son corps tout chaud et tout doux contre le mien. Bien sûr, une certaine partie de mon anatomie se réveille ! Émilie se moque gentiment de moi :
Et je lui prouve aussitôt mon désir pour elle !
Rien de tel qu’une petite baise rapide pour se mettre en forme pour la journée. Allongé sur le dos, je décide de jouer les commandeurs en lui imposant ma convoitise :
Son sourire très vicieux et son air gourmand parlent pour elle. Elle me chevauche et quand elle s’affaisse, tout humide, sur ma queue, c’est terriblement bon ! De plus, j’ai ses seins mignons à disposition et je ne m’en prive pas ! Tandis que je la pistonne, tandis qu’elle s’agite autour de mon pieu bien rivé en elle, je masse, je malaxe ses deux belles poires que j’adore tant ! Ce n’est pas Émilie qu’elle aurait dû s’appeler, mais Pear ou Perry par exemple ! Ah, ces deux mignons seins bien fermes et juteux, j’en fais une obsession !
En tout cas, mon obsession pour ses nichons l’amuse beaucoup, je le sais, elle me l’a dit. Mais il n’y a pas que ses seins qui soulèvent mon envie et ma verge ! Elle a plein d’autres attributs pour cela !
Et pour l’instant, je suis focalisé sur sa belle chatte qui engloutit voracement ma queue, qui la câline dans sa moiteur et sa douceur. J’admire ces deux lèvres qui montent et qui descendent le long de ma colonne de plus en plus luisante, deux lèvres qui entourent bien mon pal qui tringle cette femelle avide de sexe, depuis qu’elle s’est enfin réveillée de sa torpeur de coincée du cul.
J’adore la voir tripatouiller sa chatte baveuse, j’adore admirer ses doigts danser entre ses lèvres, près de ma bite en folie, contempler ce mignon clitoris en train d’être titillé. J’adore entendre sa respiration se saccader, prélude qu’un plaisir ne va pas tarder à jaillir !
Il est des mots qu’il ne vaut mieux pas prononcer sous peine d’excitation supplémentaire ! C’est ce qui m’arrive, je sens monter en moi un flot irrésistible que je n’arrive pas à juguler ! L’instant d’après, sa chatte déborde de tout ce bon sperme dont je l’inonde ! J’ai l’impression que ma tête se vide au fur et à mesure que je la remplis de foutre, c’est dingue !
Dans un épais brouillard, je la vois se masturber frénétiquement, ses doigts empoissés de ma semence chaude et gluante. Avant de sombrer, je l’entends jouir à son tour. Je suis fier de moi, de posséder cette femme, qu’elle jouisse de ma bite, et de pouvoir recommencer encore et toujours d’abuser de ses charmes ! C’est très macho, mais je m’en fiche, là où je vais, là où je suis, seule la jouissance compte…
Ce matin, nous décidons d’aller à nouveau à la plage. Émilie met à nouveau son micro-mini maillot de bain, celui qui donne des envies irrépressibles ! Que je décrive à nouveau la chose : un ticket de métro en tissu attaché à un anneau métallique sur lequel s’attachent deux cordelettes. De plus, ce ticket de métro ne couvre que sa fente, révélant tout le reste de son pubis. Si elle écarte un peu trop les jambes, je parie que ça disparaît entre ses deux lèvres intimes ! Une vision qui donne chaud, très chaud, trop chaud ! De plus, comme d’habitude, elle n’a pas mis de haut, elle est donc seins à l’air, ses mignons lolos en poire, un délice à voir et à posséder !
Alors que nous venons de nous installer la plage étroite entre eau et route, je confie à ma femme occasionnelle :
Une sorte de sixième sens me fait tourner la tête. Je constate que Martial s’approche de nous. Amusé par la coïncidence, je persifle :
Ce qui égaye ma compagne qui ajoute malicieusement :
Poliment, le nouveau venu demande s’il peut se joindre à nous. Émilie répond positivement pour moi ! Face à face, ils entament une conversation qui part dans tous les sens. À un moment, elle roule sur la soirée du lendemain :
Amusant comme elle est vite rassurée, ou comme elle souhaite être vite rassurée. Et comme Martial semble s’y connaître, il est en train de lui raconter ce qu’elle souhaite entendre. La conversation continue ainsi, badine durant quelques minutes, jusqu’au moment où notre visiteur décide d’avancer d’un pas dans le plus intime :
Je vois une ombre fugace passer sur le visage de Martial, mais il demande d’une voix égale et toujours polie :
On dirait que ce fantasme non sexuel amuse notre visiteur, j’ignore pourquoi. Il se fait philosophe :
En effet, qui sait ? Il y a une semaine de ça, je n’aurais jamais cru être vraiment l’amant de ma fausse femme et de vivre une semaine très hot avec elle. Quand j’ai proposé l’échange de couples, je ne pensais pas que ça se déroulerait comme sur du papier à musique, même s’il y a eu une très brève période de flottement.
Afin de changer de position pour être plus à l’aise, Émilie bouge un peu ; ce faisant, elle heurte sans le faire exprès l’intérieur de la cuisse de Martial. Elle s’excuse :
Elle le regarde droit dans les yeux :
Martial avance son pied entre les jambes d’Émilie. Puis sans complexe, son gros orteil taquine le tissu qui abrite les lèvres intimes de sa vis-à-vis. Émilie se contente de sourire, sans protester, les yeux brillants. La caresse devient insistante, mais elle ne bronche pas. Durant ce temps, maître de lui, Martial continue la conversation comme si de rien n’était. Je reconnais que j’en serais incapable. Par contre, il devient de plus en plus précis dans son taquinage :
Elle répond avec un sourire ambigu :
Martial décide d’aller plus loin : son gros orteil contourne l’ourlet du maillot et se glisse sous le tissu, venant caresser directement la peau nue, puis il s’insinue à l’orée de sa fente. Émilie serre les lèvres afin de ne pas gémir. Cette situation l’excite énormément, c’est flagrant à plein de petits signes, allant de ses tétons érigés, de ses yeux brillants et de sa chatte luisante, maintenant que le tissu a été chassé, révélant une fente que je connais bien.
Je vois bien que Martial est lui aussi excité, une bosse flagrante gonfle son maillot. Le mien aussi, d’ailleurs. Vicieuse, Émilie avance lentement sa jambe, puis arrivée à destination, elle commence à caresser la protubérance de Martial qui apprécie cette initiative. Faisant comme elle peut, ma femme taquine du bout de ses orteils cette évidente marque d’intérêt pour sa petite personne.
Hélas pour elle, Martial a une petite avance et il semble s’y connaître. Je vois distinctement son gros orteil câliner un clitoris que je devine en feu. Émilie a quelques difficultés pour se contenir. Soudain, elle s’empare d’une serviette et la plaque sur son visage. Son corps est secoué de fins tremblements, et j’arrive à entendre quand même quelques gémissements malgré le tissu plaqué sur son visage et sa bouche. Ma petite cochonne de femme est carrément en train de jouir sur la plage, et ce, uniquement parce qu’un presque inconnu vient la masturber avec son gros orteil ! Pas mal comme situation ! À la décharge de ma compagne, je dois reconnaître que le contexte a dû favoriser les choses, comme faire ça en public.
N’empêche que ce gros cochon de Martial profite des spasmes d’Émilie pour carrément introduire son orteil dans sa fente, et il y reste jusqu’à ce qu’elle s’apaise et qu’elle abandonne la serviette plaquée sur son visage.
C’est la première parole que ma femme profère. Elle secoue la tête, regarde fugacement autour d’elle pour vérifier si quelqu’un s’est rendu compte de la situation. Elle semble rassurée. Elle chasse délicatement le gros orteil toujours fiché en elle, puis elle réajuste son string largement entrouvert, cachant comme elle le peut un sexe béant et humide. D’un bond, elle se relève et annonce :
Et sans attendre une réponse de notre part, elle s’enfuit vers l’eau. Je me tourne vers Martial :
Il me confirme ce que je pensais :
Puis il s’éloigne dans l’autre direction. Je pars rejoindre ma femme dans l’eau. Je découvre qu’elle est toute rouge. Je m’approche d’elle :
Elle rougit encore plus :
Je la serre dans mes bras, elle se laisse faire. J’explique :
Un peu plus tard, main dans la main, nous rentrons à la villa, prendre une douche, et nous changer en même temps les idées. Le reste de la journée passe trop vite, comme c’est hélas le cas quand on a à côté de soi une femme comme Émilie. Mais je sais profiter de ce peu de temps, croyez-moi !
Résumons la journée d’aujourd’hui : Émilie a joui de façon assez étrange à la plage, ce qui m’a émoustillé, je l’avoue. Résultat, nous avons fait l’amour elle et moi plusieurs fois, pas forcément par pénétration, mais moi aussi, je l’ai fait jouir à ma façon !
Sans parler de la feuille de rose, qu’elle apprécie grandement ! Il est vrai qu’aller folâtrer autour de sa mignonne rondelle est un plaisir de gourmet. J’adore la voir palpiter doucement sous la pointe de ma langue, la voir d’entrouvrir légèrement, que ma salive s’insinue dans son rectum pour disparaître dans d’étranges profondeurs…
Tout en câlinant comme il se doit du bout des doigts un clitoris très sensible niché entre deux lèvres très humides ! Et la faire jouir comme une petite folle, surtout que maintenant, Émilie se laisse complètement aller. Ce qui rend particulièrement fier de moi !
Je pourrais continuer ce narratif comme ça pendant longtemps. Je vais abréger en disant que nous n’avons pas fait faux bond à notre habitude de profiter l’un de l’autre, tout en étant dans le même lit, ce qui facilite bien les choses. J’ai eu aussi l’impression que ma compagne de jeu avait de plus en plus de facilités au dévergondage, ce qui arrange bien ma libido ! On dirait même qu’elle rattrape le temps perdu… et moi aussi !
Déjà une semaine que nous sommes arrivés ici ! C’est à la fois lointain et si court ! Une semaine que j’ai la chance de profiter de ma nouvelle femme, et j’ai l’impression que c’est depuis toujours. D’ailleurs, ce matin, j’ai à nouveau abusé de ma nouvelle femme toute neuve, bien sûr !
La seule différence par rapport à hier matin fut l’orientation, car j’ai exigé qu’elle s’empale sur mon sexe, tout en me tournant le dos, ce qui m’a permis de mieux contempler le ballet de ses fesses vibrant sous mes coups de boutoir, d’admirer l’élasticité de ces deux masses molles et oscillantes, et d’apercevoir un mignon petit trou du cul très attractif. Une fois de plus, ce genre de spectacle a accéléré ma montée en puissance et j’ai éjaculé comme pas possible dans cette chatte offerte, mettant plein de sperme partout, sur ses cuisses, sur mon sexe, mon bas-ventre, les draps, et j’en passe !
Mais faire l’amour proprement, ce n’est pas vraiment faire l’amour…
Puis nous sommes allés à la plage, sans y rencontrer Martial. Peut-être était-il occupé par les préparatifs de la soirée ? Émilie a été un peu déçue de ne pas le voir. Elle en a profité pour jouer les brunes incendiaires, largement aidée par un string riquiqui et en émergeant trente-six fois de l’eau, mouillée, humide, incandescente ! Elle abuse du fait que je puisse lui servir de garde du corps, mais il a fallu quand même que j’intervienne trois fois pour qu’elle ne soit pas importunée.
Nous sommes rentrés plus tôt à la villa, et j’ai expliqué à ma façon à cette allumeuse qu’on ne flanque pas la trique à un homme sans en subir certaines conséquences. Mais je ne suis pas certain que ma punition sera suivie d’une baisse de sa nature exhibitionniste sur la plage…
Ce midi, Léa, ma vraie femme, a souhaité me causer à part. Elle m’annonce mystérieusement que ça va mieux avec Étienne, qu’elle semble avoir compris comment le mener par le bout du nez. Je pense que ce n’est pas précisément par cet endroit anatomique qu’elle en fait ce qu’elle veut, mais je préfère ne pas l’interrompre. N’empêche qu’elle a vite trouvé le bon moyen, si je m’en réfère à la dernière fois où nous nous sommes entretenus !
Bien sûr, Émilie veut tout savoir. Je lui rapporte notre conversation. Elle est un peu étonnée :
Gênée, elle rougit :
J’ai souvenir de celle que je lui ai prodiguée la veille, et ce ne fut pas triste ! Pas une forte fessée, mais de quoi lui rougir agréablement les fesses et en profiter ensuite. Rien que d’y penser, ça se lève dans mon pantalon ! Mon rêve éveillé est coupé par Émilie qui dit d’une voix timide :
Ah bon ? Première nouvelle ! C’est vrai que Léa a une petite tendance à vouloir tout régenter, et si Étienne est du genre à jouer les toutous, pourquoi pas ! Voici un virage auquel je ne m’attendais pas du tout. Je demande :
Je sens que je n’en saurais pas plus. Alors je ne questionne pas plus, ce dont ma compagne m’est visiblement reconnaissante. Je sais qu’elle apprécie ce côté de ma personnalité et je m’en voudrais de la décevoir.
Je passe à tout autre chose en l’embrassant fougueusement, elle répond sans problème à ce baiser un peu sauvage. La vie peut être simple sans poser trop de questions. Inutile de préciser que nous ne nous sommes pas contentés que de nous embrasser…
Il est l’heure, nous nous mettons en route vers la villa de Martial. Elle n’est pas très éloignée, nous décidons d’y aller à pied. Il y en aura pour dix minutes à un quart d’heure, je pense. Émilie est vêtue d’une jolie robe verte d’été qui met bien en valeur sa silhouette. Ses mignons seins en poire tendent délicatement le tissu, c’est très sexy ! Fier de la beauté de ma compagne, je prends sa main dans la mienne, elle tremble un peu. Je lui souris, elle esquisse une sorte de grimace. Je la rassure :
Puis nous sortons de notre villa à la rencontre de ce qui risque peut-être de devenir un tournant dans nos vies. Mais il convient de ne pas mourir idiot, n’est-ce pas ?
Dix minutes plus tard, alors que nous sommes arrivés devant le portail de l’adresse indiquée, Émilie balise complètement :
Elle se tortille sur place :
Elle répond vivement :
Pour toute réponse, sous ses grands yeux égarés, j’appuie sur la sonnette, puis je nous annonce. Le portail s’entrouvre, je prends Émilie par la main, et nous entrons. C’est à ce moment précis que je me demande si je ne fais pas une connerie, moi aussi. J’ai le sentiment d’avoir mis le pied dans quelque chose qui risque de me dépasser, alors que je pense contrôler la situation.
Bah ! L’avenir nous dira quoi…
C’est Martial qui nous accueille. Comme s’il nous connaissait depuis toujours, il nous présente les invités dont la moitié est déjà sur place. Rassurée, Émilie se détend petit à petit. Quant à moi, je ressens quelque chose de diffus que je n’arrive pas à analyser. Je me demande jusqu’à quel point Émilie et moi risquons de glisser le long du toboggan de la débauche ?
Alors que visiblement tout le monde se met en place pour la suite, comme étranger à ce qu’il se passe chez lui, Martial nous explique sereinement divers points de détail. Il nous explique en premier le code de conduite, ce qu’il convient de dire et de faire, et ce qu’il faut éviter. Puis il nous désigne une table basse :
Planant par-dessus les nuages, Émilie se contente de boire les paroles de notre hôte, comme si elle vivait un rêve éveillé. C’est donc moi qui réponds :
Notre hôte sourit :
Peu après, Martial nous présente Claudia, un trans. Si on ne me l’avait pas dit, je ne l’aurais pas deviné ! Je constate qu’Émilie est dans le même cas que moi, mis à part qu’elle le cache moins. Nous bavardons quelques instants, puis Claudia part discuter avec d’autres personnes. Émilie se détache un peu de nous pour mieux la suivre du regard.
Une fois la personne éloignée, je me penche vers Martial :
Du coin de l’œil, je regarde Émilie qui suit toujours du regard la trans qui discute avec des nouveaux arrivants. J’en avise mon interlocuteur :
Et sur ces mots, il prend congé pour accueillir de nouveaux arrivants. Après avoir dégusté deux toasts, je m’approche de ma femme :
Verres à la main, nous nous installons confortablement dans un coin. La température augmente, c’est flagrant. Déjà les trois femmes se font entreprendre, câliner, embrasser, les mains s’égarent. Idem pour Claudia qui est visiblement le centre d’intérêt de trois hommes. Émilie regarde le spectacle, fascinée. Bien qu’elle ne dise rien, je crois l’entendre murmurer.
Ayant ôté leurs vêtements, les convives sont passés à la vitesse supérieure, les femmes sont vite entourées, convoitées, il faut dire que les hommes sont en nombre supérieur et qu’il va falloir partager. Je constate que les femmes doivent avoir une certaine expérience, car elles se laissent entreprendre sans complexe. De mon coin, j’assiste à un étrange ballet, comme une ronde de papillons mâles autour de lumières femelles…
Déjà les choses s’accélèrent à vitesse grand V. Une première femme, la plus grande, s’amuse à sucer différents hommes plantés devant elle, on dirait même qu’elle s’amuse à tester leurs différentes saveurs. Une autre est déjà couchée sur le canapé avec un convive qui entreprend de la pistonner ! Ces deux-là n’ont pas perdu de temps, ils sont rentrés tout de suite dans le vif du sujet ! Et Madame est très expressive avec ses petits cris ! Quant à la dernière, elle en est restée au stade de caresses, bien qu’elle tienne déjà en main un sexe bien raide qu’elle branle délicatement.
Intrigué par ce double soupir, je tourne la tête. Avec surprise, je constate qu’Émilie est en train de se caresser, puis sans aucune hésitation, sa main glisse sous sa robe verte, et là, il est visible qu’elle se masturbe. Devant la conjugaison de la scène débauchée qu’elle a sous les yeux et de ses doigts, elle se mord les lèvres, tout en respirant fortement. Je l’entends qui gémit sourdement, ses petits cris très érotiques se font de plus en plus rapprochés.
Je contemple le spectacle qu’elle m’offre, figé, fasciné. Je devrais intervenir, me lever, m’approcher d’elle, mais non, je la regarde. Soudain, Martial entre dans mon champ de vision, un certain sourire aux lèvres. Le rouge aux joues, Émilie le voit s’approcher doucement d’elle, verge bien en avant, tandis qu’elle continue sa masturbation :
Elle gémit un peu avant de répondre, incapable d’arrêter sa masturbation :
Impudiquement, il désigne sa verge bien dressée dans une parfaite courbe. Il s’approche un peu plus. Tentée, Émilie hésite néanmoins ; elle lui fait remarquer :
Je trouve qu’elle est un peu trop vite rassurée. Sans complexe, ma femme s’empare alors de cette queue et l’accueille entre ses lèvres, sans cesser de se masturber. Je crois que j’ai dû louper une étape. Je n’ai pas su deviner ce qu’elle attendait, et c’est Martial qui tracera à ma place le nouveau chemin qui s’amorce…
Ma femme doit être un sacré livre ouvert ! Mais moi, je n’arrive pas à la lire en temps et en heure ! C’est frustrant, même si je n’ai pas eu à me plaindre depuis une semaine, je découvre qu’il existe un étage supérieur auquel je n’arrive pas à accéder !
Émilie y va de bon cœur ! On peut dire qu’elle ne rechigne pas à récompenser comme il se doit notre hôte de cette soirée. D’ailleurs, vu ce qui s’était passé dernièrement, ce n’est finalement pas très étonnant. Sans cesser de se masturber, elle lèche, elle suce, elle salive sur cette queue mise à sa disposition. Sa langue caresse la tige, câline le bout rond et rouge, telle une quasi-pro de la sucette. Il n’y a pas à dire, Émilie recèle en elle un potentiel qui ne demande qu’à exploser !
Je pourrais m’insurger, mais je ne suis même pas le vrai mari d’Émilie. De plus, c’est elle qui a choisi sa voie. Alors je me lève et je décide de me mêler aux autres corps.
Le plus dur est de franchir le pont, mais une fois qu’on est de l’autre côté, on s’étonne soi-même de la facilité avec laquelle les choses se déroulent. Et on se dit qu’on a été bien con de ne pas avoir osé plus tôt. Je parie que ma pseudo-femme doit tenir le même type de raisonnement entre deux cris de jouissance…
Dieu, qu’il est facile de se faire sucer par une inconnue quand on est dans le feu d’une orgie ! Qu’il est facile de pénétrer dans des vagins inconnus, de se laisser aller au stupre et à la débauche avec des corps dans une semi-obscurité, dans une atmosphère de sexe et de convoitise !
Dans la moiteur des corps, diverses phrases émergent de la multitude de gémissements, de petits cris, de râles…
Ce corps dans lequel je jouis, saurais-je le reconnaître une fois sorti de l’enceinte de cette villa ? Non, je ne pense pas. Je suis un autre homme, un sextoy comme un autre pour ces femmes, pour ces femelles qui recherchent juste le plaisir, ne cherchant qu’à décoller vers le septième ciel, vers le huitième s’il existe.
Nous ressemblons tous à une gigantesque pieuvre, nos corps emboîtés, noués, superposés, dans cette moiteur, cette humidité, cette concupiscence !
Je constate que, depuis tout à l’heure, je gravite autour de la même femme, un peu ronde, aux appas plutôt lourds, mais très gratifiants. Léa et Émilie sont plus fines, mais je ne déteste pas ce changement d’anatomie féminine, d’autant que la dame me semble assez délurée et décomplexée. Alors je me laisse porter par le courant…
De son côté, Émilie n’est pas restée inactive. Elle s’est soigneusement occupée de Martial, lui offrant d’abord une fellation dans les règles de l’art. Puis j’ai vu qu’elle tergiversait, qu’elle hésitait sur la suite à prendre. Une fois de plus, Martial a proposé, et elle a disposé. J’ignore ce qu’il a pu lui dire, mais depuis tout à l’heure, Émilie est en train de feuilleter une à une les pages du Kamasoutra. J’envie l’endurance de son amant ! D’autres hommes se sont invités à leurs petits jeux…
Actuellement, elle est en train de se faire prendre en levrette, nos regards se croisent, ses yeux brillent étrangement. Elle m’adresse un petit sourire coquin, tandis que Martial, qui vient de prendre le relais d’un blond moustachu, la pistonne allégrement. Que c’est étrange de voir sa femme prise par un autre, ses seins qui oscillent sous les coups de boutoir d’une autre queue !
C’est ironiquement Martial qui m’adresse la parole :
Une bouche capture ma verge, celle de la femme ronde aux seins lourds, je me laisse aller. Il faut que je grave le moindre détail de cette soirée, de toutes ces sensations, toutes ces jouissances, afin d’en faire la matière d’un prochain polar ! Et le premier qui ose me dire que c’est de l’inventé, je le réduis en bouillie pour chats !
Je me laisse aller à m’occuper de cette femme charnelle, à baiser ses seins pendants et consistants, à croquer ses tétons bien durs, à mettre mes mains et mes doigts un peu partout. Alors que je suis quasiment vautré sur elle, écrasant avec volupté ses gros nichons contre mon torse, son nez à quelques millimètres du mien, je lui demande en murmurant :
Puis d’un coup de rein bien ajusté, je m’offre le plaisir d’entrer en elle, afin de goûter d’autres charmes, tandis que ma fausse femme offre visiblement les siens sans s’économiser ! D’où je suis, je la vois bien, je peux même l’entendre sans devoir tendre l’oreille. Pour l’instant, elle se repose un peu, il faut dire qu’elle vient de subir divers beaux assauts !
Se redressant, ses mignons seins toujours aussi agressifs et à croquer, Émilie demande d’une voix timide à Martial qui récupère lui aussi :
Avec une bonne agilité pour son âge, il se lève afin de s’approcher de la personne en question. Une courte conversation, puis ils reviennent tous les deux après d’Émilie qui rougit. Sans préambule, Claudia s’empare de ma femme, plaque son corps dénudé contre le sien et l’embrasse voluptueusement et goulûment ! Sans complexe, elle frotte ses seins sur ceux de ma femme, et fait de même en ce qui concerne sa verge bien raide. Je ne m’attendais pas à ce genre d’approche, ma compagne non plus !
À la fois excité et déçu, je pistonne de plus belle ma partenaire qui apprécie cette montée en puissance. Durant ce temps, les deux femmes continuent de se rouler un sacré patin, sous les yeux de plus en plus nombreux de l’assistance.
Puis leurs lèvres se séparent, Claudia annonce posément la couleur :
Tout en plaquant fortement ses seins contre ceux de ma femme, il l’embrasse à nouveau, et je ne peux pas dire qu’Émilie résiste beaucoup ! J’en viens à me demander si elle ne céderait pas facilement à n’importe quel dominant qui la désire. Martial vient de la posséder sans trop de problèmes, d’autres hommes l’ont câlinée, et je ne parlerai même pas de Claudia qui lui a fait du rentre-dedans sans complexe !
Pâmée, Émilie gémit doucement, Claudia la masturbant finement, puis les doigts s’agitent un peu plus. Étrange que de voir une femme à bite en train de faire jouir sa femme ! Et quelle bite ! Celle-ci est plaquée contre le ventre de ma compagne, un sacré morceau ! Comment un homme qui a un engin pareil a voulu se féminiser de la sorte ? Car mis à part le « détail » qu’il/elle a entre les jambes, on jurerait une femme, c’est hallucinant ! Je comprends qu’on puisse être troublé(e) par ce genre de personne, comme Émilie l’est actuellement.
Mes coups de reins deviennent de plus en plus puissants et amples, ce qui ravit Carla qui gémit doucement, enfonçant à présent ses ongles dans ma chair. Ça me fait plaisir que cette inconnue apprécie ce que je suis en train de lui faire subir, même si j’ai un peu l’esprit ailleurs…
Soudain, Émilie pousse un petit cri étrange, elle s’agrippe à Claudia qui continue de la masturber comme il se doit. Elle se cabre, elle se tend, elle se tord, puis elle explose dans de multiples sons aigus et jouissifs. Elle vibre encore deux-trois fois avant de s’affaisser dans les bras de sa vis-à-vis, haletante, à bout de souffle.
Un certain sourire flotte sur les lèvres de Claudia. Je découvre plus ou moins le même sur le visage de Martial, et je ne sais pas quoi en conclure, je n’arrive pas à lire ce fichu livre. Curieusement, je ne bouge pas, je ne viens pas vers ma femme, je continue de m’occuper de Carla. C’est étrange d’être à ce point détaché, comme si je regardais une vidéo. Je détourne la tête, me focalisant à nouveau sur mon actuelle partenaire. Je prends l’initiative :
Elle m’adresse un sourire entendu :
Carla se met à quatre pattes, et après quelques caresses et baisers sur ses belles fesses offertes, je me fais le plaisir de guider mon sexe en rut vers une chatte bien bavante de cyprine et de concupiscence ! Je sens que je vais joyeusement jouir dans cette mignonne petite grotte rien que pour moi !
De son côté, Émilie a repris conscience dans les bras de Claudia qui s’amuse aussitôt à lui faire subir des privautés assez cochonnes, et même des trucs qui ne me seraient pas venus à l’esprit ! Et cette petite garce qui se laisse faire !
On ne peut pas dire que Claudia fasse dans la psychologie ou le raffiné ! Mais ça ne semble pas ulcérer ma pseudo-femme.
Quel contraste entre l’apparence et le discours ! Ça vire même à la caricature, mais certaines personnes aiment ça, tous les goûts sont dans la nature. En parlant de goût, je reconnais que je trouve Carla très appétissante. Pourtant, elle ne ressemble ni à Léa ni à Émilie, mais elle me plaît beaucoup avec toutes ses courbes, sans parler de certains détails !
Un peu intimidée, Émilie se couche sur le dos, jambes largement écartées, prête à accueillir Claudia en elle. Sans aucun problème, la belle grosse verge de celle-ci trouve l’entrée humide puis s’enfonce petit à petit dans cet antre chaud. Ma femme est décidément une sacrée salope de se laisser faire ainsi et de la sorte ! Alors que l’énorme machin s’enfonce en elle, Émilie est prise de petits tremblements :
Peu après, la totalité de cette queue est enfouie dans les profondeurs intimes d’Émilie qui s’exclame :
Amusée, Claudia lui répond :
Joignant le geste à la parole, elle commence un lent mouvement de ramonage, ce qui semble faire un certain effet à ma femme qui vibre littéralement. De temps à autre, leurs seins s’entrechoquent, les tétons s’agrippent. Émilie capture ces robustes roberts qui la narguent depuis tout à l’heure, elle les pelote sans vergogne :
Claudia accentue son va-et-vient, Émilie a la bouche amplement ouverte, les yeux révulsés. Entre deux petits cris, elle parvient à articuler :
Quelques instants plus tard, elle jouit, intensément, furieusement, embrochée par une énorme verge, écrasée par le poids de Claudia, leurs seins aplatis les uns contre les autres, leurs corps moulés, presque collés par la sueur…
Un peu plus tard, Émilie récompense Claudia en léchant et suçant amoureusement cette verge qui s’est enfouie en elle. Une véritable dégustation dans les règles de l’art ! Puis plusieurs fois, ce même pieu s’en va s’engloutir dans le mignon et frêle corps de ma femme qui atteint ainsi systématiquement l’extase ! Avec tout le monde autour qui regarde, fasciné, ce nouveau couple insolite qui décolle à chaque fois jusqu’au septième ciel avec aisance…
Émilie ouvre les yeux. Elle ne semble pas bien réaliser où elle est, puis elle me découvre à ses côtés. Elle tourne la tête à droite puis à gauche, puis elle finit par me demander :
Elle rougit, puis elle murmure :
Posant son menton sur ses genoux, elle ricane :
Je rigole franchement :
Et je la serre dans mes bras, la berçant telle une enfant à consoler. Elle se laisse aller. Peu après, elle reprend la parole :
Je me contente de rire faiblement. Elle aussi. Nous nous laissons aller à un câlin, l’un contre l’autre, sa peau contre la mienne, sa chaleur contre la mienne. Soudain, elle m’interpelle :
Sans trop de ménagement, je la renverse sur la peau de mouton qui est juste à côté de nous. Je la dispose sur le ventre afin de bénéficier de ses mignonnes fesses sur lesquelles je me frotte aussitôt. En gloussant, Émilie lâche :
Je me frotte posément sur ses fesses, puis entre ses fesses. Mon engin bien dur essaye de se frayer un chemin dans son sillon. Je me couche sur le dos de ma compagne afin de lui mordiller l’oreille, elle frémit. Puis je lui murmure :
C’est alors que cette réflexion me fait souvenir d’un événement récent. Je change de ton, devenant plus impératif et dominateur :
Elle est devenue une insatiable femelle ou quoi ? Avant d’envisager une suite, commençons par exécuter la première partie !
Par contre, entrer à sec dans ce genre d’endroit n’est pas évident, il me faut illico un lubrifiant. Je pourrais utiliser ma salive, mais je regarde aux alentours si je ne pourrais pas faire autrement. Je me redresse un peu et j’avise un plateau de toasts sur la table basse qui est à portée de main. À la guerre comme à la guerre, improvisons !
Mayonnaise ? Non, je ne pense pas que ce soit une bonne idée…
Crème fraîche ? Pourquoi pas, mais j’ai quand même des doutes…
Beurre ? Oui, ça, pas de problème, j’ai déjà utilisé ce genre de lubrifiant par le passé…
Donc, j’opte pour le beurre, comme un certain Marlon Brandon dans une scène devenue culte, même si les dessous de celle-ci sont moins ragoûtantes que prévues, surtout pour l’actrice ! Mais ma Maria à moi est parfaitement d’accord, même qu’elle réclame !
Je me tartine le gland avec ce lubrifiant improvisé, puis j’en applique une noisette dans la cuvette du petit trou de ma compagne. Celle-ci se laisse faire, écartant bien les fesses de ses deux mains. Il n’y a pas à dire, Émilie est très coopérative !
Je me positionne au mieux, je pense avoir le bon angle, alors je pousse doucement, mais fermement. La cuvette s’évase avec facilité, puis mon gland disparaît sans trop de difficultés dans les profondeurs chaudes et interdites du rectum. Juste un peu de frottement, et ce qu’il faut d’étroitesse pour bien sentir que j’entre en terre inconnue. J’entends ma belle enculée soupirer sous le coulissement de ma verge qui s’enfonce en elle, lentement et irrésistiblement, par légers va-et-vient…
Émilie s’en étonne :
Je continue mon léger pistonnage afin de m’enfoncer plus loin encore, je veux que toute ma queue se loge dans son étroit tunnel, que mes couilles viennent s’aplatir sur ses fesses ! Dès que je sens une petite difficulté, je me retire juste un peu pour mieux m’attaquer au problème sous un autre angle. C’est avec une grande satisfaction que j’arrive au plus profond ! Je suis si bien, rivé dans son cul, la possédant totalement.
Alors en appui sur mes mains puis un coude, je me couche doucement sur elle, pour mieux la dominer encore, pour mieux profiter de ses fesses, de son dos, de sa nuque, de son oreille que je mordille sans qu’elle puisse se dégager. C’est extra comme position !
Et en plus, elle ne semble pas contre l’idée ! Je réponds, fataliste :
Et je joins le geste à la parole en commençant un pilonnage en règle, coulissant de la moitié de ma longueur dans cet étroit boyau chaud et cannelé. Elle gémit d’une façon très sexy, ce qui m’excite encore plus. J’ordonne :
Il ne faut pas lui dire deux fois ! Elle commence un ballet autour de son clitoris, ses doigts dansant à l’orée de ses lèvres détrempées. Quant à moi, j’éprouve quelques difficultés à contenir le flot qui ne demande qu’à jaillir !
La façon dont elle le dit rompt le dernier barrage qui m’empêchait d’éjaculer en elle. Sans que je ne puisse rien faire pour le retenir, un premier jet puissant s’en va se perdre dans ses sombres profondeurs. Je l’imagine bien tout noyer dans ce fin boyau de chair ! C’est alors que je décolle vers le septième ciel, me vidant irrésistiblement en elle, tandis qu’elle gémit, qu’elle glapit sous mes coups de boutoir bien profonds !
Que j’adore l’entendre pousser ce genre de petits cris tandis que je m’égare en elle, dans cet endroit interdit et si provocant, c’est excitant à souhait !
C’est main dans la main que nous prenons congé de Martial, le remerciant de nous avoir invités. Celui-ci répond, tout en baisant la main d’Émilie :
Ma femme est positivement impressionnée par ce baisemain, et peut-être aussi par le souvenir de ce qu’il s’est passé cette nuit. Elle bafouille :
Elle le regarde, interloquée. Je lui précise :
Martial la rassure à sa façon :
Émilie s’étonne :
Ma femme me regarde, puis elle prend une grande respiration :
Il fait encore un peu frais, ce qui nous fait du bien. Émilie ne dit rien, comme perdue dans un songe éveillé. Faisant un petit détour, nous arrivons sur la plage. Nous nous asseyons sur le sable, elle entre mes jambes, me tournant le dos. Je l’enlace dans mes bras. Nous écoutons le bruit des vagues. Après quelques instants, elle confie :
Quant à la vie, je crains d’être sur la même ligne que ma pseudo-femme. Ma vraie femme, Léa, est bien gentille, reposante, mais c’est quelque part une voie de garage, un petit confort bourgeois, la situation est devenue plus claire à ce sujet. Néanmoins, on peut être heureux de la sorte. Émilie pouffe et continue :
Me souvenant de son aspect coincé, je lui fais remarquer :
Elle tourne un peu sa tête vers moi :
Elle se laisse aller un peu plus contre moi :
Elle soupire et frissonne en même temps :
Je n’ai aucune réponse objective et pragmatique à fournir alors je plaisante :
Elle tord un peu plus son cou pour venir pointer le bout de son nez sous mon menton :
Elle hoche la tête :
Elle dépose un furtif baiser dans mon cou, avant de pivoter la tête pour mieux contempler la mer qui s’illumine petit à petit sous le soleil levant. Elle reste sans rien dire durant un certain moment, tandis que je l’enlace toujours. Soudain, elle soupire abondement :
Sa réponse fuse aussitôt :
Se blottissant un peu plus contre moi, elle soupire :
Soudain, elle change de tonalité pour me demander à vif :
Je suis assez surpris par sa question :
Haussant un sourcil, Émilie s’étonne :
Je concède :
Puis le silence revient entre nous, seulement entrecoupé par le bruit des vagues.
Nous sommes rentrés fourbus à la villa, et nous avons dormi jusqu’à tard dans l’après-midi. Nous avions besoin de reprendre des forces après ce que nous avions vécu. Une fois réveillés, nous avons fait une razzia dans le frigo, car nous avons très faim ! Le sexe débridé, ça creuse !
À ce prénom, je suis songeur :
Je ne peux m’empêcher de faire remarquer :
Et en plus, elle s’offre le luxe de bouder ! Passant outre, je lui demande :
Ce qui ne l’empêche pas de me passer le beurre. Poliment, je lui dis :
Ayant obtenu ce que je demandais, tout en beurrant ma tartine, je lui demande :
Tout en croquant dans une biscotte, elle réplique lapidairement :
Elle boit sa tasse de café, la repose en la claquant un peu puis annonce tranquillement :
Les deux mains plaquées sur la table, autour de sa tasse, elle me regarde, hautaine et impériale :
Elle se penche un peu vers moi :
Je crois que je n’ai jamais été aussi prompt de ma vie à sortir de table et à la contourner aussi vite ! Sans qu’elle ait pu faire le moindre geste de défense, Émilie est allongée sur mes genoux, et je suis en train de fesser son beau cul qui rougit sous ma main vengeresse !
C’est Léa qui vient d’entrer dans la cuisine, avec derrière elle Étienne qui ouvre de grands yeux. Ma vraie femme se tourne vers lui :
J’ai du mal à comprendre les sous-entendus de cette conversation, peut-être qu’il ne faut pas essayer de comprendre. N’empêche que j’ai vécu mieux comme situation ! Émilie est cul nu sur mes genoux, face à son vrai mari et à ma vraie femme ! Très à l’aise, comme si la situation était naturelle, Léa me contourne pour aller se servir du café :
Émilie se rappelle à mon bon souvenir :
Émilie se remet sur ses pieds, n’osant pas trop regarder du côté de son mari. On dirait presque une petite fille prise en défaut. Je n’arrive pas à déchiffrer le visage d’Étienne. Sa tasse à moitié vide, ma vraie femme raille un peu :
Elle regarde Étienne tout en me répondant :
Ma femme me confirme bien ce qu’elle m’avait dit l’autre fois, mais elle le fait carrément devant tout le monde. Je demande confirmation :
Et les deux autres conjoints quittent la cuisine d’un même pas. Une fois disparus, Émilie me questionne :
Un peu inquiet, je lui demande :
Prestement, je la capture par le bras :
Et je la recouche aussitôt sur mes genoux afin de continuer ma fessée sur son beau cul nu qui rougit à nouveau sous ma main agile. C’est juste un échauffement, car j’ai bien l’intention d’abuser éhontément de cette pauvre femme déboussolée, et je n’ai aucun remords à vouloir le faire !
Ce matin en allant chercher le pain, je croise Léa par hasard. Nous faisons un bout de route ensemble. Elle me confie :
Elle se fend d’un étrange sourire :
Elle me regarde avec des gros yeux ronds :
Sans se soucier des personnes qui nous entourent sur la route, elle s’exclame :
Et elle s’éloigne en riant.
Décidément, les femmes sont des êtres étranges, mais je ne vais pas trop m’en plaindre, car je ne sais pas me passer d’elles ! Léa reste ma femme, mon pilier, mais je n’ai rien contre le fait de folâtrer avec Émilie et lui faire subir des tas de cochonneries !
Plus je suis vicieux avec elle, plus elle semble en réclamer, quitte à jeter à la poubelle le politiquement correct qui lui servait de ligne de vie auparavant. Je vais finir par croire que la plupart des femmes sont en réalité des grenades prêtes à être dégoupillées !
C’est sur cette nouvelle constatation que j’arrête la narration du milieu de ce séjour. Il faut bien en laisser un peu pour la suite et fin…
S’il y a des amateurs et amatrices, bien sûr… :)