n° 18866 | Fiche technique | 14600 caractères | 14600 2545 Temps de lecture estimé : 11 mn |
02/03/19 |
Résumé: Je me rends pour la première fois à Ouagadougou pour une mission d'audit des comptes d'une banque, et je me retrouve bien entouré dès le premier jour. | ||||
Critères: fh hplusag couleurs collègues voyage cunnilingu pénétratio | ||||
Auteur : Zahi (Informaticien et branleur) |
DEBUT de la série | Série : Mission à Ouaga Chapitre 01 / 05 | Épisode suivant |
Lorsque l’avion atterrit à Ouagadougou, je me sentis renaître de nouveau. Un grand orage avait manqué enterrer l’oiseau d’acier et ses occupants, moi compris, au fond du Sahara. C’était, paraît-il, sérieux, car je vis une hôtesse prier et une autre, blême, s’était figée sur un siège comme une statue de cire. En quittant l’aéroport, un nuage carabiné semblait vouloir laver la ville, ou plus exactement la raser. Il faisait chaud et moite.
J’avais rendez-vous avec monsieur Pierre Duval le lendemain matin, à 8 heures pile, au siège d’une petite banque locale, filiale d’un grand groupe international. Arrivé à l’hôtel vers dix-sept heures, je pris une douche bien chaude et m’abandonnai à un profond sommeil, sans rien manger. Le vol tourmenté m’avait coupé l’appétit.
La sonnerie de mon portable me réveilla vers vingt heures. C’était Kamel, mon associé, qui m’appelait de Tunis. Il posa quelques questions sur le voyage et l’hôtel puis aborda la mission pour laquelle je me déplaçais pour la première fois en Afrique subsaharienne.
Nous enchaînions sur quelques détails inutiles, et je ne manquais pas de patience pour rassurer mon associé. C’était la première mission que nous gagnions en dehors de la Tunisie et elle revêtait une importance cruciale pour le petit cabinet de conseils en comptabilité et finances que nous venions de créer il y a tout juste deux ans. Il y a aussi autre chose à savoir. La mission nous avait été confiée par un grand groupe américain de Conseil en management et en audit, et dans ce domaine les Ricains ne rigolent guère. Bref, si je réussissais la mission, notre cabinet serait reconnu à l’international et nous aurions de juteuses affaires dans la foulée. Et c’est pour cela que je me sentais engourdi par le poids de la responsabilité que je portais.
De toute façon, je ne comptais pas faire la fête, surtout ce soir, de surcroît dans une ville où je ne connaissais personne. Je sortis de mon lit, mis un jean et un t-shirt et descendis pour dîner. En passant devant l’accueil de l’hôtel, une hôtesse, aux petits soins, me fit signe de me rapprocher.
Ses lèvres étaient rouges, pimpantes et ses dents brillaient comme un collier de perles. Et s’était plus fort que moi de jeter un coup d’œil dans l’échancrure de son chemisier blanc, car ce qu’il cachait appelait tout simplement au sacrifice. Pas plus gênée qu’il ne le fallait, elle baissa le buste pour chercher mon passeport que j’avais remis à l’accueil en entrant pour les formalités d’usage. Je sus alors qu’elle ne portait pas de soutien-gorge, et que le sacrifice pourrait être double ou triple rien que pour toucher à ses deux seins qui luisaient sous la lumière qui venait du plafond. Ils me parurent blancs alors que sa peau était d’un noir très profond. En prenant le passeport, je luis caressai le bout des doigts et ça lui extirpa un autre sourire aussi large que le premier.
Je reconnus tout de suite Ibrahima, car il était seul dans le salon. Il était court et trapu, avec une figure bouffie et une cravate bariolée qu’on aurait pu se procurer facilement au marché aux puces de Saint-Ouen. Mais Ibrahima ne manquait jamais de sourire et d’humour. C’était le chauffeur de monsieur Duval et il était venu sur ordre de son patron pour s’assurer de mon séjour et m’amener faire un petit tour dans la ville. Je me dépêchai de dîner puis je m’installai à l’arrière de la Mercedes 350 S de monsieur Duval. Ibrahima me fit faire un tour dans les grandes artères de la ville, me montra les grands édifices, essentiellement des hôtels, puis me demanda ce que je voulais faire de ma soirée. Il était déjà 22 heures et le nuage menaçant avait disparu laissant place à une myriade d’étoiles brillantes.
Il arrêta la bagnole devant un hôtel et se retourna vers moi et me fit un clin d’œil.
J’étais un peu gêné. J’aurais voulu dire non, mais le regard malicieux d’Ibrahima me pressait et je ne fis aucun signe, ce que Ibrahima prit pour un consentement. Aussitôt il sortit son téléphone et appela Mélissa. Après quelques échanges dont je n’ai pas compris grand-chose, il redémarra à nouveau et nous allâmes la chercher. Elle habitait un quartier à un bout de la ville, complètement plongé dans le noir, mais qui paraissait propre et chic. Nous la trouvâmes à un arrêt de bus, elle prit place à côté de moi. Elle était mince et élancée, radieuse et légèrement maquillée. Elle ne devait pas avoir plus de vingt-deux ou vingt-trois ans.
Après un salut distant, un silence s’installa durant quelques minutes que Mélissa interrompit enfin.
Elle fit un demi-tour vers moi, et me regarda de ses grands yeux bleu-vert. Elle était d’une beauté spéciale, avec un petit nez légèrement écrasé, une bouche pleine, des sourcils presque inexistants, mais des faux-cils épais donnaient un parfait encadrement aux couleurs chatoyantes de ses iris. Ses cheveux étaient assemblés en larges tresses et faisaient comme un jet d’eau atour de son visage. Je ne sais pas pourquoi elle me mit très à l’aise.
Par là-bas, elle voulait dire en France, car la maison mère est une grande banque française.
À ce moment-là, Ibrahima arrêta la voiture devant une grande porte fermée et nous demanda de descendre. Deux vigiles armés jetaient sur nous des regards pas si suspicieux que ça. Ils saluèrent même Ibrahima avant son départ, puis nous ouvrirent la porte. Il faisait sombre à l’intérieur, un grand bar prenait tout un côté de la salle et une petite troupe jouait du jazz dans un coin. C’était réconfortant, pas trop de bruit, pas trop de monde. Un garçon vint nous voir et salua respectueusement Melissa puis nous invita dans un petit espace isolé, loin de la troupe et des clients et assez peu éclairé pour se faire tailler une pipe sans se faire prendre. Je suivis Mélissa qui suivait le garçon. Elle avait un petit derrière, pressé dans une courte jupe noire qui avait une petite fente au milieu. Ses jambes descendaient en courbes parfaites et limpides et se terminaient par des talons aiguilles rouges. Le haut était encore caché sous un imperméable rouge à grand col revers. Nous nous installâmes sur un sofa soyeux et le garçon nous ramena des cartes. Elle ôta son imperméable. Ce qui était dessous était splendide, des seins corrects qu’elle étouffait sous une toile blanche avec des éclats dorés. Je constatai la souffrance des tétons sous la toile. Je fis mine de ne pas m’y intéresser. Je fis un tour des yeux de la pièce. C’était très branché comme ambiance, tout paraissait clinquant et flambant neuf. Et les prix étaient flambants aussi, en euros n’en vous déplaise. Plus de trois cents euros la bouteille de champagne, même à Paris où j’avais fait mes études, je n’avais jamais vu ça.
Nous tchatchâmes un peu de Tunis et de Paris que Mélissa connaissait parfaitement pour avoir fait un stage de quelques mois dans la maison mère. J’avais essayé d’aborder la mission d’audit, mais elle ne paraissait pas y comprendre grand-chose. Je me rendis compte rapidement qu’elle était une petite exécutante dans son service. Je sus tout juste que sa patronne était une certaine demoiselle Leroy, française, avec qui j’aurais affaire dès le lendemain matin. Le garçon ramena le champagne, l’ouvrit avec claquement et nous servit une première coupe. La deuxième c’était moi qui la servis à Mélissa. En la prenant, je lui chatouillai la main et la touchai pour la première fois. Sa peau était chaude et sèche, tendre comme un macaron chocolat. Elle avait verni ses ongles en rouge brillant. Elle ne savait pas que c’était ce qui m’excitait le plus chez une femme. Ça, avec les talons aiguille rouges ça m’avait mis hors de moi. Inutile de dire ce qui se passait sous ma braguette. Je me rapprochai d’elle, elle me regarda tendrement, avec un air d’innocence dont je ne sus pas juger la sincérité, et ne fit aucun geste. Je lui tendis mon verre de champagne jusqu’à la bouche et elle en prit une gorgée avec un petit sourire. Elle ne paraissait pas gênée ni emballée d’ailleurs. Un lourd silence suivit. Je voulus engager une autre discussion, mais il me parut que j’avais épuisé tout ce que je pouvais lui dire, alors tenant le tout pour le tout, je mis ma main sur son genou en évitant de la regarder. Elle mit sa main sur la mienne et la pressa légèrement. Je me rapprochai plus d’elle jusqu’à lui coller au bras.
Nous achevâmes la bouteille de champagne, l’alcool commence à me monter à la tête. Sur la piste, il y avait deux couples qui se bécotaient, nous prîmes place entre eux. Elle me colla tendrement au corps et mit sa tête sur ma poitrine. Avec ses talons, on avait presque la même taille. Je la serrai contre moi et me mis à jouer avec ses tresses.
À vrai dire, je me n’attendais pas à sa réponse, c’était comme si elle sortait de sa réserve. La suite va me confirmer cette mutation. Le corps à corps lui fit savoir rapidement l’état de mon entrejambe. Sa main vint aussitôt tâter l’espace gonflé à bloc, en évaluer le poids. Elle m’offrit sa bouche, et je la pris sans rechigner. Je me mis à lui siroter les lèvres et elle s’abandonna complètement. Je pris mon temps. Je goûtai à toutes les surfaces, les lignes et les coins. Elle fit rentrer une main sous ma chemise et se mit à me caresser la peau. Autour de nous il n’y avait plus personne, les mecs de la troupe nous regardaient en rigolant.
Je voulais réfléchir un peu avant de m’enfermer avec elle. Je débarquai pour la première fois dans ce pays pour une mission délicate et importante et je me trouve vite bien servi, il y a de quoi soulever quelques soupçons. Ces soupçons allaient se confirmer après, mais n’anticipons rien. Bref, en ce moment je me trouvais devant un choix difficile. Une bataille féroce se livrait entre ma tête et mon bas-ventre. Je pris encore trois ou quatre whiskys, Mélissa abandonnée entre mes bras, pour retrouver un peu de sérénité. Après, le garçon nous emmena à l’étage et nous ouvrit une petite chambre où il y avait un lit et un canapé. Mon choix était fait, à moi Mélissa et tout le monde, et le lendemain serait un autre jour.
Fermée la porte, je lui pris les lèvres et les mordillai goulûment. Pendant ce temps, elle avait ouvert ma braguette et sorti mon sexe. Elle le caressa d’une main, le pressa tendrement. Je lui dégrafai le chemisier, il tomba par terre, ses petits seins s’offraient à moi. Je lui pourléchai les tétons, elle jeta sa tête en arrière et commença à gémir. Je m’affalai sur le canapé, elle se mit à genoux et commença à me sucer. Je me sentis partir dans un autre monde de délices et de plaisir. Chez nous, les filles ne s’adonnent pas facilement à la fellation, et lorsqu’elles le font, c’est à contrecœur et cela gâche tout. Avec Mélissa je goûtai pour la première fois à une vraie pipe. Sa bouche était si délicieuse que je manquai à plusieurs reprises exploser dedans, mais elle sut décélérer ses mouvements quand il le fallait. Et puis j’eus envie de sa chatte, alors je la jetai sur le lit et lui mangeai longuement l’abricot salé.
Elle avait un clitoris de plus de deux centimètres que je mordillai et aspirai entre mes lèvres. Cela la faisait se tortiller et gémir. Puis j’enfonçai mon visage dans sa moule. J’usai de ma langue comme un vibreur, alors elle se mit à vibrer aussi, puis ses hanches se crispèrent contre ma tête et elle écrasa son clitoris contre mon nez, mes lèvres et ma langue. Par ses mains elle poussa ma langue encore plus loin. J’étais rempli d’elle et de l’odeur de sa chatte. Elle eut un orgasme et son bassin retomba, ses mains se relâchèrent. Je ne pouvais plus attendre, alors je plongeai dans le lit et lui demandai de venir sur moi. Elle prit mon sexe de ses deux mains et s’est ajustée sur moi en plongeant au plus profond. Après quelques coulissements j’étais à bout, la chaleur autour de mon érection m’a amené à un orgasme rapide.
Nous sommes restés quelques minutes étendus sur le lit, sa tête sur ma poitrine. Elle paraissait contente, satisfaite de ce qu’elle venait de faire.
Franchement j’avais pas su trouver un autre sujet de discussion avec elle. J’aurais voulu lui parler de sa famille, de sa jeunesse, de ses amis, mais la relation déséquilibrée que nous avions m’avait complètement bridé. Cette fois, j’allai me satisfaire d’un petit moment sympathique, pour le reste je reviendrai après.
Ibrahima nous ramena, chacun chez soi. Il était plus de deux heures du matin lorsque je rentrai dans ma chambre d’hôtel.
La nuit sera courte et le lendemain sera chaud.