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Temps de lecture estimé : 21 mn
11/04/19
Résumé:  La rencontre surprenante d'un homme avec une femme hermaphrodite.
Critères:  fbi hbi hplusag vacances plage amour ffontaine trans fellation fsodo hsodo -coupfoudr
Auteur : Yanloutort      Envoi mini-message

Série : Dominique, une femme... étonnante

Chapitre 01 / 03
Dominique : une femme étonnante

Je prenais quelques jours de vacances, seul sur la Côte. C’était une période de réflexion après une aventure récemment terminée. Je profitais du calme et du beau temps de ce début d’automne, pour flâner sur la plage naturiste ou sur la place du village, devant l’hôtel où je résidais pendant mon séjour.

Cette place s’articule autour d’une immense halle avec un espace piétonnier, un terrain de boules, des jeux pour enfants, le tout bien ombragé, avec des bancs disséminés un peu partout.

C’est là que depuis deux jours je bouquine tranquillement avant de boire l’apéro dans un bar et dîner.


Je suis plongé dans mon roman historico-policier et ne prête guère attention à ce qui se passe autour de moi. De temps en temps, je jette un regard. À l’autre bout de « mon » banc, une femme s’est assise depuis un moment, ce n’est que quand je sors une cigarette qu’elle m’interpelle :



La femme, qui doit avoir la trentaine, s’est rapprochée pour saisir la cigarette et pour que je lui allume. Elle reste à proximité. La conversation s’arrête là et je reprends ma lecture, captivé par mon bouquin, je ne m’occupe plus d’elle. Ce n’est qu’après quelques minutes que je me rends compte qu’elle sanglote. Je suis à la fin d’un chapitre, aussi, je me tourne vers elle, histoire de ne pas paraître bougon. C’est une assez jolie femme, même si ses pleurs ont quelque peu ravagé son visage. Elle tire nerveusement sur la cigarette et il me semble même qu’elle n’est pas habituée au tabac. Je marmonne :



Je reprends mon livre.



Elle s’approche un peu de moi et son parfum me trouble. Elle tremble. Je lui offre une nouvelle cigarette. Sans prendre garde, je passe ma main derrière son dos et la pose sur le dossier.



Elle se remet à pleurer, aussi j’entoure ses épaules de mon bras et elle pose sa tête sur mon épaule. C’est alors que je remarque trois jeunes hommes de l’autre côté du square, qui nous regardent en rigolant. Je la lâche et me redresse.



Alors qu’elle se lève, je la retiens par la main. Ce contact provoque en moi comme un courant électrique. Elle me regarde et se rassoit.



Elle ne lâche pas ma main.



Nous nous levons, toujours main dans la main, et nous dirigeons vers le café de l’autre côté de la place. Notre trajet passe devant le banc où les trois gars continuent de se marrer. Au moment où on passe devant, l’un d’eux apostrophe ma compagne.



Sur ce, je poursuis mon chemin, n’ayant pas lâché la main de Dominique, puisque j’ai appris son prénom. Les trois autres marmonnent dans notre dos, mais je n’en ai cure. Nous parvenons au café et nous installons en terrasse, côte à côte face à la place.

Je commande un coca sans réfléchir, alors que je suis plutôt du style bière, ma compagne faisant de même.



Elle guide ma main, qu’elle n’a pas lâchée, entre ses cuisses, où je sens la bosse de son sexe.



Je ne retire pas ma main et entre mes propres cuisses mon sexe gonfle.



Il va s’ensuivre un long monologue de ma compagne, parfois interrompu par une remarque de ma part, ou une commande, car nous grignotons tout en buvant des cocas.

Dominique me raconte sa vie. Nous sommes seuls au monde, serrés l’un contre l’autre ou au moins sans nous lâcher la main. Grand moment de tendresse, d’intimité, de connivence, de complicité entre cette jeune femme et moi.



Je suis une anomalie de la nature ! À la fois femme, sans les ovaires et homme sans les bourses ! J’ai un vagin et une verge. En fait, maintenant mon vagin s’est refermé.

Les premières années se sont passées sans problèmes, ce n’est que quand je suis allée à l’école à partir de six ans et que mes camarades se sont rendu compte que je n’étais pas comme elles que les ennuis ont commencé. L’une d’elles a posé des questions à sa mère, qui en a parlé à l’institutrice, qui en a parlé à ma mère. Il s’en est suivi des examens multiples, j’ai été auscultée par je ne sais combien de spécialistes pendant des années. Je suis un phénomène ! Enfin, je l’étais, car au bout d’un moment j’ai refusé tous ces examens.

Au collège, j’évitais de faire du sport pour ne pas aller à la douche avec les autres. Néanmoins, tous avaient eu vent de ma singularité. J’ai été formée avant les autres, certaines filles ont tenté de me regarder, car en effet, elles pouvaient connaître l’anatomie des garçons sans risque. Personne ne voulait jouer avec moi. J’étais un peu le « monstre », la handicapée !

Au lycée, je me suis retrouvée en pension dans une chambre avec une fille. Pour éviter tout problème par la suite, le premier soir, je lui ai montré ma différence. Elle a aussitôt crié, a demandé à changer de chambre. Bref, re scandale et on m’a mise d’abord seule, puis une fille arrivée en cours d’année, bien qu’informée de mon état, a accepté de partager ma chambre.

Cette fille avait des tendances homosexuelles et avait trouvé le moyen de les assouvir sans le paraître au grand jour.

C’est elle qui m’a fait découvrir l’amour avec une fille. Elle en avait tous les avantages, car elle « utilisait » ma verge tout en ne risquant pas d’être enceinte.

Nous avons vécu ensemble toute la fin de notre scolarité à la faculté, jusqu’au master. Nous étions traitées de gouines, de dégénérées, mais on a appris à s’en ficher. Surtout elle qui pouvait ainsi faire quelques conquêtes féminines. Quant à moi, j’y avais trouvé un équilibre et je n’étais pas sollicitée par les garçons. Nous avions tous les avantages des filles et des hommes réunis.

Mon amie suivait des études de vétérinaire. J’ai donc moi-même suivi des modules supplémentaires après mon master en architecture. J’ai ainsi acquis des compétences qui m’ont ensuite ouvert des portes pour des chantiers spéciaux, ainsi que comme archi d’intérieur et bâtiments basse-consommation. À l’époque ce n’était pas la mode, mais maintenant, je me retrouve en avance sur mes collègues. Ah oui ! Mon métier, c’est architecte !

J’étais heureuse, ou au moins je le croyais. J’ai connu là ma première désillusion !


La dernière année, pour valider mes diplômes, j’ai dû passer quatre mois en Côte d’Ivoire, au milieu de la brousse, coupée de tout. À mon retour, mon amie avait changé. Elle avait rencontré l’amour avec un garçon. En fait, cela s’était fait avant mon départ, car elle se retrouvait enceinte de cinq mois.

Tout s’écroulait ! Trahie par mon amie, je passais et obtenais mes derniers diplômes, mais de retour chez moi, j’ai sombré dans une longue dépression. Je ne sortais pas, ne travaillais pas, il a fallu un concours de circonstances pour que je sorte de cet état. Je me suis plongée dans le travail et j’ai réussi.

En revanche, côté cœur et sexe, c’est une bérézina ! J’ai commencé à fréquenter les hommes. Pas ici, mais j’allais en ville, à Bordeaux ou Toulouse, dans des boîtes spécialisées où en trouve des travestis et autres transsexuels. Parfois, je sortais avec un homme dragué en boîte. Cela ne durait jamais. Les hommes se servaient de moi, surtout en ne se faisant pas voir en public en ma compagnie ! Quand ils avaient eu ce qu’ils voulaient et leur petite dose d’adrénaline, ils m’abandonnaient et ne voulaient plus de contact avec moi.

Depuis l’an dernier, j’avais rencontré un homme avec lequel nous avions une relation suivie. On se voyait assez régulièrement chez lui. Il habite à une cinquantaine de kilomètres d’ici. Il m’amenait au restaurant et même si je ne connaissais pas ses amis ou sa famille, je m’étais faite à l’idée que quelque chose de sérieux pourrait exister entre nous.

Ce midi, nous avions passé un week-end prolongé en « amoureux » dans un gîte isolé de la forêt landaise, je lui ai proposé de venir ici et de le présenter à mes parents. Idiote que je suis ! Il a déversé des horreurs sur moi. Qu’il n’était pas question de « s’exhiber » avec moi ! Que je n’étais juste bonne qu’à baiser. Qu’il n’avait pas envie de passer pour un pédé…

Je me suis enfuie de chez lui, j’ai roulé comme dans un brouillard et je ne sais pas pourquoi je n’ai pas eu d’accident, parce que j’avais envie de mourir. Sûrement quelque chose m’a protégée !

Arrivée ici, je ne voulais pas rentrer chez moi. C’est comme ça que j’ai atterri sur ce banc.

Ce qui est la meilleure chose qui me soit arrivée depuis longtemps ! Je t’ai rencontrée !

Tu es gentil, mais…



Le garçon de café vient nous interrompre :



Nous sommes les derniers sur la terrasse. Le garçon a rentré toutes les tables et il ne reste que la nôtre.



Nous aidons le garçon à rentrer le matériel et derrière nous, il ferme et éteint le bar. Nous nous retrouvons dans le square de notre rencontre, nous tenant toujours par la main. Nous faisant face, pour la première fois, on s’embrasse voluptueusement. Ni l’un ni l’autre n’a envie d’arrêter ce moment. Longtemps, au milieu du square, nous restons ainsi enlacés, seuls au monde.



M’entraînant par la main qu’elle n’a pas lâchée, nous traversons la place. Dominique s’engage sous un porche et devant une porte, tape un code en passant sa main dans un lecteur.



À l’intérieur, un escalier droit accède à l’étage et débouche sur une vaste pièce dont les lumières s’allument à notre arrivée. La demoiselle a des moyens. Le grand living est équipé d’un immense home cinéma. Une grande baie donne sur un jardin… Enfin, ces détails, je les découvrirai plus tard, car pour l’instant, nous sommes au milieu de la pièce, enlacés, reprenant les caresses où nous les avions laissées dans le parc.


Nos mains ne se contentent plus de parcourir le corps de l’autre. Nous nous attaquons mutuellement aux habits. Fébriles, les lèvres soudées, c’est à celui qui déshabillera l’autre le plus vite. À ce jeu, je gagne facilement, car le chemiser et la jupe sont vite envolés, alors que s’attaquer à la ceinture et au pantalon d’un homme, sans parler des chaussures, est un peu plus ardu.


Dominique porte une sorte de gaine, dont elle m’expliquera l’usage, rendu nécessaire afin de plaquer son sexe sous les vêtements. Son soutien-gorge ne résiste pas longtemps à mes assauts et je découvre une poitrine magnifique aux tétons érigés.

L’un comme l’autre, nous finissons de nous dévêtir, pressés d’être nus. Nous tenant par les bras tendus nous découvrons nos corps.


Je dois dire que je ne suis pas déçu. Dominique est magnifique. Une silhouette de rêve ! Des seins ronds avec des aréoles roses et des tétons érigés. Sans oublier, bien sûr, son sexe bandé qui lui donne une allure si spéciale. Elle semble tendue intérieurement, en attente de ma réaction.


Un grand sourire aux lèvres. Je lui déclare que je la trouve superbe. Collés l’un à l’autre, nos peaux entrent en contact, provoquant chez moi et elle me le dira plus tard, chez elle aussi, un frisson de volupté intense.

J’abandonne ses lèvres pour couvrir son cou, puis ses seins, son ventre, et enfin à genoux à ses pieds, son sexe turgescent, que je couvre de bisous, avant de l’enfourner dans ma bouche avide.


Je me délecte de sa queue ! En levant les yeux, je peux voir sa belle poitrine ferme au-dessus de moi. Dominique me tient la tête, la sienne renversée en arrière.

Ma bouche n’est pas la seule à s’occuper. Mes mains caressent ses cuisses fuselées, sans oublier ses couilles que je roule délicatement.


Je ne sais combien de temps je m’occupe ainsi. Ma compagne me relève et m’embrasse goulûment. On mélange nos langues et nos salives. Elle retrouve l’odeur de sa bite sur mes lèvres. Parallèlement, nos mains ont trouvé le chemin, l’une de la queue, l’autre des fesses de notre partenaire.

La tension monte, la chaleur aussi. C’est une tendre lutte entre nous. À celui qui donnera le plus de caresses et de tendresse à l’autre. Nous découvrons ainsi nos corps de nos mains fiévreuses.

N’y tenant plus, ma compagne recule sa tête et les yeux embrumés, me jette :



Abandonnant nos habits au milieu de la pièce, elle me tire vers sa chambre. Là aussi, une vaste pièce et un lit immense.



Elle fonce dans la salle de bain et revient en riant, tenant une boîte de préservatifs. Elle me la tend et grimpe sur le lit se mettant à genoux au bord de celui-ci.

Fébrilement, j’enfile la protection, mais alors à ce qu’elle s’attend à ce que je la prenne ainsi en levrette, je la retourne sur le dos.



Je pointe mon gland sur sa rosette. Pendant que je « m’habillais », Dominique avait enduit son anus de gel rapidement. Ma bite tendue s’enfonce sans effort dans sa cavité brune. En quelques mouvements je suis au fond de son rectum et m’immobilise. Je me penche alors pour embrasser ses lèvres. Dominique entoure ma tête dans ses bras, remonte ses jambes autour de ma taille sa langue voltige contre la mienne. Je commence alors le mouvement éternel de l’homme dans la femme, à la différence, que contre mon ventre je sens sa queue dressée.


La mienne est idéalement enserrée dans ses lombes. Ma compagne entame un chant d’amour, montant dans les aigus. Nos corps transpirants s’accordent parfaitement. Je me redresse et, debout maintenant, je peux voir le corps de mon amante. Un corps somptueux, avec ce plus qui ajoute à son charme si particulier. Moi qui ai plutôt du mal à jouir d’habitude, je sens monter en moi, les prémices de mon éjaculation. Voulant faire durer ce moment idyllique, je m’arrête un peu, mais ma compagne ne l’entend pas ainsi. Ses jambes m’enserrent fort, elle crie :



Je me déchaîne alors, ne me retenant plus. J’empoigne sa bite raide tout en claquant mon bas-ventre contre ses fesses et, n’y tenant plus, je me vide en criant, au fond de la capote. C’est alors que j’assiste à un spectacle incroyable. Un véritable geyser jaillit de la bite de Dominique, arrosant son ventre, sa poitrine, son visage et les draps autour. Dominique est une fontaine ! Mais une fontaine qui jaillit par un organe masculin ! Elle hurle son plaisir, continuant de couler alors que je ralentis peu à peu, accompagnant la fin de ma propre jouissance de mouvements au ralenti.


Je m’effondre enfin sur elle, son jus abondant nous collant l’un à l’autre. Je lèche sa mouille sur son visage. Le goût et la texture ressemblent à celle d’une femme, aussi je me régale à nettoyer et avaler ce jus odorant.

Peu à peu, le calme revient. Nous sombrons peu à peu dans une sorte de sommeil paradoxal qui faire retomber le rythme de nos cœurs. Apaisés.

Dominique sort peu à peu de sa léthargie. Prend mon visage dans ses mains et m’embrasse passionnément. Un grand sourire aux lèvres, elle murmure « Je t’aime » les yeux humides et embrumés.


Ma bite s’est rétractée et est sortie de son antre. Je retire le préservatif, le noue, m’étonnant encore d’avoir joui si vite et si intensément. Je fais un nœud et jette le condom sur le sol revenant vers ma nouvelle amie, toujours étendue sur le lit.

Sa silhouette androgyne, même si le haut est celui d’une femme bien pourvue, m’attire une nouvelle fois. Je plonge sur sa bite au repos et l’avale à nouveau, me délectant de son odeur, de sa mouille et de sa forme qui, après quelques minutes, redevient ferme et rigide. Ma partenaire a les capacités multi-orgasmiques des femmes ! Relevant la tête un moment, je la découvre qui m’observe en souriant.



Dominique me tend le tube de gel et enfile à son tour un préservatif. Lorsqu’elle est équipée, je relève mes jambes, prêt à la recevoir entre mes fesses.

Quel magnifique spectacle, que cette femme à la poitrine arrogante et au corps pulpeux, dont une bite se dresse au bas du ventre. Je me suis déjà fait prendre ainsi par une femme, mais elle avait alors une bite factice. Mais là, c’est autre chose !



Je suis si relâché que je ne souffre même pas. Sa queue se fraye un chemin facilement dans mes lombes. Je sens bientôt son bassin buter contre mes fesses. Comme elle tout à l’heure, j’entoure ses hanches de mes jambes. Dominique se lâche alors. Agrippée à mes cuisses, elle me besogne en cadence. Je sens monter en moi une vague énorme. Une jouissance inconnue ! Je suis en train de prendre un pied d’enfer ! Jamais je n’ai connu cela ! J’ai l’impression que sa bite épouse parfaitement l’intérieur de mon cul.



Sans que je me touche, un liquide blanc sort de mon méat. Je jouis en continu, alors qu’il n’y a pas longtemps j’éjaculais déjà. C’est énorme !


Mais ce n’est rien encore ! Quand Domi, à son tour se lâche ! Comme tout à l’heure, c’est une cataracte qu’elle expulse ! Pas habituée, elle remplit rapidement la capote et sous l’effet de ses mouvements, celle-ci se vide par l’arrière, répandant son jus entre mes fesses et sur les draps, qui n’avaient déjà pas besoin de ça !

Je suis anéanti et m’endors aussitôt. La bite de ma partenaire toujours en moi. Je sens vaguement lorsqu’elle se couche contre moi et sombre dans un profond sommeil, peuplé de rêves érotiques.


Le soleil est éclatant lorsque je me réveille. Je mets quelques secondes avant de me rappeler où je me trouve. Je découvre alors à mes côtés la silhouette de Dominique. Étalée en travers du lit, elle repose sur le dos, bras écartés, les seins un peu aplatis par la position et surtout la bite raide ! Je ne peux résister, après avoir admiré un moment son corps magnifique, à me pencher sur ce sexe ardent et à le lécher tout d’abord. Du gland à la racine, sans oublier les deux belles boules que je cajole. Aucun poil ne vient troubler son obélisque. Au-dessus de la verge, une petite touffe est soigneusement taillée comme un ticket de métro.


Occupé à rendre hommage à sa queue, je n’ai pas vu mon amante se réveiller. Certes, elle bouge un peu, mais c’est lorsque je sens sa bouche sur ma queue que je prends conscience de son réveil.

Je me retourne alors pour l’embrasser. Elle me sourit. Nos corps sont couverts de son jus séché et une odeur de foutre flotte dans la pièce. Les draps sont dans un sale état, mais cela ne nous empêche pas de nous y vautrer.



Nous passons dans l’immense salle de bains, après avoir retiré les draps. L’immense douche à l’italienne nous fait du bien. C’est aussi l’occasion de se caresser encore. Je ne me lasse pas de ce corps voluptueux de femme auquel le sexe masculin rajoute une touche érotique supplémentaire. Dominique, à peine sollicitée, bande à nouveau et je ne peux m’empêcher de me retrouver à genoux pour cajoler cette queue magnifique. Ma partenaire me laisse faire un moment, et une nouvelle fois, me récompense d’une giclée phénoménale qui me couvre de la tête aux pieds, son jus étant heureusement nettoyé par l’eau qui coule sur nous.


Nous nous retrouvons ensuite dans le spa où l’eau bouillonnante nous réconforte. Couché au fond de la baignoire, Dominique entre mes jambes, je ne peux m’empêcher de caresser ses seins et sa bite, vite redressée. Nous somnolons un peu, jusqu’à quelle ne glisse à mon oreille :



Dominique se tourne dans l’eau. Elle pleure et je pleure aussi après ce double aveu. Couchée sur moi, elle m’embrasse fougueusement. On ne se lâche pas comme si la vie en dépendait. Contre ma queue, je sens la sienne tout aussi dure. Je n’ai pas envie de la baiser, mais de la garder ainsi tout le temps. Les bulles nous enveloppent. Je n’ai plus sommeil, je voudrais que tout s’arrête pour vivre ce moment de communion éternellement.