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Temps de lecture estimé : 26 mn
13/04/19
Résumé:  Après leur rencontre et le coup de foudre, les deux amants se dévoilent à leurs proches.
Critères:  hplusag plage hotel amour trans intermast fsodo hsodo -coupfoudr -amourpass
Auteur : Yanloutort      Envoi mini-message

Série : Dominique, une femme... étonnante

Chapitre 02 / 03
La communion des corps

Dans l’épisode précédent : « Dominique : une femme étonnante »


Dans une cité balnéaire, Jean se ressource après une rupture sentimentale. Il fait la rencontre d’une jeune femme, Dominique, qui se révèle être hermaphrodite. Après une première nuit torride, Jean va rencontrer la famille de Dominique.




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La faim qui malgré tout nous tenaille, nous fait quitter le spa. On se sèche mutuellement, amoureusement, sans cesser de s’embrasser, de se caresser. Nous devons lutter contre l’envie de faire l’amour à nouveau.

Dominique trouve deux peignoirs blancs dans son armoire. Je lui fais remarquer que je devrais aller me raser à mon hôtel et me laver les dents. Pour ces dernières, elle a ce qu’il faut en revanche, elle n’a rien pour ma barbe.



Elle ouvre mon peignoir et se jette à genoux.



Elle se relève en riant.



Je vais à la cuisine, mais elle m’entraîne par un escalier tournant qui mène au rez-de-chaussée :



Arrivés en bas, la voilà qui claironne :



Je dois dire que ma surprise est à la hauteur de celle des deux personnes qui se trouvent dans la maison. La femme et l’homme sont sensiblement de mon âge. Lui est en train de lire le journal alors que la femme repasse du linge.

Dominique embrasse son père et enlace sa mère.



Le père me tend la main distraitement, alors que la mère est beaucoup plus chaleureuse. Elle abandonne aussitôt son ouvrage pour nous préparer du café, des toasts et du jus d’orange.


Alors que nous engloutissons, plus que nous ne mangeons, Annick prépare d’ailleurs d’autres toasts en voyant notre appétit. Le père s’est replongé dans sa lecture. Dominique, qui s’est assise à côté de moi, ne rate pas une occasion de me caresser ou de m’embrasser, sous l’œil attendri de sa mère. Elle tourne autour de nous, curieuse de voir sa fille ainsi, et je ne sais pas encore à quel point ! Au bout d’un moment, alors que nous terminons la troisième fournée de toasts, elle se décide à parler. Sûrement pour rompre le silence pesant qui s’était installé.



Sentant un peu de tension j’interviens.



Dominique me saute au cou.



Dominique est née fille et ne s’est… transformée que plus tard.



C’est bien la première fois que je bois du champagne au petit déjeuner ! Après avoir vidé nos coupes, la mère de Dominique nous invite à déjeuner.


Nous remontons pour nous habiller. Dominique m’entraîne ensuite par une autre porte de son appartement qui donne directement dans son bureau d’architecte. Nous y rencontrons deux collaborateurs qui travaillent ensemble sur un projet. Après m’avoir présenté, Dominique discute de quelques points avec eux pendant que je fais un tour. L’équipement est neuf. Des ordinateurs avec écrans gigantesques, tables traçantes, serveurs, bref, les affaires de ma compagne ont l’air florissantes. Le nombre de dossiers est aussi imposant.


Nous descendons au rez-de-chaussée qui est le lieu d’accueil des clients. Des maquettes de réalisations sont exposées. La secrétaire standardiste nous accueille chaleureusement. Dominique lui laisse quelques instructions, lui demandant de décaler les rendez-vous de l’après-midi.


En sortant, nous nous retrouvons sur la place. C’est en fait tout le corps de bâtiment qui lui appartient. M’entraînant par la main, nous pénétrons dans la boutique à côté qui n’est autre qu’un cabinet d’infirmière.


Nous avions parlé le matin du plaisir que nous aurions à nous passer de préservatif. Donneurs de sang tous les deux, nous étions « clean », mais voulions en être assurés. Dominique, qui a embrassé l’infirmière, lui demande de nous faire passer le test HIV. Tout en effectuant le prélèvement, les deux femmes discutent. Elles ont l’air très proches.

L’infirmière nous propose de nous donner le résultat le soir même.



Oui, mais appelle-moi. Normalement on ne donne pas ça par téléphone, mais vous passerez ensuite demain pour le document. Vu ce que vous m’avez dit, cela ne devrait pas poser de problème.



Les deux femmes s’embrassent et nous partons déjeuner.



Encore une fois au milieu de cette place où maintenant il y a du monde en ce jour de marché, nous nous enlaçons et nous embrassons sous les yeux des badauds. Certains, peut-être moqueurs, mais peu nous importe ! Nous tenant par la main, nous retournons chez ses parents après avoir acheté du pain et une bonne bouteille de vin.


Le repas est très agréable. Le père, pas très loquace aux dires de Vivi et de sa mère, se déclare très heureux. Le fait que je sois plus âgé qu’eux-mêmes ne les dérange pas. Ils trouvent même que c’est rassurant.

Nous rejoignons l’appartement et je décide d’aller récupérer mes affaires à l’hôtel. N’ayant pas envie de laisser Vivi, je lui propose de venir avec moi. Elle semble hésiter.



Tu es vraiment fou mon amour !



En ce début d’après-midi, la réception est déserte et je n’ai qu’à prendre ma clé au tableau. Une fois dans la chambre, j’ai très envie de ma chérie – je pense toujours à elle en tant que femme – Vite déshabillés, je commence par ce que j’adore faire, c’est-à-dire la sucer à genoux. Je me régale et Vivi aussi, pendant quelques minutes. Je découvre un plaisir supplémentaire en regardant notre étrange couple dans la glace de l’armoire. Me découvrir ainsi à genoux, devant cette femme magnifique, léchant et avalant sa queue bandée ; m’excite au plus haut point. J’en deviens « salope » et n’ai qu’une envie, me faire prendre par son chibre merveilleux. J’attrape un préservatif dans ma valise, lui enfile comme une pro, puis me positionne à genoux sur le lit, les fesses tendues, en la suppliant de me baiser comme une pute !



Je suis complètement fou de cette femme virgule. De profil, je nous vois à nouveau à la glace, moi à genoux et ma belle derrière moi. Bien entendu, elle m’embroche sans coup férir et je gémis comme une femelle saillie par son mâle.


Vivi se déchaîne et je ressens bien son intromission. Nous sommes en sueur et elle ne tarde pas à gicler abondamment au fond de mon cul. Bien sûr la capote ne peut contenir tout son jus et rapidement, celui-ci déborde et se répand sur le dessus-de-lit. Ma chérie veut à son tour que je la prenne ainsi. Nous changeons de position. Je la fais mettre face à la glace et l’oblige à nous regarder. Dans cette position, on ne voit pas vraiment sa virgule, aussi, je la redresse en la tenant par les seins.



D’une main je branle maintenant Vivi tout en continuant à l’enculer. La position n’est pas facile et la pénétration limitée, mais le spectacle est jouissif. Vivi explose à nouveau et dans la glace, on peut voir son jet impressionnant décrire un arc de cercle avant de se répandre à nouveau sur le couvre-lit. Alors que Vivi s’affaisse, je la saisis par les hanches et accélère ma sodomie pour me libérer à mon tour en criant.


Vautrés sur le lit, nos corps « baignent » dans le foutre de ma compagne. Je pense à la tête de la femme de ménage lorsqu’elle découvrira le champ de bataille.

Nous passons à la salle de bains. Sur le modèle de cette chaîne d’hôtels, on trouve une baignoire/douche qui prend la largeur et sur un côté long une paillasse avec une vasque et tout du long un immense miroir. Face à lui, debout tous les deux, je caresse ma compagne qui ne tarde pas à rebander. Je réitère mon admiration devant sa plastique irréprochable et son sexe tendu. Je m’assois sur la paillasse, appuyé contre la glace et demande à ma chérie de me prendre comme ça. Son sexe est juste à la bonne hauteur. Mon cul, bien ouvert depuis la dernière sodomie, est prêt à le recevoir. Vite équipée du préservatif, ma chérie me pénètre sans difficulté. Je l’encourage à me baiser fort et à nous regarder dans la grande glace. Je n’ai pas besoin d’insister, car Vivi, qui vient de découvrir ce plaisir, est tout heureuse de nous voir ainsi. Je m’abandonne à ma maîtresse qui m’encule profondément. Ses multiples jouissances lui permettent tout de même de résister longtemps.


À son tour, elle empoigne ma verge bandée et me branle tout en continuant à me posséder en rythme. Comme cette nuit, je sens monter en moi ce plaisir, comme une vague, l’impression de jouir par le cul. Je sais que cela va me laisser inerte, mais j’aspire à ce qu’il arrive.


Enfin, la vague me submerge et je hurle en me vidant sur mon ventre. Vivi m’avait lâché depuis un moment, aussi je coule en continu, propulsé vers des sommets par la grâce de la queue de ma chérie.

Celle-ci se retire au dernier moment et, se finissant à la main, m’arrose de son suc, toujours aussi abondant. J’en ai partout, de la tête au bas-ventre, la table de toilette en reçoit aussi. J’étale son foutre sur mon corps, comme une crème bienfaisante. Vivi réintroduit sa verge dans mon fondement, m’apportant encore un plaisir subtil. Enfin, elle s’allonge sur moi pour échanger un baiser tendre et profond.

Je fais couler un bain dans lequel nous nous lovons afin de récupérer de nos émotions.



Vivi reste dans le bain et me regarde me raser. Lorsque je me rase le sexe, les couilles et le cul, elle est très intéressée. Elle se marre carrément, mais quand je lui fais toucher, elle apprécie la douceur et même un peu plus en me caressant pour provoquer une nouvelle érection, qui ne tarde pas. Je lui propose alors de fignoler le rasage entre mes fesses, ce qui l’amuse beaucoup. La coquine en profite pour me doigter et le lécher. Je bande comme un fou. Elle me suce alors, juste pour le plaisir, car je lui demande de ne pas aller au bout. J’ai déjà beaucoup donné depuis la veille et ce soir, c’est le grand soir dont je veux profiter au maximum.

Nous faisons ensuite la valise et quittons la chambre. À la réception, le patron est présent. Il commence à interpeller Vivi.



L’homme est scotché ! Derrière lui, le concierge est mort de rire et nous fait un clin d’œil. Nous sortons, je récupère ma voiture et nous rentrons chez Vivi. Je me gare dans la cour intérieure après que Vivi a commandé l’ouverture du portail électrique.



Dans l’appartement, Vivi me fait de la place dans une penderie pour mes affaires.

Il est à peine seize heures. Nous avons quatre heures à attendre avant de connaître le résultat de nos examens, aussi je propose, pour éviter une attente stressante, d’aller à la plage.



Je l’embrasse pour la faire taire. Je lui choisis une robe et une serviette qui peuvent aller à la plage. J’emporte ma serviette et la crème solaire.

Vivi décide de prendre sa voiture. Il s’agit d’un cabriolet Mercedes, la dame a décidément des moyens. Elle décapote la voiture et nous partons vers la plage où je la dirige.

Sur place, je lui fais emprunter un chemin, heureusement très carrossable, vu son véhicule. Un pin nous apporte son ombre bienfaisante, qui évitera de transformer la voiture en cocotte minute. La dune franchie, je me dirige vers la partie naturiste, située à une centaine de mètres. À cette heure, la plage a commencé à se vider, ce qui rassure un peu ma compagne, soucieuse de ne pas rencontrer de connaissance.

Ayant trouvé une place un peu à l’écart, je ne tiens pas à l’effaroucher, on s’installe. La serviette étendue, je me déshabille et m’assois. Vivi s’est assise sur la sienne, mais ne bouge pas.



Sans m’occuper d’elle, ou tout du moins en donnant l’impression, je m’enduis de crème solaire, insistant sur mes parties intimes. Voyant qu’autour de nous personne ne regarde, Vivi enlève sa robe et très vite son soutien-gorge. Pour la culotte, c’est un peu plus long. Elle hésite, puis, d’un coup, se décide et enlève précipitamment le dernier rempart de sa pudeur. Telle qu’elle est placée, personne ne peut voir son intimité. Dès qu’elle est nue, son sexe ratatiné, je lui propose de lui passer la crème.


Elle accepte, aussi je badigeonne son côté face. Les épaules, les seins qui frémissent un peu, l’abdomen et je passe aux jambes et aux pieds pour finir par le bas-ventre. Sous prétexte de le protéger de sa première exposition, j’insiste, ce qui provoque inévitablement l’érection de son sexe. Elle tente bien de s’y opposer, mais rien n’y fait. Elle capitule, submergée par le plaisir ressenti. Je n’insiste pas et m’étends à ses côtés. Moi aussi je bande, l’opération sur ma chérie n’a pas été sans conséquence.


Pendant quelques minutes, je m’abandonne au soleil. M’étant déjà exposé je ne risque pas grand-chose, mais c’est une première pour Vivi. Je me relève et lui demande de me passer la crème sur le dos, ce dont elle s’acquitte avec plaisir. Elle s’étend à son tour et comme pour le côté face, je termine par ses fesses sur lesquelles j’insiste. Elle a beau se trémousser, ses globes et aussi l’entrefesse ont droit à toutes mes attentions.


Nouveau temps d’exposition. Je sens la chaleur gagner mes propres fesses, aussi je propose d’aller nous baigner. Panique chez ma voisine ! Il va falloir qu’elle se lève et s’expose, lui semble-t-il, à tout le monde. La prenant par la main, je la relève et l’entraîne vers l’eau. Placée comme elle est, le reste de la plage ne peut la voir.


On s’arrête au bord de l’eau et je l’enlace. La situation m’excite et je bande. Regardant ma compagne sur le côté, je vois que sa queue aussi a tendance à se tendre, aussi je nous fais avancer dans l’eau. La fraîcheur agit vite sur nos organes et lorsque nous sommes entièrement entrés nous pouvons nous ébattre tranquillement.

Vivi apprécie vite la sensation d’être nue dans l’eau, de sentir le flot entre ses jambes. Nous nous amusons un bon moment. On s’enlace, on s’embrasse, on se caresse, si bien qu’au moment de sortir, sans nous en rendre compte, nous bandons tous les deux. C’est le regard curieux d’abord, étonné ensuite d’un promeneur qui passe devant nous, qui nous fait prendre conscience de notre état.

Nous courons alors vers nos serviettes, où nous nous étalons en riant. Là, blottis l’un contre l’autre nous pouvons échanger caresses et baisers sans que d’autres ne voient notre état.


Plusieurs fois je badigeonne Vivi pour éviter tout risque de coup de soleil. Elle se laisse faire maintenant, même quand j’insiste sur sa queue, que je branle carrément. Une fois même, je me suis penché et l’ai sucée sans qu’elle ne s’offusque.


Nous retournons plusieurs fois dans l’eau surtout que la plage s’est vidée, nous sommes quasiment seuls maintenant, mais implicitement, nous attendons vingt heures. Il fait très bon d’ailleurs et nous en profitons au maximum.

J’insiste pour nous réenduire de crème, d’une part car c’est prudent, d’autre part car c’est un plaisir renouvelé de nous caresser sans en avoir l’air. Chaque fois cela se termine par des érections difficiles à cacher, mais nous résistons au plaisir d’aller plus loin, car nous attendons tous les deux le « feu vert » de la faculté et comptons bien profiter de notre nouvelle liberté d’action.


Il est bientôt l’heure. Main dans la main, nous allons au bord de l’eau. Là, tous les deux face à l’océan calme, nous contemplons le coucher de soleil, sans bouger, heureux d’être ainsi, nus et bandants dans l’attente de notre libération.


Solennellement, Vivi se tourne face à moi et me regarde fixement. Elle a pris son portable et appelle son amie. Mon cœur bat fort et j’en suis sûr, le sien aussi. Malgré le stress, nos queues sont dressées comme si nous voulions prouver à l’autre un désir plus fort que le sien. Les sonneries s’égrènent, ajoutant à une attente insupportable.

Enfin, la communication s’établit, Vivi met le haut-parleur et positionne son portable entre nous.



Curieusement, nous n’éclatons pas de joie. Nos yeux s’emplissent de larmes et nous tombons dans les bras l’un de l’autre pour un baiser interminable. Enlacés, nos deux bites se frottent, dressées entre nous comme une invite à la joute qui suivra. Une joute amoureuse.


Longtemps nous restons ainsi. Seuls au monde. Nous abreuvant à la salive de l’autre ? Les langues s’affrontent dans un tendre duel. Par moment on s’écarte, simplement pour se regarder, voir nos bites tendues, puis on se recolle pour s’embrasser et se frotter. La nuit tombe, toujours main dans la main, nous reprenons nos affaires et sans nous rhabiller, nous regagnons la voiture. Toujours nus, nous rentrons. Le voyage passe comme dans un rêve, sa main droite sur ma bite, ma main gauche sur sa bite, comme pour ne pas se perdre. La boîte automatique de la Mercedes permettant cette conduite un peu spéciale. Vivi rentre directement au parking intérieur et, toujours nus, nous regagnons l’appartement. La montée des marches est longue, chacun cherchant à caresser, à sucer tétons et sexe.

Après de longues minutes, nous parvenons à l’étage, enlacés, direction la chambre. Vivi s’allonge sur le dos, relève ses jambes.



J’enduis sa corolle de gel et pointe mon gland dessus. Je pousse lentement afin d’apprécier cet instant unique ! C’est la première fois que j’encule à cru ! J’avais toujours mis une capote et je sais qu’ensuite ce sera la première fois que je me ferai sodomiser sans préservatif. Vivi est magnifique ainsi. Ses seins aux tétons tendus semblent plus gros, elle relève la tête pour voir elle aussi ma queue ouvrir son anus.

Ses muscles sont relâchés et je pénètre assez facilement, je fais durer au maximum jusqu’à buter mes couilles contre ses fesses. Je reste ainsi un moment, puis me penche pour embrasser ma belle. À sa demande, je commence la sodomie active.



Ses muscles serrent fort et moi qui suis plutôt long à jouir, je sens monter ma sève brûlante dans mes reins. Je baise à fond ma femelle dont la bite balance au-dessus de la mienne. Dans un cri, je me libère alors que les muscles internes de Vivi me pompent littéralement. Elle aussi jouit et nous arrose de son liquide abondant. Je pense alors que tout à l’heure, je le recevrai au fond de mes entrailles. Cette pensée fait que je ne débande pas et continue à sodomiser ma belle qui râle en continu. Je crois bien que pour une fois j’aurais réussi la « passe de deux » sans me retirer, mais l’envie de sentir sa queue dans mon cul est plus forte. Lentement, à regret, je sors de son anus dilaté, je m’étends à ses côtés, relève mes jambes et tout en m’enduisant copieusement mon œillet, j’implore ma chérie de me prendre.



Contrairement à moi avant, Vivi ne prend pas de temps et c’est d’un seul coup qu’elle s’enfonce dans mon cul. Aucune douleur pourtant, tellement j’espérais cette intromission. Je noue mes jambes derrière ses reins et ma belle m’encule à fond, puis, attrapant mes chevilles dans son dos, elle écarte mes jambes en grand pour me pénétrer encore plus loin. Je sens monter en moi les prémices de la jouissance et lorsqu’arrivent les premières salves de sperme que pour la première fois je sens au fond de moi, je délire ! Je jouis de tout mon corps ! J’ai l’impression d’être rempli, ce qui est le cas, mais aucune douleur comme avec un lavement. Ce n’est que douceur. Je « sens » véritablement les jets dans mon fondement. Malgré tout, mon réceptacle ne retient pas tout de l’important geyser, et sous les allers et retours de la queue merveilleuse de Vivi, ça coule entre mes fesses en faisant des « flocs ».


Enfin, la source se tarit et mon/ma chérie se couche sur moi qui suis complètement sonné. Elle aussi est ivre de jouissance et nous nous cajolons par des baisers sensuels. Nous sommes unis comme rarement. Sa merveilleuse bite se rétracte peu à peu et fini par sortir de mon cul. Son jus abondant s’écoule alors de ma cavité anale, me laissant pantois et heureux d’avoir connu ce moment de plaisir unique.


Pour la première fois, je ressens vraiment l’impression d’avoir été enculé ! Les fois précédentes, que ce soit avec un godemiché ou une bite encapuchonnée, je n’avais pas cette impression. Je ne sais pas si je suis homo ou bi. Je me suis donné totalement à mon amour. Si c’est ainsi, je veux être sa femme comme il est la mienne. Un véritable plaisir partagé puisque nous ressentons la même chose. Enculé et fier de l’être.



C’est un moment d’incroyable tendresse que nous vivons. Les baisers et les caresses que nous échangeons font leur effet sur ma chérie qui est d’abord une femme, avec ses capacités de jouir plusieurs fois en suivant et qui est aussi un homme dont la bite se redresse.

Je lui demande de me reprendre encore, tellement cette sensation de plénitude est extraordinaire.



Je me tourne à genoux et offre mes fesses à la verge de ma chérie. Je cambre les reins de façon obscène dans l’attente de la bite adorée.



Alors que Vivi pose son gland sur mon œillet, je ressens un frisson de plaisir. Que dire lorsqu’elle pousse et entre dans mon fondement. Je regrette qu’il n’y ait pas de glace dans l’appartement, pour nous voir ainsi. Vivi agrippe mes hanches et s’enfonce par petit coup dans mon anus béant. Atteignant dans cette position les zones sensibles de ma prostate. Je sens la chaleur monter dans mon corps. Je geins comme une femelle saillie par son mâle, ce qui est le cas, et alors que ma douce empoigne mon sexe, celui-ci laisse échapper du sperme qui s’écoule en continu, me laissant pantois. Ne tenant plus me m’écoule à plat sur le lit, Vivi toujours dans mes fesses, continue la sodomie jusqu’à jouir à son tour dans mon corps quasi inanimé. Mon esprit lui, ressent toute cette jouissance. Je perds toute notion de temps et de lieu, m’abandonnant aux limbes du plaisir suprême.


Je ne sais combien de temps je reste ainsi. Lorsque je reprends conscience, ma chérie est couchée contre moi et m’observe le sourire aux lèvres.



Je me précipite alors sur sa queue. Tour à tour, je suce son gland, je lèche toute la tige avale les boules puis essaye de l’enfoncer au plus profond de ma gorge gérant les hauts le cœur. Petit à petit, je trouve la technique de la gorge profonde. Son gland a passé ma luette et je le pompe comme la salope que je suis devenue.


Vivi se tord, essaye de me repousser. Je l’amène au bord de l’orgasme et me retire alors. Plusieurs fois je répète le manège jusqu’à qu’elle me supplie de la vider. Une dernière fois je l’absorbe au fond de ma gorge tout en pénétrant son cul de deux doigts. Là, je reçois ma récompense. J’avale une quantité incroyable de foutre, directement dans mon estomac en réussissant à ne pas recracher. Malgré tout je dois me retirer et ma chérie continue à m’arroser le visage et la tête ainsi que le buste penché sur son organe. Je le reprends en bouche, le pompant comme un furieux tirant encore de ce sceptre magnifique, son liquide intime léchant à nouveau sa tige pour tout récupérer.


Ma chérie est épuisée. Ce dernier orgasme, extrêmement fort, a vidé ses bourses et son énergie. C’est elle maintenant qui gît sur la couche. Je suis heureux d’avoir réussi cela. D’avoir amené ma chérie au bout de ses ressources. La chambre sent le foutre. Je suis heureux. Je m’endors.


Notre première nuit d’amour aura été extraordinaire. Au réveil, le cerne sous nos yeux témoigne de l’intensité de nos orgasmes. Nous nous cajolons avant de passer à la salle d’eau après avoir retiré les draps ravagés. L’un après l’autre nous nous occupons de l’anus de l’autre une crème adoucissante et un nettoyage poussé. Nous avons du mal à nous séparer et tout est prétexte à des caresses. Nos verges sont sollicitées ainsi que nos anus.


Nous passons la matinée ainsi. Nus, bandés, pour le plaisir de se sentir libres. Nous allons même sur la terrasse devant le salon. Sans vis-à-vis, elle permet de s’exposer. Vivi, qui a découvert le plaisir d’être nue, n’est pas la dernière à se balader. Il faut tout de même que je le lui rappelle lorsqu’elle s’apprête à passer dans le bureau voisin pour y prendre une tablette afin de repenser le décor de son appartement avec des miroirs. Son équipe serait sûrement heureuse, mais surprise de voir la patronne ainsi.


Dans chaque pièce, nous testons la position, la forme et la dimension de la glace qui y prendra place. Connectés à son serveur, nous pouvons voir ainsi en trois dimensions le résultat. Une fois terminé, Vivi établit directement la commande à son fournisseur. C’est un habitué et moins d’une demi-heure plus tard, il renvoie un devis que ma chérie discutera âprement. Elle obtiendra une belle remise avec la promesse de faire des photos de ces réalisations spéciales, qui pourront être diffusées par ledit fournisseur pour sa publicité.


Enfin prêts, nous descendons dire bonjour aux parents de Vivi, puis partons déjeuner, main dans la main, au restaurant chic de la commune, dans lequel elle a réservé. Notre entrée ne passe pas inaperçue. La salle est quasi pleine et notre table se trouve au fond. Sans nous lâcher la main, nous traversons donc toute la longueur de la pièce. Vivi, sourire aux lèvres, salue au passage quelques convives. Le silence se fait à notre approche et le murmure grandi après notre passage.


Un arrêt à la table centrale où Vivi salue « Monsieur le Maire », me présente « Jean, mon fiancé », nous filons ensuite à notre table à laquelle nous nous installons côte à côte face à la salle.

Vivi est un peu tendue, d’autant que l’on s’embrasse et que nous nous tenons la main, preuve de notre relation.



Notre conversation est interrompue par le garçon qui vient prendre la commande. Le temps de choisir les mets et le vin, nous font oublier les autres clients. La bouteille de vin rosé bien frais nous tient lieu d’apéritif que nous dégustons en trinquant.


Au fond de la salle, deux couples ont l’air agités. Ils appellent le maître d’hôtel, nous désignant en ayant l’air outrés de notre présence. Celui-ci parlemente avec eux, mais, manifestant haut et fort leur désapprobation, ils quittent la salle. La table du maire, qui a fini son repas se lève à son tour. L’édile s’approche de notre table, mais alors que je pense qu’il va faire une réflexion, il s’adresse à ma compagne en souriant.



La suite du repas se passe sans autre problème. Le serveur et le maître d’hôtel sont charmants avec nous. Certains clients nous saluent en partant, les mets sont délicieux. Nous sommes les derniers à quitter le restaurant. Le patron lui-même vient nous saluer.