Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 18966Fiche technique15407 caractères15407
2530
Temps de lecture estimé : 11 mn
25/04/19
Résumé:  Printemps 1765. Le roi Louis XV décide de mettre fin aux attaques sanglantes de la bête du Gévaudan et missionne son meilleur louvetier. Le lieutenant de Pont-Valin arrive sur place.
Critères:  #historique intermast cunnilingu anulingus pénétratio
Auteur : Chuck  (Jeune auteur)      Envoi mini-message

Série : La bête du Gévaudan

Chapitre 01 / 04
Arrivée au château de Valangiès

Le 8 avril 1765, en milieu d’après-midi, un cavalier portant les insignes royaux pénétra dans la cour du château de Valangiès dans la province du Gévaudan. Le personnage ne pouvait pas laisser indifférent tant sa prestance et sa robuste constitution attiraient l’attention. Quand il descendit de cheval, le palefrenier du château put examiner de plus près le visiteur, son regard bleu, sa parfaite dentition, son menton carré, son nez un peu trop proéminent. Incontestablement, cet homme en pleine force de l’âge dégageait une grande énergie. En tenant son cheval, le valet s’inclina.



L’homme ne répondit pas puis enjamba rapidement les marches du perron où un domestique l’introduisit dans le grand salon de réception. Il aperçut près d’une grande fenêtre, assis dans un fauteuil, un petit homme malingre au teint jaunâtre, vêtu de noir. À ses côtés se tenait debout une femme ravissante beaucoup plus jeune, à la taille fine et au visage agréable dont la fraîcheur et la vivacité frappèrent le nouveau venu. Il s’inclina devant le couple.



En se redressant, l’homme constata avec un certain plaisir que la jeune comtesse l’observait avec un grand intérêt comme l’éclat de ses yeux bleus en témoignait.



Le comte marqua alors un signe d’agacement et fit comprendre à son épouse qu’il n’avait pas saisi ce que le lieutenant venait de dire. La jeune femme se pencha à son oreille pour lui répéter, mais le petit homme se fâcha encore davantage quand il eut compris. La Comtesse prit la parole.



Pont-Valin s’inclina devant un comte de Valangiès totalement indifférent et suivit la jeune femme qui, une fois entrée dans ses privés, s’excusa.



Pont-Valin lut un court instant dans le regard de la comtesse à la fois tristesse et colère.



Tandis que le grand-louvetier sortait une carte qu’il étala sur une console, Constance de Valangiès se saisit d’une carafe de vin du Pays d’oc, remplit deux coupes et en tendit une à Pont-Valin. L’envoyé du Roi la remercia et, après avoir bu une gorgée, expliqua ses plans.



Pont-Valin releva la tête pour vérifier que la comtesse l’écoutait bien, mais il constata que ce n’était pas le cas. La jeune femme parut toutefois plus détendue. Elle avait terminé sa coupe et le fixait étrangement.



La comtesse remplit à nouveau les deux coupes et but une gorgée.



La comtesse avait plongé un regard provocateur dans celui du lieutenant qui se réjouit intérieurement du tour que prenait la conversation. Elle vida sa deuxième coupe, se dirigea vers la porte qu’elle ferma ostensiblement à double tour et revint s’asseoir devant Pont-Valin. Le lieutenant, la gorge sèche, constata que les joues de la comtesse s’étaient colorées et que son regard pétillait.

Pendant quelques instants s’installa un face à face silencieux durant lequel chacun paraissait jauger l’autre. Puis bientôt la jeune femme murmura sur le ton de la confidence :



Elle s’arrêta de parler un instant et observa Pont-Valin pour s’assurer qu’il avait bien compris. Puis, la bouche légèrement entrouverte, le souffle court, elle avoua à voix basse :



Elle approcha son cabriolet de celui du louvetier et se rassit, les jambes légèrement écartées.



Pont-Valin n’était point homme à refuser pareil service et obéit à la demande impérieuse.



En homme galant, le lieutenant activa habilement ses doigts sous les robes de la comtesse.



Le louvetier sentit la jeune femme se pâmer sous ses doigts et attendit poliment qu’elle reprenne ses esprits.



Amusée, la comtesse examina plus attentivement le visage du lieutenant.



Elle se redressa, légèrement grisée, les joues en feu.



La comtesse s’agenouilla devant Pont-Valin et dégagea son haut-de-chausse.



Le lieutenant fut rassuré.



La tête renversée, il se laissa manipuler et sentit bientôt la bouche chaude de la jeune femme se refermer sur son gland et le sucer.

Au bout d’un moment, la comtesse, haletante, s’arrêta pour contempler le résultat de ses manœuvres.



La comtesse se déshabilla rapidement et s’allongea sur le lit.



Elle rit.



Le grand-louvetier retira complètement son haut-de-chausse, s’approcha du lit, la verge bien raide et examina avec gourmandise la jeune comtesse jambes écartées, prête à subir ses assauts.



Le lieutenant plongea alors sa tête dans l’entrejambe de la jeune femme et mit sa langue en action.



Pendant plusieurs minutes, le lieutenant ne cessa pas d’agacer le clitoris de Constance, lui arrachant des jouissances à répétition.



Le louvetier s’exécuta immédiatement et dans l’action qu’il avait entreprise son nez se retrouva à l’endroit où sa langue se trouvait précédemment.



La jeune femme branla à nouveau le louvetier et lui soupesa les couilles.



Constance sentit alors l’énorme engin du lieutenant s’introduire en elle.



Pont-Valin resta empalé quelques instants jusqu’à la garde. Puis il commença des mouvements de va-et-vient lentement, très lentement. Mais la comtesse s’impatienta.



Le louvetier, fouetté par l’ordre impérieux, s’exécuta sur-le-champ et commença à besogner rudement la jeune femme qui, secouée par les furieux coups de boutoir, ne cessait de crier de plaisir. Il sentit bientôt qu’il allait jouir et, comme promis, se retira, en se vidant copieusement sur le ventre et les seins de Constance.



Les yeux cernés, Constance se retourna sur le vit du lieutenant qu’elle entreprit de lécher délicatement.



Puis elle reprit, mutine :



La comtesse éclata de rire.



La comtesse éclata de rire à nouveau.



Le louvetier claqua les talons, s’inclina et prit congé. Constance resta allongée encore un moment en jouant rêveusement avec son doigt sur le sperme étalé sur son ventre. Elle entendit quelques instants plus tard les gémissements de plaisir de sa soubrette en provenance de l’office qui ne laissaient aucun doute sur ce qu’il s’y passait. Elle sourit et pensa que décidément l’arrivée de ce lieutenant de louveterie était une bien bonne chose pour la province du Gévaudan.