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Temps de lecture estimé : 21 mn
03/05/19
corrigé 06/06/21
Résumé:  Cette année, c'est Armelle qui organise leur anniversaire de mariage. Pas de Relais-Château, leur confort et leur ambiance convenue. Autre chose...
Critères:  fh ffh cadeau anniversai amour intermast fellation cunnilingu pénétratio échange jeu confession -couple+f
Auteur : Faustine      

Série : Dix années de bonheur demandent une célébration particulière

Chapitre 01 / 03
Sophie



Voilà comment quinze jours plus tard, je me retrouve les yeux bandés dans une voiture que ma femme conduit. Heureusement il fait nuit, sinon les voisins pourraient se demander si je me fais kidnapper !



On ne roule pas longtemps. J’ai même l’impression qu’elle fait des détours pour me faire perdre le sens de l’orientation.

On arrive. Le bruit change. On a dû entrer dans un parking souterrain.



Cela fait un drôle d’effet d’être aveugle même si on sait que ce n’est que provisoire.

Une porte. Un ascenseur. Ciel ou allons-nous ? Un palier, enfin je crois. À nouveau une porte. Ouverte puis refermée. Le silence est prenant. Ce n’est pas un resto ou même un hôtel, il y aurait plus de bruit. Encore quelques pas et elle me fait asseoir.



Tout me paraît étrange. Ce n’est pas du tout le genre de ma femme de se lancer dans ce type d’aventure.

Je sais ce que la plupart d’entre vous pensent de ce jeu de piste : après tout nous sommes sur un site érotique et le mec ne va pas nous raconter un truc à l’eau de rose, un truc du genre : « On lui enlève le bandeau et il découvre toute une foule d’amis, de parents et d’autres personnes que sa femme a convoqués pour cet anniversaire mémorable ! »


C’est un peu comme moi qui suis un lecteur assidu de Revebebe. Lecteur et auteur.


La seule idée que j’ai, mais elle est tout à fait inversée, c’est un mari qui aveugle son épouse pour lui proposer une expérience sexuelle inédite. Je ne sais pas si des femmes le font pour leur mari, mais une chose est sûre, je ne vois pas la mienne me faire ce genre de proposition.



Vous ?


Le « Vous » m’étonne, mais je ne réagis pas. Je fais juste ce qu’Armelle me demande, j’enlève le bandeau.

C’est un bureau. Je suis assis d’un côté, elle est de l’autre. Elle tient un papier à la main. Manifestement elle s’est changée. Je l’ai vue en robe, élégante, comme prête pour une soirée, je la retrouve portant une blouse blanche, genre blouse médicale et… je sais. Je sais où nous sommes. Dans un cabinet de kiné. Plus exactement le cabinet de Sophie, cabinet qu’elle partage avec d’autres. J’y étais, il y a moins d’une semaine pour un massage et rééducation.



Elle paraît sérieuse. Mais pourquoi cette mise en scène ? Quel rapport avec notre anniversaire ? Elle a décidé d’innover, manifestement. Un jeu de rôle ? Pourquoi pas !



Une pensée me perturbe : « Et si… ! »



Merde. Sophie a parlé à ma femme. C’est évident. D’ailleurs si elle a parlé de Thaïlande, c’est une preuve de plus. La Thaïlande où, tous les quatre, nous avons été en vacances……




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Sophie est l’amie de ma femme depuis la nuit des temps. Elles ont même commencé ensemble des études de kiné, qu’Armelle a abandonnées en première année alors que son amie continuait en ostéopathie.


Ce dernier mois, je suis venu plusieurs fois ici pour une série de traitements. Douleurs lombaires ! Qui ne connaît pas ? Ce n’était pas la première fois que je venais et, avant, jamais rien ne s’était passé, mais les choses avaient changé et je crois savoir pourquoi.


Nous étions presque inséparables. Amis et complices. Je sais ce que certains pensent déjà. Complices ! Deux couples libertins ? Échangismes juste entre eux ? Infidèles ? L’auteur avec Sophie ou Armelle avec le mari de sa copine ?


Non ! Non ! Rien de cela. Une complicité, une amitié, pas plus. Jamais je n’aurais osé avec Sophie. D’ailleurs je n’ose avec personne. Je fais partie des 60% d’hommes qui sont fidèles et je mettrais ma tête à couper que c’est la même chose pour ma femme. Malheureusement, je n’en dirais pas autant du mari de Sophie. Il l’a quittée. Sans prévenir ou presque ! Parti sans laisser d’adresse !



Et nous en étions restés là. Sauf qu’il avait fallu consoler Sophie. Du coup, on s’était encore plus vu qu’avant. Mais elle reprenait le dessus.




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Mais lorsque j’ai commencé cette série de massage, manipulation et gym pour cette satanée douleur, je me suis surpris à regarder ma masseuse sous un jour nouveau. Un jour, alors que je me laissais aller à ces lents massages, massages préparatoires à des manipulations, mon esprit vagabondait.


Et si son mari n’avait pas menti ? Si Sophie avait vraiment couché avec un autre homme ? Avaient-ils fait cela devant les autres ou chacun dans son coin ? Avait-elle vraiment apprécié ?

Et s’il avait parlé à ma femme pensant que la sienne était d’accord ?


Bref, toutes ces pensées ont déclenché une érection que Sophie n’a pas pu ne pas voir alors qu’elle se plaquait contre moi, un bras derrière mon épaule, l’autre au creux des reins, pour replacer je ne sais quels muscle ou vertèbre.


Quand elle m’a relâché et constaté de visu que mon slip montrait une bosse coupable, elle a souri et dit :



Je n’ai pu dire qu’un :



De toute façon, quoi que je dise, je ne pouvais que m’enfoncer.


Et cette allusion à la Thaïlande n’a fait que renforcer mon désir. On était parti tous les quatre et avions décidé de se faire un salon de massage. Par provocation, on s’était séparés. Les hommes d’un côté, les femmes de l’autre. Je m’étais toujours demandé si nos épouses avaient eu droit aussi à une finition comme nous les hommes l’avions demandé. Parfois j’imaginais Armelle, les cuisses ouvertes avec une masseuse experte qui savait comment extirper des soupirs qui ne pouvaient être que de plaisir. Et Sophie ?


Voilà de ces pensées qui, chaque fois, déclenchaient une érection que Sophie s’évertuait à ne plus souligner. Moi, à chaque fois, après, je disais toujours :



Et elle me répondait :





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C’était une évidence ! Sophie avait fini par en parler à Armelle. Ma femme ne m’avait fait aucun reproche, mais utilisait cet incident pour pimenter notre anniversaire de mariage. La coquine !


Oui, la coquine, car je vois bien que les boutons de sa blouse ne sont pas tous attachés et que le haut de ses lobes émerge.



Elle veut jouer ! Délicieuse idée ! En plus, dans ce salon ! Qu’a-t-elle dit à Sophie pour avoir les clés ? A-t-elle avoué son intention. Je sais que les femmes sont très proches et se font des confidences, mais à ce point ? Probablement que si, car comment justifier de vouloir utiliser cet endroit ?



Elle se lève. J’avais raison, la blouse ne tient que par deux boutons. Le bas est aussi dégagé que le haut.

Elle me précède. Dieu qu’elle est sexy avec ce tissu qui n’a pourtant rien d’érotique.

Je me déshabille sous son regard. Elle me détaille.

Elle tire une bande de papier sur la large table.



Je n’ai plus que la vision du sol.

Armelle commence à me masser en silence. Elle a des souvenirs de sa première année d’étude de kiné. Elle retrouve très vite les gestes et je pourrais croire que c’est Sophie. Mais au bout d’un moment, alors qu’elle s’est attardée au creux des reins, tout en tirant sur l’élastique de mon slip, elle dit :



En réalité, c’est elle qui l’enlève. Je n’ai qu’à me soulever pour que je voie apparaître mon slip sur le sol.


La table descend. Mais c’est un autre vêtement que je vois rejoindre mon slip ; sa blouse. Ainsi si mon hypothèse est juste et qu’elle ne porte rien dessous, Armelle est nue. Nue comme moi sur cette table.

Un mouvement.


Je sens qu’elle monte sur la table maintenant très basse.

Je sens qu’elle s’assoit sur mes jambes.

Je sens ses mains sur mes cuisses. Des mains qui montent pour me caresser les fesses. Les fesses, mais aussi qui s’insinuent dans mon sillon et qui jouent avec mon petit trou. Ma femme sait combien je suis sensible de cet endroit. Son pouce me masse. Souvent elle m’y glisse un doigt pour me masser l’intérieur. Cela amplifie toujours mon érection. Mais pour l’instant, elle ne fait que masser.

Depuis que j’ai vu tomber la blouse, je bande vraiment.



Oh que oui, Madame, je vais me tourner ! C’est la première fois que nous jouons un jeu de rôle sexuel.

Elle est belle. Elle s’est juste soulevée pour que je puisse pivoter. Son regard fixe ma verge qui apparaît en majesté.



Elle se penche vers moi. Sa main se saisit de ma verge tendue, mais allongée sur mon pubis. Elle en fait un mat qui se dresse.



Sa tête se penche. Son visage est au plus près. Sa langue pointe et touche mon gland. Je tressaille. Ses lèvres s’ouvrent. Elle me gobe. Combien de fois l’ai-je vue me sucer ? Combien de fois ai-je été étonné de voir ma bite disparaître dans cette gorge qui ne parlait pas spéciale, mais qui sait tout de même me prendre en grande partie ?


Mais elle ne fait que me sucer. Pas de gâterie totale. Juste une fellation de mise en forme. Elle n’a pas l’intention de me faire me vider dans sa bouche, non, elle a un autre objectif.


Déjà, elle se redresse ne conservant ma queue que délicatement entre deux doigts. Elle rampe le long de mes jambes. À mesure qu’elle monte vers moi, ses cuisses s’écartent me montrant sa fente et ses lèvres bombées que j’aime tant. Ah ces vallons que j’adore. Vision parfaite lorsqu’elle me tourne le dos pour que je la prenne en levrette ou autrement, mais dans une position qui fait se détacher ses deux collines qui surplombent sa fente humide.


Elle est sur moi.

Juste une montée pour que mon mandrin trouve la fente.

Juste une lente descente afin qu’il disparaisse avec facilité où la salive doit se mélanger à son humidité. Elle doit être humide, excitée par sa propre mise en scène.

Juste une oscillation.

Puis une autre…

Puis une autre


Cette façon d’onduler d’avant en arrière sur ma queue prisonnière est un mouvement parfait. Souvent, à la maison, dans l’intimité de notre chambre, le miroir de l’armoire a la bonté, surtout si une main prévoyante a laissé la porte entrouverte, de montrer une vision latérale. Cette main prévoyante peut être masculine ou féminine. Il y a longtemps que nous avons abandonné toute pudeur lorsque nous baisons. Et Armelle n’est pas la dernière à nous regarder dans ces moments-là. Je pense même que de se voir lorsqu’elle me chevauche l’excite et qu’elle admire sa propre perfection dans ce mouvement.


Elle ondule et m’offre sa poitrine afin que mes mains en fassent une scène de jeux. Ses seins sont petits et fermes. Petits, mais avec assez de rondeurs pour que mes mains les enveloppent. Et ce qu’elle attend, ce que je fais exprès de faire durer, c’est lorsque je saisis ses tétons pour les tordre. Pendant ce temps, elle se caresse le clito.


Mécanique et mouvement bien réglés, répétés des centaines de fois, mais jamais avec lassitude. Au contraire. Il ne suffit de presque rien pour renouveler ce plaisir. Ce soir, sur une table de massage. Un jour sur le siège arrière de la voiture. Sur la table basse du salon. Sur celle, plus périlleuse de la cuisine. Dans la baignoire. Une fois nous l’avons même fait dans un escalier, moi, assis, la bite bien dressée, elle me tournant le dos s’asseyant sur mon mandrin.


Elle accélère. C’est bon. Son envie est évidente. Son excitation est palpable.


Alors elle se penche en avant, s’appuie sur les bras et se déplace pour quitter la position assise afin de s’accroupir. Son ventre est parallèle au mien, mais l’espace est suffisant pour que je voie parfaitement ma queue sur laquelle elle s’accroupit. Vu dans le miroir, cette façon qu’elle a de se posséder ainsi est assez déroutante, car presque sauvage, bestiale. Les cuisses écartées, tout son bassin descend et remonte. Cela doit être fatigant, mais sa résistance est totale. Elle ne peut plus se caresser le petit bouton, mais placée ainsi, il est à ma portée et je me fais un plaisir de le masser. Je sens mes doigts sur ma bite.


Elle accélère. Le mat sur lequel elle s’enfile est si dur, si sensible, le gland totalement découvert et frottant délicieusement que je sens…



Merci, mon Dieu, elle a joui juste avant que je crache ma purée. Déjà je vois des traînées de mon foutre que la position ne permet pas de garder en elle. Qu’importe, c’est encore plus pervers de voir ces coulures blanchâtres s’échapper de son vagin.




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Mais je n’ai qu’une pensée. Je continue :



Elle rit.



Un long silence. Et puis elle reprend :



Je commence à deviner où elle veut en venir.



Elle rit.



Elle quitte la pièce, mais c’est pour revenir peu après. Elle n’est plus seule. Sophie l’accompagne.



Je suis sur le cul. Je ne m’attendais pas à ça. Déjà que ma femme me propose de coucher avec son amie. En plus, que ce soit elle qui l’amène. Si vite ! Elle avait déjà tout organisé. Pour elle, c’était une évidence que j’accepterais. D’ailleurs quel homme refuserait ce cadeau.


La porte se referme.



Je descends de la table. Elle fait les quelques pas qui nous séparent. C’est tout simplement que je l’enlace. Elle se love dans mes bras. Je l’embrasse. Nos lèvres se trouvent, nos langues font connaissance. La blouse qu’elle porte n’est pas plus boutonnée que celle d’Armelle il y a… un siècle… une éternité… Le contenant est identique, mais le contenu diffère. Sophie est généreuse. J’ai déjà vu sa poitrine sur la plage où les femmes se font bronzer en monokini. Les hanches aussi sont enveloppées. La blouse va rejoindre l’autre au sol.


Mon Dieu qui aurait pensé ? Déjà je rebande. Elle ne peut ignorer mon hommage. Nous nous caressons. Elle me branle doucement. Je pénètre son minou pour constater que son désir est évident.

Je la pousse contre la table. Je l’aide à s’asseoir. Non je ne vais pas la masser, j’en serais bien incapable, mais je sais faire autre chose. Je m’engouffre entre ses cuisses. Elle s’ouvre. Son minou est tout son contraire, délicat, ciselé, les vallons sont à peine marqués.



Il ne m’en faut pas plus. Pas de longue phrase. Juste ce « Ohhh » qu’un souffle expulse lorsque je pose mes lèvres sur son minou. Je ne connais que ma femme. Enfin je veux dire depuis que je suis marié. Avant, bien entendu, j’ai connu d’autres femmes. D’autres filles, je devrais dire, car nous avions moins de vingt ans. J’étais moins prévenant, moins attentif au plaisir féminin, un peu ignare aussi sur le sexe et la sexualité féminine. Les temps ont changé, car maintenant on parle partout de l’orgasme féminin, de l’anatomie, des pourcentages d’adultères, des pourcentages de sodomie, des pourcentages sur… sur tout.


Mais rien de vaut une longue pratique. Une épouse qui vous guide. Elle vous guide par ses gémissements, mais aussi par ses « Oui, là, là ! » et ses « Encore, encore » et aussi par ses mains qui se posent sur votre tête pour vous bloquer et que vous la conduisiez dans ce moment où elle semble s’évanouir, qu’elle vous étouffe en vous plaquant, en vous serrant entre ses cuisses tétanisées.


C’est une fente précieuse, délicate, avec ses petites lèvres qui ondulent, voiles que mes lèvres et ma langue font vibrer.

De longues glissades de ma langue qui part de son petit trou, c’est une caresse qu’Armelle m’a apprise, jusqu’au croisement avec ce renflement presque anormal dans tant de délicatesse. Une mini bosse qui semble se développer à chaque fois que je reviens vers elle. Un bourgeon qui déclenche aussitôt des soupirs de Sophie. Sophie, là-haut, si lointaine, mais qui s’est ouverte en posant ses cuisses sur mes épaules.


Je glisse un, puis deux, puis trois doigts dans cette grotte tout ouverte. Je l’astique sans rien faire d’autre, spectateur attentif de mes caresses et des résultats. Et puis je ne garde que deux doigts que je courbe afin qu’ils viennent appuyer au dos de ce bourgeon de chair. Mes douces pressions provoquent comme une croissance. Du bourgeon semble pointer une tige. Je ne peux me retenir d’aller le caresser avec ma langue.



La réaction est immédiate. Sophie gémit. J’aspire ce morceau de chair. Rien à voir avec le clito d’Armelle sur qui mes caresses, si elles déclenchent des orgasmes puissants, le laissent timide, alors que là, je sens la petite tige. Je l’aspire, je la pompe et très vite Sophie jouit. Je ne peux en douter au cri qu’elle pousse, à ses cuisses qui se referment sur moi, mais surtout à ce jus que mes doigts découvrent.


Quelques secondes et je me redresse. Elle a les yeux fermés, encore plongée dans son plaisir. Mais elle les ouvre alors que je place mon gland contre sa fente, que je le frotte pour bien lui faire sentir et l’imprégner de ma salive et des sucs de la femelle. Je pousse. Les voiles s’entrouvrent et je m’enfonce dans cette grotte déjà inondée.


Je suis dur. Particulièrement dur. Mon excitation est évidente. Alors que mon ventre heurte le sien, ma bite enfoncée jusqu’à la garde, je ne peux m’empêcher de penser à l’étrangeté de la situation. Je baise la meilleure copine de ma femme. J’en avais envie, mon inconscient le criait en provoquant ces érections. Il est évident que de l’imaginer en libertine avait changé ma façon de la voir. Mais, non seulement je la baise, mais c’est sur une demande de ma femme. Et elle, ma femme, Armelle est dans la pièce d’à côté. Elle ne peut pas ne pas avoir entendu les gémissements de Sophie ainsi que son cri de jouissance. Que pense-t-elle. Est-elle jalouse même si c’est à sa demande que je fais jouir son amie. Est-elle fière de moi, fière de son mari, capable de donner ce plaisir ?


Je ne sais pas. Ce que je sais c’est que ce sont les cuisses de Sophie qui se referment sur moi, comme si elle avait peur que je ne continue pas. Oh que si ma belle. Si je ne suis pas ton premier amant, le partenaire de votre échange d’un soir ayant eu la primauté, j’ai bien l’intention de te laisser un souvenir impérissable.


Je la bourre. Je la baise si fort qu’elle est obligée de s’agripper au bord de la table. Nos chairs claquent et résonnent dans la pièce. Encore un bruit qu’Armelle ne peut que reconnaître. Le clapotis de ma queue qui brasse est plus intime, plus personnel et si excitant.


Sophie me regarde. Son regard m’encourage, m’invite.


Tu vas voir ma belle, je vais te ramoner longuement et… et je comprends pourquoi Armelle m’a chevauché. Après tout, elle aurait pu me mettre sa copine dans les pattes bien plus tôt. Mais elle avait pensé à tout, tout organisé dans les moindres détails. D’accord cette chevauchée voulait être une mise en bouche et le rappel qu’elle est « la femme et l’épouse » de celui qu’elle va partager. Mais aussi, et cela ne m’étonnerait pas de la « cochonne experte » qui sommeille en elle, de me « livrer » à sa copine ayant déchargé mon foutre une première fois.


Je dois reconnaître que, depuis toujours, j’ai du mal à « tenir » longtemps pour une première baise. J’envie ces hommes qui savent ou, tout simplement, sont par nature capables de résister aussi longtemps que nécessaire avant de gicler. La nature est mal faite. Je ne suis pas un éjaculateur précoce, mais c’est meilleur la seconde fois.


C’est bon. Merci à toi, Chérie, de ce cadeau que tu as eu en plus la délicatesse de présenter comme un service à rendre. Le service est compris !


Sophie gémit et c’est bon. Ses yeux se troublent, mais elle met un point d’honneur à me fixer. Pourtant elle semble différente. Son regard n’est plus rivé sur mon visage, mais il semble ailleurs. Elle semble suivre…

L’ombre prend consistance. C’est ma femme. Armelle est là, à côté de moi.



Elle se fait cajoleuse, comme lorsqu’elle veut se faire pardonner quelque chose. Sa moue la rajeunit, lui fait prendre l’apparence de la jeune femme que j’ai connue. Cette timidité qui cachait cependant un tempérament bien trempé. Mais la timide, enfin celle qu’elle veut paraître, est aussi nue que nous. Elle est restée « dans son jus » et cela ne semble pas la déranger.



Elle a raison, sa présence m’avait interrompu.

Machinalement je reprends. C’est une drôle de sensation. L’impression de passer un examen. Baiser une femme et être jugé aussi par son épouse. Je vois bien qu’elle regarde ma queue entrer et sortir de cette chatte étrangère. Mais aussi, elle semble troublée. On dirait qu’elle hésite.


Elle pose une main délicate sur le ventre de Sophie. En me fixant, on pourrait croire qu’elle cherche mon autorisation. Comme si j’étais en mesure d’accepter ou de refuser quoique ce soit d’elle et de Sophie. Du moment qu’on ne m’enlève pas ce plaisir de baiser cette grotte dont j’ai tant rêvé.


Mais la main est suivie par l’autre. Armelle fait même un pas pour se rapprocher de la table. Ce sont des mains qui bougent, qui cherchent, découvrent. L’une descend vers le pubis, l’autre enveloppe un sein. Je me redresse un peu pour suivre le cheminement de celle qui vient vers moi. Elle connaît les lieux. Elle sait où caresser. Même ma bite en profite. C’est délicieux. Souvent Armelle se caresse le clito lorsque je la prends. Ici, c’est celui de son amie. Mais en même temps, elle se penche pour embrasser un sein, sucer un téton, caresser l’autre. Nous voici deux amants de Sophie. Loin de protester, elle gémit. Mais ses gémissements sont vite étouffés par les lèvres de ma femme.


Merde ! c’est dingue les deux femmes s’embrassent. Un long baiser. Je continue mon doux labeur, mais plus lentement, ne voulant pas détruire cette sorte d’harmonie entre les femmes.



Ce n’est pas Sophie qui exprime un plaisir. C’est ma femme. Elle s’est redressée et tout en gardant les deux mains sur son amie, elle se cambre un peu. Je découvre que Sophie n’est pas restée inactive et qu’elle a profité de ma baise plus calme pour utiliser sa main en caressant le minou d’Armelle. C’est fou, les deux femmes se rendent leurs caresses. Chacune joue avec le minou de l’autre.


C’est délicieusement pervers. Décidément, cette soirée est hors norme. Mais qui s’en plaindrait. Ni moi ni elles. Trio improvisé.



C’est si faible que j’ai pensé mal comprendre ce que Sophie vient de dire. Ce n’est pas à moi qu’elle s’adresse, mais à mon épouse.

Quel drôle de question. Que vient-elle faire ici sauf que le « Bien sûr » de la réponse confirme bien son existence.


Souvenir ? Julien ? De quoi parlent-elles. Quel Julien ? Je n’en connais aucun. Mais manifestement les deux amies, si !


Je vais parler, mais je vois ma femme se déplacer. Elle avance le long de la table, monte dessus, se retrouve comme tout à l’heure, cavalière, mais sans monture. Mais elle avance et bien vite se retrouve sur le visage de sa copine.


Je comprends évidemment ce qui se passe. Armelle donne sa fente à lécher. Et le soupir qu’elle expulse aussitôt confirme que sa copine s’en occupe.

Encore une fois je me suis arrêté de labourer celle qui maintenant bouffe la chatte de ma femme.



Elle en a de bonnes ! Chaque seconde, je découvre de nouvelles choses. J’ai été « vanté » par ma propre femme auprès de son amie ! En plus, je vois celle que je suis censé faire grimper aux rideaux gouiner ma propre femme.


Nous voici face à face, donnant et recevant du plaisir.

C’est comme dans un rêve. Une plongée dans une vidéo érotique.


Je laboure à nouveau. Ma femme se fait gouiner et caresse les seins de celle qu’elle chevauche. Chacune joue avec les seins de l’autre. Les bras se croisent. Les tétons hurlent de douleur et de plaisir. Moi, je baise et j’apporte aussi ma contribution en caressant d’un pouce oscillant le clitoris tendu de ma maîtresse.

« Retiens-toi ! Retiens-toi ! », me crie une petite voix dans ma tête. « Attends qu’elle jouisse ». Elle ajoute, mais aussi se faisant vicieuse, précise : « Attend qu’elles jouissent ».


Merci mon Dieu. Il n’y a pas que moi qui suis excité. Les deux femelles aussi. Enfin leurs gémissements, enfin surtout ceux d’Armelle, car ceux de Sophie sont étouffés par de douces chairs.


Je me vide. C’est bon. Ma queue reste dure assez longtemps pour que je brasse avec délice mon foutre, déclenchant un bruit délicieux que le soudain silence de la pièce rend audible pour tous et toutes.

« Tu vois, ma Chérie, j’ai faits comme tu as dit ! » je pense, en mon for intérieur.




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Le « si ce n’est pas très indiscret » est dit sur un ton qui demande une réponse et qui n’envisage pas de se laisser balader par une réponse bateau.


J’ai attendu que nous soyons dans la voiture pour poser la question qui me taraude depuis que la pression est retombée et que nous nous soyons quittés d’avec Sophie, tous un peu gênés par ce que nous venions de faire.



À suivre