n° 19007 | Fiche technique | 22741 caractères | 22741Temps de lecture estimé : 14 mn | 29/05/19 corrigé 06/06/21 |
Résumé: Une jeune marocaine, musulmane pratiquante, devient le jouet d'un black vicieux qui pourrait être son père. | ||||
Critères: fh hplusag hagé jeunes couleurs groscul fsoumise hdomine nopéné jeu init -fsoumisah | ||||
Auteur : HouriaBenSalem Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Amitié suspecte Chapitre 01 | Épisode suivant |
Victor Nguini était sorti tôt ce matin. Il faisait beau sur Nanterre ce jour-là et il avait décidé de faire sa petite promenade matinale un peu plus tôt que d’habitude. Le Camerounais avait beau avoir atteint l’âge respectable de cinquante-six ans, il prenait sa santé au sérieux et, outre la natation et le football qu’il pratiquait régulièrement avec ses potes, il marchait ses cinq kilomètres, quel que soit le temps. Ça ne l’empêchait pas d’arborer un petit ventre, mais du haut de son mètre quatre-vingt-dix et de ses quatre-vingt-dix-huit kilos, il respirait la virilité et l’assurance.
Le sport, il avait du temps pour ça. Malin, il avait très tôt senti venir le boom de l’immobilier et avait mis toutes ses économies dans l’achat de quelques appartements sur la région parisienne qui maintenant lui rapportait plusieurs milliers d’euros en revenu locatif…
Outre le sport, ses deux autres occupations étaient la photographie et les femmes, pas toujours dans cet ordre et parfois les deux en même temps. Il s’était aménagé un petit studio à l’étage de son pavillon et aimait prendre en photo ses modèles qui parfois d’ailleurs finissaient dans son lit…
Victor était veuf, sa femme était morte en donnant naissance à leur fils unique. Il avait donc un fils, André qui venait de fêter ses dix-huit ans… Ils s’entendaient comme chien et chat. Le jeune homme était étudiant en première, mais il ne fallait pas avoir fait Sciences-Po pour comprendre que les études n’étaient pas faites pour lui… ce qui l’intéressait, c’était faire la fête et traîner dans le quartier avec ses potes à faire les 400 coups.
Ce matin, le patriarche africain, en rentrant chez lui, croisa sa voisine Nisrine. Pour être précis, il s’agissait de la fille de sa voisine. La mère se nommait Jamila et outre Nisrine, elle avait également un fils de vingt ans, Karim. Victor était ami avec Moustafa, le mari de Jamila. La famille Benali occupait le pavillon voisin. Moustafa était doué pour le bricolage et de temps en temps venait donner un coup de main à son voisin camerounais quand ce dernier faisait des travaux chez lui.
Les Benali étaient marocains. Installés en France de longue date, mais étaient restés très conservateurs ce qui créait des discussions assez compliquées entre les deux hommes quand ils en venaient à comparer leurs modes de vie respectifs. Si les Nguini étaient très ouverts quant à leurs mœurs… que ce soit l’alcool ou le sexe, l’alcool était interdit chez les Benali et le sexe, tabou. Tant Jamila que Nisrine ne sortaient jamais sans leur voile sur la tête et évitaient scrupuleusement de parler aux hommes qu’elles ne connaissaient pas. Elles faisaient une exception pour Victor, leur voisin, vu son âge et surtout parce que son amitié avec Abdeslam faisait que ce dernier arrivait à le tolérer auprès de ses femmes.
Nisrine sortait de chez elle au moment où Victor revenait chez lui. Elle était de dos, refermant soigneusement la porte du pavillon et Victor ne put s’empêcher de laisser son regard s’attarder sur le joli derrière de la jeune Marocaine. Elle portait bien sûr son éternel voile, mais la djellaba qu’elle portait laissait, une fois n’est pas coutume, clairement apparaître ses formes ondulées. Il avait remarqué depuis longtemps qu’elle semblait avoir de petits seins, mais ça ne le dérangeait pas, ce qu’elle n’avait pas au niveau nichons, Nisrine le compensait par un cul bien large et rebondi. Victor se disait qu’il se la ferait bien s’il en avait l’occasion… Ces petites Maghrébines sont chaudes comme la braise… entre le cul de la fille et les nibards de la mère y aurait de quoi s’amuser, pensa-t-il avant de ressortir son plus beau sourire et de lancer :
Quelques minutes plus tard, ils étaient en route à bord de la Mercedes de Victor…
Victor fit mine de s’intéresser au problème de la jeune fille assise à côté de lui :
La discussion continua jusqu’à l’arrivée devant les bureaux où Nisrine devait passer son rendez-vous. Nisrine remercia Victor et lui fit promettre de ne pas dire à son père qu’elle l’avait utilisé comme chauffeur.
Victor se mit à rire et lui fit la promesse, elle lui tendit la main pour lui dire au revoir et il s’empressa de la serrer, son regard plongé dans ceux de la belle Marocaine. Il mit du temps avant de la relâcher. Il voulait ainsi qu’inconsciemment, son statut de mâle dominant s’imprègne dans la tête de la belle. Une vieille ruse qu’il avait apprise de ses aînés quand il courrait encore, jeune ado, dans les rues de Yaoundé.
Et lui fit un petit clin d’œil. Nisrine en fut troublé, rougit un peu, mais ne prit pas mal cet accès soudain d’attention.
Elle prit le petit bout de papier et le remercia de nouveau avant de s’enfuir vers la porte tournante de l’immeuble administratif.
La réunion se passa mal… Elle avait perdu ses indemnités de chômage et il était hors de question qu’elle les récupère de sitôt. Le message que la garce qui l’avait reçue dans son bureau aujourd’hui était clair.
Comment annoncer ça à ses parents ? Ils allaient être dégoûtés. Cet argent, c’était pratiquement la moitié des rentrées mensuelles. Karim ne travaillait pas non plus. Ça faisait quatre bouches à nourrir et son papa allait piquer une crise quand elle lui dirait.
Nisrine était désemparée. La vie pour elle était déjà difficile. Elle se retrouvait là, à vingt-deux ans, à vivre chez ses parents sans perspective autre que de se trouver un mari ou plutôt qu’on lui trouve un mari. Son quotidien était fait de tâches ménagères et de télévision. Ses parents n’aimaient pas la voir sortir trop souvent et ils étaient très contents que leur fille ait arrêté l’école à seize ans. Avec ces jeunes ados aux hormones bouillonnantes… Nisrine serait beaucoup mieux entre quatre murs, loin de toute tentation. Ils avaient décidé qu’elle arriverait vierge au mariage et ils feraient tout pour que cela se passe ainsi.
Maintenant se rajoutait ce problème d’argent. Son père la tuerait, même si elle n’était pas du tout responsable… après tout, c’est lui qui voulait qu’elle reste à la maison et si Nisrine était musulmane pratiquante, elle se disait que s’il le fallait, elle pourrait enlever son voile si ça lui permettait de mieux gagner sa vie. Mais non, ses parents ne voulaient rien entendre. C’était donc leur faute, se dit-elle, mais cela ne changerait rien à l’affaire… c’est elle qu’on tiendra pour coupable.
Elle avait envie de pleurer.
Son smartphone entra dans son champ de vision et elle repensa au petit papier que Monsieur Victor lui avait donné plus tôt ce matin. Elle avait passé un bon moment à discuter avec lui et elle en avait été très contente. Papoter, se confier, c’était quelque chose qu’elle n’avait pas l’habitude de faire très souvent et ça lui avait fait du bien de lâcher un peu tout ce qu’elle avait retenu en elle depuis si longtemps.
Et si je l’appelais, se dit-elle, tiraillée entre sa timidité quasi maladive et l’envie de réconfort, elle hésita un moment avant de se décider… 21 h, il ne doit pas encore dormir, pensa-t-elle.
Nisrine avait du mal à se lâcher et sentait les larmes remonter dans ses yeux…
Il entendait les sanglots de la jeune fille et tenta de la réconforter :
Ses larmes avaient disparu et enfin elle eut l’impression que la vie lui souriait… un peu… ça serait leur secret. Elle mettrait sa mère dans la confidence, mais Nisrine savait que Jamila avait monsieur Victor en haute estime, si seulement elle savait…
Nisrine mit au courant sa mère dès le lendemain matin de la perte de son chômage et comme elle s’y attendait, Jamila faillit s’effondrer. Elle se sentit mieux quand elle entendit les détails de l’arrangement que sa fille avait pris avec leur voisin. Elle l’avait en estime depuis longtemps, toujours poli et serviable avec elle et maintenant qu’il leur sauvait pratiquement la vie… Jamila se sentait infiniment redevable vis-à-vis de ce cher Victor.
Jamila ne pouvait s’empêcher de stresser. Elle n’aimait pas mentir à son mari, mais elle avait appris que chez les Maghrébines, toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire à un mari colérique et qu’une femme devait parfois s’accommoder de la vérité pour arriver à son but…
Tout se passa bien. Nisrine rentra par la porte du jardin comme convenu pour que personne ne la voie et Victor lui fit faire un tour de la maison. Elle devra s’occuper de toutes les chambres sauf celle d’André qui ne voulait surtout pas qu’on touche à ses affaires… Ceci arrangea Nisrine qui n’avait pas du tout envie de découvrir ce que pouvait contenir la chambre du jeune homme.
La découverte continua et une fois à l’étage Victor fit entrer la jeune fille dans le petit studio photo qu’il avait aménagé. Nisrine fut surprise, n’ayant jamais entendu parler du hobby de son voisin et maintenant sauveur. Victor prit le temps de lui expliquer sa passion et de lui détailler son matériel. Il était particulièrement fier de son dernier achat, un appareil photo qui lui avait coûté la peau des fesses, mais qui faisait des clichés quasi professionnels… Il se recula et prit une photo de la jeune Marocaine qui ne s’y attendait pas…
Nisrine n’osa pas protester et regarda l’image qui lui était montrée… C’est vrai qu’elle était belle sur cette photo.
Il prit plusieurs clichés avant de les lui montrer et de lui expliquer ce qu’il faisait avec les jeux de lumière et le travail qu’il faisait sur les ombres.
Nisrine était étonnée par tant de connaissances et, en effet, les photos étaient magnifiques. Elle se trouvait si belle sur ces photos qu’elle se retenait de lui demander d’en faire plus. Il les effacerait de toute façon… elle avait toute confiance en lui.
Nisrine n’eut pas le courage de refuser à cet homme qui avait été si bon pour elle… et puis de toute manière, elle restait « couverte » pendant la séance et elle n’aurait pas de ménage à faire…
Il la fit pauser un peu partout dans la chambre, toujours dans la même tenue, son foulard bien noué sur la tête, une fois près de la fenêtre, la tête posée contre la vitre, la mine pensante, une fois assise dans le fauteuil les bras croisés. Ils enchaînèrent les poses et les clichés pendant près de deux heures sans voir le temps passer… Victor en profita pour mater la jeune Marocaine. Elle était mince et grande, près d’un mètre soixante-quinze jugea-t-il, mais ce qui l’intéressait surtout, c’était son cul qu’il ne se privait pas d’admirer à chaque fois qu’elle posait de dos ou de côté. Sa bouche pulpeuse aussi lui donnait des envies. Il remarqua quelques traces de vernis sur les ongles des mains de la jeune femme et se dit que, malgré ses allures de fille très pratiquante, elle avait aussi un côté coquet qu’il saurait utiliser quand il faudra…
Nisrine était maintenant complètement détendue, elle n’avait pas l’habitude de se donner ainsi en spectacle et commençait à sérieusement y prendre goût. Elle ne s’était jamais trouvée très jolie et qu’un homme mûr puisse la trouver belle et digne de poser pour lui, la rendait fière.
Elle était maintenant assise dans le fauteuil à côté de son photographe de voisin à regarder les clichés qu’il faisait défiler sur son appareil.
L’écran était petit et elle devait littéralement se coller à lui pour bien voir. Victor n’était pas insensible à ce contact involontaire, il sentait sa queue frémir dans son caleçon, mais savait qu’il était trop tôt pour passer à l’action. Comme promis, une fois fini, il supprima toutes les photos prises devant Nisrine.
L’heure était passée si vite qu’elle dut se hâter pour rentrer avant que son père ne soit là. Sa mère lui avait promis de l’avertir sur le téléphone s’il rentrait plus tôt que prévu, mais Nisrine ne voulait pas prendre de risque. Elle s’excusa donc auprès de Victor, non sans le remercier avant. Elle avait passé un agréable après-midi et avait hâte de recommencer.
Il y eut deux séances photo de la même veine cette semaine-là et, comme discuté, à la fin de la semaine Victor donna son premier « salaire » à Nisrine :
Et il tendit à la jeune femme une enveloppe qui contenait les 120 euros pour cette semaine. Nisrine les prit et remercia son nouvel ami. À ce moment-là, Victor, lui tendit un autre billet, de 50 euros cette fois-ci :
Nisrine se savait pas quoi dire, elle savait que si elle essayait de refuser, il s’énerverait et la forcerait à les accepter quand même. Elle ne s’en rendait même pas compte, mais au cours de ces quelques séances photo, elle avait déjà intégré le fait de faire ce qu’il demandait et d’obéir à ses demandes. Les quelques fois où elle avait essayé de se soustraire à ses volontés, il lui avait suffi de froncer les sourcils pour qu’elle obtempère. Des années de soumission à son père lui avaient appris à obéir à la figure paternelle et Victor avait déjà pris cet ascendant sur la belle Marocaine.
Elle baissa alors le regard, toute timide et contente du cadeau que cet homme venait de lui faire.
C’est au moment où elle baissa les yeux qu’il sut que dans pas longtemps, la belle Nisrine serait dans son lit, les cuisses ouvertes à le supplier de la baiser encore et encore. Victor était un homme patient, mais déterminé. Il ne faisait jamais rien pour rien. Bientôt il pourra lui fourrer la chatte de sa grosse queue toute noire et il n’y avait rien que Nisrine puisse y faire.
Elle s’empressa, insouciante, de rentrer donner l’enveloppe à sa mère. Jamila, s’empressa de les cacher avant d’embrasser sa fille.
Elle monta dans sa chambre, arracha son foulard et se jeta sur son lit, le billet de 50 euros dans sa main… Elle était heureuse et c’était grâce à ce cher Monsieur Victor…
Dites-moi si vous voulez connaître la suite, maintenant que le décor est posé.
Houria