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n° 19010Fiche technique12635 caractères12635
Temps de lecture estimé : 9 mn
30/05/19
corrigé 06/06/21
Résumé:  Après avoir renouvelé la garde-robe de Florence, nous rejoignons l'aéroport.
Critères:  fh avion fsoumise exhib intermast -initiat
Auteur : Sergefra  (Bel homme, cultivé, coquin)            Envoi mini-message
Co-auteur : Carla.moore      Envoi mini-message

Série : L'épanouissement des sens

Chapitre 03 / 07
Voyage voyages

Résumé de l’épisode précédent :

Nous sommes allés acheter des vêtements pour Florence, qui a quitté brusquement sa famille. Nous passons par l’hôtel récupérer ma valise avant de nous faire conduire à l’aéroport.



Florence : jolie blonde, mariée, la trentaine.

Paul : bel homme, coquin, la cinquantaine.



__________________________________





Nous sortons de la boutique, je hèle un taxi. En s’asseyant, la courte jupe de Florence remonte assez haut sur ses cuisses. Je pose ma main dessus et après avoir indiqué l’adresse de l’hôtel, j’embrasse Florence qui s’abandonne passionnément à mon baiser. Je caresse sa cuisse, et remonte vers la douce chaleur de leur face interne. Florence joue avec ma langue, explore chaque dent, me mordille les lèvres. Je jette un œil sur la route et surprend le regard du chauffeur dans le rétroviseur. Il semble plus occupé à scruter l’ombre entre les cuisses de Florence que la route qui défile.



Il sursaute, et tourne ses yeux vers moi dans le rétroviseur.



Il regarde maintenant droit devant. Le trafic est assez dense et nous avons le temps d’admirer la ville. Florence a posé sa main sur ma jambe, et je la sens progresser vers le haut, sans quitter le paysage des yeux. Sa main moule maintenant mon sexe à travers l’étoffe. L’effrontée, mine de rien, fait grossir mon sexe par la légère pression qu’elle exerce. Je bande, et elle accentue, sans rien laisser paraître, les vibrations que procure la route, par des mouvements qui les amplifient. Je surprends à nouveau le regard du chauffeur. Je décide de le faire profiter de la sensuelle beauté sauvage de Florence, et remontant ma main sur sa cuisse, je fais glisser sa jupe vers le haut. J’attire son genou vers moi et l’ouvre ainsi largement. Je regarde discrètement le miroir, et surprends le chauffeur se rincer l’œil.


Un coup de klaxon nous ramène à la réalité, la voiture pile, le chauffeur s’excuse. La jupe est remontée encore plus haut et ma main est maintenant entre ses cuisses. Sous le coup Florence crispe la sienne sur mon sexe. Je bande et n’en peux plus. La coquine ! elle va voir ! Je masque son sexe de ma paume et envoie deux doigts en exploration. Elle étouffe un petit cri, le chauffeur sursaute et fixe la scène dans le rétroviseur. Mes doigts jouent avec la chair humide. Je voudrais la prendre là comme ça ; à défaut, je tourne son visage vers le mien, retire mes doigts et les porte à sa bouche. La sensation décuple ma bandaison. Flo les garde en bouche et les suçote, me regardant bien dans les yeux. Elle a gardé les jambes écartées et la jupe bien relevée laisse deviner quelques poils blonds ourlant ses lèvres intimes. Je retire mes doigts, et repose ma main entre ses cuisses, pour prendre sa bouche de la mienne.

La voiture freine et s’arrête.


Nous sommes arrivés.


Le chauffeur me regarde dans le rétroviseur, je retire la main lentement, abandonne la bouche de Florence et porte à la mienne les doigts que je lèche avec application.





  • — Je t’aime, reviens vite.

Paul aime m’exhiber et montrer que je suis sa « chose » aimante. Il m’a appris à apprécier moi aussi. S’il m’a laissé les jambes ouvertes, c’est qu’il veut que je reste ainsi. Le chauffeur de taxi regarde dans le rétro en essayant d’être discret.


  • — C’est à moi qu’il a dit de rester sage, pas à vous ! souris-je

Il se retourne alors pour admirer le tableau, me dit qu’il a déjà vu plein de choses dans son taxi mais que mon petit minou lui plaisait beaucoup. Alors j’écarte, mutine, les lèvres humides de deux doigts et découvre mon bouton.


  • — Profitez maintenant, car je vous trouve très peu concentré sur la route.
  • — Vous voudriez me montrer vos seins.
  • — Un seul, vous savez il ressemble comme un jumeau à l’autre.

Nous rions ensemble.


Je découvre mon téton droit et le caresse, obscène. Je me sens libre. Paul a cette puissance de me faire me découvrir, aller jusqu’au-delà de moi-même, de me diriger sans pour autant m’imposer. Il m’a appris le pouvoir que j’ai sur les hommes… J’en suis là de mes pensées, un doigt sur mon clitoris et une main malaxant ma poitrine lorsque la porte côté trottoir s’ouvre. C’est Chloé !


  • — J’ai appris que vous partiez, je suis venue t’embrasser.

Elle me donne un baiser amoureux.

J’imagine le regard de notre chauffeur….


J’ai apprécié le corps de cette femme cette nuit. Il me semble que nous sommes de vieilles complices.

Paul revient. Pose sa valise dans le coffre, embrasse à son tour à pleine bouche Chloé et s’installe à mes côtés.




Nous repartons vers l’aéroport. Florence très chatte s’est appuyée contre mon épaule. Je vérifie l’horaire du vol et le numéro de nos sièges. J’ai hâte d’être dans l’avion. Nous arrivons, je paye et nous sortons, Florence à mon bras. Nous passons les contrôles. En attendant l’embarquement, nous allons acheter du parfum, Florence a laissé le sien chez elle, et il faut lui en trouver un qui corresponde à sa nouvelle vie à mes côtés. Nous choisissons « une petite robe noire », Florence s’en asperge, et je jouis de l’idée que seule cette fragrance en habille la peau sous sa jupe courte, mais sage.


Le vol embarque, nous nous asseyons. Je surprends le regard du voisin quand Florence se penche pour poser son sac à main sur le siège. Il suit sa jupe qui remonte sur ses cuisses et semble vouloir l’aider des yeux à se découvrir plus haut. Nous nous asseyons. Progressivement l’avion se remplit et décolle, Flo, toujours très amoureuse, est blottie contre moi, et je me mets à bander à nouveau. Je prends sa main et la pose sur ma cuisse, et le journal par-dessus. Je me penche vers elle, embrasse son cou, sa nuque, son oreille, que je mordille avec gourmandise et lui glisse :



Elle me regarde et me fixe de ses magnifiques yeux bleus. Je lui intime à nouveau silencieusement en formant les mots avec la bouche. Elle ne bouge pas. Je lui prends la main et la glisse sous le journal, j’ouvre ma braguette, sort ma queue et la lui offre. Je l’attire vers moi et l’embrasse à pleine bouche. C’est une délicieuse sensation que d’avoir sa langue dans ma bouche et sa petite main chaude qui me fait grossir plus bas.


L’hôtesse a commencé son service de boissons. Flo s’attache à prodiguer ses caresses lentement pour que le mouvement communiqué au journal soit imperceptible. Elle s’est prise au jeu, serre très fort pendant quelques secondes puis desserre son étreinte et l’anneau de sa main parcourt ma queue de sa base au méat. Elle griffe d’un ongle coquin la chair tendre du capuchon, et elle s’applique à dupliquer de sa langue dans ma bouche, l’intensité des caresses qu’elle me prodigue de sa main. L’hôtesse se rapproche et lui demande ce qu’elle veut boire. Flo d’instinct s’est arrêtée de me branler. Je me penche vers elle et lui demande de continuer, sa main reprend doucement ses discrets mouvements.



Elle sert Flo, lui donne aussi des gâteaux secs. C’est à mon tour. Je tarde à répondre, je la regarde, elle a les yeux baissés sur le journal, et son regard glisse vers la seule main de Flo visible sur la tablette. Je parierai qu’elle a deviné ce qui se passe.



Je l’ai fait sursauter, elle se tourne vers moi et rougit.



Elle est plutôt bien faite, brune la peau mate d’une latine, les cheveux noirs attachés en une tresse unique. Je glisse sur ses seins, de belle taille et fermes, descends sur son ventre plat, ses fesses. Elle est bien en chair, mais pas trop.



Mes yeux remontent vers les siens, je la fixe, elle soutient mon regard. Flo qui s’est prise au jeu me masturbe un peu moins discrètement et la détaille elle aussi. La main de Flo continue de me branler et j’ai cette étrange impression que c’est celle de l’hôtesse, qui s’active sur ma queue. Je la dévisage une dernière fois.



Puis, je me tourne vers Florence et l’embrasse longuement avec application et gourmandise. Je laisse ma main partir à l’aventure sous sa tablette, et remonter le long de sa cuisse jusqu’à son sexe sous sa jupe. Flo tressaille quand j’effleure son bouton. Elle ouvre ses cuisses encourageant mes caresses. Je la pénètre d’un doigt, deux doigts, trois doigts. Elle gigote sur son fauteuil, je la pénètre plus profond. Je masse son clitoris, elle cherche sa respiration, j’entends son souffle s’accélérer, sa main aussi, on peut voir maintenant le journal bouger frénétiquement. Mon membre est dur, se tend, et j’éjacule, au moment où Florence pousse un petit cri. Elle essaie de retenir le sperme dans sa main, et la porte discrètement à sa bouche. Je lui mordille la nuque, sans cesser de fouiller ses chairs. D’un doigt, je retire les éclaboussures sur le dossier en face de moi, et le lui donne à lécher. Flo le suce goulûment. J’interpelle l’hôtesse qui passe dans l’allée.



Elle s’arrête me regarde, prend des serviettes sur son chariot.



Je lui désigne du doigt les traces translucides qui dégoulinent. Elle ne semble pas comprendre. Elle essuie le dossier. Je la regarde alors, qu’elle a les yeux fixés sur une éclaboussure que j’ai oubliée.



La coquine s’est laissé glisser sur le siège et la jupe remontée, les cuisses franchement ouvertes, elle lui montre une trace proche de ses jambes.


L’hôtesse se penche, elle est maintenant presque en face du sexe de Florence. Elle reste ainsi penchée quelques instants, se redresse et pique un fard devant Florence qui la dévisage amusée, et intéressée, il me semble. Elle me tend d’autres serviettes et s’éclipse.


Nous nous regardons et rions, complices.



Décidément, Paul me fera faire n’importe quoi. Cette femme était rouge comme une pivoine. J’espère qu’il ne va pas me décevoir et continuer à jouer et jouir ainsi à tous les instants. Près de lui, je me sens vivante et pas que pour le sexe. Par exemple, il est en train de lire sur le journal taché un article sur l’exposition « les petites bêtes » au Musée des Arts Décoratifs.


Je me sens libre et libérée d’un carcan conventionnel. Je m’aime avec lui. Ceci dit, je suis de plus en plus attirée par les femmes. C’est encore lui qui m’a menée à ça ! Je suis pleine de pensées vagabondes et coquines à l’encontre de l’hôtesse. Je nous imagine tous les trois enlacés au milieu de la carlingue. Pas d’autres passagers, le vol est tranquille et nous moins, à l’intérieur. Il est question de nettoyer ensemble les taches de sperme de Paul. Elle est plus gourmande que moi et vient me voler la liqueur jusque dans ma bouche. Paul ne se gêne pas pour nous toucher toutes les deux. Mais sa voix vient troubler mes pensées !


  • — … Hé ! Où étais-tu ? tu rêvais éveillée ?… à cette fille, je crois bien ? je me trompe ? Tu devrais aller te rafraîchir avant l’atterrissage et d’en profiter pour voir si notre hôtesse n’est pas trop perturbée. Ramène-nous deux verres d’eau.

La sonnerie indiquant que nous devons nous attacher sonne à cet instant. Le haut-parleur nous informe que nous sommes en phase d’atterrissage. C’est la voix de notre hôtesse.


  • — Trop tard, désolée.

Paul me tend une de ses cartes de visite.


  • — Tu lui donneras en sortant !
  • — Tu crois que…
  • — Je n’en sais pas plus que toi ! On verra bien, qui ne tente rien n’a rien ! Souviens-toi comme tu étais à l’expo du Grand Palais ! Même toi, surtout toi, tu n’aurais jamais imaginé…
  • — Même pas le dixième.

L’avion s’est posé, j’ai donné la carte. Je n’ai pas eu plus de regard que tous les autres passagers. Je me dis que mon chéri est tombé sur un os ! À moins qu’elle ne l’appelle et qu’il ne m’en parle pas ! Pointe de jalousie ! Nous récupérons sa valise. Nous sortons pour prendre la navette jusqu’au centre de Paris lorsque son téléphone sonne !


  • — Oui ?… Bien nous arrivons !

Il raccroche.


  • — Viens, elle nous attend dans la partie réservée au personnel naviguant ! Tu vas rire : tu sais comment elle s’appelle ? Chloé.

Je me demande si j’étais la seule à être prude avant de rencontrer Paul ou si c’est lui qui nous transforme toutes ! Quand nous arrivons à l’entrée, Chloé nous attend avec deux malabars de la sécurité aéroportuaire.