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n° 19038Fiche technique14007 caractères14007
Temps de lecture estimé : 10 mn
15/06/19
corrigé 06/06/21
Résumé:  En descendant de l'avion, Florence a donné ma carte de visite à l'hôtesse qui nous conduit avec deux gardes de la sécurité dans une salle pour une fouille au corps.
Critères:  grp inconnu fsoumise fdomine hdomine fellation cunnilingu fist fsodo hdanus sm -totalsexe
Auteur : Sergefra  (Bel homme, coquin, cerebral)            Envoi mini-message
Co-auteur : Carla.moore      Envoi mini-message

Série : L'épanouissement des sens

Chapitre 04 / 07
Fouille au corps, j'adore !

Résumé de l’épisode précédent :

Nous sommes rentrés à Paris en avion, en nous livrant pendant le trajet à notre exercice favori, nous donner du plaisir. Nous avons plongé l’hôtesse dans l’embarras, lorsqu’elle nous a surpris, semble-t-il. En sortant, j’ai demandé à Florence de lui donner ma carte de visite. À peine arrivés dans le hall, le téléphone sonne, au bout l’hôtesse qui nous dit nous attendre à la sortie.




Florence : jolie blonde, mariée, la trentaine.

Paul : bel homme, coquin, la cinquantaine.



__________________________________




Fouille au corps, j’adore !




Serait-ce un jeu ?

Nous nous dirigeons encadrés par les deux armoires à glace vers le local des douanes. L’hôtesse nous précède nonchalamment, balançant à chaque pas son cul d’un côté sur l’autre, promesse de plaisirs à venir. Elle est assez somptueuse ainsi, très sûre d’elle et de son charme. Nous entrons dans la pièce, dont elle déverrouille la porte. Elle se saisit d’une boîte de gants jetables, en prend une paire, souffle dedans en nous regardant alternativement, et les enfile.



Elle saisit la robe et la remonte sur les hanches de Florence, dévoilant ainsi ses fesses nues et, au milieu de ses jambes en V renversées, juchées sur ses escarpins, la fente intime de son sexe, rose et luisante du plaisir que je lui ai prodigué dans l’avion.



La tension monte d’un cran dans la pièce, mon sexe se met à bouger, et je sens les pandores se crisper à mes bras.

Elle se penche vers ces jambes largement ouvertes et ce sexe offert, le contemple longuement, le renifle, me semble-t-il, et souffle, souffle, souffle, pour en décoller les lèvres et l’ouvrir lentement. Je vois les lèvres vibrer sous cette caresse invisible, et le rose plus sombre de l’intérieur du sexe promettre son plaisir accueillant. Et j’entends aussi la respiration de Florence en écho, qui souffle elle aussi comme si elle cherchait à se calmer dans une séance de yoga.


L’hôtesse souffle toujours, elle s’est penchée encore plus vers l’avant et sa bouche en O, tournée vers le haut, agace désormais le clitoris d’un fort et précis zéphyr, si proche, qu’elle semble le toucher. Je vois la croupe frémir, les jambes trembler et je devine une rosée de plaisir poindre et glisser du haut des lèvres vers la bouche ouverte, qui continue de prodiguer la caresse du vent. L’hôtesse se tourne et me regarde.



Elle approche la lampe du bureau, la dirige vers le sexe et l’allume.

Et brutalement, elle enfonce un doigt, Florence laisse échapper un petit cri de surprise, elle va-et-vient en profondeur, pose sa main pour tenir la croupe bien en place, retire son doigt et pèse des deux mains pour en écarter largement les globes. La lampe éclaire de son jet lumineux l’intérieur du sexe béant, dont les concrétions roses semblent respirer légèrement.

Florence bouge pour mieux ressentir, en tout cas tout indique qu’elle n’a pas envie que ça se termine.



Elle donne une petite tape sur la fesse.

Elle se penche à nouveau et la fouille maintenant de deux doigts, puis trois, puis quatre. Florence geint doucement lorsqu’elle pose son pouce sur la rondelle brune et plissée, et presse à le faire disparaître. L’hôtesse se tourne vers moi, la croupe de Florence bien en main.



Je lui signifie mon assentiment de la tête, elle se redresse, se dirige vers moi, elle est sauvage, la bouche rouge entrouverte, les lèvres sensuelles, une très belle poitrine, cette femme doit être un volcan ! Je la sens très excitée par le spectacle que nous lui avons prodigué dans l’avion, puis par cette mise en bouche…



Du coin de l’œil, je vois les deux lascars s’approcher de Florence toujours nue les jambes écartées, le colosse noir pose une main sur ses fesses, tandis qu’il sort son sexe impressionnant. Le second fait le tour pour se placer devant elle, et lui saisit les deux mains d’une poigne ferme l’empêchant de bouger.



Florence ne bouge pas, elle attend la fouille. Elle n’a pas vu ce qui allait entrer en elle ! Heureusement ! Il y va franco ! Le cri qu’elle pousse n’est pas de surprise, mais de douleur.

C’est alors que je sens tout d’un coup, un doigt entrer en moi. Un deuxième suit me poussant tout au fond contre la table. Je n’ose exprimer ma douleur à côté de Florence qui subit pire.



Son ton me semble ironique et provocateur. Mais je sais que mon temps viendra…


Elle me fouille lentement avec application, c’est une sensation nouvelle pour moi, très étrange, inattendue et extrêmement bandante, lorsque je sens ses autres doigts en coupelle sous mes testicules. Mon sexe se tend tout droit. Je bande comme un âne et elle caresse maintenant franchement mes couilles. Je sens son souffle chaud sur mes fesses. J’entends Florence geindre : la douleur s’est transformée en plaisir, dirait-on.



J’obtempère avec plaisir, et me retrouve le sexe à quelques centimètres de sa bouche ; elle est accroupie sur ses talons ; sa jupe remontée sur ses hanches laisse entrevoir des dessous blancs, sous le collant réglementaire, les seins voluptueux semblent vouloir s’affranchir du carcan du corsage.


Elle me regarde droit dans les yeux. Mon sexe se balance au rythme des flux de sang qui l’irriguent à quelques millimètres de sa figure. Il se tend et grandit comme pour se poser sur la coupe de ses lèvres. Elle ouvre plus grand la bouche en une invite silencieuse. Mon braquemart y pénètre enfin. La sensation est délicieuse, chaude, humide et douce. D’abord je ne bouge pas, puis insensiblement je m’avance un peu plus, forçant le passage.


L’hôtesse saisit mes jambes et commence à faire avancer et reculer sa tête, enfonçant mon sexe au fond de sa gorge. Je la prends par les cheveux et accompagne ses mouvements en me balançant sur les jambes. À chaque aller-retour de sa tête, je pousse un peu plus loin et lui plaque son visage contre mon bas-ventre. Sa fellation est experte et je sens bientôt mon plaisir venir. Je regarde vers Florence : celui qui la tenait l’a libérée. Elle en profite pour le pomper. Elle ne semble plus souffrir de ce qui occupe son anus, mais prendre son plaisir, j’en serais presque jaloux si moi-même ne profitais de l’instant. Enculée d’un côté, et baisée en bouche de l’autre, elle semble aux anges. Qu’est devenue cette jolie bourgeoise qui hantait les musées avec tant de classe. Je jouis par saccades dans la gorge de l’hôtesse en me remémorant la soirée après l’Opéra (voir Symphonie en noir et blanc à quatre mains). Elle se relève la bouche pleine, me regarde, mutine, et avale tout. Je lui maintiens les mains dans le dos.




Il me perfore, j’ai eu mal quand il m’a investie. Il est immense en moi ! Il me taraude et je me sens envahie ! J’aime la sodomie, même si cette pratique est assez nouvelle. Malgré la douleur, je prends plaisir. Plaisir physique, mais aussi intellectuel ; je suis la proie, soumise à deux mâles et une femelle. Mon homme subit la fouille anale. J’apprécie que malgré la violence, il ne se plaint pas. Il reste digne. Je l’aime. Et cet autre gaillard qui me tient les mains ! Mon visage est à quelques centimètres de sa braguette. Je devine son excitation à travers son pantalon de toile azur.


Il me libère les mains me laissant l’initiative. Je me précipite sur son vit, le mets à jour et le goûte. Derrière, il s’agite en moi, mon corps ondule en réponse, devant je mets toute ma science buccale au service de mon ex-geôlier. Il ne va pas tarder, je le sens… Mais soudain, il se retire, apostrophe son comparse.


  • — Charly laisse-m’en un peu !

C’est bon, ce petit jeu. Ils veulent permuter apparemment. Mais Paul réagit ! Il prend son ton d’autorité qui me grise tant !


  • — Messieurs ! laissez-la et toi Florence, rejoins-moi ! Madame, messieurs ! Vous abusez de votre pouvoir ! Relâchez ma compagne, immédiatement !

Ma bouche et mon anus sont désinvestis !


  • — Ça va, ma belle ?

J’ai les fesses en feu, un peu déçue de ne pas être allée jusqu’au bout.


  • — Ça va, mon chéri !

Nue jusqu’à la taille, je l’embrasse.


  • — Toi, belle hôtesse, merci de m’avoir donné ce plaisir de ta bouche. Tu vas donner ta langue au chat de Florence. Quant à ton acolyte qui vient de relâcher Florence, il va te fouiller le fondement ! Allez EXÉCUTION ! Toi, ma chérie, remercie l’accueil qui nous a été réservé en me dévoilant les charmes de Madame. Quant à ton sodomite, je pense qu’il a bien mérité de se déverser dans ta bouche non ?

Je comprends qu’il veut contempler et admirer une bête à quatre bosses.


Je mets à nue la belle ! Elle est très jolie, j’en suis presque jalouse ! Puis m’installe. Elle s’approche de mon intimité et je lui maintiens la tête sur mon sexe pendant que moi-même avale le très large bâton du vigile. Le second pilonne le cul de la coquine. Les deux faux vigiles se déversent. Mon Maître leur ordonne de nous laisser. Son ton ne mérite pas de réplique.



Les deux sbires nous ont laissés seuls avec l’hôtesse.



Je lui maintiens les mains dans le dos, Flo se rapproche et lui dévore la bouche.



La belle a un très joli cul, voluptueux, agréable au toucher et à la vue, d’une peau pain d’épices qui ne porte aucune marque. Elle ne doit pas être si sainte nitouche que ça, à bronzer ainsi toute nue.



Flo la fouille d’un doigt, suivi d’un deuxième. Notre charmante hôtesse respire avec plus d’effort et remue du bassin comme pour aller à la rencontre des autres doigts.



Flo se baisse à hauteur du bassin et contorsionne ses doigts les faisant tourner sur eux-mêmes pour les entrer dans le sexe de l’hôtesse. Les quatre doigts y passent. Seul le pouce est encore à l’extérieur. À me frotter contre ce cul, je bande à nouveau. Flo, la bouche entrouverte, concentrée sur sa tâche, me laisse approcher mon sexe de sa bouche. Je saisis sa main qui fourrage l’entrejambe, je ramène le pouce sur le poing et je pousse sur son poignet en tournant. Chloé pousse un petit cri, lorsque la crête des phalanges est avalée par son sexe. Je pousse plus fort sur le poignet pour l’y engloutir entièrement. Flo, fascinée, regarde sa main disparaître, si concentrée qu’elle me laisse pénétrer sa bouche sans rien dire. Quelle sensation d’être sucé par mon amoureuse, qui fait l’amour de son poing, à cette belle hôtesse dévergondée.



Flo semble ne pas entendre et continue de me sucer comme une reine. Je dois me retirer et amener d’une main sa bouche contre l’orifice que je convoite pour que d’une langue mutine elle lui lubrifie l’anus. Je presse sa nuque entre les globes, la retourne vers moi, pour qu’elle me reprenne en bouche et achève de me faire durcir. Je masse l’orifice du pouce, puis de l’index, sors mon sexe de la bouche accueillante, en appuie la tête au bord de la corolle brune, puis pèse de tout mon poids contre le dos de Chloé.


Sa dernière défense cède, et me voilà moulé dans un étroit fourreau. En poussant contre son cul je la fais s’empaler à chaque fois plus sur le poing de Florence, qui regarde fascinée son poing disparaître, les yeux fixes, la bouche grande ouverte, comme droguée, en apnée. Chloé crie son plaisir maintenant sans retenue et je crains de voir la porte s’ouvrir sur des collègues inquiets. Elle projette sa croupe contre mon ventre, à chaque mouvement du bras de Florence. Je ne tarde pas à sentir monter en moi l’expression de mon plaisir.



Flo, bouche ouverte, attend sans cesser de pénétrer Chloé de sa main, je profite d’un reflux, pour sortir mon sexe et déverser mon plaisir dans sa bouche. C’est absolument divin.



Flo se redresse, sort son poing du sexe, qui met longtemps à se refermer, amène ses doigts à la bouche de Chloé qui les lèche longuement puis l’embrassant langoureusement, partage avec elle ma liqueur.


Je rabats la robe sur Chloé, l’ajuste à son corps. Florence attrape son sac à main, sort son rouge à lèvres, et refait une bouche impeccable à Chloé, qui lui rend la pareille. Et je sors de la pièce avec à chaque bras, une jolie femme, épuisée, mais comblée, nue sous sa robe. La foule, que nous fendons, ne peut imaginer ce que ce sourire paisible que nous affichons tous les trois signifie…