n° 19055 | Fiche technique | 17520 caractères | 17520Temps de lecture estimé : 11 mn | 28/06/19 |
Résumé: Un couple sombre dans la monotonie après presque trente ans de vie commune. La femme prend en main un nouveau départ pour eux. Elle a longtemps préparé son coup et il sera énorme pour eux. | ||||
Critères: fh couple amour fdomine fellation jeu -amourdura | ||||
Auteur : BVT Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Cinquante ans Chapitre 01 / 08 | Épisode suivant |
Par un vendredi matin de fin mai, une main s’aventure délicatement et tendrement sur mon ventre. Depuis très longtemps, je me réveille tôt, quelle que soit l’heure du coucher et quelle que soit la fatigue, ma nature propre se réveille aux alentours de 6 h. Après mes ablutions, je retourne parfois me coucher quand je ne suis pas pris par le travail. Dans ces cas-là, je reste sur le dos à méditer, réfléchir, avoir des pensées plus ou moins avouables ou tout simplement me rendormir. Ce matin, je pensais à un projet de bricolage que je veux mettre en œuvre prochainement. La chambre n’est plus toute noire, le lever du jour apporte les premiers rayons de lumière par les volets pas complètement fermés pour laisser passer un peu d’air. J’allais me lever.
Cette main, je la connais depuis plus de vingt-cinq ans, accrochée au bout du bras de ma femme. Pola et moi (Loïc), avons le même âge (enfin elle est plus veille de quelques mois), nous faisons la même taille, mais elle paraît bien plus grande que moi, avant tout parce que trente kilos nous séparent. Elle pèse péniblement soixante kilos, malgré les années et les grossesses. Elle offre donc aux regards de tous mais surtout au mien, une apparence élancée, dynamique, simple. Peu de maquillage, juste un peu de noir aux yeux qui accentue leur couleur bleue et de temps en temps une crème légèrement teintée. Ses tenues vestimentaires sont plus souvent basiques et pratiques que légères et sexy. Jeans et pulls sont constamment de sortie, alors que les jupes et autres tenues féminines restent dans le dressing, sauf pendant les vacances d’été où elle se lâche un peu.
De mon côté, j’ai bien du mal à rester autour des quatre-vingt-dix kilos pour un mètre soixante-quatorze. Avec des années de sports intensifs, piscine, course, vélo, musculation, je me suis fabriqué un corps trop musclé des épaules et des cuisses. Aujourd’hui, mes exercices étant de plus en plus éloignés, ces muscles se transforment progressivement en "surpoids". Sans forcément avoir un gros bide, je suis trapu, on va dire, très trapu ! Le travail m’impose des tenues strictes, pratiques et surtout solides. Dès que possible par contre, les shorts et polos sont de sortie. Je me fais un point d’honneur à acheter des produits durables, pas beaucoup, mais du solide.
L’organisation de notre temps de travail nous permet de flâner le vendredi. De mon côté, je suis absent de la maison deux à trois jours par semaine, souvent entre le mardi et le jeudi. Le reste du temps, je travaille à distance. Pola, après une reconversion, travaille principalement à la maison et a parfois des rendez-vous professionnels à l’extérieur. Nos enfants sont grands et autonomes, seul le dernier reste à notre charge, mais il a son petit studio en ville pour ses études et il a même décroché un job de serveur dans une pizzeria. Nous sommes même déjà grands-parents. Tout ça pour dire que, normalement, on a tout pour être bien, mais ce n’est plus le cas.
Depuis plusieurs mois, l’ennui s’est infiltré dans notre vie de couple. C’est arrivé progressivement après son cinquantième anniversaire, alors que jusque-là sexuellement nous étions en phase, autant en qualité qu’en quantité. Nous avons toujours réussi à surmonter les difficultés que nous avons rencontrées rapidement grâce à notre complicité. Mais là, nos envies se sont éloignées ainsi que nos parties fines, à un tel point que nous ne nous sommes pratiquement plus touchés depuis au moins trois semaines, sans trop savoir pourquoi… âge, fatigue, boulot, routine… Et pourtant pas de dispute, pas de reproche, pas de critique, pas de responsable. Ce qui peut sembler anecdotique pour beaucoup de couples comme le nôtre qui rencontrent des difficultés, est pour nous pénible car totalement inhabituel.
Je n’ai jamais trompé ma femme et n’ai même jamais eu l’idée de le faire tant la fusion de notre couple était forte. Je ne peux bien entendu pas être affirmatif de son côté, mais je n’ai jamais eu le moindre doute. Je n’ai pas souvenir d’une aussi longue période sans rapport sexuel depuis ma sortie de l’armée, il y a plus de trente ans. Donc pour supporter cette période de disette, j’ai repris des travaux manuels un peu honteusement au début, puis finalement j’ai réussi à me relâcher.
Alors ce matin, ces doigts qui commencent à faire des ronds sur mon ventre me font réagir forcément très vite et fort. De ronds en ronds, sa main arrive sur mon sexe qui commence à déjà bien gonfler. Ses doigts fins l’entourent et des allers retours très lents et juste parfaits commencent. Je ne sais quoi faire. Dois-je répondre ? Ne rien faire ? Attendre ? Participer… Je n’ai pas le temps de me décider que son corps se déplace dans le lit et vient contre moi, son visage au niveau de ma poitrine. Ses lèvres se referment instantanément sur mon téton, sa jambe crochète la mienne. La paume de sa main baladeuse arrive sur mes testicules, alors que les bouts de ses ongles gratouillent la zone située juste en dessous. Une caresse qui chez moi est un véritable déclic. Surtout que pendant ce temps, ses dents mordillent maintenant légèrement mon téton. Son nez plonge sous mon aisselle, elle aime s’enivrer de mon « odeur de mâle », comme elle dit. Puis la bouche revient martyriser agréablement le téton.
Ma main située de son côté et qui jusqu’à maintenant était immobile derrière ma tête avec l’autre, commence à bouger et à descendre pour tenter d’atteindre son dos. La réaction fut sans appel. En même pas un quart de seconde, ma femme repousse la couette, se jette à califourchon sur moi et fermement m’oblige à renvoyer mes mains là où elles étaient.
Je dors toujours nu. Elle, par ces premières bonnes températures nocturnes, n’a qu’une fine nuisette sur elle. Lentement elle se redresse, croise les bras au niveau de ses hanches et commence à remonter ses mains découvrant le bas de son ventre. Elle enlève ainsi très doucement son vêtement de nuit en me fixant droit dans les yeux !
Son regard me quitte juste le temps de laisser passer le tissu. Il est hors de question que je mette fin à ce moment magique et comme je suis curieux de vivre la suite, je m’exécute, regardant le linge passer au-dessus de sa tête et voler sur le petit canapé qui se trouve à côté du lit.
Ce corps, je le connais très bien et pourtant à chaque fois, cela reste un ravissement de le redécouvrir. Des épaules bien proportionnées, une poitrine modeste mais tellement mignonne avec des bouts de seins juste comme j’aime, ni trop gros, ni trop petits mais surtout sensibles comme tout. J’ai toujours été impressionné par sa poitrine, capable de prendre du volume pour nourrir nos enfants et retrouver sa forme initiale en quelques mois après le sevrage. Son ventre, plus aussi plat et ferme qu’avant, n’en est pas moins très agréable à voir et à cajoler, surmonte des hanches de « femme », de très belle femme, que beaucoup d’autres lui envient. Au centre de ces hanches trône une toison fortement garnie inhabituelle chez elle qui cache un trésor, son trésor, mon trésor.
Je sens ses poils sur mon ventre au niveau de mon nombril. Je me dis qu’effectivement, cela fait plusieurs semaines que je n’ai pas pris soin de cette zone. Eh oui, depuis des années, c’est moi qui fais l’entretien de son sexe. Nous tentons d’utiliser le moins possible de produits chimiques, alors pas de crème épilatoire, tondeuse et rasoir sont mes outils de tortures. Ce sont toujours des moments très agréables pour nous deux et d’une grande complicité.
Je sens la chaleur de ses lèvres sexuelles sur mon ventre. J’ai même l’impression surprenante d’une certaine humidité moins abondante ces dernières années naturellement, mais ce matin est décidemment un matin pas comme les autres. Ces poils me chatouillent et descendent. Ma partenaire se retrouve les genoux entre mes jambes, en appui sur les bras de chaque côté de mon torse, ses lèvres jouant à tour de rôle sur mes tétons. Je tente de bouger une main, mais rapidement elle me fait comprendre qu’il ne faut pas et un « dernier avertissement » gifle le silence de la chambre. Je plie mon traversin derrière ma tête pour la relever afin d’être plus à mon aise pour voir la scène qui continue sur mon corps. Les pointes de ses si mignons petits seins frôlent mon ventre.
Je ne sais pas si elle cherche à me faire plaisir ou si elle se caresse les tétons sur ma peau, mais le résultat est époustouflant de mon côté mais aussi du sien. Ses tétons sont fièrement tendus, le sang afflue dans ses sphères faisant ressortir leurs aréoles. En continuant la descente, ses seins se frottent maintenant sur mon sexe en pleine forme, quelques allers-retours avec le droit, puis le gauche, et retour au droit… Sans oublier régulièrement de visiter avec la même technique mes testicules. Quelle agréable torture ! Sa bouche dépose des baisers un peu partout en passant et régulièrement ses yeux me défient.
La descente continue et dans un grand mouvement, je sens le corps de ma femme s’allonger entre mes jambes en appui sur les coudes. Elle me fixe tendrement. Je suis surpris de voir ses pieds au-dessus de sa tête. En utilisant les miroirs qui garnissent les murs de notre chambre, je peux comprendre. Le bas de ses jambes est sorti du bout de la couette qu’elle a gardé sur elle, petite frileuse. Quand mon regard revient sur le sien, elle tient mon sexe par la base avec le pouce et l’index, le gland dirigé vers le plafond le reste de sa main délicatement posé sur mes testicules. C’est très érotique de voir son organe devant le visage de sa femme à quelques centimètres d’une bouche humide et au-dessus des yeux que je devine brillants d’excitation malgré le manque de lumière.
Enfin, ses lèvres se posent amoureusement sur mon gland. Quel soulagement, la tension était insupportable et l’attente interminable. Sans me lâcher des yeux, elle se caresse le visage avec mon gland. Nez, joues, lèvres, menton et même les yeux, son massage du visage dure encore et encore. Ensuite une série de petits bisous se succèdent tous plus tendres et délicats les uns que les autres. La corolle de mon gland n’est pas oubliée. Maintenant c’est au tour de la grosse veine de mon appendice de subir le même traitement tout aussi excitant puis mes testicules.
La bouche s’ouvre et englobe délicatement l’une des boules, la langue s’en amuse, puis c’est le tour l’autre. Après quelques va-et-vient de l’une à l’autre, je sens l’extrémité de sa langue passer juste en dessous du paquet. C’est tellement bon que mon sexe entre en vibration. Ouf, cette vicieuse langue remonte tout en restant en contact avec ma peau. La pression du sang dans mon corps caverneux continue de monter, à tel point que le gland en est violacé. La bouche l’enfourne, la langue s’en amuse, tourne autour, appuie, se relâche. Elle absorbe une bonne partie, fait ressortir le morceau qu’elle avait en bouche et recommence. Elle n’aime pas l’enfoncer trop loin et comme moi je ne veux que ce qu’elle aime, nous sommes en harmonie.
Jusque-là, elle m’avait peu lâché du regard mais maintenant, sa concentration se déplace vers l’objet de son désir. Elle entame sa marche triomphante : une fois en haut une fois en bas. Les allers-retours se succèdent, lentement, puis plus vite à très vite, et moins vite, puis plus du tout. Et on recommence. Ce doux traitement finit par obtenir ce qu’il est venu provoquer, la pression monte tellement dans mon engin que le point de non-retour est atteint. J’ai perdu toute notion de temps. Mon gland est énorme, à son apogée et elle ne peut pas l’ignorer, cela fait si longtemps qu’elle le manipule pour le savoir. Pourtant à ma grande surprise ma femme ne se retire pas. Elle me fixe de nouveau du regard et… et… mon miel s’évacue en jets violents contre son palais et sa langue qu’elle a mis en barrage pour éviter de le recevoir dans la gorge.
Je sais qu’elle n’aime pas ça. Elle n’en éprouve aucun plaisir au contraire, mais il lui arrive très occasionnellement de recevoir ma délivrance dans la bouche pour me faire plaisir me dit-elle. Cela n’arrive que dans des moments de très grandes complicités, alors ce matin, ce cadeau provoque en moi une énorme vague de bonheur. Sa bouche ne lâchera son bonbon qu’une fois celui-ci vide. Elle file dans notre salle de bain attenante à la chambre, il ne faut pas trop en demander quand même. Elle vient de me faire un énorme cadeau.
Quand elle revient la bouche rincée, je n’ai pas bougé. Un magnifique sourire enjolive son visage. Elle s’allonge sur moi, positionne délicatement mon sexe sous son ventre, croise ses bras sur mon torse et pose son menton dessus. Elle me regarde amoureusement il me semble :
Il est bien évident que je ne vais pas refuser une telle offre. J’ai toute confiance en elle, je sais que cela va être très sympathique et j’espère tout autant d’autres surprises comme celle que je viens d’avoir. Une fois qu’elle a reçu mon accord, elle fronce bizarrement les sourcils et prend un ton plus autoritaire que je ne lui connaissais pas.
Ce n’est pas sa demande qui me surprend. Régulièrement, je m’occupe de la cuisine et pratiquement toujours les matins pendant qu’elle ouvre les volets, soigne les animaux, sort la machine qui a tourné la nuit… Ce qui est nouveau, c’est le ton qu’elle emploie.
Toujours aussi autoritaire, elle ajoute :
Je n’en saurai pas plus… Pour l’instant ! Et inutile d’insister, elle ne me répond plus. Il ne me reste plus qu’à attendre. Elle me pousse hors du lit. Je me lève, attrape mon peignoir pour rejoindre la cuisine et me mettre à la tâche, mais un « non !» violent me déchire les tympans.
Encore une fois, je n’ai pas eu de droit de réponse. Ce ton ferme, exigeant et autoritaire me surprend de nouveau. Elle se lève, file aux toilettes me plantant là, l’air certainement un peu « con ».
À suivre !