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n° 19068Fiche technique19858 caractères19858
Temps de lecture estimé : 12 mn
07/07/19
Résumé:  Madame a pris en main de relancer le couple qui commençait à battre de l'aile. Mais en même temps, elle a décidé de changer d'attitude.
Critères:  fh fépilée campagne amour voir ffontaine rasage nopéné
Auteur : BVT      Envoi mini-message

Série : Cinquante ans

Chapitre 02 / 08
Un moment très intime

Résumé :

Après un beau réveil, le couple se retrouve pour déjeuner. Pola continue de distiller ses surprises, plus ou moins importantes.





Pour savoir pourquoi je me retrouve nu dans la cuisine ce vendredi matin, il faut prendre la peine de lire le premier texte de cette petite et première série.


Bien que pas nudiste, ni naturiste et encore moins exhibitionniste, je n’ai pas de problème avec la nudité. Je me balade souvent dans le plus simple appareil dans la maison et même sur une partie de notre terrain bien protégée, l’autre partie manque d’intimité et notre petite voisine passe beaucoup de temps à surveiller « si tout va bien ». Ce n’est donc pas une première pour moi d’être à walpé dans cette zone de la maison, mais c’est la première fois que je le fais sur les « ordres » de ma femme.


Pour la crédibilité du récit et comprendre la suite, je me dois de décrire notre situation et notre maison. Nous sommes arrivés dans la région il y a quinze ans, suite à une opportunité professionnelle. Nous n’avons pas hésité longtemps, lorsque mon entreprise m’a proposé un nouveau secteur à développer complètement et en prime la possibilité à terme de devenir indépendant. Nous aimions notre région d’origine, mais le climat n’y est pas toujours facile et surtout, nous étions à un tournant de nos carrières. Pola s’ennuyait au boulot et moi, je végétais. Les enfants n’avaient pas encore l’âge de s’opposer fermement à une délocalisation. Nos familles étaient déjà bien clairsemées malheureusement et le reste s’éparpillait un peu partout. Comme par hasard, nous avions eu une proposition alléchante et inattendue d’un couple de Belges qui étaient tombés amoureux de notre logement de l’époque, six mois avant. Quand je les ai recontactés pour savoir si leur proposition tenait toujours, ils étaient impatients. La transaction s’est faite très rapidement. Vente faite, banque remboursée et frais divers décomptés, il nous restait une marge plutôt sympathique. Arrivée en Loire-Atlantique, nous étions logés gratuitement dans une maison louée par mon entreprise pour trois ans. Ce qui nous a laissé du temps pour trouver notre bonheur.


Nous sommes rapidement tombés d’accord sur le secteur de nos recherches. Ce sera la vallée de la Loire à l’est de Nantes. Mon secteur d’intervention se situant de part et d’autre de cette zone et comme ma femme veut changer de métier, elle a trouvé une formation, un financement et une entreprise partenaire pas bien loin. Notre budget n’est pas extensible à souhait et pour le respecter, nous avons pris de la distance de plusieurs dizaines de kilomètres de notre objectif de départ, mais finalement il s’avérera plus tard que cette maison la rapprocherait de ses clients futurs, pour moi, cela ne changerait pas grand-chose.


Bon à l’époque, c’était une ruine, mais avec beaucoup de potentiel. Nous avons fait nous-mêmes les plans, j’ai un petit talent pour voir le potentiel futur dans ces cas-là. Ma femme, ayant été surprise par notre première réalisation, m’a fait confiance, tout en participant bien entendu aux différents choix. J’ai quand même fait valider les modifications techniques et structurelles par un copain architecte. Elle a été entièrement rénovée à notre goût pendant deux ans par des professionnels pour le gros œuvre et nous avons fait le reste. Nous avons ainsi un bien qui nous correspond et qui est en adéquation avec nos besoins, nos envies et notre mode de vie.


Les anciens creusaient la roche de tuffeau, avec les pierres taillées, ils construisaient les abris techniques, écuries, étales, hangars. Les caves ensuite servaient de logements, de troglodytes puisqu’elles étaient ouvertes sur le devant. Notre maison est ainsi faite, en sous-sol, mais, ouvert plein sud et ouest, se trouve notre cuisine, une salle à manger, salon, les commodités, un cellier et une pièce secrète. Au-dessus, un ancien atelier de réparation de charrettes a été transformé en chambre parentale (avec tout ce qu’il faut), salle de bain et autres locaux techniques, mais surtout un grand « buratelier » comme on l’appelle, qui accueille nos activités professionnelles quand nous travaillons à la maison. Et enfin dans les combles deux grandes chambres tout confort, elles aussi.


Côté nord de la maison, on ne voit que le rez-de-chaussée et les combles. De l’autre côté, on distingue deux niveaux et les combles. Tout le jardin sud est en terrasses qui se succèdent jusqu’au potager et le poulailler qui est le seul endroit à avoir vue sur la Loire et encore, quand il y a beaucoup d’eau. Pour autant, la vue générale reste extraordinaire, on respire à pleins poumons. Nous avons pour vis-à-vis, la vallée de la Loire. Il y a bien des maisons sur l’autre versant du fleuve, mais elles sont bien loin. Le terrain est bien arboré ce qui nous cache des voyeurs au moins la terrasse qui nous sert pour les repas et le farniente plus un carré d’herbe. Pour le reste de la propriété extérieure, la discrétion est moins évidente.


Comme il fait beau et doux, j’installe notre petit déjeuner sur cette terrasse. En attendant Pola, mon esprit revit la scène de ce matin et je ressens une certaine tension renaître. Quand je l’entends descendre, je me rends compte que mon sexe n’est plus totalement, au repos. Je vais certainement encore avoir le droit à une remarque enfantine de sa part surtout que quand elle arrive, le spectacle qu’elle m’offre ne fait qu’aggraver la situation. En lieu et en place de sa robe de chambre, peu glamour, habituelle, elle a passé sur ses épaules une espèce de petit kimono, manches trois-quarts qui me semble être en lin, que je ne connaissais pas. Le voilage est très court, il arrive juste en dessous de ses fesses, mettant en valeur ses longues jambes fuselées et ses pieds nus. Une ceinture légèrement serrée, mais très basse elle aussi est mise de façon à laisser un gigantesque décolleté qui se termine sous ses seins. Il faut peu de chose pour que son nombril prenne la lumière. Arrivée à trois mètres de moi, lentement et sensuellement, elle tourne sur elle-même plusieurs fois pour me montrer l’ensemble de son œuvre.



Son ton est humoristique, mais aussi sensuel. Je reste bouche bée.



Pour cette dernière phrase, elle a repris son ton autoritaire qui ne laisse pas de part à une quelconque discussion.

Pendant qu’elle s’assoit à sa place habituelle, dos au soleil qui arrive au-dessus des arbres, je rentre me calmer. Je souffle un peu, respire bien profondément et j’apporte les vivres. Quand je dépose son plateau devant elle, je peux voir ses seins par l’ouverture de son peignoir. Elle s’en aperçoit et accentue sa cambrure.



Je m’installe à mon tour à l’angle de sa position. Je me rends compte que l’ouverture de son kimono est de mon côté, à l’inverse de la norme conventionnelle. Le pan gauche est au-dessus du pan droit, j’ai donc vue entière sur un de se ses seins. Elle a obligatoirement prémédité son geste, car j’ai souvent regretté de ne pas avoir cette chance le matin, alors que lorsque l’on mange dehors le soir, nous changeons de côté de la table pour ne pas avoir le soleil dans les yeux et là, je peux l’embêter en enlevant un, deux ou trois boutons si l’humeur est aux jeux coquins.


Tout le repas se déroulera avec de nombreuses tendres provocations érotiques et excitantes. Elle descend un doigt le long de son décolleté écartant légèrement le tissu, sa bouche se fait provocante en mangeant un morceau de fruit, des regards appuyés sur mon corps, mais aussi et surtout sous la table, des doigts qui s’effleurent plus que besoin lors des différents échanges de denrées, enfin, tout ça fait que ma tension ne baisse pas beaucoup.


Quand je me lève pour débarrasser, elle m’attrape rapidement le sexe, tire légèrement dessus et m’oblige à m’approcher d’elle, elle me fait quelques bisous sur le ventre en pressant légèrement mon gland. Une réaction incontrôlable entraîne une arrivée massive de sang au centre de mon corps. Ravie de son supplice, elle change de main sur ma tige et commence un doux branlage. L’autre main descend sur mes bourses, les triture doucement, puis elle fait le tour de ma hanche pour me caresser une fesse, testant sa fermeté. Subitement, elle me lâche et me claque les fesses pour que je file continuer mon ouvrage. Elle vient toutefois m’aider à débarrasser et ranger.


Une fois tout remis en place, alors que je termine une bricole, une nouvelle petite claque sur ma fesse me surprend.



Encore une fois, inutile de chercher à répondre, donc je monte chercher ce qu’il faut. Comme je passe dans la salle de bain, j’en profite pour me rafraîchir un peu partout. Me regardant dans le miroir, je vois le visage d’un homme heureux, bien dans sa tête et bien dans sa peau, plus tout jeune avec sa barbe blanchâtre, mais radieux. J’espère que finalement, ce week-end soit un nouveau départ vers d’autres aventures et de nouvelles peut-être. J’allais redescendre avec tout le nécessaire pour mon ouvrage quand j’entends ma femme réclamer que je lui apporte son oreiller. C’est la première fois que l’on va faire cette intervention en dehors de notre chambre, d’habitude, c’est toujours le lit qui est utilisé pour l’accueillir.


Arrivé dans la cuisine je ne la trouve pas, ni dans la salle à manger. J’imagine qu’elle avait un petit besoin à assouvir et pour l’attendre je regarde dehors. Elle est là, assise au bord de la table, une jambe sur un banc, les cuisses bien ouvertes et elle s’amuse une dernière fois avec ses poils qui vont se faire décapiter. Quand elle me voit, elle ouvre son kimono et s’allonge, les fesses le plus près possible du bord en gardant les talons sur la table, en appui sur les coudes, la tête renversée. Je me retrouve avec une vue impressionnante sur son entrejambe, le sexe bien ouvert au soleil levant.



Je prends place sur la chaise entre ses cuisses. Je peigne doucement l’ensemble avec mes doigts pour éviter de prendre la machine dans des nœuds éventuels et surtout bien tout ranger pour éviter les zones trop sensibles. Je ne peux m’empêcher de constater des résidus séchés proches de l’ouverture de son sexe, il me plaît de penser qu’il s’agit des restes d’un trop-plein d’émotions durant sa fellation de ce matin. Je tente de fermer ses lèvres pour éviter de mettre trop de coupes à l’intérieur et je commence à tondre ce qui est devenu indésirable.


Je ne peux m’empêcher de constater que rapidement une humidité abondante déborde et coule doucement vers son anus. Je me dis qu’elle doit bien apprécier le moment et qu’elle s’amuse allégrement de son initiative. Malgré l’air extérieur, son odeur m’enivre, je fais un gros effort pour retrouver toute ma concentration afin d’éviter un accident qui serait bien malvenu. Une fois le premier travail d’ébauche réalisé, je change d’ustensile et prends un petit rasoir normalement à usage des barbes pour homme, mais que je trouve très approprié pour mon travail de finitions et de précisions. En temps normal, il suffit, mais parfois le temps entre deux séances est trop grand, donc les poils aussi. Je ne conserve aucun poil, du pubis jusqu’en haut des fesses.


Cet endroit de part et d’autre de l’anus n’est pas facile à atteindre, je lui demande de se tourner sur un côté, en position fœtus. Une fois de plus, je me retrouve face à une vue fantastique devant laquelle je n’arrive pas à rester insensible. Je fais un de mes plus beaux bisous sur cette fesse qui me provoque. Elle ne râle pas, j’entends même un soupir qui appelle d’autres baisers que je m’empresse de faire sur toute la zone. Puis enfin, je me reprends et supprime tous les poils rebelles, elle se tourne de l’autre côté et je lui administre le même traitement. La voici toute lisse et toute fraîche. Je l’invite à aller se rincer abondamment. Avant qu’elle parte, je lui demande :



Nous avons l’habitude que je fasse une inspection de contrôle du bon résultat après le rinçage avec les yeux, les doigts, puis les lèvres et surtout la langue. Rien de mieux que la sensibilité de la langue pour dénicher un poil récalcitrant.



Encore une fois, je reste hébété par sa réponse. Bien que bien protégé, le jardin n’a que très rarement été témoin de nos ébats pour ne pas dire jamais, à cause des enfants avant et ensuite par habitude. Mais décidément, ce n’est pas un jour comme un autre. Une fois de plus, je profite de ce temps libre pour aller me rafraîchir les idées. C’est pratique ces coins toilettes à tous les étages. Le temps passe, ce qui me permet de nettoyer la zone d’intervention et de bien me calmer.


Dès son retour, elle reprend place sur la table, remet bien en place son oreiller et s’installe le plus confortablement possible. De par son regard, je comprends tout de suite qu’il faut ne pas la faire attendre de trop. Je m’installe. Avec les yeux, j’inspecte le moindre petit recoin. Je change même d’angle pour être certain de ne rien louper, elle a des poils de couleur claire qui ne sont pas faciles à voir sous les rayons du soleil. Mes doigts viennent à leur tour prendre place dans l’intérieur de ses cuisses et commencent un lent passage en revue tactile de la zone concernée. Je passe et repasse, il ne faut pas hésiter à recommencer plusieurs fois les mêmes gestes pour être certain d’un résultat sans reproche. Mes pouces vont visiter la zone anale. La même prudence accompagne ce contrôle.


Alors que mes mains terminent leur inspection, mes lèvres attaquent l’aine droite. Je frôle l’ensemble de la zone, de gauche à droite, et pareil, il faut plusieurs passages pour valider le travail.

Toutes ses lèvres sont ouvertes et brillent d’humidité. Le phénomène est accentué par la lumière. Il me semble entendre malgré les bruits des oiseaux un début de gémissement. J’arrête mes déplacements. Une de ses mains, se plaque contre ma tête, je résiste. Volontairement, je souffle sur son sexe et je résiste encore énergiquement à sa volonté. Elle finit par me planter les ongles dans le crâne. Heureusement que mes cheveux sont trop courts pour être agrippés, car je crois que j’en aurais perdu quelques-uns. Ainsi, je cède et ma langue se plante directement en elle. Elle jouit presque instantanément. Après quelques minutes de ce traitement, ses cuisses se ferment et m’obligent à marquer un temps d’arrêt, que j’utilise pour reprendre mon souffle que j’expulse chaudement au plus profond d’elle.


Elle finit par se relaxer, les cuisses s’ouvrent et je reprends ma visite cette fois avec beaucoup plus de délicatesse. Chaque lèvre a le droit à un léchage en règle, chaque millimètre de son entrejambe est de nouveau sollicité, je mordille ses aines, je lèche, je suce, j’aspire. Je m’écarte même loin d’elle pour mieux revenir, taquiner le puits de sécrétions. Elle jouit.


Après plusieurs minutes, je comprends qu’il ne faut plus tergiverser et que maintenant, l’orgasme monte. Ma langue s’active énergiquement dans son sexe et mes index pincent ses lèvres extérieures écrasant son clitoris entre eux. Un doigt monte pendant que l’autre descend en alternance. Ma langue plonge au plus profond, mon nez appuie sur la zone clitoridienne. Je sais que je suis au bord de la faire chavirer, je m’applique. Je me concentre sur ces mouvements, sa respiration, ses bruits. Ça y est, son bassin rentre en vibration avançant vers ma bouche, ça monte, ça monte et enfin c’est le déclic. Un petit jet sort en même temps qu’un profond gémissement. La jouissance est forte, longue, profonde et salvatrice. Pola n’est pas une femme-fontaine comme on peut en voir dans les certains films, mais quand elle est au summum, elle ne peut retenir un reflux de cyprine. Je me régale toujours de son jus.


Connaissant ma femme, je sais qu’il ne faut surtout plus insister, cela peut vite se transformer en gêne, voire même en douleur.

Après avoir totalement récolté ce nectar, je m’écarte et la laisse reprendre ses esprits. Elle se redresse et tend les mains vers moi, m’enlace la tête sur sa poitrine. Je sens son cœur battre la chamade et tout doucement, son souffle se calme. J’aime ces moments de communion silencieuse.

L’étau se resserre, elle me caresse le crâne. Je remonte le visage vers le sien. Un baiser profond passe de langue à langue. Les bouches se séparent enfin, nos yeux se croisent. Il me semble entrevoir le reste d’une larme. Je la caresse, tendrement dans le dos, les hauts des fesses, les hanches. Mes mains remontent sur son ventre pour englober ses seins. J’en inonde les tétons de salives par une salve de baisers.



Je m’écarte, mi-figue mi-raisin… Elle se lève, part vers la cuisine, se retourne avec un magnifique sourire :



Et elle se sauve rapidement, le courant d’air dévoilant ses fesses. Une envie folle me prend de la rejoindre dans la salle de bain, mais je n’en fais rien, un sourire aux lèvres, je me dis que…


Une fois dans mon coin travail, je démarre la machine à octets et commence à bosser. Une furie arrive, elle prend ma queue dont l’extrémité suinte encore et me branle. Malgré mon âge, rapidement, je retrouve la grande forme, elle m’embrasse très profondément aspirant ma langue et…



Une fois encore, elle me laisse comme ça. Je suis toujours à poil, il est grand temps de mettre de l’ordre dans tout ça.



À suivre !