n° 19060 | Fiche technique | 26878 caractères | 26878Temps de lecture estimé : 16 mn | 03/07/19 |
Résumé: Revenus en France après des aventures aux Canaries, notre couple poursuit ses découvertes... | ||||
Critères: ffh fbi couple fsoumise jalousie fellation cunnilingu fdanus fouetfesse -couple+f | ||||
Auteur : Caribonex2 (Rendre aux lecteurs un peu du plaisir pris à lire ici) Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Aline et Axel : Retour en France Chapitre 01 | Épisode suivant |
Je finis de refermer ma valise, de la ranger à sa place, puis descends rejoindre mon épouse en songeant à nos vacances passées, plein d’entrain pour ce qui me semble être une nouvelle direction à notre vie. Je rejoins ma sublime Aline, en petit short et débardeur qui laissent bien entrevoir son corps souple de nageuse. Comme elle tient encore son téléphone et termine son appel j’en profite pour la détailler. La trentaine à peine entamée, un mètre soixante-quatre de sensualité, des seins fermes et ronds que ma main parvient à peine à couvrir, un petit fessier musclé, un visage fin aux cheveux bruns courts et un petit nez mutin qu’elle fronce d’ailleurs un peu en terminant sa conversation.
Elle se tourne vers moi, ses yeux noisette toujours aussi pétillants avec leurs éclats d’or et m’indique :
Ma femme me regarde et me sourit, si détendue désormais, si loin de ce qu’elle était avant les vacances. Je sais désormais qu’elle aime vraiment ce qu’elle voit, quasi le même âge qu’elle, quasi 1,80 m, quasi ventre plat, yeux quasi gris, mais cent pour cent amoureux d’elle.
D’accord, je n’aime pas particulièrement sa meilleure amie, je l’ai toujours trouvée imbue d’elle-même, un peu condescendante avec moi juste parce que je ne la ramène jamais avec mon parcours et que ce qu’elle ne sait pas doit l’embêter. Elle est certes très jolie, cheveux blonds courts, fine, seins plus menus qu’Aline, un peu plus petite mais toujours un petit sourire hautain. La jolie blonde des films qui se sent supérieure car ses mecs avaient des gros moyens (si elle savait…) et qui ne se rend pas compte que c’est la copine brune qui a tout gagné au final. Bon après j’ai peut-être un parti pris car j’ai épousé une femme si enfin, si. (Oui, chères lectrices, voilà comment un mari aimant voit sa femme !)
Comme le nouvel ex d’Audrey demeurait de l’autre côté de la ville, une bonne demi-heure s’écoule encore avant que son taxi ne la dépose avec ses trois valises devant notre porte. Nous l’accueillons gentiment et elle se rue dans les bras d’Aline pour l’accaparer, pardon se faire consoler.
Tout en jouant la mule de charge, j’entends que son ex est un monstre, qu’il l’a renvoyée car sa secrétaire est plus jeune, qu’il est nul, qu’est-ce que je vais devenir, comment je vais faire… etc. etc.
In petto, je me dis qu’elle va peut-être enfin changer, que ses diplômes tant vantés n’ont finalement pas amené grand-chose conjugués à une tendance à courir après les richards narcissiques et torturés.
Je les abandonne au seuil de la chambre qu’Aline lui a attribuée et qui donne sur l’arrière de la maison et la piscine et vais me faire un peu de lecture dans mon hamac.
Les jours se passent et une certaine routine s’installe, l’ambiance générale remonte peu à peu ; même si vu la présence d’Audrey, nous nous promenons moins déshabillés que d’habitude et que je dois me surveiller pour ne pas caresser Aline devant son amie. Inutile de vous dire que c’est frustrant ! Heureusement, je savoure chaque soir les charmes de ma femme.
Et puis (je compresse le temps pour les lecteurs !) un matin alors qu’Aline est sortie et que je sors de la douche d’après footing, je suis dans notre chambre quand la porte s’ouvre devant Audrey juste enveloppée d’un court peignoir. Simplement revêtu d’une serviette, je lui demande s’il y a un souci.
Elle fait tomber sa serviette, se retrouve nue et dit :
Audrey qui a enfin compris les raisons de mon sourire se tourne et se prend une baffe d’Aline arrivée silencieusement au bon moment. Audrey se retrouve à genoux au sol et subit les foudres verbales de ma guerrière en colère. Elle essaye de se lever mais immédiatement Aline la repousse en lui disant que les petites salopes doivent rester à leur place, à genoux.
Aline s’approche de moi, fait tomber ma serviette, empoigne mon sexe et lui dit :
En un tour de main, elle se met nue, jette rageusement ses vêtements puis se met à genoux devant moi pour emboucher mon sexe durci car évidemment de la voir nue et échevelée de colère a produit un effet certain sur moi. Elle me suce rageusement au début puis plus langoureusement, m’avalant entièrement, ses mains sur mon dos pour me tirer vers elle. Elle nous regarde alternativement, et entre ses yeux liés au mien et son regard pervers vers Audrey, je m’excite de plus en plus
La bouche de ma nouvelle amazone forme un fourreau de soie autour de mon sexe bandé, ses lèvres serrées m’électrisent et ses ongles qui me griffent un peu le dos me donnent de sacrées sensations. Elle s’interrompt pour ordonner à Audrey de se rapprocher pour voir ce qu’elle n’aura pas :
Audrey, domptée, se rapproche à quelques centimètres de mon sexe et regarde d’un air hagard ma femme faire son numéro. C’est un vrai festival, gorge profonde, léchouille sur toute la longueur de ma queue avec la langue bien sortie et les yeux brillants, puis masturbation lente tout en disant :
Audrey serre les genoux, ses tétons sont érigés, ses seins gonflés, son regard envieux et son visage rouge. Aline crache deux fois sur ma queue, " voilà comme je l’aime" et me pompe de plus belle, Audrey tend une main hésitante, mais se fait immédiatement rabrouer " pas touche, sale petite traîtresse ".
Sa langue s’agite sur le gland, puis elle redescend et gobe délicatement mon paquet dans sa bouche. C’est obscène, ses joues sont gonflées et ma queue tendue qui repose sur le haut de son visage rajoute encore à la perversité de son geste. Geste qu’elle interrompt pour stopper Audrey qui avait commencé à vouloir se caresser ; celle-ci se tient coite devant le regard impérieux et les rappels à sa traîtrise passée et présente que lui fait mon épouse en mode Valkyrie.
Ma femme me suce merveilleusement bien, m’avalant si profondément que son nez vient toucher mes poils pubiens et reste ainsi quelques longues secondes avant de ressortir ma queue de sa bouche pour reprendre sa respiration. De la salive coule aux commissures de ses lèvres, qu’elle essuie d’un revers de sa main avant d’en projeter le résultat sur les seins d’Audrey, qui a un regard halluciné et tremble de tout son corps, ses mains sont crispées sur ses cuisses, tout en elle dit "j’ai envie."
Aline est en mode maîtresse du jeu, me manipulant à sa guise et ses coups de langue, le bruit de sa bouche m’enivre de plus en plus. Elle s’arrête encore une fois pour asticoter Audrey.
Audrey haletante, en sueur, tremblante d’excitation, le corps tendu garde le silence mais Aline ne la lâche pas…
Je regarde ma chérie, les yeux brillants, le corps vibrant elle aussi d’excitation, si belle dans son rôle de maîtresse du jeu, qui lape ma queue entre deux phrases.
Audrey geint d’excitation, folle d’envie, le cou tendu, la tête toute proche de mon sexe, son rimmel a coulé, ses seins gonflés sont encore brillants de la salive que lui a jetée Aline mais elle ne peut toucher et sa frustration est ultra bandante pour moi. Aline m’a repris le gland en bouche, sentant que j’étais au bord de l’explosion, elle me griffe le dos de plus en plus fort, sentant mes crispations musculaires, je halète, je gémis, je me tends et, résultat de toutes cette excitation, au-delà de toute retenue, je jouis enfin dans sa bouche en criant.
Je sens qu’elle m’aspire, j’ai l’impression d’être dans un maelström sans fin, je parviens à baisser les yeux à nouveau et la voit, les joues gonflées car elle n’a pas avalé mon foutre, sortir ma queue de sa bouche, recevoir encore quelques gouttes de ma semence sur la joue et le nez, les laisser couler en me regardant et en regardant Audrey, puis, une fois sûre de m’avoir vidé, se relever, face à Audrey, légèrement au-dessus d’elle, ouvrir la bouche et laisser couler tout mon sperme sur le visage d’Audrey. La scène est d’une intensité incroyable, mon foutre coule de sa bouche et va maculer le haut des cheveux, le front, coule sur le nez et les joues d’Audrey qui sort la langue pour y goûter, mais Aline qui a fini de vider sa récolte, le lui interdit immédiatement.
Aline par contre, comme par habitude se pourlèche les lèvres et les doigts tout en regardant mon sperme couler le long du visage d’Audrey puis le long de son cou avant d’atteindre ses seins. Nous sommes dans une bulle temporelle et je serais bien incapable de dire combien de temps cela prend.
Aline fait se redresser Audrey toujours aussi tendue et lui empoigne les seins brillants dans ses mains avant d’en serrer les tétons avec force, faisant gémir sa captive.
Et, comme Aline lui tire encore plus fort les seins tout en la collant contre elle, Audrey part dans un long cri de plaisir et de douleur mêlée, un dernier « ouiiiii », qui la laisse pantelante, effondrée au sol, aux pieds d’une Aline ivre de pouvoir et de plaisir. Accroupie au sol, le souffle court, Audrey jette sur Aline un regard étonné :
Audrey obtempère tout de suite et, en attendant les explications, je savoure la vision de ma femme, nue, la poitrine frémissante, debout au-dessus d’une Audrey le visage et les seins encore humides de mon plaisir, dans une position semi assise sur les genoux et encore essoufflée d’un orgasme d’une rare intensité, et l’expression… Hmm un peu comme si elle n’avait jamais connu le plaisir.
Je regarde Audrey et son expression envers ma femme me confirme ce que je soupçonnais, Aline n’a pas encore compris mais à ce rythme cela ne saurait tarder.
J’ai pitié d’Audrey et j’interviens.
Et puis Aline réalise, "oh bon sang comme j’ai été aveugle !" Elle regarde Audrey qui, les yeux rouges et au bord des larmes se tient toute en tension comme un arbre vacillant dans la tempête et lui dit :
Et, comme Audrey me regarde et n’ose bouger, elle rajoute :
À la vitesse de l’éclair, Audrey se relève, se rapproche d’Aline et hésitante dit en désignant son visage " Mais je suis, je… "
Elles se serrent l’une contre l’autre et se roulent une galoche MONUMENTALE (les majuscules sont de mise !)
Pendant une bonne minute, ce ne sont que mains virevoltantes sur le corps de l’autre, gémissements, ballet de langues entre elles, leurs deux corps sont imbriqués et puis Aline la repousse et lui dit :
Aline ne répond pas tout de suite et je vois tourner les rouages de son cerveau après le semi-aveu d’Audrey… Il faut dire que ces dernières semaines, elle s’est découvert un goût certain pour les jeux de domination.
Aline sourit vicieusement et rajoute :
Je regarde Audrey qui arbore un sourire mi-figue mi-raisin et semble doucement comprendre ce que son aveu implique… Aline s’est assise sur le lit et regarde son amie, le regard brillant et l’air dominateur.
Audrey hésite un quart de seconde puis bascule dans sa nouvelle vie en venant prendre position ; couchée sur les genoux d’Aline, la croupe surélevée et offerte elle attend, le corps tremblotant un peu. J’admire le spectacle, la tension érotique qu’il s’en dégage. Aline lui assène une forte claque sur une fesse suivie immédiatement de sa sœur sur l’autre fesse.
Aline alterne fortes claques et main abattue plus doucement de façon à ce que sa victime ne sache jamais à l’avance ce qui va lui arriver. Le petit postérieur d’Audrey commence doucement à rougir en même temps que ma queue commence à reprendre de la vigueur. Surtout il me semble qu’Audrey commence à tendre ses fesses plus haut et quelques gémissements réprimés émanent d’elle malgré ses efforts pour se taire.
La fessée se poursuit encore un peu et il est maintenant flagrant que la victime est devenue totalement consentante. Aline s’arrête, caresse les fesses, passe la main entre les deux beaux globes jumeaux et d’un ton faussement outré s’adresse à moi :
Aline introduit deux doigts dans la chatte d’Audrey, fait quelques mouvements de va-et-vient avec ses doigts et me les tend brillants et humides en disant :
Je m’approche, lèche les doigts que ma femme me tend, savourant le goût délicat de l’intimité de son amie, remplaçant dans le même temps ses doigts par les miens, savourant la chaleur de sa petite chatte lors de quelques rapides allers-retours avant de rajouter "Tu as raison, cette petite chienne est trempée."
Il faut dire que dans le même temps, la maîtresse du jeu caresse les fesses de notre victime d’une main et serre un sein avec l’autre, arrachant des petits cris de plaisir à notre soumise.
Je dis soumise, car Audrey apprécie visiblement ce rôle, son corps en donne les preuves formelles. Nous continuons notre manège en nous jetant quelques coups d’œil rapides, tous les deux sur la même longueur d’onde, alternant caresses, petits claques et mots crus susurrés à l’oreille d’Audrey.
Nous amenons aux sommets du plaisir une Audrey qui se tortille de plus en plus et tend son petit cul pour se faire masturber et après un regard de connivence, stoppons d’un coup.
Aline toujours assise, ouvre les jambes, dévoilant sa fente tout aussi humide et brillante que celle de sa victime et commande :
Audrey ne demande pas son reste et s’empresse de se jeter langue en avant pour laper, déguster, sucer la chatte de ma femme. Aline rejette la tête en arrière, savourant le lapage en règle auquel se livre si volontiers Audrey.
Je m’approche et j’écarte les cuisses d’Audrey qui ne s’arrête pas pour autant de lécher. Des bruits de succions s’élèvent et je vois sa langue s’agiter sur toute la sublime fente de ma princesse.
La fente d’Audrey est bien ouverte et coule abondamment, tant cela l’excite.
Je fais pénétrer deux doigts dans son abricot mûr et juteux, juste au bord et Audrey pousse son corps vers moi, cherchant une pénétration plus profonde. Une petite claque sur sa fesse pour qu’elle comprenne qu’elle ne doit pas bouger, un gémissement de frustration et je fais aller et venir mes doigts.
Je m’empresse de plonger l’index dans son mignon petit trou qui, bien lubrifié par sa mouille, entre plus facilement.
De plus en plus de gémissements se font entendre et Audrey n’arrive plus à se retenir de trémousser et d’agiter son petit fessier. Elle est cambrée en arrière et je profite de la vision excitante de mes doigts qui pistonnent sa chatte et son cul.
Aline halète mais parvient à se redresser et me dit entre deux soupirs :
Je redresse Audrey, qui a un air hagard, les yeux brillants, quasi hallucinés, des gouttes de sperme séché dans les cheveux, le visage couvert des sucs d’Aline haletante, la salive lui coule sur le menton, les veines du cou qui palpitent, encore une fois stoppée au bord de l’orgasme mais qui se laisse totalement diriger, je la fais se coucher sur le dos, Aline se place à quatre pattes au-dessus d’elle et lui intime l’ordre de ne pas bouger. Je me place derrière Aline, mon sexe tendu, d’où coule un peu de pré-sperme tant je suis excité par nos jeux.
Je baisse mon regard vers une Audrey tendue et lui dis de me mettre en place. Elle obéit immédiatement et saisit ma queue bandée qu’elle introduit dans la moiteur d’Aline. Celle-ci pousse un long feulement de contentement et je commence doucement à m’introduire en elle. Elle est totalement trempée et, dès ma première poussée, je la possède jusqu’à la garde.
J’entame un rythme régulier et lâche juste un "lèche-nous, petite chienne" repris en écho par ma femme. Notre amie obéit et sa langue entame un ballet entre le clitoris d’Aline et ma queue. La sensation est dingue, la chaleur, la moiteur du sexe d’Aline, la langue d’Audrey, la sensation de la diriger, Aline et moi montons rapidement crescendo dans le plaisir. J’ai du mal à ne pas accélérer le rythme tant c’est excitant, craignant de jouir à chaque instant, et quand enfin Aline crie son plaisir je la suis immédiatement dans l’orgasme, mes coups de reins scandent mon éjaculation et je crie moi aussi mon plaisir.
Aline s’affale sur le côté, vaincue par la puissance de son plaisir, tout aussi démultiplié que le mien, et je retombe de l’autre côté d’Audrey, encore une fois stoppée au bord du plaisir. Nous nous regardons et sourions avec Aline, regardant Audrey rouge d’excitation, prête à exploser.
Aline se place cuisses écartées au-dessus du visage d’Audrey et écarte ses lèvres laissant couler sa mouille et mon sperme dans la bouche de notre esclave.
Audrey ne peut répondre car des gouttes blanches et translucides coulent dans sa bouche grande ouverte, ses joues se gonflent doucement et ses yeux sont vitreux de plaisir.
Elle se colle alors contre Audrey et échange avec elle un long baiser pendant que je masturbe notre amie qui a, après tout, mérité son plaisir.
Elle dégouline véritablement, son corps s’arque-boute pendant que j’enfonce mes doigts en elle et la branle profondément tout en regardant leurs langues jouer avec notre plaisir, c’est brûlant de tension et, enfin, Audrey qui n’en peut plus, jouit dans un long cri, abandonnant le baiser partagé, tout le corps tendu dans le paroxysme du plaisir.