n° 19070 | Fiche technique | 21624 caractères | 21624 3481 Temps de lecture estimé : 12 mn |
08/07/19 |
Résumé: Un couple continue ses jeux avec une nouvelle amie qui est punie d'avoir tenté de semer la zizanie. | ||||
Critères: ffh fbi fsoumise fdomine fmast fsodo | ||||
Auteur : Caribonex2 (Rendre aux autres lecteurs le plaisir que j'ai eu à lire la) Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Aline et Axel : Retour en France Chapitre 02 | Fin provisoire |
Résumé épisode précédent :
Audrey a été bien mal inspirée de vouloir semer la zizanie au sein d’un couple. Sa tentative de séduction et de chantage s’est retournée contre elle.
Nous reposons, tous les trois sur le grand lit, les membres entremêlés après cette séance fort intense. Je contemple les deux jeunes femmes qui, comme moi sans doute, sont encore en sueur et les yeux brillants de cette lueur d’après l’amour.
Une petite discussion s’engage, elle reprend son rôle d’amie et se confie plus avant ; reconnaissant avoir joui intensément, se sentir détendue entre nous et avoir apprécié son rôle de soumise. Elle avoue même, sur la demande d’Aline dont elle a toujours été amoureuse, qu’elle m’apprécie beaucoup et que ses mecs précédents n’ont toujours été que des façons d’accéder à une certaine reconnaissance ou un confort de vie.
On s’étire, on se redresse et après avoir enjoint à notre amie d’aller se doucher et de revenir dans la même absence de tenue ; nous allons tous deux dans notre grande salle de bain. Tout en savourant les jets d’eau en pluie, nous discutons et, parano comme toujours, je demande à Aline si tout peut être vrai, si Audrey n’en rajoute pas pour continuer à rester chez nous.
Nous revenons dans notre chambre où Audrey nous attend nue sur le seuil comme demandé. Nous prenons tout notre temps pour nous installer sur le lit avant d’enjoindre à Audrey de venir debout face à nous.
La voyant un peu gauche, les mains devant son sexe, je lui lance :
Enlacés, nous l’observons, un peu pâle, le corps plus fin que celui d’Aline, les seins bien plus menus, mais bien ronds, avec des tétons très foncés qui ressortent sur son corps très clair, son teint de blonde. De vraie blonde, puisque sa petite toison taillée en triangle est de la même couleur que ses cheveux courts.
Audrey n’hésite qu’imperceptiblement et commence à caresser sa mignonne petite poitrine. Nous la regardons se passer les mains sur ses rondeurs, titiller un peu les pointes, s’enhardissant à aller un peu plus vite, une main descend sur son ventre.
Mon « non » claque comme un coup de fouet :
Effectivement, elle ne se freine pas et ses yeux brillent un peu de douleur, elle ne simule pas, à moins d’avoir plusieurs Oscars cachés dans son armoire !
Nous la regardons en nous roulant des pelles langoureuses de temps en temps, en nous mordillant les lèvres, je caresse doucement ses fesses, pendant que ses doigts jouent avec les boucles sombres à la base de mon sexe qui se redresse langoureusement. Nous savourons tous deux le sentiment de la diriger, de la guider dans le plaisir, de voir qu’elle se lâche pour nous.
Audrey obéit désormais sans délai, met ses doigts dans sa bouche, les lèche avec un regard vicieux.
Encore une fois, elle répond instantanément à notre commandement et s’enfonce les doigts dans sa bouche, les laisse et savoure sa mouille, puis commence à baver, car nous ne lui donnons pas l’ordre de les sortir. Nous la regardons avec le sourire, ma chatte se love contre moi, savourant la vision de notre petite salope, les doigts enfoncés dans la bouche, la salive coulant sur les doigts, le regard toujours plus brillant, les fils de salive coulent sur ses seins. Ses tétons sont tendus et en plus de leur couleur de mûre, ils en ont la taille.
À peine les mots prononcés, que sa main s’est déjà perdue entre ses cuisses et qu’elle se masturbe joyeusement ; avec sa main gauche, elle se caresse les seins, tirant sur une pointe puis sur l’autre, le tout en nous regardant avec un plaisir non dissimulé.
Sa main quitte ses seins et s’accroupissant un peu, elle fait pénétrer un doigt gluant de son miel dans son petit œillet.
Audrey arrive sans hésitation et sa langue, sa bouche viennent s’écraser sur le petit anneau brun de ma femme. Je contemple ce spectacle excitant, la verge désormais bien droite, admirant le ballet de sa petite langue rose entre les fesses de ma complice de vice. Complice qui m’interpelle :
Je ne me fais pas prier et viens lui posséder la bouche, elle m’engloutit, distendant les mâchoires pour me faire pénétrer bien profond.
Je vois par-dessus les superbes fesses de ma femme, le regard halluciné d’Audrey qui a compris qu’elle préparait le petit cul à la pénétration anale et en est chavirée.
Au bout de quelques minutes de ce savoureux traitement, je m’arrache à la douceur de ce fourreau humide et enjoint à Audrey de s’écarter un peu.
Je positionne mon gland sur l’anneau séculier et pousse fortement, mouillé, gluant de la salive d’Audrey, je m’enfonce quasiment sans à-coups, regardant tout comme Audrey, le petit trou s’élargir et absorber lentement mais sûrement ma queue tendue.
Aline ronronne de plaisir et entre deux gémissements, marmonne :
Je suis toujours un peu étonné, car Aline utilise souvent le mot « sodomise » quand je la prends par derrière, comme si la sonorité d’un mot à rallonge lui faisait plus d’effet.
Audrey a la tête posée sur la fesse d’Aline et ne perd pas une miette des allers-retours que j’ai commencé à entamer, sa bouche est entrouverte, elle respire fort.
Je stoppe, sors ma queue et la présente à Audrey en lui disant :
Audrey n’a pas de temps d’arrêt, gobe ma queue entre ses lèvres, bave, fait courir sa langue tout le long et sur mon signal, repositionne le gland sur l’anneau que je reprends rapidement
J’ai cru jouir en la voyant agir sans hésitation, excitée de lécher mon sexe sortant du cul de ma femme.
Aline qui m’a demandé ce qui se passait et a entendu ma réponse hachée par la tension, frémit de plaisir, je la sens au bord de l’explosion, mais à mon grand étonnement, elle s’affale et ma queue est expulsée de son anus un peu entrouvert. Je comprends mieux quand elle dit à Audrey :
(Pour une autre, c’est ce mot qu’elle adore utiliser)
Audrey s’exécute avec un plaisir non dissimulé et plonge plusieurs fois les doigts dans la chatte inondée d’Aline pour se tartiner l’anus de lubrifiant.
Aline écarte les fesses d’Audrey, exposant son petit anneau rosâtre et brillant, crache plusieurs jets de salive dessus, y plonge son index qu’elle fait aller et venir avec vice et saisit ma queue tendue à l’horizontale et dure comme un pieu pour me positionner au bon endroit. Je pose le bout dur du gland sur l’anneau et encouragé par Aline qui répète en boucle :
Je pousse fortement en avant, les gémissements d’Audrey rajoutant à la luxure, à l’excitation de la scène et doucement, souplement, j’entre dans l’anus de notre soumise. Elle crie un instant et comme Aline lui caresse le clitoris par en dessous, se détend doucement. Je pousse plus fort sous les encouragements et les mots de ma femme.
Je bloque le mouvement, sentant jusque dans ses fesses, les halètements, de notre petite chienne qui doucement s’habitue à ma grosse queue qui la remplit.
J’entame doucement des va-et-vient profonds et Aline la branle rapidement. Elle sait y faire et je sens la houle s’emparer d’Audrey qui commence à crier.
Je me colle contre le petit cul d’Audrey et, passant mes mains par dessous, caresse ses seins avec plaisir.
Son corps est tendu à se rompre, son orgasme énorme émouvant, visiblement elle n’a pas menti et jamais vraiment connu cela. Je me retire dans un bruit obscène et bandant, le sexe tendu comme un arc.
Aline retourne une Audrey ravagée de plaisir, arrive à la faire s’allonger face à moi puis, passe derrière moi, se colle comme une sangsue dans mon dos et m’empoigne d’une main brûlante le sexe pour me masturber devant le visage échevelé d’Audrey.
C’est intense, je n’ai qu’à savourer le plaisir.
Sa main s’agite à toute vitesse sur ma colonne de chair pendant qu’elle me griffe le torse avec son autre main. C’est grisant, bandant, excitant et les mots crus qu’elle rajoute ne font qu’attiser mon plaisir.
Estimant sans doute qu’Audrey mérite déjà une première récompense, voulant lui montrer son pouvoir et son vice, Aline passe alors la tête par-dessus mon épaule et crache sur le visage offert de notre amante.
Un, deux, trois jets de salive viennent le maculer, je sens contre mon dos, la tension de ma chérie, son excitation, je ressens son envie, je sens monter en moi une houle énorme, incroyable et j’explose avec de grands coups de reins. Aline dirige ma queue gonflée comme jamais et de puissants jets de foutre viennent exploser sur le visage déjà souillé de salive.
Je ressens la jouissance d’Aline qui prend son pied en jouant à l’homme, dirigeant ma bite du mieux qu’elle peut, secouée de plaisir, ivre de pouvoir.
Le visage d’Audrey est couvert de sperme et de salive, son menton, son nez, sa bouche en sont recouverts, masque de luxure, elle vient dans un délire sexuel chercher avec sa langue les gouttes de foutre sur ses lèvres, se pourlèche pendant que je m’effondre sur le côté. Je regarde encore une Aline tremblante, chercher mon foutre avec ses doigts et les faire lécher à Audrey avant d’encore une fois se lâcher dans un baiser baveux qui scelle définitivement le rôle de soumise d’Audrey.
**********
Audrey désormais installée dans son rôle, nous reprenons nos habitudes et mettons de côté nos vêtements. Vivre nus est si agréable une fois qu’on y a goûté. Bien sûr, il n’y a pas le soleil des Canaries, mais il fait bon, la maison et son jardin sont totalement à l’abri des regards (nous y avons assez veillé !) Audrey qui découvre cet aspect de notre vie et cette sensation s’y fait très rapidement et savoure cette liberté si agréable. Le passage semi-aquatique entre la maison et la piscine rend le jeu encore plus amusant et au fur et à mesure des jours c’est devenu un rituel de nous retrouver dans l’eau pour partager des plaisirs.
C’est peut-être justement d’avoir trop traîné mouillée dans le courant d’air qui a généré un gros rhume à ma femme, mais toujours est-il qu’un matin alors que je la rejoins dans la cuisine, je la trouve le nez rouge, assise devant un grog fumant, les yeux larmoyants et l’air épuisée. Elle m’avoue toute de suite ne pas vraiment en état de s’amuser avec moi.
Elle s’assied dans un grand fauteuil confortable et me lance :
C’est un jeu que nous pratiquons souvent entre nous, la sensation de se dévoiler, l’excitation de se montrer, de regarder l’autre, la connivence dans le couple, même si cette fois, elle ne se dévoilera pas comme cela arrive parfois à l’un de nous pour juste savourer le spectacle. Après c’est l’occasion de se préparer pour plus tard et de s’allumer verbalement.
Son regard, son sourire, je ne suis pas long à empoigner mon sexe et commencer à faire des allers et retours avec ma main en la regardant dans les yeux.
Je me fais la réflexion que comme souvent quand nous jouons à ces jeux, elle repart dans les mots crus, mais comme cela apporte un certain piment je n’ai absolument rien contre ; bien au contraire.
Inutile de dire que je suis complètement excité après son petit discours et quand Audrey arrive elle me trouve au garde-à-vous. Elle est nue, et vient de se tailler sa petite toison qui a désormais la forme d’un long trait épais d’un pouce, c’est bien plus érotique qu’être totalement nue et nous la complimentons.
Comme elle vient vers nous en s’apprêtant à participer, Aline lui enjoint de s’asseoir et de regarder. Je laisse ma femme commander, je sais qu’elle aime cela et surtout j’aime la voir ainsi…
Je me caresse doucement, le sexe tendu vers elle, vêtue d’un long t-shirt et de petites pantoufles en forme de tigre. C’est incongru et cela la fait ressembler à une ménagère qui traîne seule à la maison. Mais une ménagère qui, tranquillement assise, regarde son mari se masturber pendant qu’une petite chienne bave d’envie devant la scène.
Audrey a la bouche légèrement entrouverte, sa langue passe régulièrement sur ses lèvres et elle est fascinée par mes mouvements.
J’accélère le mouvement, encouragé par ma femme qui est repartie dans ses délires verbaux.
Effectivement, Audrey a déjà commencé à se toucher les seins, pleine de désir.
Effectivement, son entrecuisse est visiblement humide ; elle tressaute sur sa chaise, mais, soumise, garde bien sa position. Mon geste se fait plus rapide, tout comme les paroles de ma petite coquine.
Et je jouis enfin ; mon corps tendu comme un arc ; je viens à longs jets sur son t-shirt, les pointes tendues de ses seins dardent sous le tissu et je focalise sur elles. Mon sperme s’écrase sur le tissu, formant de grosses taches blanches en un dessin abstrait reflet de notre luxure.
Aline continue de parler, mais je n’entends qu’un son diffus, secoué de soubresauts, les yeux fixés sur le tissu maculé de ma semence.
Aline enlève son t-shirt, le jette vers notre soumise et lui lance :
Audrey attrape au vol le vêtement et, fiévreusement, lèche les taches humides, aspirant ce qu’elle peut de mon foutre. Aline est remontée se changer et je continue à observer Audrey qui se délecte visiblement des restes de mon plaisir.
Aline et moi avons discuté de leur passé commun, de ses envies, de son envie de soumission latente et je constate que ma femme, fine psychologue, ne s’est vraiment pas trompée.
Ayant absorbé tout ce qu’elle a pu, Audrey me regarde d’un air hagard et, avisant une banane sur le plateau de fruits, je l’attrape et la lui tends en lui disant :
Elle saisit le fruit, se recule et, d’un même geste s’enfile la banane dans sa chatte trempée avant de se pistonner avec comme une furie en émettant des gémissements prolongés.
Je monte rejoindre Aline sur cette douce musique.