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12/07/19
Résumé:  Trois couples d'amis définissent les règles de leurs relations intimes. Ils décident de deux soirées yeux bandés pour initier quelques fantasmes entre eux. La première soirée permet aux trois filles de vivre une première soirée découverte les yeux bandés.
Critères:  fh ff ffh grp couplus copains grossexe fsoumise fmast cunnilingu 69 fdanus échange jeu yeuxbandés -entrecoup
Auteur : Jacynthe            Envoi mini-message

Série : Échanges entre amis

Chapitre 01 / 02
La soirée des filles

Finalement l’amitié a cela de bien. Elle permet les échanges en toute confiance.


Comment en étions-nous arrivés là ? Après une dizaine d’années à passer des soirées, des week-ends et des vacances ensemble, nos personnalités, nos vies et nos intimités n’avaient plus de secrets entre nous. Du moins, pour un certain nombre d’entre elles. Les plus avouables en quelque sorte.


Nos trois couples se retrouvaient très souvent pour faire la fête et passer de bons moments. L’alcool aidant, nos inhibitions s’étaient parfois relâchées. Parfois, nous avions frôlé quelques situations plus scabreuses. La dernière en date fut quand, devant les quatre autres, la main de Gérald s’était introduite sous la jupe d’Élodie alors que leurs bouches s’embrassaient goulûment. Cet évènement nous avait décidés à faire une mise au point.


Les trois couples que nous formions, Gérald et Charlotte, Antoine et Élodie, ainsi que Sylvain et moi, Stéphanie ou Stef, ne pouvions continuer à partager de bons moments qu’en définissant les règles précises de nos relations intimes.


Nous avions tous l’esprit suffisamment libre pour ne pas nous arrêter à quelques incartades. Nos couples se savaient solides et fidèles. Mais il allait de soi que rien ne pouvait avoir lieu en l’absence d’un seul des membres du groupe sans quoi la confiance réciproque en prendrait un coup. Ainsi avions-nous décidé que des relations intimes entre nous ne seraient permises que quand nous nous rencontrions, mais jamais en dehors de nos retrouvailles.


C’est alors qu’Antoine proposa que, pour nous mettre dans le bain, il serait stimulant d’organiser deux soirées découvertes et initiatrices de quelques plaisirs en groupe. Il suggérait que chacune de ces soirées se déroule les yeux bandés. Une première soirée où l’on banderait les yeux des filles et une seconde soirée où ce seraient le tour des garçons.



Ce soir, nous voici donc réunis pour la première partie chez Gérald et Charlotte. Il faut dire que leur intérieur s’y prête à merveille. Leurs deux belles chambres communiquent directement sur un grand living comportant deux larges sofas. La circulation y est aisée et tout peut se dérouler à la vue de tous. Ce qui est une condition sine qua non pour le genre de soirée que nous voulons réaliser entre nous.


Pour ma part, j’aurais préféré que la première soirée soit celle consacrée aux garçons. Mais je dois avouer que l’inconnu qui s’offre à moi, m’émoustille aussi tout particulièrement. Dès lors, va pour cette première partie d’exécution de nos fantasmes où nous, les filles, serons au centre de l’inattendu.


Les instructions pour le début de cette première soirée étaient que les filles ne devaient porter qu’un bikini. Pour le reste, les yeux une fois bandés nous allions nous laisser guider par les fantaisies de ces messieurs. Toutefois rien ne pouvait se faire qui ne soit annoncé et auquel nous n’ayons donné notre accord explicite. Pour ma part, j’en avais discuté avec Sylvain, je désirais accepter a priori toutes les propositions sauf quoi que ce soit que j’estimerais dégradant. Je me sentais intéressée par des expériences nouvelles comme chacun d’entre nous. Je savais que je pourrais le faire en toute sincérité et sécurité avec notre groupe de copains.


Une fois habillée de son bikini et les yeux bandés, chacune d’entre nous se voit emmenée par la main par un garçon qui n’est pas son compagnon. Il avait été convenu qu’il serait interdit à chaque garçon de définir des impératifs pour sa propre compagne. Je sais donc que seuls Antoine ou Gérald peuvent me guider tout au long de la soirée.


Cette première main saisit donc la mienne pour m’emmener vers un des sofas. J’entends la voix de mon accompagnateur et crois reconnaître celle d’Antoine qui me parle en chuchotant :



Je laisse glisser ma main lentement dans la culotte pour venir au contact de mon clitoris avec l’un de mes doigts. J’adore caresser celui-ci lors de mes plaisirs solitaires. Par de petits mouvements concentriques, j’exerce une pression régulièrement pour que le frottement fasse monter progressivement des sensations douces et tendres.


Sans rien voir, je ne peux m’empêcher d’imaginer ce qui se passe dans cette maison. Sans doute sommes-nous toutes trois installées dans ces sofas. Dans des positions différentes sans doute. Nos trois amants de ce soir nous observent.


S’ils réagissent tous comme Sylvain, je sais que leur sexe est déjà en train de gonfler dans leur pantalon. Je spécule sur le fait qu’ils ne vont pas tenir longtemps avant de déboutonner leur froc pour y plonger leur main également. Les garçons sont assez vite dans la nécessité de saisir leur membre et de l’astiquer. Je trouve assez bandant de les imaginer dans cette position. Je ne peux me retenir de les provoquer :



La voix est calme, posée et même enjouée. Ce n’est pas la voix de Sylvain, plutôt celle de Gérald. C’est alors que je sens un souffle près de mon oreille. De la bouche d’où sort cette respiration surgit un léger murmure :



Subitement des lèvres chaudes saisissent les miennes en un premier baiser tendre et doux. Elles me donnent la sensation de venir écraser comme une fraise ou une cerise dans ma bouche. La salive glisse de l’un à l’autre comme le jus d’un fruit qu’on presse. Puis progressivement le propos se fait plus alerte, plus ardent. Une langue s’introduit dans mon antre par petites saccades. Tout de suite je pense à une suite de pénétrations brèves et rapides. Comme une série de petits coups de sexe qui se déplacent entre mes lèvres. Je sens immédiatement les effets sur mon clitoris qui devient plus réactif à mes caresses. Ces embrassades fougueuses mêlées au mouvement de mes doigts sont d’un effet immédiat sur mon petit bouton. Quelques mouvements dans mon abdomen s’ensuivent et je sens que mon sexe commence à mouiller assez vite.


Habituellement dès que je sens cette humidité envahir mon petit coin secret, j’ai le réflexe de glisser mes doigts vers ma fente et de les y tremper pour sentir cette moiteur. À peine ai-je esquissé un mouvement vers le bas qu’une main vient me retenir.



Ma voix n’est déjà plus qu’un murmure un peu haletant. Je suis étonnée de l’entendre si faible et tendue. Je discerne autour de moi quelques bruits feutrés et d’autres murmures sans en comprendre un seul mot. Je suis tout entière enfermée dans l’intensité de ce que je vis.


Je délace ma culotte qui tombe et découvre mon sexe presque complètement épilé. Il ne reste juste qu’un petit triangle de poils ras au-dessus de mon bas-ventre. Je devine ma vulve à demi ouverte. Les lèvres encore collées l’une à l’autre sur le dessous gardent ma petite grotte fermée aux regards. Mais le dessus est ouvert comme les corolles d’une jolie fleur couleur chair. Ainsi délivrée, ma vulve se découvre légèrement sous l’effet du liquide qui s’en échappe par gouttelettes. Elle est offerte au regard de ces messieurs. J’en ressens tout à la fois une gêne et une excitation plutôt exquise. Frustrée de ne pas pouvoir me toucher, je m’entends demander :



Je plonge illico mon premier doigt pour user de ce liquide légèrement épais afin de masturber mon clitoris avec plus de force. Je cambre les reins et me laisse glisser sur le bord du sofa en ouvrant plus encore mes deux jambes. Mon clitoris trône au-dessus de ma chatte, garni de la rosée que mon doigt y dépose.


Comme cette situation est chaude, me dis-je en moi-même.


Je dois faire un effort énorme pour ne pas glisser deux ou trois doigts dans mon orifice tout humide comme j’en ai la coutume. Mon vagin a déjà envie d’un contact, d’être rempli, d’être pris. Mais c’est seulement un doigt à la fois comme il m’a été demandé. La frustration provoque une réaction contradictoire, une légère baisse de la tension de mon clitoris, mais une envie de plus en plus intense que quelque chose vienne remplir ce sexe qui s’ouvre de plus en plus.


N’y a-t-il pas un mâle charitable prêt à me sauter et à venir me satisfaire ?


Je me surprends à avoir une telle pensée aussi nette et aussi animale. Mais il est vrai que je ressens profondément cette envie d’être prise. Comme je n’y suis pas encore autorisée, je me concentre sur ce mouvement de plus en plus rapide que j’exerce sur la zone au bas de mon ventre devenue hyper sensible. Les regards que je crois posés sur moi amplifient la chaleur qui me travaille à l’intérieur. Des mouvements sous forme de contractions parcourent mon abdomen à chaque fois que ma réceptivité augmente sous l’effet du frottement.


J’entends maintenant distinctement gémir une de mes copines. Est-ce Charlotte ou Élodie ? Impossible pour moi de l’identifier, mais il semble que ce vers quoi les guident les garçons est du plus bel effet. Est-ce mon Sylvain qui en est l’auteur ? De mon côté, je ne m’autorise pas à être aussi expressive en public. Tout cela rend mon plaisir de plus en plus vif et je sens qu’un premier orgasme pourrait me prendre assez vite.


Quand je me masturbe seule, je peux me faire jouir assez rapidement. C’est assez pratique, car si j’ai peu de temps, je peux me satisfaire en un laps de temps assez court. Un petit plaisir sur le pouce en quelque sorte. Néanmoins je préfère profiter du plaisir pendant un certain temps. Alors je m’arrange pour faire monter mes envies puis les calmer pour les laisser repartir en vagues érotiques successives. J’aime que le jeu prenne du temps. Mais là, le contexte n’est pas le même. Mon sexe arrive à une excitation assez paroxystique qui me fait véritablement fondre avec une chatte mouillée de plaisir que je ne peux m’empêcher de remplir d’un doigt qui s’y agite de plus en plus frénétiquement.


Mon Pygmalion se rend compte que mon plaisir commence à atteindre des limites à ne pas dépasser et il interrompt soudain ma masturbation en saisissant les mains avec lesquelles je l’active. Je suis de nouveau frustrée alors que mes caresses allaient aboutir. Mais je conçois que le jeu entre fantasme en action et frustration crée une tension qui finira bien par décupler le plaisir quand le moment sera venu. Je me résous à être patiente. Mon cavalier me fait mettre debout et la tension baisse aussitôt de quelques crans. Ses mains m’entraînent vers la droite. J’entre tout de suite en contact avec des jambes dont la pilosité m’indique qu’elles appartiennent à un garçon.


Me tenant délicatement, mon guide me déplace devant les deux jambes. Il me fait lui tourner le dos et écarter les pieds. Puis il me pousse doucement vers l’arrière pour me déposer, assise contre le ventre d’un homme totalement nu. Je sens aussi vite un membre qui se redresse prestement entre mes deux jambes. Je suis ainsi posée avec mon dos contre son torse, jambes et sexe ouverts. La queue toute dure est érigée tel un pieu plaqué et se plaque contre mon sexe. Mon mentor me demande d’un ton un peu plus audible :



J’approuve d’un petit « oui » avec une voix à peine perceptible tant mon souffle est presque coupé, car ce contact a nettement accéléré mon rythme cardiaque.



J’acquiesce de la tête.



Mon désir identifié de manière aussi nette et aussi crue me stimule plus que de me frustrer. Le fait de le nommer le rend plus encore nécessaire et attirant. L’interdit me le fait d’autant plus souhaiter et espérer. Cela se traduit par une contraction de mon sexe que je dois retenir d’aller se faire prendre immédiatement.



Je me laisse donc aller un peu en avant en appuyant mes mains sur ses genoux. J’avance en même temps légèrement mon sexe pour qu’il s’écrase fermement sur le manche tout raide. Il semble être d’une dimension raisonnable, mais sépare les deux lèvres de mon antre à l’extrême. Les deux bords de mon orifice poussent sur la verge tendue en attendant plus que jamais que quelque chose y pénètre.


Tout occupée à me tenir d’une main sur une de ses jambes pour entamer mes va-et-vient et à me masturber le clitoris de l’autre main, je sens mon compagnon qui dégrafe mon soutien-gorge. J’avais oublié que mes seins étaient encore cachés et retenus. Les sentir ainsi libérés me donne une sensation supplémentaire. Deux mains viennent masser ma poitrine avec délicatesse pendant un petit moment. Elles progressent lentement et peu à peu les doigts s’avancent vers mes tétons. Mon cavalier, sait-il à quel point je suis sensible à cet endroit ? Sylvain l’en a-t-il averti ? Va-t-il me faire subir cette tendre torture qui me fait succomber à chaque fois ?


Je sais que la plupart des femmes ne ressentent pas d’effet particulier à l’effleurement de leurs seins. Juste la satisfaction d’une certaine flatterie pour leur anatomie. Moi, je suis sans doute de la minorité de celles dont cette zone est d’une excessive sensitivité et donc très érogène. À cause du contact des doigts de mon comparse sur mes tétons et la manière dont ils viennent les titiller, mes petits bouts se contractent et se raidissent petit à petit. Ils deviennent très vite hypersensibles. Ayant compris la réaction qu’elles provoquent, les mains s’enhardissent et pincent les extrémités de mes seins légèrement en les faisant tourner. Cela augmente mon plaisir à triple vitesse.


Je ne me contrôle plus. Ma chatte dégouline sur son sexe et le mouille assurément. Par quelques mouvements de va-et-vient que je ne peux réprimer, je la frotte énergiquement sur son membre qui pousse vers le haut pour se redresser tant mes mouvements l’excitent. Mais mes poussées le contraignent à rester incliné pour que je puisse m’y frictionner à l’aise. Nos deux sexes bataillent ainsi un petit moment tentant de ne pas céder leur place. Par ma position, je suis seule en mesure d’imposer ma volonté en le maintenant dans la position qu’il me plaît. Inutile de dire que cette nette ascendance a pour effet d’augmenter plus encore mon enfièvrement.


Mon autre main tapote mon clitoris en feu et en quelques minutes, un orgasme puissant éclate et me fait vibrer de bas en haut. Je pousse quelques râles sonores comme il m’arrive rarement d’en faire entendre. Une série de secousses font vibrer tout mon corps et se répètent pendant plusieurs secondes. Cela semble durer si longtemps et m’apporte un bien-être immense. Après seulement un long instant, je subis des tremblements puis d’un coup, je m’affale, le dos toujours appuyé sur le torse de mon étalon. Mon organisme se relâche progressivement. En tournant la tête, j’embrasse mon partenaire à pleine bouche en sentant une vague apaisante m’emplir graduellement.



Là-dessus, il me relève, se met debout à mes côtés, puis me rassoit sur le sofa. Ma culotte et mon soutien-gorge ne sont plus que des souvenirs. Me voici complètement nue à sa merci. Je le sens repousser mes genoux vers la gauche et la droite pour découvrir mon intimité pleine de foutre. Il me tire vers lui pour que mon entrejambe dépasse du sofa. Je suis à moitié couchée et sa langue vient lécher mes cuisses avant que sa bouche avale une bonne partie de ma chatte pour venir y boire le miel qui stagne encore à profusion. Quand il a pratiquement asséché le bas de mon sexe. Il remonte vers mon clitoris qu’il prend tout entier entre ses lèvres et le nettoie avec de légers mouvements circulaires de la langue. Cela provoque directement quelques contractions supplémentaires étant donné l’exaltation exagérée dans laquelle ma petite rosace se trouve encore. Mais patiemment mon amant la calme doucement avec de petits va-et-vient très légers de la bouche. Mon clitoris s’apaise ainsi peu à peu.



En émergeant de ce moment intense, je prends soudain conscience de ce qui se passe autour de moi. J’entends nettement la voix de Charlotte qui supplie :



Je pense bien reconnaître celle de Sylvain.



Ses râles de plaisir révèlent une situation des plus torrides. En revanche, je n’entends pas la voix d’Élodie sauf quelques soupirs émanant de la chambre à côté. La main qui me tient m’entraîne justement dans cette direction et les soupirs lascifs se font très vite plus perceptibles. Je n’imaginais pas que l’absence de la vue de la scène qui se joue, puisse accroître de manière aussi importante la réceptivité des autres sens. J’ai l’impression que mon excitation reprend tout de suite alors qu’elle est à peine calmée.


La voix qui m’entraîne me parle sur un ton très bas comme si elle ne voulait pas perturber l’action en cours :



Je pressens qu’il veut me faire sucer la chatte d’une de mes copines. Vu ce que j’ai entendu, ce doit être celle d’Élodie. Depuis l’adolescence où, à l’occasion, j’ai pratiqué quelques jeux lesbiens avec deux ou trois amies délurées, je n’ai plus fait aucune expérience de ce genre depuis. Mais va, puisque je me suis résolue à accepter les expériences proposées. Celle-ci ou une autre, pourquoi pas ? J’acquiesce donc d’un mouvement de la tête et mon instigateur m’entraîne pour me faire coucher sur le lit.


J’entends que les autres acteurs présents se déplacent pour changer de position. Un corps survient pour s’installer au-dessus de moi. Je serre mes bras pour ne pas me les faire écraser par les genoux qui frôlent ma tête. Ce doit être Élodie, dont les formes un peu plus généreuses que les miennes s’approchent doucement de ma tête. Une chair délicate et moite vient bientôt me toucher la bouche. Je n’ai même pas à relever la tête pour prendre son clitoris entre mes lèvres. Son petit bouton est un peu plus proéminent que le mien. Un petit gland se détache nettement au-dessus de son sexe. Je le prends sans peine entre mes lèvres. Est-ce sa forme naturelle ou est-ce le fruit des stimulations qu’on lui a déjà prodigué ? Je ne sais pas, mais je n’hésite pas à venir le sucer et à le lécher avec le bout de la langue.


Aussitôt, je sens mon amie réagir. Je dirige ma langue vers sa fente. Avec des petites poussées progressives, je simule quelques tendres pénétrations. Visiblement la belle en redemande. Je passe ainsi de succions de son petit clitoris proéminent à des coups de langues dans sa chatte offerte. Soudain j’entends sa voix qui soupire :



À ces paroles, je sens son foutre qui descend sur mon menton et mon cou en petits jets à peine perceptibles. Pendant qu’elle se donne ainsi à moi, je perçois un intrus qui vient s’introduire au-dessus de ma bouche. Un pilon est là qui s’introduit dans son sexe offert. Je sens qu’il commence des allers-retours assez lents. La curiosité me pique.


Quelle impression cela donne-t-il de sentir ce phallus en mouvement dans une petite chatte exacerbée ? me dis-je. Un seul moyen de le savoir y coller ma bouche et la langue.


Je déplace de peu ma bouche et viens plaquer ma lécheuse à l’entrée du vagin de ma copine. Je discerne alors que l’engin est d’une belle longueur. Il met un certain temps à s’enfiler de toute sa longueur. Quand il se retire, je reçois son extrémité sur la langue. Je n’hésite pas à titiller le gland qui vibre promptement. Il hésite parfois entre frottement sur ma langue et pénétration dans le sexe qui lui fait face. Après cet intermède, il se renfile toutefois de toute sa longueur. Après quelques va-et-vient de la sorte, le jus d’Élodie devient encore plus abondant. Je reçois sa cyprine dans ma bouche. Mon guide ne m’avait pas menti ; je peux m’abreuver à cette source dont le flot ne s’arrête pas. Je retrouve un goût très proche de celui que je déguste sur mes doigts lorsque je les ressors de mon propre sexe suintant dans mes plaisirs solitaires. Mais ce qui m’émoustille particulièrement, c’est cette longueur du membre qui coulisse de plus en plus vite au-dessus de moi.


Soudain les mains de mon amie viennent empoigner mes cuisses pour attirer mon entrejambe vers elle. Sous la surprise, j’effectue un petit mouvement de recul. Mais je me dis que je me dois de rendre à Élodie ce qu’elle est en train de m’offrir. Je m’ouvre alors sans résistance et je sens son abondante chevelure venir caresser mes cuisses. Sa bouche plonge précipitamment sur ma vulve pour venir y lécher le jus qui a recommencé à s’écouler. Sa langue joue avec mon clitoris qui reprend vigueur et avec ma fente où elle pratique de belles intromissions.


Ainsi positionnée, je sens ses seins plus lourds que les miens qui viennent se glisser sur mon ventre pour se faire masser. Parfois elle les relève délibérément pour que seuls ses tétons puissent se frictionner sur moi. Notre stimulation mutuelle ne cesse de grandir. Mais je vois que la manière dont elle se fait défoncer par ce long manche lui donne des sensations supplémentaires aux miennes. Je l’envie et c’est ce qui me ramène à venir boire en collant mes lèvres au bas de sa fente.


Puis brusquement la verge rate l’entrée de la caverne d’amour de ma camarade et vient s’introduire sans vergogne dans ma bouche. Le mouvement est si rapide que je ne peux le parer et que le gland tout gonflé vient frapper au fond de ma gorge. Alors qu’il se retire, je me surprends à serrer les lèvres et à aspirer pour le retenir. Si son propriétaire ne s’est pas rendu compte qu’il s’est trompé d’entrée, il doit percevoir que la sensation n’est plus la même.


D’ailleurs il arrête son retrait pour revenir en avant vers ma gorge. En quelques mouvements, je le suce avidement en compressant le membre avec ma langue. Je sens le sexe impatient de ma copine s’appuyer sur le membre tout raide pour s’y frotter. Alors tenant le petit bout tendu d’Élodie avec mes lèvres, je veille à ce qu’il puisse être massé également par le manche de l’ardent poulain. Le petit gland d’Élodie est fermement coincé entre le pénis tout dur et ma lèvre. Je remarque quelques petites contractions qui en disent long sur l’état de son érection.


Puis la longue verge se retire alors complètement, s’écartant de nous, sans doute pour se calmer un peu. Cela nous laisse le temps à toutes les deux de nous câliner de plus belle. Je sens qu’Élodie est au comble du plaisir alors que je suis moi-même totalement accro à la situation.


Notre étalon ne tarde pas à revenir chevaucher la petite jument en rut, ou plutôt les petites juments en chaleur. Car maintenant qu’il a compris le jeu, il se glisse alternativement dans le vagin de ma compagne et dans mon orifice buccal. Si la fente d’Élodie est béante à souhait délivrant tout son miel, ma bouche se fait plus mutine en se resserrant sur la bite rigide. Malgré un ou deux arrêts, il devient vite évident qu’elle ne va plus tarder à délivrer sa substance. J’exerce une pression de plus en plus forte aussi bien sur le clitoris que sur le membre gonflé. Son mouvement s’accélère à tel point qu’Élodie doit lâcher mon clitoris qu’elle aspirait délicieusement pour émettre des petits cris. Puis elle commence à supplier à bout de souffle :



Ses appels font monter la tension en moi. Et c’est sans surprise que l’étalon se colle enfin contre ses cuisses pour lâcher sa semence avec quelques coups de reins. Il la prend au plus profond et j’imagine les longues giclées qui doivent venir noyer la caverne de mon amie. Je l’envie d’être ainsi honorée alors que j’applique ma bouche au plus près de son clitoris pour recueillir sa jouissance qui ne tarde pas à arriver. Avec mes lèvres qui le serrent très fort, son clitoris est dans une tension érectile très forte comme un petit pénis. En deux ou trois mouvements, elle le stimule encore quelques fois sur moi et puis part dans un orgasme géant avec de multiples spasmes. Chacun de ceux-ci augmentant le frottement et provoquant un nouveau spasme. Sa jouissance semble ne pas pouvoir finir.


Le membre de notre comparse se détend progressivement alors que les soubresauts d’Élodie s’espacent peu à peu. Son orifice vaginal se libère peu à peu et une longue coulée de foutre et de sperme inonde ma bouche. Je referme ma bouche n’ayant pas envie d’avaler ce mélange, mais je le laisse s’étendre sur mes joues.


Un sentiment de plénitude m’envahit à ce moment-là en me disant que cette expérience d’échange entre amis tient bien toutes ses promesses. Je prends conscience que je n’ai jamais été aussi loin dans la possibilité d’assouvir une série de plaisirs.


Ce dernier épisode de nos échanges m’a mise dans un état de chaleur intense. Il n’en aurait pas fallu beaucoup plus pour que je plonge moi-même dans un nouvel orgasme. Alors que je suis dans ces pensées, une main agrippe la mienne pour me relever. À ce geste, je comprends que je n’en ai pas encore fini avec les surprises érotiques.


Mon pilote se penche vers mon oreille et me chuchote :



Je reconnais illico la voix de Gérald et lui réponds :



J’attrape alors sa main, y prends deux doigts et les glisse dans ma fente. Je les y coulisse avec insistance, car je me rends compte que c’est quasi la première fois depuis le début de cette soirée que ma chatte peut se faire limer par quelque chose. Je comprends à quel point elle est en attente à ce niveau-là. Comme une chienne en chaleur (je me rends compte sur l’instant de la vulgarité de ma pensée), j’aspire à être prise, à être chevauchée. Je le dis à Gérald :



Il déplace ma main vers son sexe que j’enserre. Il est déjà à demi dégonflé, mais je suis impressionnée par sa dimension que j’ai mesurée avec ma bouche peu avant et que je n’avais jamais devinée avant cette soirée. Ce simple contact provoque en moi une nouvelle contraction stimulant une fois encore l’envie de m’enfiler un pieu bien raide.


Gérald m’entraîne dans la deuxième chambre où j’entends de nouveaux gémissements. La voix de Charlotte est tout à fait reconnaissable. La belle rousse a pour particularité d’être très expressive et sans guère de retenue. Ses feulements en disent long sur le plaisir qu’elle est en train de prendre.


Gérald me souffle à l’oreille :



J’agite la tête pour lui donner mon assentiment. Et il me fait grimper à genoux sur un lit. Je touche un corps visiblement allongé. Gérald prend un de mes pieds et me fait pivoter d’un quart de tour en soulevant ma jambe et en me tenant le bras afin que je ne tombe pas. Je me retrouve donc à califourchon au-dessus du corps allongé.


Une voix très claire s’exprime et je reconnais celle de Sylvain :



C’est donc Antoine qui est sous moi. Les garçons poussent donc la perversité à un point tel que ce soit Élodie, sa compagne, qui m’aide à prendre son membre. Gérald et Sylvain se sont donc associés pour me faire subir le prochain traitement dans le but de me combler. Sylvain s’occupe donc d’Élodie et Gérald de moi. Je sens alors une des mains d’Élodie venir se placer à tâtons sur mon dos et m’obliger à me mettre à quatre pattes.



Je m’exécute.



Je sens alors sa main qui cherche à l’aveugle pour enfin venir toucher ma chatte toute trempée.



Il faut peu de temps pour que je sente les doigts d’Élodie écarter les lèvres mouillées de mon sexe et un premier contact avec ce que je devine être le gland d’un membre en érection.



L’attente pousse mon désir à son paroxysme. Mais je constate que le jeu pervers auquel Élodie s’associe ne fait que le renforcer. Pourtant je n’aspire qu’à me laisser tomber sur ce pieu pour qu’il me remplisse. Mais la main de mon amie me retient, m’empêchant de redescendre trop bas. Elle exerce toujours des petits mouvements pour astiquer cette queue bien ferme et l’appliquer à ma vulve. Je ressens son va-et-vient sur toute la longueur de mon ouverture toute trempée.


Enfin elle m’autorise à me l’introduire, mais lentement, car elle freine toujours mon ardeur. De toute manière, j’aurais été dans l’impossibilité de la prendre d’un coup comme j’en ai l’habitude avec la queue de Sylvain. De toute évidence elle n’est pas comme la sienne, car je peine à lui faire passer la porte de mon intimité. Je sens ce sexe énorme venir dilater l’ouverture de ma chatte pour y glisser petit à petit. Je dois l’en ressortir plusieurs fois en me relevant pour la reprendre avant qu’elle ne glisse plus naturellement vers l’intérieur. Ce n’est qu’après plusieurs essais qu’elle est bien calée à l’intérieur de moi.


Elle remplit tout l’espace et le touche sur toutes les faces. Chaque mouvement rend toutes les parois de mon vagin sensibles à un point que je n’ai jamais osé imaginer. Le fait d’être assise sur ce massif gourdin me donne la possibilité de le faire coulisser à ma guise. Enfin cette envie quasi animale d’être assouvie par une pénétration se trouve réalisée. Je veux prendre le temps de goûter au mieux cette partie délicieuse.


Mais je sens que mes compagnes ne sont pas de cet avis. Elles veulent que j’accède au plaisir suprême entre leurs mains. Élodie s’est précipitée avec ses mains pour m’aider. À l’arrière, elle tient l’énorme phallus à sa base juste derrière la paire de couilles bien accrochées et bien robustes qui viennent cogner mes fesses à chaque fois que je redescends. De l’autre main, elle caresse avec moi mon clitoris. Nos doigts s’entremêlent pour lui redonner vigueur. Je sens à la manière dont elle le saisit entre ses doigts qu’elle est habituée à manipuler ce petit bout érectile que j’ai sucé avec avidité tout à l’heure.


Mais Charlotte s’y met à son tour. Quand elle me parle, je comprends qu’elle est devant moi sans doute assise sur la bouche du mâle que je suis en train de chevaucher :



Comme plus tôt dans la soirée, deux mains viennent saisir mes seins. Mais Charlotte se montre moins délicate que mon amant de début de soirée. Elle serre mes petits mamelons en faisant jaillir leur extrémité hors de sa poigne. Cela me surprend, mais j’imagine que c’est ainsi qu’elle pratique avec les siens. Je la laisse faire. Puis elle vient sucer mes tétons avec sa bouche. Comme un éclair, un tressaillement me parcourt. Jamais mes petits bouts sensibles n’ont été stimulés de cette manière. Mais ils réagissent au quart de tour. Elle les lèche puis les mordille avec appétit.


Le caractère hautement érogène de ces zones provoque un emballement de mes réactions. Je me sens mouiller comme rarement je ne l’ai senti. Je n’ai rien d’une femme-fontaine, mais là je m’en sens toute proche. Des perles de mouille sont en train d’émerger en grande quantité entre les lèvres de mon sexe et le gros vit qui occupe toute mon intimité. Je devine les coulées de foutre qui descendent sur le sexe et le ventre de celui sur lequel je suis assise.


Mais Élodie ne manque pas d’idées perverses. Elle me glisse à l’oreille :



Comme j’ai mon petit trou pointé vers l’arrière alors que je me fais glisser sur le gros manche enfiché dans mon sexe, Élodie n’éprouve aucune difficulté à venir répandre son foutre sur mon petit trou offert à ses divagations. Elle y revient plusieurs fois avec la mouille de sa fente. Une fois mon anus bien humide, elle commence à me pénétrer d’un doigt long et fin par des petits va-et-vient. Cette deuxième pénétration éveille en moi des sensations nouvelles, car je n’en avais pas vraiment l’expérience. Elle s’applique à violer mon deuxième lieu d’intimité et le plaisir ne fait que grandir.


Je sens son doigt s’allonger à l’intérieur et venir s’appuyer en direction de mon vagin.



Là-dessus elle exerce une pression plus forte à l’intérieur de mon anus à chaque retour du sexe. En quelques allers-retours, la puissance du sexe augmente pour gonfler encore et encore. La tension à l’intérieur de mon utérus est extrême. Ça frotte de partout et ma sensibilité est au comble de l’exacerbation. En même temps, j’entends le coursier souffler sous moi dans un rythme qui s’accélère alors que sa bouche est toujours occupée avec la chatte de Charlotte. Je sens qu’il ne pourra plus tenir très longtemps. C’est alors que je me décide à l’exciter d’une voix rageuse :



Comme je veux jouir en même temps que lui, je demande à mes deux amies de m’y aider. J’y vais donc aussi de quelques sollicitations :



À peine ai-je lâché cette dernière imprécation que le gros pilon qui me prend commence à avoir deux ou trois contractions. Puis j’entends mon partenaire gémir sous moi et crier alors que son jus gicle en moi. Plusieurs secousses de son corps me soulèvent et illustrent la manière dont son sexe explose en moi. Je m’entends crier alors :



Mon orgasme surgit comme une déflagration soudaine provoquant des tremblements dans toute ma chair. Des frissons me traversent de part en part. Mon Dieu, que cet orgasme est fort ! J’en ai peu connu d’une telle intensité.


Charlotte se met aussi à hurler. Visiblement son troisième orgasme vient d’arriver.


Une sensation d’euphorie m’inonde. Je sais à ce moment-là que j’ai enfin trouvé le contentement, la récompense d’une longue soirée baignée dans le plaisir.


Ah que j’ai aimé vivre tout cela. Finalement je ne regrette vraiment pas de m’y être soumise, même si la perversité de certaines situations fait naître en moi un léger sentiment de vengeance.


Quelques applaudissements retentissent alors. Les voix des garçons s’exclament à l’unisson :



Il faut quelque temps avant que ma vue ne s’adapte de nouveau à la lumière artificielle. Je me retrouve là au-dessus du ventre d’Antoine. En me relevant lentement, son sexe qui reste serré en moi, glisse en me faisant encore frémir avant de s’échapper de ma fente. Celle-ci laisse couler un long filet de son sperme mêlé à ma cyprine. J’en prends sur mes doigts et m’en fais deux traits sur les joues. Comme si je me marquais des signes d’une amazone antique prête à conquérir le monde. Assez normal après la chevauchée que je viens de vivre.



Je me dis que les mecs ont bien dû jouir de la situation.

Je pense alors à la soirée de revanche, celle où ce sont les garçons qui auront les yeux bandés, celle où c’est nous les filles qui seront à la manœuvre. Je prends d’emblée la parole :



La mine un peu dépitée, les garçons ne peuvent qu’acquiescer.



(À suivre donc)