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Fantasmes et réalité

Résumé du premier épisode « Le plan de deux coquines » : Premiers pas sensuels de deux jeunes filles qui découvrent la fellation.

Résumé du deuxième épisode « Ravissantes surprises pour deux coquines » : Nos quatre jeunes sont surpris nus pendant de nouvelles fellations par deux pêcheurs qui les initient aux cunnilingus.

Résumé du troisième épisode  : « Mise à nu » : Après la rencontre avec les deux pêcheurs, l’un, Stéphane, leur propose de supprimer toute pilosité disgracieuse au bord de sa piscine.

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Après nous avoir fait jouir, Camille et moi, c’est à notre tour de donner du plaisir aux garçons, et cela nous donne beaucoup de joie, surtout que c’est la première fois avec leur sexe complètement épilé. Je trouve cela très beau, un garçon bite rasée, David a très peu de poils sur l’ensemble de son corps (c’est lui que je préfère, et je crois que Camille aussi). Il est blond, les cheveux assez courts, des yeux bleus foncés, un visage bien rond, bouche assez large et une langue qui peut dépasser ses lèvres de cinq ou six centimètres qui m’a bien léchée ma fente tout à l’heure, bien tout le long des lèvres et qui a bien agacé mon capuchon et mon bouton avec les conseils des hommes, un mignon petit nez joufflu, un torse de sportif musclé, un ventre très svelte, des jambes bien proportionnées et des petons pas trop grands, je dirais à vue de nez 42. J’aime pas les grands pieds ! Là, c’est pas le cas. Benjamin est plus poilu sur le torse, il a déjà un buisson et ses jambes aussi sont velues, il est plus grand, je dirais 1,85 m, et plus fin que David, il est mignon aussi, physiquement avec ses cheveux bien bruns, sourcils assez épais, nez fin et long, bouche et lèvres graciles, il doit chausser du 43 ou 44.

• — Aimeriez-vous mesurer leurs quenelles ? demande Stéphane.

Ça nous plaît, oui, et Stéphane va quérir un mètre à ruban et nous le tend.

• — Maintenant ça se mesure en forme, occupez-vous un peu de leur petit oiseau, dit Alain.

Avant de faire quoi que ce soit, juste en regardant David dans les yeux, sa bébête n’est plus dans son état normal, c’est pas difficile de faire bander un jeune garçon. Je sais qu’il va gagner le concours avec Benjamin, c’est pas la grosseur qui compte, mais quand même, dans l’imaginaire une massive offre plus de fantasmes. Quand j’effleure ses cacahuètes, Camille s’attaque déjà au manche de Benjamin qui, lui aussi, est bien en forme, il est déjà presque au maximum. Moi j’essaye de pas aller trop vite pour motiver encore plus David. Comme c’est doux de caresser ses billes. En même temps, je lui donne un baiser sur la bouche et je vous raconte pas la tension que ça lui procure. Nos langues se mélangent et j’ai enveloppé dans ma main ses bijoux de famille et en les pelotant, sa verge est déjà décalottée, j’interromps le baiser pour caresser sa queue qui, là, est au summum. Je peux à ce moment, bien comparer les deux queues, celle de Benjamin est plus fine et moins longue, elle est toute droite et juste un peu au-dessus de l’horizontale, celle de David est un peu courbée et regarde le ciel, il a aussi le gland beaucoup plus gros et gonfle, je l’ai déjà remarqué quand je l’ai pris dans la bouche, le bout entre juste entre mes lèvres et j’adore comprimer son gland spongieux avec celle-ci.

Maintenant le juge de paix arrive, Camille commence par Benjamin, Alain lui dit de bien prendre le mètre au début au zéro puis de le mettre à la base extrême de la bite sur l’os en-dessous et elle s’exécute et suit avec le mètre la biroute jusqu’à l’extrémité et elle annonce : 12 cm. Alain lui explique alors comment prendre la circonférence d’un chibre, bien à la base, faire le tour avec le mètre, et il nous indique 10 cm.

• — C’est dans la moyenne, dit Stéphane et c’est bien suffisant pour contenter une fille, surtout que j’ai vu qu’elle crachait pas mal de crème et c’est bien là le principal.

À moi maintenant de mesurer David. Pendant que je regardais Camille calibrer Benjamin, j’ai continué à bien masser celle de David pour la maintenir à une forme optimale. Camille me passe le mètre et comme elle, j’aligne le zéro du mètre à la base du membre viril et je suis celui-ci à l’extrémité et je suis fière d’annoncer le résultat final, en laissant un peu de suspense qui amuse beaucoup les hommes, mais impatiente les garçons, et je proclame fort un 15 cm, et je continue en mesurant le tour du bas de la gaule, et je trouve 12 cm. J’espère bien avoir l’occasion plus tard de comparer ces nombres avec les mensurations de celle des hommes.

• — Une belle note, dit Alain, au bac option sexe, tu as une mention bien.
• — C’est dommage que cette option n’existe pas, j’ai eu que passable au bac, avec celle-ci j’aurais pu peut-être avoir une mention.
• — Vous imaginez la scène, dit Stéphane, les examinateurs devant procéder aux mesures !
• — Une séance publique pour éviter la triche ! dit Alain.
• — Oh oui, ajoute Camille, devant les filles pour voir toutes les queues des garçons qui passent le bac avec nous.
• — Après aux épreuves écrites, je sais pas si je pourrais me concentrer sur ma feuille si je tombe à côté d’un gars avec une grosse bite, dis-je.

Tout le monde éclate de rire.

• — Surtout ne dessine pas sa queue sur ta feuille, dit Camille, même en science de la vie et de la terre, c’est des sexes au repos qu’on étudie.
• — Ça vous a fait quoi quand le ou la prof vous a fait ce cours ? demande Alain.
• — C’était une prof, dit Camille, elle était toute rouge et très gênée devant les garçons, elle a commencé par la bite, un schéma, pas une photo, c’était dommage, des garçons ont proposé aux filles de leur en montrer une vraie ! Elle a expliqué les différentes parties et l’utilité de la chose en allant un peu vite, car on était très dissipés.
• — Oui et après, dis-je, elle est passée sur un schéma d’une chatte, et là encore les garçons un peu lourds nous ont demandé qui voulait la montrer. À la fin du cours, dans le couloir, Camille et moi, on n’était plus là, mais des filles m’ont raconté qu’un des garçons leur avait sorti son service trois-pièces. Je crois que c’est vrai, car il y avait plusieurs filles et ce ne sont pas des menteuses.
• — Vous auriez aimé être là ? demande Stéphane.

On se regarde avec Camille et toutes les deux avec un léger sourire, on répond par l’affirmative.

• — Il paraît qu’il bandait, dit Camille, mais il ne l’a pas laissée longtemps à l’air, car il y avait des profs pas loin et cela aurait fait un scandale.
• — Et en revenant à l’épreuve sexe du bac, pour vous les filles, on ferait quoi ? dit Alain.
• — Passer toute nue devant un jury composé uniquement de garçons et faire une moyenne des notes que donneraient ceux-ci à la chatte de la fille, propose Benjamin.
• — Pas mal, dit Stéphane, elles auraient le temps de préparer leur motte : lisse, avec un toupet ou bien fournie, tous les goûts sont dans la nature.
• — En fantasmant, les filles, dit Alain, passer devant le comité à poil, ça vous ferait quoi ?
• — J’adorerais, dis-je, montrer ma fente et défiler toute nue devant des garçons.
• — Moi, aussi, dit Camille, même s’il y a des vieux profs parmi eux, leur faire voir la chatoune d’une jeune fille, hum…
• — Et y a-t-il un prof que vous auriez aimé voir nu ? interroge Alain.
• — Moi, le prof de math, dis-je, il a trente-cinq ans, mais paraît encore jeune et il a l’air malicieux, à voir sa flèche pointée, je l’imagine bien droite et longue.
• — Moi, le prof de sport, dit Camille, il est très jeune et sympa et pendant les cours, il nous aidait. J’aimais bien quand il nous saisissait par la taille pour nous faire franchir un obstacle en gym, je l’imagine bien musclé de partout, surtout sur la…
• — Tu vois un cours de sport en étant tous nus, dis-je ce doit être formidable, le sexe des garçons qui se balance pendant les courses !
• — Et nous, dit Benjamin, voir des seins se dandiner, pas les vôtres bien sûr, ils sont tout petits et mignons, mais je suppose que certaines de vos copines doivent en avoir des maous costauds qui se baladent de tous les côtés, et j’imagine bien ma queue engloutie au milieu qui les asperge.
• — Imaginez qu’un prof de fac donne des fessées à ses élèves, dit Camille.
• — On pourrait faire ce scénario si ça vous plaît les filles, propose Stéphane.

On est tous d’accord et on dispose la petite table et les chaises comme un bureau de prof, sa chaise derrière et devant les chaises des élèves, David fait le prof, Stéphane a l’autorisation de filmer la petite saynète, Stéphane me fait remettre ma robe et comme je n’ai pas de culotte, il me dit de mettre le slip d’un des garçons ; voilà, on est prêtes.

• — Mademoiselle Marion au tableau, dit David, interrogation sur le cours d’hier, vous le savez ?
• — Non, monsieur, lui dis-je, j’ai pas eu le temps de l’apprendre.
• — Vous vous moquez de moi, je vous avais dit qu’il était très important, vous savez ce qui arrive à celles qui désobéissent ? Venez ici, penchez-vous sur mon bureau devant tout le monde.

Je me couche, les seins sur la table, David me soulève la jupe et la remonte pour la reposer sur mon dos, les élèves voient ma pseudo-culotte et mes fesses, David me la baisse lentement aux genoux.

• — Tenez-vous prêtes, le châtiment va commencer !

J’espère que David ne va pas me faire trop mal, mais un peu, ça me plaît bien, ça me fait penser quand j’étais petite et que j’avais fait des bêtises…

Et paf, je reçois une petite claque sur une fesse, un bruit sec et vraiment très excitant pour tout le monde, et David continue la fessée, il frappe sur chacune de mes fesses, des tapes de plus en plus rapprochées, je pousse des petits cris à chaque coup qui peuvent suggérer le mal ou le plaisir.

• — Monsieur Benjamin, venez ici, dit David, continuez à fesser votre camarade, moi, j’ai mal à la main.

Bien vu, Benjamin va en profiter aussi, il s’approche et continue ma punition, mais lui, à chaque coup, il laisse sa main quelques secondes sur mon cul et comme il les donne plutôt au milieu de mes fesses, il en profite pour toucher avec ses doigts ma fente par dessous. Ça enfièvre davantage mon corps : mon cerveau qui bout de plaisir, ma fente qui s’humidifie et mes fesses de plus en plus rouges. Cette bluette a mis en émoi tous les participants et spectateurs, j’en ai la preuve de visu, en observant les bites des garçons, mais aussi un début prometteur chez celles des hommes, il est opportun de faire ma demande.

• — Stéphane, Alain, est-ce qu’on pourrait mesurer vos queues ?
• — Ah ! Ça vous intéresse ? me répond Alain. Bien sûr, on est d’accord sur le principe si ça vous plaît, mais il nous faut un petit peu d’aide pour ne pas être ridicule.
• — Bien sûr, dis-je, je veux qu’elle soit la plus grosse possible.

Je vais vers Alain et Camille vers Stéphane, et on entoure leur queue et on la branle comme on sait déjà bien le faire. Le résultat n’est pas très long à obtenir. Camille et moi, on tient un bâton qui fait bien plus de deux fois notre petite menotte. Je prends le mètre et maintenant ayant l’habitude de mesurer les bites, j’annonce un 18 cm de long et 14 de circonférence pour Alain. Je passe le mètre à Camille qui, à son tour, avec dextérité étalonne celle de Stéphane ce qui lui fait 19 cm sur 14,5 cm, c’est le grand gagnant.

• — Vous verrez les garçons, dit Alain, la vôtre va encore grandir, vous en aurez aussi des belles, vous en faites pas.
• — Oui, mais en attendant, les filles sont prêtes pour vous donner leur bon nectar, c’est pas tous les jours que vous en aurez à déguster, dit Stéphane.
• — Viens, me recommande Alain, allonge-toi sur le dos et pose ce coussin sous ta tête. Venez, les garçons, de chaque côté, présentez-lui vos armes ! Et toi, Camille, viens entre les jambes de Marion pour préparer le terrain d’atterrissage d’un des garçons. Ça serait sympa, une moule à la normande avec de la bonne crème fraîche.

De chaque côté de ma bouche, j’ai la bite d’un garçon, ils la frottent sur mes lèvres chacun leur tour. Je sors un peu la langue pour les goûter, c’est délicieux, et Camille qui me lèche aussi les lèvres du bas. Je tourne un peu la tête à droite pour permettre à David de faire coulisser sa trique dans ma bouche, juste un aller et retour, puis je me retourne vers Benjamin pour qu’à son tour il entre la sienne, juste un passage et je continue ce petit manège qui a l’avantage d’être très agréable et de ne pas épuiser trop vite les garçons. C’est la première fois avec deux garçons en même temps et j’espère que ce ne sera pas la dernière, car c’est merveilleux. Je garde maintenant environ quinze secondes chaque queue dans ma bouche et passer de l’une à l’autre des garçons, c’est divin. Chaque garçon en profite pour malaxer doucement en même temps un de mes seins.

• — Avec un doigt, dit Stéphane, frottez-lui son petit téton !

Ils apprennent vite les techniques, car c’est vrai que cela me transporte encore davantage.

• — Concentre-toi sur Benjamin, me dit Stéphane, garde David pour ta copine, et toi quand tu sentiras l’imminence de l’explosion, sors de sa bouche et dépose le nectar sur la minette de Marion, essaye de ne pas trop éclabousser partout pour en gaspiller, appuie bien ton méat sur son sexe.

Et Benjamin, aidé par ses précieux conseils, réussit à merveille l’opération inondation de mon bénitier, des larges traînées de liquide blanchâtre et épais disséminées de chaque côté de mes lèvres et sur celles-ci.

• — Camille, dit Alain, ça t’allèche pas, cette fraise chantilly ? Vas-y, teste-moi ça, je crois que tu vas aimer ! Et toi, Marion, finis de débarbouiller la bite de Benjamin, il en reste à déguster dessus.

En effet, Camille n’hésite pas à revenir lécher ma fente, parfum sperme de garçon, pendant que je savoure la quille de Benjamin, Camille passe sa langue sur ma mounette et récupère ainsi le lait concentré déposé et elle l’avale et ce jusqu’à avoir fait la toilette complète de ma boutique. Même la gouttelette qui a coulé entre mes jambes et qui s’accroche à mon petit trou, elle l’a ramassée avec sa langue en écartant mes fesses.

• — Maintenant Camille, dit Alain, David attend son tour, ce serait bien de nous faire une belle faciale. Tu aimes ça, je sais, j’ai ma petite idée, tu peux en prendre aussi dans la bouche, mais n’avale pas, gourmande comme tu es.

Et effectivement, elle prend David dans sa bouche avec entrain pour lui donner du plaisir et après deux à trois minutes de ce traitement intensif, il sort subitement sa queue de la bouche de Camille et explose instantanément autour de sa bouche qu’elle a conservé ouverte pour en recevoir aussi dedans, la coquine.

• — Eh bien, dis donc, c’est une belle décharge, dit Stéphane, tu étais vraiment très excité !
• — Marion, interpelle Alain, donne un petit baiser à Camille qui a si bien nettoyé ta chatte.

La bouche couverte de foutre m’attire, et je n’ai aucun mal à poser mes lèvres sur les siennes et la semence se mélange à nos langues. C’est un baiser délicieux qui me va droit à mon cœur qui bat la chamade.

• — Maintenant à toi, David, pour la remercier, donne un baiser à Camille.

Il semble dans un premier temps surpris et réticent à cette suggestion.

• — N’oublie pas que les filles l’ont partagé entre elles, c’est normal de faire comme elles. Regarde, Camille désire te faire un gros bécot.

Après un instant de réflexion, David se décide et lui aussi mélange sa langue et celle de Camille avec sa semoule.

• — Et toi, Benjamin, dit Alain, je sais, c’est pas le tien, mais celui de ton cousin, mais profite pour goûter, c’est agréable de donner un baiser a une fille dans cet état, ne pense à rien d’autre et vas-y.

Lui aussi hésite, mais se décide tout de même d’expérimenter cette épreuve. Et il embrasse goulûment Camille.

• — Reprends de la sauce, dit Alain, il en reste sur sa joue.

Tellement enthousiasmé par la sensation, avec audace il passe sa langue sur un dépôt de sperme conséquent et unit à nouveau sa langue toute blanche avec celle de Camille. Nous sommes tous les quatre épuisés de bonheur.

• — J’ai vu que vous avez aimé les petits scénarios comme celui de la fessée tout à l’heure, dit Alain, je vous propose demain si vous le voulez de venir chez moi en réaliser, j’aimerais prendre des photos et vidéos de vous, êtes-vous partantes ?

Pourquoi pas, la proposition nous plaît beaucoup et c’est avec joie que, Camille et moi, nous acceptons.

C’est à ce moment que Stéphane nous fait signe et, avec son doigt, désigne un côté de son mur où nous apercevons deux têtes qui dépassent et brusquement disparaissent.

• — Hé, les jumeaux, dit Stéphane, remontez-vous êtes repérés !
• — Ce sont deux petits voisins, étudiants aussi, nous dit-il en se tournant vers nous.

Après un petit moment, nous voyons deux têtes confuses qui réapparaissent en haut du mur. Ils sont montés sur des échelles et nous observent depuis un bon moment.

• — Alors, dit Stéphane, ça vous a plu ? Vous avez aimé ?
• — Oui, c’était drôlement gonflé, dit l’un d’eux.
• — On pourrait leur demander de venir demain, nous glisse doucement Alain à Camille et à moi au creux de l’oreille, ça vous tente ?

Bien sûr, c’est top, Camille et moi nous lui faisons un petit signe d’approbation de la tête, et instantanément il pose la question aux jumeaux.

• — Ça vous intéresserait de venir voir de plus près les chattes des filles, demain après-midi ?

Ils sont évidemment d’accord et rendez-vous est pris pour 14 heures chez Alain. Comme d’habitude, Stéphane passera nous prendre avec les jumeaux, devant la place du village…

À suivre.