n° 19148 | Fiche technique | 21268 caractères | 21268Temps de lecture estimé : 13 mn | 20/08/19 |
Résumé: De plus en plus polissonne, Marion ne rate pas une occasion d'exposer son jardin de moins en moins secret. | ||||
Critères: jeunes caférestau voir exhib lingerie nopéné -exhib | ||||
Auteur : Coquine36 Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Deux coquines : Marion et Camille Chapitre 05 | Fin provisoire |
Résumé du premier épisode « Le plan de deux coquines » : Premiers pas sensuels de deux jeunes filles qui découvrent la fellation.
Résumé du deuxième épisode « Ravissantes surprises pour deux coquines » : Nos quatre jeunes sont surpris nus pendant de nouvelles fellations par deux pêcheurs qui les initient aux cunnilingus.
Résumé du troisième épisode : « Mise à nu » : Nos quatre intrépides se font raser devant et derrière, et les garçons gouttent les filles de tous les côtés.
Résumé du quatrième épisode : « Fantasmes et réalité » : Après bien des délires, la fin des vacances approche pour nos deux garçons qui ne sont pas près d’oublier la pipe que leur ont réservée nos deux coquines.
__________________________________________
Après cette folle journée, comme hier, je téléphone à Camille pour débriefer et connaître ses impressions.
Bon, il est temps de se quitter, et je souhaite une bonne nuit à Camille qui me dit qu’elle sera forcément bonne puisque précédant une journée encore torride.
Le lendemain matin, après une bonne douche, je me prépare pour cet après-midi. Le choix de ma petite culotte est toujours délicat, j’en ai que des classiques, pas de string ou en dentelle ajourée ou bien sur transparente. Je sélectionne des couleurs plutôt pastel, car proche du blanc. Cela fait ressortir les formes. Je recherche aussi celles qui sont bien échancrées et dont la taille soit juste pour moi pour bien mouler le relief. J’en ai cinq qui me paraissent convenir, je les essaie une par une et me contemple devant ma glace.
Depuis le rasage de ma chatte, je trouve que cela dessine encore mieux le contour de mon sexe, et j’en ai une qui retient particulièrement mon attention. Pour l’arrière, mes fesses sont joliment bombées bien rondes, sur l’entrejambe très peu large, les coutures sont à l’extrême limite de mes lèvres, et vue par-devant, on les devine bien renflées avec au milieu le creux de ma fente. Celle-là est top, je ne la mettais plus, car je la trouvais un peu petite, elle est rose pâle et elle monte sur la première place de mon podium.
Maintenant, je vais essayer de trouver une robe légère. Comme ça, c’est plus rapide à enlever ou à remettre, mais je la veux plus longue pour cacher mes jambes et faire saliver encore plus les garçons. Le problème est : est-ce que je mets un soutien-gorge ou pas ? Je me décide à en mettre un pour bien mettre en valeur ma silhouette. Mes petits seins ne tombent pas, mais cela soulignera bien leur rondeur et en même temps, le déshabillage sera moins rapide. Ma mère ne m’achète pas des soutiens-gorge super sexys, mais j’en ai quand même un noir que je trouve pas mal. Avec, il me faut une robe plutôt foncée, car je n’aime pas voir par transparence des sous-vêtements sous une robe. J’en ai une rouge qui monte ras du cou et descend à mes chevilles qui me paraît super. Voilà, je suis prête pour l’aventure.
Il est 13 heures, je fais les cent pas devant ma maison, je me suis habillée déjà depuis une demi-heure. Encore dix minutes à attendre pour rejoindre les garçons au café, je suppose, comme hier. Je regarde ma montre toutes les quinze secondes, cela ne passe pas assez vite à mon goût, mais je me décide à partir. En marchant pas trop vite, je serai pile à l’heure et effectivement, je vois Stéphane assis à la terrasse du même café avec les deux jumeaux. Pour l’instant, je peux les distinguer, car ils ne sont pas habillés pareils, mais après…
J’embrasse tout le monde et, avant même de m’asseoir, j’aperçois Camille qui s’approche de nous. Oh, qu’elle est belle, ma Camille ! Elle porte une robe aussi, d’un vert pomme élégant à fleurs rouges, un décolleté qui montre la naissance de ses mignons petits nichons bien ronds. Elle a mis aussi un soutien-gorge, car sa poitrine est dressée et gonflée. Sa tunique est plus courte que la mienne : elle s’arrête à ses genoux et on distingue ses jolis mollets rebondis. Dans ses cheveux, elle a un bandeau orné d’une fleur jaune. Comme moi, elle n’est pas maquillée, le naturel pour l’instant nous va à ravir.
Elle dit bonjour à son tour et nous nous assoyons dans un fauteuil. Stéphane nous commande la même chose qu’hier. À ce moment-là se lève un jeune homme juste à la table d’à côté qui me demande avec un petit sourire :
Je suis surprise et intriguée de cette demande et, étant très curieuse, je le prie de s’exprimer librement.
Tout le monde autour s’esclaffe, moi, je me sens rougir, car les clients assis à la terrasse ont entendu, mais je souris également et j’aime beaucoup sa hardiesse et lui réponds :
Et je me lève en le laissant stupéfait. En chemin, je réfléchis et je crois me souvenir qu’il faisait déjà partie des clients du bar, hier. Oui, c’est ça, je le revois maintenant très attentif à notre discussion, il était avec un autre garçon qui aujourd’hui aussi est à sa table. Je connais les toilettes de ce café, il y a une première pièce avec lavabos qui permet d’accéder aux deux cabines. Je m’arrête dans la première pièce, car cela fait plus d’espace, mais permet aussi d’être surpris par d’éventuels clients ou membres du personnel du café venus satisfaire un besoin naturel. Je me place près de la fenêtre pour mieux éclairer la scène, je pense à tout décidément ! Je n’attends pas longtemps avant que notre petit curieux n’ouvre la porte, mais il n’est pas venu seul, son copain est derrière lui, je suppose qu’il n’a pas pu résister lui aussi et sa curiosité l’a emportée.
La demande est si amusante et aussi l’excitation que cela me provoque, me commande d’accepter avec plaisir qu’ils s’approchent de moi.
Et je me baisse pour saisir le bas de ma robe et la remonte très lentement pour les faire saliver comme le loup de Tex Avery. Arrivée à l’extrême limite, je m’arrête même pour prendre le temps de voir leur tête. Ils sont immobiles, attentifs, bien sûr, les yeux fixés sur moi.
Et je soulève complètement ma robe, et ils peuvent maintenant contempler ma belle petite culotte. Je vois qu’ils sont un peu déçus, mais quand même, mon cache-sexe fait son effet, ils n’osent rien dire un court instant, mais le plus hardi me demande :
Et, délicatement, chacun des garçons s’empare de l’élastique de ma petite culotte et lentement ils la descendent, arrive aux confins de mon trésor, ils s’arrêtent.
Et le mouvement vers le bas redémarre gracieusement, mais les garçons ont à peine le temps de visionner ce merveilleux tableau que la porte s’ouvre pour laisser apparaître un des clients quinquagénaires qui a tout juste le temps de comprendre la situation, car je relâche ma robe que je tenais toujours. Il se dirige vers la cabine et s’enferme. Je me ressaisis et confie aux garçons que j’assume la situation et même que cela ne me déplairait pas que l’homme en profite aussi pour contempler mon minou. Donc je relève à nouveau ma robe et place les garçons de manière qu’ils ne fassent pas obstruction et qu’en sortant il puisse admirer l’attraction. Je m’interroge s’il a prémédité sa venue, car je me souviens qu’il n’était pas loin de nous.
On entend soudain le verrou et la porte s’ouvre, il surgit et jette plus qu’un œil dans notre direction. Il est subjugué par la fantaisie du panorama et part au lavabo, mais ne se lave les mains que machinalement et maladroitement, car il a le regard toujours tourné vers moi. Je lui souris et lui aussi m’adresse un petit rictus de délectation. Moi, cela me transporte et j’apprécie beaucoup qu’un homme de son âge me contemple dans cette position si scabreuse.
Pour ne pas paraître trop lourd et rester digne, il s’apprête à sortir, mais juste avant de se retourner, il m’envoie un clin d’œil pour me remercier sans doute de ce moment très agréable qu’il a passé. Les garçons sont toujours immobiles et n’arrêtent pas de surveiller d’un œil le client et de l’autre ma fleur. Je les laisse quelques minutes encore profiter de la bagatelle, mais comme toute bonne chose à une fin et que mes amis m’attendent à la terrasse, je baisse le rideau et relâche ma robe pour pouvoir remonter ma culotte bloquée au niveau de mes genoux. Mais avant de nous quitter, le même garçon me déclare :
Quel charmant garçon ! Je lui accorde volontiers cette requête, mais je me fais peut-être d’immenses illusions sur son cas. Si je traduis en langage bad boy ses propos de chevalier, ça veut sans doute insinuer qu’il se branlera la nuit en pensant à ma chatte. Il me saisit la main avec tact et la porte à ses lèvres, puis la relâche en s’inclinant devant moi. Le deuxième est beaucoup plus emprunté, il n’est pas aussi gentleman, ne sachant pas trop comment procéder, mais il reste très correct et de la main m’envoie un baiser.
Et je retrouve Camille, Stéphane et les deux jumeaux qui guettent mon retour. L’homme spectateur volontaire ou non est à sa table accompagné de sa femme, sans doute. Ma copine, toujours aussi curieuse, me demande juste après m’être assise :
Je pince un peu me lèvres et passe ma langue dessus pour bien la faire saliver de jalousie pendant que les deux garçons à leur tour s’installent à leur table à deux pas de nous. Sans pudeur et même un peu triomphante, je lui narre assez fort pour que tout le monde autour puisse entendre :
Je lui fais alors un petit coucou de la main, j’adore, il est tout rouge de confusion, et la tête de sa femme qui a l’air de suivre la conversation ! C’est à mourir de rire ! Il prend même une bonne baffe et elle se relève et part, lui la suit en essayant de se justifier, mais le coin de la rue nous cache la suite des événements. Je suis quand même un peu vache, mais je n’avais pas l’intention de lui faire du tort, je voulais juste lui témoigner toute ma sympathie et la gratitude de m’avoir procuré, lui aussi, de l’excitation en lui montrant ma fontaine satinée.
C’est drôle, mais j’ai de plus en plus l’envie de m’exhiber, et je suis heureuse, car deux nouveaux garçons vont avoir le loisir sans doute de l’admirer. Cette épopée m’a donné soif et j’ingurgite une bonne gorgée de bière, et je me tourne vers les jumeaux pour qu’ils nous dévoilent un peu leur personnalité.
Au premier abord, je les situe plutôt côté intellectuels avec un petit embonpoint qui m’indique que ce ne sont pas des sportifs, je ne peux les distinguer l’un de l’autre, ils se ressemblent vraiment beaucoup, assez grands, timides, un peu gros nounours, et très souriants, c’est agréable.
Personne n’est vraiment intimidé, loin de là, ça va pimenter sûrement notre après-midi. Et nous, les filles, nous commençons à les connaître, nos deux pêcheurs, et moi, j’ai hâte de découvrir ces jumeaux entièrement dévêtus.
Stéphane propose de partir, nous sommes même un peu en retard, Alain doit nous attendre…
À suivre.