Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 19139Fiche technique8137 caractères8137
Temps de lecture estimé : 5 mn
16/08/19
Résumé:  Les vacances avec ma belle-famille sont surprenantes cette année. la maison familiale va voir se dérouler sous son toit des jeux interdits et des rapprochements insoupçonnées ...
Critères:  h fh vacances hmast pénétratio -voyeuroca
Auteur : Kalimou            Envoi mini-message

Série : Vacances en famille

Chapitre 01
Vacances en famille

Juillet touche à sa fin et je pars en voiture rejoindre la maison familiale de ma belle-famille. Chaque année, ma fille, ma femme et moi-même allons pendant deux semaines retrouver les parents de ma femme, Angie avec son frère, Luc et sa sœur, Léa.


Cette année cependant il y a de la nouveauté, Luc vient accompagné d’une amie et Léa accompagnée de son copain. La maison va être bien animée et cette perspective me réjouit. Nous avons l’habitude de passer de super soirée à rire, discuter, jouer à des jeux ou regarder des films.


C’est le même petit jeu chaque année, le premier arrivé choisit sa chambre. La maison est grande et il y a de la place pour tout le monde, mais étant arrivé le premier, pour une fois, je monte à l’étage et choisis la chambre qui a le plus grand lit. Je suis grand 1,90 m… Le seul inconvénient de cette chambre, c’est qu’elle est mitoyenne à la seule salle de bain/w.c. de l’étage et que les parois sont fines… nuisance sonore en perspective, mais bon, le lit prime.


Léa et son copain posent leurs valises dans la chambre en face de la salle de bain, Luc choisit la chambre la plus isolée, au rez-de-chaussée à l’opposé de la chambre des parents de ma femme qui ont leur chambre fixe à côté de la porte d’entrée.


À 21 h, l’ambiance part sur le visionnage d’un film. Léa et son copain partent alors se coucher, je suis le mouvement, les 700 km de route m’ayant épuisé. Je commence à m’assoupir quand le claquement de la porte de la salle de bain me réveille en sursaut. J’entends Léa parler de l’autre côté de la paroi, mais ne comprends pas exactement les paroles, une histoire de valise trop lourde, il me semble.


Je commence à m’endormir avec le son de la douche qui me berce, mais un bruit familier me sort de ma somnolence et me donne malgré moi une érection. La douche se coupe et j’entends distinctement des gémissements de femme et des bruits explicites de sucions ou de cunni.


Je n’avais jamais vu ma belle-sœur comme une « femme », la connaissant depuis ses seize ans je l’avais toujours vue comme une petite sœur. Pourtant, à présent, du haut de ses vingt-six ans, c’est une très belle femme de 1,68 m, mince (peut-être un peu trop à mon goût), une belle poitrine, de longs cheveux bruns, les yeux noisette et le teint légèrement bronzé. Mais de là à l’imaginer baiser, ça me laissa un sentiment mêlant surprise et excitation.


Je devine la porte de la douche s’ouvrir. Ils s’embrassent bruyamment. Puis j’entends des chuchotements très distincts et des bruits de pas se rapprochant.



Un claquement de peau.



Le son très distinct de ses râles laisse entendre à présent le bruit de petites claques au même rythme, ce qui me fait immédiatement imaginer la scène qui se déroule à juste 30 cm de moi derrière le mur. Léa certainement debout face au mur, entièrement nue, les mains posées de l’autre côté de la paroi avec son mec la pénétrant derrière et la tenant par les hanches. J’entends le rythme s’accélérer et commence à me masturber en les entendant prendre du plaisir. Mon état d’excitation me surprend, c’est bien la première fois que je me masturbe en écoutant d’autres personnes faire l’amour.


Je me retrouve donc là, nu, allongé sur le lit, à me masturber au rythme des coups de reins que reçoit Léa, inquiet que ma femme Angie puisse débarquer et stopper ce moment de plaisir volé.

J’entends, Léa pousser de long soupir, elle jouit en silence :



Et j’entends son homme pousser un long « hmmmmmmm » qui couvrait le bruit du film passant au rez-de-chaussée. La seconde d’après, Léa se plaint, amusée, à voix haute :



Et la réponse ne se fait pas attendre, son mec lui dit alors :



Et Léa qui conclut avec le bruit de la porte de douche qui se referme.



Puis le bruit de son mec qui sort de la salle de bain, la douche qui s’allume et moi qui reste le sexe en érection dans ma main, sans avoir joui et qui reclassais mentalement ma belle-sœur de « petit-sœur » à « femme à part entière ».


Le cœur battant l’excitation à son comble, je lâche mon sexe avec la ferme intention de faire l’amour à Angie dès qu’elle viendrait se coucher.


Une heure après, je somnole à moitié sur mon livre quand Angie entre dans la chambre, la tête compétemment endormie. Je comprends alors qu’elle a dû s’endormir devant le film et que pour ce soir, je devrais me la coller derrière l’oreille.


Malgré tout, mon sexe se remet à durcir en la voyant se déshabiller dans la lumière tamisée diffusée par la lampe de chevet. À trente-six ans, elle est toujours aussi magnifique à mes yeux. 1,65 m, blonde aux yeux marron, de légères formes que j’adore et une lourde poitrine 95D.


Elle baisse sa jupe rouge machinalement découvrant ses mi-bas noirs et son tanga noir. Elle est de profil, mais je devine sans problème le fin tissu noir passé dans la raie de ses fesses et la galbant à merveille. Mon sexe fait un bon et le souvenir des gémissements de Léa refait surface pour décupler ma raideur.


Mais elle ne fait pas du tout attention à moi et retire son débardeur, laissant libre sa belle poitrine entravée dans un soutien-gorge transparent rouge. Je n’ai qu’une envie, lui sauter dessus et la baiser, mais ça aurait été une erreur, elle déteste que je prenne l’initiative ainsi. Alors, j’attends qu’elle me regarde et qu’elle comprenne. Mais l’espoir est mince.


Elle retire ses bas, les jette au bout du lit et me regarde. Son regard glisse de mes yeux à ma bouche, mon torse et s’arrête sur mon membre. Avec un petit sourire, elle grimpe sur le lit à quatre pattes. Je lui caresse le dos et glisse me doigts sur ses fesses à portées de main.



De l’autre main, je lui fais glisser les cheveux de devant son visage pour pouvoir la regarder s’approcher de mon gland. Elle dépose un baiser dessus, sort la langue et fait plusieurs fois le tour. Mon sexe se durcit dans sa main et sa bouche s’entrouvre pour le laisser pénétrer. Une fois en bouche, elle titille mon gland avec sa langue et me fait trois va-et-vient avant de se retirer, de m’embrasser sur la bouche et d’éteindre la lumière en lançant sur un ton coquin :



Dans le noir, je la devine retirer les derniers bouts de tissu qu’elle porte encore et se coucher sur le dos, nue, à mes côtés. Elle se tourne vers moi pose sa tête contre mon épaule, je sens ses seins contre moi et sa main se pose sur mon sexe raide. Non sans mal, je m’endors, partagé entre le plaisir fugace qu’elle m’a procuré et la frustration qu’elle a laissée.


Les vacances commencent de manière surprenante cette année. Et ça allait continuer…