n° 19149 | Fiche technique | 24225 caractères | 24225Temps de lecture estimé : 15 mn | 20/08/19 |
Résumé: Je découvre une nouvelle facette de ma belle-sœur pendant des vacances en famille. | ||||
Critères: h fh alliance lingerie | ||||
Auteur : Kalimou Envoi mini-message |
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Résumé du premier récit :
Ma femme, ma fille et moi sommes arrivés dans la maison familiale de ma belle-famille pour les vacances. Dès le premier soir, je suis exposé malgré moi, aux gémissements de ma belle-sœur baisée par son homme dans la salle de bain attenante à ma chambre. Quand ma femme, Angie, monte se coucher, elle m’embrasse et me promet une matinée de sexe à mon réveil…
Le cri de ma fille me réveille le lendemain matin. Angie entre dans la chambre déjà habillée suivie de près par une jolie petite tête blonde et me fait un clin d’œil rapide. Instantanément, je traduis ce simple geste de l’œil : Pas de sexe ce matin, occupe-toi de ta fille.
Ma fille saute sur le lit, m’écrase la cuisse au passage et hurle :
Je marmonne un oui.
Elle reprend appui sur ma cuisse qu’elle n’avait pas quittée et saute hors du lit vers les escaliers en me remerciant et en disant un truc signifiant que j’étais le meilleur papa du monde. Encore partiellement endormi, je n’ai pas le courage de protester, mais je touche quand même ma cuisse endolorie.
Au réveil je n’aime pas trop parler, elle le sait, elle me pose alors un baiser sur le nez et se saisit de ses lunettes sur la table de chevet.
Je la regarde sortir de la chambre. Sa brassière et son leggins de sport épousent à la perfection ses jolies formes. Je me retourne et regarde l’heure, il est 11 h… Un peu vaseux, je m’assois sur le bord du lit et repousse la couette. J’ai l’impression de ne pas avoir débandé de la nuit. Je me lève et enfile un short pour aller aux toilettes en essayant de faire abstraction du bruit au rez-de-chaussée qui m’agresse les oreilles entre mes beaux-parents qui discutent et le son des dessins animés.
En arrivant dans la salle de bain, le souvenir des ébats de Léa me revient. J’imagine non sans envie Léa et son mec au même endroit, hier soir, en train de baiser. Me remémorer la scène me donne envie de me masturber. Légèrement en manque, je commence alors à me caresser le sexe sur le short et le déboutonne afin qu’il tombe à mes chevilles et qu’il libère mon membre gonflé.
Je suis là au milieu de la salle de bain, nu, la porte grande ouverte à me masturber avec en bruit de fond le brouhaha du rez-de-chaussée. Les escaliers de cette maison sont très bruyants et je peux entendre sans problème quelqu’un monter. Je pense à Léa, hier soir.
Mais ma raison arrive au galop et je lâche mon sexe. Se branler en pensant à sa belle-sœur alors que j’ai une femme géniale et magnifique, c’est n’importe quoi ! pensé-je !
Je me tourne vers la porte de la salle de bain pour la fermer et pisser quand j’aperçois une seconde porte juste en face, entre-ouverte, avec un string par terre, laissé là, à l’abandon. C’est la chambre de Léa et logiquement le string qu’elle portait la veille.
J’ai toujours adoré la lingerie féminine et j’en offre à chaque occasion à Angie. Sans faire de lessive, elle a suffisamment d’ensembles pour tenir un bon mois en les changeant tous les jours. Ça lui plaît que je gère sa garde-robe intime. Gagnant-gagnant.
Sans trop comprendre ce qu’il m’arrive, je me retrouve dans sa chambre le cœur battant à regarder son string au sol. D’un coup d’œil je repère sa valise ouverte sur le sol et je commence à en sortir le reste de ses strings pour regarder quel genre de lingerie elle porte. De la dentelle, du satin, des transparents… Principalement des strings. Un vrai assortiment de ce qu’on fait de plus sexy. Je les déplie tous un par un.
Je suis surpris, Léa si pudique, ne s’habillant jamais de manière provocante a une face cachée très féminine et aguichante. Mais quoi de plus normal pour une jeune femme de vingt-six ans que de vouloir se sentir sexy sous ses habits ? Je me trouve bête d’être si naïf.
Je repense à la veille. En me voyant, à son arrivée, elle était venue se coller à moi pour me dire bonjour avec son sourire habituel qu’elle me réserve. Se peut-il qu’elle m’allume depuis des années ? Non, je me fais des films, je suis juste excité et perturbé que Léa puisse être au centre de pensées érotiques.
Je sors de ma réflexion et me rends compte que mon sexe gonfle et que je l’ai repris en main sans m’en rendre compte. Sans trop réfléchir je ramasse son string et commence à me caresser le sexe avec, en regardant les autres strings éparpillés dans la valise. Le contact du tissu en dentelle bleu m’électrise. Je perds pied sous les vagues de plaisir et j’imagine son sexe la veille appliquée contre le tissu quand elle le portait, je repense à sa réflexion quand elle disait à son homme qu’elle préférait qu’il lui jouisse dans la bouche.
À ce moment des pensées étranges me viennent à l’esprit. Déformé par l’excitation, ma raison abdique et je me mets, injustement, à lui en vouloir de m’exciter ainsi alors qu’elle m’est inaccessible et que je ne devrais pas ressentir ça en particulier pour elle. Toute cette lingerie sexy, mais quelle salope, la Léa, elle cache bien son jeu la petite, pensé-je, honteux, mais excité de la traiter ainsi.
Ces pensées décuplent mon excitation. Je branle mon sexe frénétiquement de la main droite et fouille sa valise de la gauche. Je veux tout découvrir de ses dessous. Je tombe sur un bout de tissu en satin. Je tire dessus en faisant tomber une pile de débardeurs bien pliés. Je découvre alors une nuisette en satin noir avec de fines bretelles et de la dentelle transparente au niveau des seins. Je l’étends sur le lit et me masturbe en la regardant et en imaginant son corps mince dedans avec ses seins pointant à l’intérieur. J’ai envie de la prendre, de baiser Léa, ma propre belle-sœur.
Je laisse tomber son string à mes pieds et me saisit de la nuisette. J’enroule mon sexe dedans et reprends ma masturbation. La douceur du tissu me fait râler de plaisir, je prends mon sexe à deux mains et accentue la pression sur ma hampe et mon gland. Je ne vois plus mon sexe ainsi emballé dans ce doux tissu. À chaque aller-retour, mon gland frotte sur la partie en dentelle ce qui me fait frissonner.
D’un coup, je me sens venir sous les va-et-vient de mes mains et mes jambes se mettent à trembler pendant que j’éjacule, sans réfléchir, dans la nuisette. La frustration de la veille était telle que je me vide par plusieurs longues giclées qui semblent toutes aspirées par la nuisette de Léa. En relâchant la pression autour de mon sexe, la dernière giclée jaillit de la lingerie entre mes mains et asperge de plusieurs petites gouttes de sperme un débardeur jaune dans la valise.
Les yeux fermés, je me vois me vider dans sa chatte la remplissant de sperme à grands coups de reins, lui laissant échapper des cris de jouissance.
En m’asseyant sur son lit, je libère mon sexe et repose la nuisette à côté de moi. Elle est partiellement couverte de sperme. Dans un dernier élan d’excitation, je ramasse son string sale au sol et m’essuie le gland hyper sensible avec. J’essuie ensuite le string sur un angle resté propre de sa nuisette et le repose au sol à peu près la où je l’avais trouvé.
Peu à peu, l’excitation du moment disparaît et laisse place au désarroi puis à la panique. Je réalise ce que je viens de faire, de l’aspect immoral et des ennuis auxquels je m’expose si cela vient à se savoir. Suis-je complètement fou ou obsédé, voire pervers ? Je décide de me poser ces questions plus tard et de fixer mes priorités sur le rangement. Si quelqu’un arrive maintenant, je suis foutu. Le string déjà sale l’est un peu plus et le débardeur a absorbé les gouttes ce qui laisse des marques légèrement plus sombres, je décide donc de les laisser là.
Mais la nuisette est irrécupérable sans un bon lavage. Précipitamment, je mets en ordre la valise et sors de sa chambre la nuisette à la main. Honteux, et ne comprenant pas ce qui m’a pris je retourne dans ma chambre planquer la nuisette avec la ferme intention de ne jamais me remettre dans une telle situation. J’allais passer le reste de mes vacances à croiser les doigts pour qu’elle ne remarque rien et prier pour que l’absence de sa nuisette ne la perturbe pas trop. Quinze minutes après, je suis habillé dans le salon à faire la bise à Léa qui rentre du footing, l’air de rien.
À mon avis, ce sont plus les hormones qui les ont fait monter hier soir tôt…
Je ne comprends pas ce qui m’arrive. Depuis des années je ne voyais en elle que la gentille petite sœur de ma femme et là, en moins de 24 h, elle est devenue une étrangère sexy qui me donne envie de tromper ma femme. En y réfléchissant, c’est presque de l’inceste. Mais j’ai envie d’elle, c’est incontrôlable comme si quelque chose de caché depuis toujours venait d’émerger d’un coup. Je viens à peine de jouir et mon sexe se réveille déjà dans mon short en la voyant me sourire quand nos regards se croisent.
Assis dans le canapé, je regarde son corps élancé encore moite de transpiration se déplacer jusqu’au frigo pour boire un verre de jus d’orange. Je regarde discrètement sa poitrine cachée par sa brassière avec ses tétons tendus monter et descendre au rythme de sa respiration. Je ne lâche pas son cul du regard quand elle passe devant moi et je vois nettement la marque d’un string sous le leggings. Mon sexe se déploie entièrement quand elle me fait face à deux mètres de moi pour parler avec Angie et que je vois le dessin de ses lèvres. Mon voyeurisme se termine deux minutes plus tard quand elle monte les escaliers pour aller se doucher. Et si je l’accompagnais…
Il faut que je me change les idées, je m’équipe en tenue de sport à mon tour et pars rouler en VTT en disant à tout le monde de ne pas m’attendre pour le déjeuner. Dans l’empressement, je pars sans itinéraire précis et au bout d’une trentaine de kilomètres, je dois faire demi-tour, ne sachant pas quel chemin emprunter pour faire une boucle et revenir à mon point de départ. Quatre heures plus tard, je reviens à la maison affamé et épuisé.
La maison semble déserte, et je m’assois à la table de la cuisine pour me faire un sandwich tomate, jambon, fromage. Un classique que j’adore. En mastiquant mon sandwich, je repense à mes frasques du matin et pour la première fois depuis 5 h, je repense à Léa. Il faut que j’essaie de nettoyer sa nuisette, la faire sécher et la remettre à sa place. Terminées les conneries, pensé-je. Je termine ma collation et monte deux à deux les marches et fonce dans ma chambre récupérer la nuisette.
De grosses marques blanchâtres sous forme de jets tachent le tissu fin noir du sein gauche jusqu’au milieu du ventre. Je me dirige dans le couloir pour aller la laver dans le lavabo quand le mec de Léa apparaît devant moi, sa serviette autour de la taille sortant visiblement de la douche. Je ne l’avais absolument pas entendu. Dans la seconde, je cache ma main derrière mon dos en espérant avoir été assez rapide et que la lingerie ne se voie pas. Il fit un pas vers moi et me dit :
Son mec, Chris, est un grand sportif qui adore partager ses performances athlétiques et qui ne perd pas une occasion pour discuter sport avec moi. Il m’agace un peu avec son espèce d’addiction au sport. C’est le genre de mec à te proposer uniquement les activités où il est sûr d’avoir le dessus. Mais à ce moment précis, je n’ai pas trop le choix et me résous à parler avec lui jusqu’à ce qu’il décide d’aller s’habiller dans sa chambre.
Il insiste pour avoir des chiffres pour comparer… c’est tout lui.
Ayant fait presque vingt ans de tennis, je suis étonné qu’il me propose un sport où je vais probablement le surpasser. Peut-être l’ignore-t-il ?
Je n’ai jamais eu l’esprit de compétition très prononcé, préférant pratiquer plein de sports différents à un niveau correct plutôt que de me spécialiser et faire des tournois. Mais je dois reconnaître que la perspective de ce match a un étrange goût de satisfaction. Léa n’étant sans doute pas étrangère à ça. Soulagé, je longe le mur et m’enferme dans la salle de bain.
Quelle grande gueule, ce mec. En tout cas, de l’endurance, il en a moins quand il s’agit de baiser Léa… pensé-je en toute mauvaise foi. J’avais néanmoins la satisfaction malsaine d’avoir joui sur la lingerie de sa copine.
Le nettoyage de la nuisette fut rapide et le résultat final s’apprécierait une fois la tenue sèche. Je fonce dans la douche. Une fois habillé, je range la nuisette trempée à plat tout en haut de l’armoire de ma chambre pour qu’elle sèche et descends au rez-de-chaussée bouquiner un peu avant d’aller retrouver le reste de la famille en ville. Traîner dans les rues commerçantes ou faire le marché, ce n’est pas trop mon truc. Un peu plus tard, je les trouve tous assis à une terrasse et m’attendent en buvant joyeusement des bières.
Je m’installe à côté de Luc et Angie avec, juste en face, Léa en grande discussion avec sa mère. L’ambiance est bonne. Luc monopolisant l’attention générale avec ses mésaventures chroniques désopilantes. Un échange de regard avec ma belle, on se sourit, et je réalise qu’elle porte le débardeur jaune, les tâches se devinent facilement. Tout en profitant de ce début de soirée, j’apprécie en détail la belle femme qu’est devenue Léa. Je vois les bretelles d’un soutien-gorge noir sous son haut et un mini short en jean vient compléter sa tenue. Comme à son habitude, elle est habillée sobre. Mais à présent, je la vois différemment, imaginant sous le short le string noir transparent assorti, que j’avais pu voir et toucher dans sa valise. L’heure du repas arrive et nous trouvons une brasserie pour le dîner. Je me choisis une place sur la banquette dans le coin à côté de ma fille qui est en bout de table. Je glisse à l’oreille de ma fille :
Manœuvre fonctionnant à merveille. Léa doit céder sa place à ma fille pour venir s’asseoir à côté de moi sur la banquette.
Je suis satisfait de moi avec ma femme à ma gauche et sa sœur à ma droite, je vais pouvoir satisfaire mon envie de lui parler, d’en savoir plus sur elle que les banalités qu’on échange d’habitude. Léa me sourit :
Mais aujourd’hui ce geste prend pour moi une autre dimension, teintée d’érotisme.
Plusieurs groupes de discussion se créent et je discute principalement avec Léa, mon regard alternant discrètement entre ses yeux et son décolleté. De ma vue plongeante, je vois bien le galbe de ses beaux seins ronds qui tendent le tissu du débardeur ainsi que les taches qu’avait laissées mon sperme. Mes résolutions tombent en lambeau et je me retrouve à regretter de ne pas avoir regardé ses sous-tifs dans sa valise. Celui-ci est un peu transparent et il me semble distinguer une zone plus foncée sur son sein droit correspondant à son mamelon. Mais difficile d’en être sûr avec l’éclairage de la salle.
J’avais complètement perdu le fil de la conversation et, excité, je pose ma main gauche sur la cuisse d’Angie qui me lance un regard de coin tout en décroisant ses jambes sous la table. Elle est habillée d’une combi-short bleue très légère.
Tout en remontant ma main le long de sa cuisse, je regarde discrètement les seins de Léa. Un spasme remue mon sexe dans mon boxer. Une main se pose alors sur mon sexe et me fait presque sursauter. L’espace d’un instant, j’ai cru ou plutôt espéré que ce soit une main inconnue venant de ma droite. Mais c’est la main d’Angie qui tire la nappe pour cacher son opération osée, tout en discutant l’air de rien avec l’autre bout de la table.
Ma main remonte contre son sexe et je suis surpris de le sentir si distinctement. Comme si elle ne portait pas de dessous. D’un rapide coup d’œil complice, elle me le confirme tout en continuant sa discussion. Je commence à effleurer son corps au niveau du clito pendant qu’elle défait la ficelle de mon short et glisse sa main dedans. Je regarde sans ménagement les seins de Léa qui ne semble pas du tout s’en rendre compte, absorbée par une discussion animée avec son frère Luc.
À la vue de ses seins, ma queue remue un peu et est stoppée par la main experte de ma femme qui vient de soulever l’élastique de mon boxer et de me l’attraper à pleine main. Le contact de sa main chaude sur ma chair me fait frissonner. Elle libère mon gland de sa peau et son pouce me caresse le frein doucement. Ma main s’agite sur son clito et descend par moment plus bas sur ses lèvres que je sens de plus en plus humides.
Elle se détourne un instant de son débat et me dit à l’oreille :
Je remonte ma main sur la table et continue de faire bonne figure et de donner le change en mangeant un bout de pain. Je ne sais plus où donner de la tête entre le sexe trempé de ma femme, sa main qui me donne du plaisir et mes regards discrets sur les seins de ma voisine de droite. Elle avait posé, à trois reprises, sa main sur ma cuisse lors des cinq dernières minutes, rigolant à des boutades que j’avais réussi à articuler.
Sous les assauts de son pouce et du reste de sa main, quelques gouttes de ma semence lubrifient mon gland rendant les caresses encore plus agréables. Je sens son pouce étaler le liquide autour de mon gland et pendant plusieurs minutes elle fait le tour de mon gland. Le plaisir monte légèrement, mais elle retire sa main et essuie son pouce dans sa serviette le regard toujours tourné vers sa gauche.
Sur ces mots, je referme mon short sur mon sexe bandé. Le repas se termine. Je me lève pour sortir de table quand mon regard capte un bout de tissu rouge dans le dos de Léa au-dessus de son short. La coquine a donc choisi son string en satin rouge. Je pose négligemment ma main en bas de son dos pour l’aider à sortir de table en ne manquant pas de caresser légèrement ce qui dépasse du short. Si cela lui a déplu, elle ne fait aucun geste ni aucune remarque dans ce sens.
De retour à la maison, Angie part dans le salon terminer le film de la veille. Les autres choisissent de faire une partie de Risk, ce jeu de stratégie où il faut conquérir le monde. Moi, pour ma part, fatigué de ma journée, je me cale dans le lit avec mon livre et trente minutes après, je m’endors. Je ne me réveille même pas quand Angie se couche bien plus tard, elle aussi crevée.
Au petit matin, Léa nous réveille à 9 h, en tambourinant à la porte de notre chambre pour aller faire notre match de tennis.
De mon côté, je me lève doucement, la tête dans le gaz, direction la salle de bain pour me passer un coup d’eau fraîche sur le visage et tenter ainsi de me réveiller. En passant devant la chambre de Léa, je jette un coup d’œil rapide juste assez pour la voir assise sur son lit en train de lacer ses chaussures. Elle se relève et me sourit.
Content d’avoir croisé Léa, je rentre dans la salle de bain, pose la serviette que je tiens en boule contre moi et ouvre le robinet d’eau quand je me fige. Là, juste sous mes yeux, je vois la bosse de mon sexe en érection qui pointe furieusement vers l’avant.
Une vague de gêne me traverse alors en imaginant que Léa ait pu s’apercevoir de mon état une minute avant. Mais je ne peux plus rien y faire à présent et je décide d’oublier ce moment gênant. De toute façon c’est fait. Si elle a vu mon érection, elle va sans doute faire comme si de rien n’était… Je me passe le visage sous l’eau froide et descends les escaliers, prêt à boire un verre d’eau et surtout à mettre une branlée à Chris et Léa au tennis…