n° 19161 | Fiche technique | 19108 caractères | 19108Temps de lecture estimé : 12 mn | 26/08/19 |
Résumé: Laura passe une soirée dans un club libertin accompagnée de son chevalier servant | ||||
Critères: 2couples grp couleurs couplus boitenuit exhib fellation pénétratio gangbang portrait -totalsexe | ||||
Auteur : Cortes Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Laura Chapitre 04 / 11 | Épisode suivant |
Laura, nue dans sa chambre, choisit une tenue dans son dressing. Après avoir passé en revue l’intégralité de sa garde-robe coquine, si vaste qu’elle pourrait presque vêtir tout un pensionnat de jeunes filles, elle porte son dévolu sur une robe noire, courte, fermée très haut par un col mao, mais sous lequel s’ouvrait une longue fente qui laissait apercevoir la plus grande partie de ses seins. Originale et très déshabillée. Laura sent que ses pulsions exhibitionnistes sont exacerbées ce soir, elle a envie de se montrer et rien que d’y penser l’excite profondément. Elle plie avec soin sa tenue de soirée dans un sac de voyage. Lorsqu’elle sort dans une boîte échangiste, elle ne revêt « l’uniforme » qu’il est d’usage de porter dans ce genre d’endroit qu’une fois hors de chez elle. Ni les voisins, ni surtout ses enfants ne doivent la voir dans une tenue plus que provocante destinée à exciter les mâles et aussi les femelles qu’elle rencontrera au cours de la soirée.
C’est après son divorce qu’elle a commencé à pratiquer ce type de sorties nocturnes. Avant de rencontrer Yannick, l’un de ses amants avec lequel elle entretenait une relation éphémère, un quinquagénaire marié, vieux viveur libertin, l’avait convaincue de le suivre au Sans Dessus Dessous une discothèque parisienne libertine en vogue. Le type était assez sympathique et malgré une attirance immodérée, presque maladive pour la chair féminine, n’était pas malsain. C’est à la fois par curiosité et aussi par désir de découvrir une autre pratique de l’amour physique que Laura avait accepté.
À l’issue de sa première expérience, elle fut bien obligée de reconnaître que cela lui avait plu et qu’elle s’était bien amusée. Le côté ludique de l’endroit qui était aussi une discothèque où l’on pouvait danser était incontestable. Et puis elle avait été troublée. Agréablement troublée même ! Se faire caresser par des mains masculines et féminines inconnues était délicieux. Elle n’en était d’abord restée qu’aux caresses. Aucun autre homme que son compagnon ne l’avait prise lors de cette première fois. Satisfaite, elle prit l’habitude de fréquenter ce genre d’endroits et finalement de consommer complètement l’amour anonyme en groupe.
Elle pouvait y assouvir tous ses fantasmes, sans limite ou avec les seules limites qu’elle souhaitait s’imposer. C’est là également qu’elle avait découvert qu’elle aimait être le jouet de plusieurs hommes tout en les contrôlant. Elle avait cela en elle depuis longtemps. Adolescente, elle avait une fois fait l’amour avec son petit ami de l’époque et un copain de ce dernier. Elle avait aimé se faire caresser par quatre mains. Sucer une queue tandis qu’elle se faisait prendre par une autre. Mais elle en était restée là. Aussi lorsque son vieil amant lui avait dit qu’il aimait la voir se faire prendre par plusieurs hommes, elle avait accepté de participer à une soirée où de nombreux mâles non accompagnés devaient être présents pour satisfaire les dames devant leurs compagnons ou maris. Elle n’oublierait jamais ces moments où sous les yeux de l’homme qui était avec elle, elle avait été caressée par tant de mains, où elle avait branlé et sucé tant de bites dont elle ignorait les propriétaires et surtout où elle avait été prise successivement par plusieurs hommes. Au-delà du plaisir brut que lui avait procuré cette séance, elle avait été particulièrement excitée par les premiers regards, les premières caresses furtives au début puis plus insistantes et la sensation du pouvoir qu’elle détenait d’exciter, de séduire, d’attirer un groupe d’hommes en rut et d’en disposer à son gré, ce qui flattait ainsi son caractère de dominatrice.
Lorsqu’elle avait rencontré Yannick, elle n’avait pas osé lui avouer ses goûts pour l’amour à plusieurs. C’est lui qui lui en avait parlé le premier. Il s’avéra qu’il aimait aussi cela. C’est ainsi qu’ils prirent l’habitude de sortir ensemble dans les clubs libertins et même d’aller dans des soirées privées où la motivation des invités n’était pas seulement de danser et de converser entre amis. C’est une sortie de ce type qu’elle et Yannick ont projeté ce soir. Laura enfile une paire de bas noirs qu’elle accroche à des porte-jarretelles de la même couleur. Elle se regarde sans la glace vêtue de ces seuls artifices et se trouve très séduisante. Elle sait qu’au cours de la soirée elle va être assaillie d’avances de mâles et de femelles qu’elle aura volontairement attirés. Elle est excitée de savoir qu’elle est excitante et cette sensation l’enivre. Elle se laisse aller à passer un doigt sur la soie du petit cache-sexe qui couvre son pubis. Elle sent de l’humidité sous le tissu ce qui signifie que son moteur est en marche. Elle enfile un jean et un col roulé sur le tout et va finir de se maquiller dans la salle de bain. La sonnette de l’entrée retentit. Cela doit être Delphine. La jeune fille est à l’heure. Elle doit rester la nuit, car Laura ne rentrera que le lendemain en fin de matinée. C’est Delphine qui aura jusque-là la charge de ses deux fils.
L’accueil que lui réserve Yannick la réconforte. Il la serre sans ses bas puissants en effleurant son cou de ses lèvres chaudes.
Laura est contente de retrouver son chevalier servant. Tout en prenant un verre dans le coquet appartement du célibataire qu’est Yannick, sur un fond de musique de jazz, ils se racontent leur vie du mois écoulé pendant lequel ils ne se sont pas vus. Laura lui parle de ses enfants, de son travail et un peu de son intimité. Yannick de ses voyages, de ses conquêtes. Le temps passe agréablement. L’atmosphère est légère. Laura se sent bien avec Yannick, chez Yannick. C’est pourtant elle qui conserve la notion du temps.
Yannick la regarde, interrogatif. Laura est-elle un peu amoureuse de lui ? Comme pour répondre à ses doutes elle se lève.
Tandis qu’elle passe devant lui, elle lui caresse la nuque. Un geste à la fois tendre et possessif qui le laisse rêveur. Quand une bonne demi-heure plus tard, elle revient dans la pièce, c’est comme une douleur de désir que Yannick ressent dans son ventre lorsqu’il la voit. Laura est moulée dans cette robe noire qui épouse son corps, dévoile très haut ses cuisses pleines et musclées, et beaucoup de ses seins généreux par l’échancrure indécente bordée en haut juste sous son cou par un col mao qui constitue la seule touche de sévérité de l’ensemble. Elle a tressé dans ses cheveux une natte épaisse qui lui arrive aux épaules. Sa chevelure tirée en arrière dévoile son beau visage à l’expression volontaire. Silhouette de chasseresse. Bouche pleine et carnivore. Front intelligent. Yeux sombres et inquisiteurs. Mais c’est en souriant qu’elle regarde son ami :
Il s’approche d’elle et passe sa main sur sa croupe moulée dans le tissu noir. Elle le repousse mollement.
Comme pour se contredire, elle place sa paume entre les jambes de Yannick. Elle sent avec délice le membre déjà éveillé aux proportions impressionnantes qu’elle connaît si bien. Elle le caresse quelques instants, s’attardant sur le gland qu’elle presse doucement sur le tissu du pantalon. En souriant, elle dépose un baiser léger sur les lèvres de Yannick.
Au restaurant de l’établissement, les hommes et aussi quelques femmes regardent Laura avec concupiscence. Elle est probablement celle qui a le plus de « chien ». D’autres sont belles, il est vrai ! Mais Laura dégage une sensualité animale unique. Yannick aime cette situation. Le désir que suscite Laura flatte sa virilité de mâle. Sous la table son pied effleure le sien. Il frôle sa main lorsqu’il lui passe le pain ou lui sert à boire. Ces contacts et ce qu’ils provoquent lui révèlent l’étendue du désir qu’il a pour elle et peut-être aussi, bien plus. À une table adjacente, un couple élégant, un peu plus âgé qu’eux les observe de temps à autre. La femme est une jolie blonde qui a probablement approché de très près la cinquantaine et qui la dévore des yeux. Elle est accompagnée par un homme du même âge aux cheveux gris, mince et athlétique. Probablement un couple marié, pense Laura qui a noté leur complicité. Derrière eux, quelques amis assis autour d’une table ronde s’esclaffent bruyamment tandis que l’une des femmes, une petite brune un peu boulotte, s’est mise debout et montre ses seins.
Elle est presque tendre tout à coup. Elle aime le côté protecteur de cette amitié qui n’est pourtant rien d’autre.
Une pointe d’ironie ou de regret se sent dans le ton qu’emploie Yannick. Laura regrette d’avoir trop laissé deviner sa tendresse.
Ils descendent dans le club où l’ambiance est déjà chaude. Sur la piste, des couples dansent, s’agitent, se frôlent, se regardent ou s’épient. La pénombre permet les frôlements anonymes. Laura sait qu’on la regarde et jouit du plaisir de plaire, d’attirer. Laura aime le regard des hommes sur son corps comme la prémonition d’une caresse. Très vite elle se fait entraîner par Yannick vers les coins sombres des pièces adjacentes où tout est permis. Elle va se laisser aller. Elle va branler, sucer des queues, se faire prendre, caresser, lécher d’autres femmes sous le regard de Yannick qui à la fois jaloux et excité finira par l’entraîner dans un coin pour la baiser puis, peut-être ensuite, lui faire l’amour avec une tendresse qui la surprendra et finira par l’émouvoir.
Dans la pièce sombre bordée d’alcôves, Yannick enlace Laura et l’embrasse à pleine bouche. Elle sent contre sa cuisse la queue de son compagnon dure et dressée comme un i. Elle le flatte et ouvre sa braguette pour libérer le membre qu’elle caresse et branle avec dextérité. Chaque fois qu’elle touche le sexe de Yannick, elle est émue par sa taille, sa forme, sa texture, sa vigueur. Même si elle n’est pas amoureuse, elle en pince vraiment pour son corps et sa bite dont il sait si bien se servir. Elle s’accroupit et le prend en bouche pour le sucer avec art et délectation. Le tableau est attirant. Un couple s’approche d’eux. Une main se pose sur sa tête et accompagne ses mouvements de succion. Ce sont leurs voisins de table, le couple un peu plus âgé. La femme, la jolie blonde est vêtue d’une mini noire et d’un chemisier blanc très ouvert. Elle a de très jolies jambes gainées de soie prolongées par des escarpins de prix. Son compagnon ou son mari la laisse faire en souriant.
La blonde, tout en maintenant sa main sur la tête de Laura baisse de l’autre la braguette de son homme et en sort un membre de taille respectable qui gonfle sous ses doigts. Laura qui a tout vu du coin de l’œil attrape ce nouveau sexe et commence à le masturber doucement tout en continuant à sucer Yannick. Puis, guidée par la main de la femme, le prend en bouche à son tour. Pendant quelque temps elle va d’une bite à l’autre et les pompe avec avidité. Yannick excité par le spectacle a enfoncé sa main dans le décolleté de la femme et lui pétrit un sein qu’il sent ferme et vivant. Le groupe se retire doucement dans une alcôve où rapidement ils se retrouvent nus comme des vers.
En quelques instants, Yannick est derrière la blonde, elle s’appelle Maryse, ils se sont présentés pendant qu’ils se déshabillaient, et la laboure vigoureusement. Pierre, son mari, est derrière Laura qu’il prend aussi en levrette tandis qu’elle embrasse Maryse à pleine bouche. Cette dernière pousse de petits cris de bonheur sous les coups de bite de Yannick ce qui rend Laura un peu jalouse. Mais la soirée n’est pas finie ! Pierre qui se met à accélérer son rythme derrière elle, excité par son superbe cul commence aussi à lui faire beaucoup de bien. Les gémissements des deux femmes se répondent tandis que les hommes grognent aussi de plaisir. Yannick se retient pour ne pas jouir. C’est Laura qu’il regarde. Elle est magnifique, cambrée, la croupe surélevée, ébranlée par des coups de bite qui sont de plus en plus violents. C’est d’elle qu’il a envie maintenant. Alors il s’entend dire sur un ton qu’il veut posé :
Il lui semble voir une lueur de déception dans les yeux de Maryse. Mais Pierre s’exécute et prend la place de Yannick. Enfin, il est en Laura qui s’est mise sur le dos, ses cuisses musclées enserrant ses reins. Il la regarde dans les yeux tandis qu’il commence son mouvement de va-et-vient. Il sent sa chatte se resserrer sur sa queue. Il prend goulûment la bouche de Laura. Il boit sa salive tandis que leurs ventres se collent. Il sent le plaisir qui monte en lui et le sent aussi monter chez Laura. À côté d’eux, Maryse chevauche Pierre en les regardant. Son regard lubrique l’excite et il ne peut plus se retenir. Il jouit très fort. Il crache des flots de foutre dans le ventre de Laura qui jouit aussi en soupirant. La queue de Yannick est divine, elle le sait depuis longtemps, et leurs jouissances à tous les deux l’émeuvent au plus profond d’elle-même.
Après s’être désaltérés au bar, les deux amis retournent vers les coins obscurs de l’établissement où Laura est rapidement suivie par quelques hommes attirés par sa silhouette sculpturale. Elle interroge Yannick du regard, comme pour solliciter de lui une autorisation. Il sait qu’il doit la laisser faire. Que Laura a envie d’être le jouet de mâles qu’elle aura choisis, mais que finalement elle manipulera, utilisera comme instruments de plaisir. Mais il sait aussi que ce qu’il va voir l’excitera au plus haut point. Laura fait un pas en avant. Deux hommes plutôt jeunes s’avancent vers elle. Un troisième les suit. Des mains commencent à courir sur son corps, sous sa robe, dans son décolleté. Des doigts s’insinuent dans la fente de son slip frôlant sa chatte. Elle recule et va s’asseoir sur une banquette. Des queues sortent des braguettes. Elle en prend une dans chaque main et les branle doucement.
Puis elle commence à sucer la plus belle, la plus longue. Elle appartient à un grand noir qui la regarde en souriant le pomper, le sucer avec art. Elle aime sentir dans sa bouche, jusqu’au fond de sa gorge le membre chaud, tendu et dur. Une forêt de bites a poussé autour d’elle. Gentiment, le bel Africain la retourne et lui demande à l’oreille s’il peut la prendre. Laura hoche la tête avec un sourire complice. Son partenaire enfile une capote et la pénètre doucement, avec précaution tant son membre est long et épais. Il entreprend son va-et-vient dans un rythme lent et accélère tout doucement le tempo. Yannick se fraie un chemin à travers tous les voyeurs et vient se placer devant Laura. Elle met sa main sur sa braguette comme pour lui demander de lui offrir sa queue. Yannick la sort et l’approche bien dressée vers sa bouche. Laura l’attrape et la suce voluptueusement. Derrière elle, le grand noir poursuit son accélération. Elle sent ses couilles fouetter ses fesses, la bite écarteler ses chairs. Dans sa bouche, la queue de Yannick qu’elle suce avec avidité lui semble devenir de plus en plus dure. Tout autour du trio, des hommes se masturbent excités par le spectacle magnifique de Laura à quatre pattes, sa jolie croupe dans les mains du grand Africain, pompant avec avidité la bite de Yanick. Maryse et Pierre font partie des spectateurs. Pierre est fasciné par le spectacle. Maryse a sorti sa queue et le branle énergiquement.
C’est Laura qui jouit la première. Elle feule comme une panthère, irradiée par le plaisir qui est si fort qu’elle n’arrive même plus à sucer Yannick. L’Africain ne peut plus se retenir et elle le sent éjaculer par les contractions de sa bite coincée dans le préservatif et par les grognements qu’il émet en achevant sa course de fond par un sprint final. Yannick prévient Laura qu’il va jouir aussi. Il sait qu’elle aime boire son foutre. Elle ouvre la bouche pour reprendre le membre et aspirer ce qu’il ne tarde pas à cracher. Avec délectation elle boit les quelques gouttes de sperme que Yannick, qui a déjà joui une fois, expulse sur sa langue et qu’elle avale avec bonheur. Elle se délecte de ce goût de noisette qu’elle connaît si bien, du liquide sacré qui se répand dans sa bouche et coule dans sa gorge. Laura a eu ce qu’elle voulait, des hommes, des queues qu’elle a pu utiliser pour son plaisir et goûter sans limites. Elle se sent apaisée dans le taxi qui les ramène chez Yannick où elle va finir la nuit. Fin de nuit, petit matin tendresse et repos pour ces deux corps épuisés par le plaisir reçu et donné.