n° 19179 | Fiche technique | 15398 caractères | 15398Temps de lecture estimé : 10 mn | 05/09/19 |
Résumé: Laura console et conseille Delphine sa baby sitter. | ||||
Critères: ff fplusag intermast cunnilingu 69 fdanus -fbi -voyeuract | ||||
Auteur : Cortes Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Laura Chapitre 05 / 11 | Épisode suivant |
Quand Laura rentre à la maison, le lendemain de la soirée passée avec Yanick, elle trouve Delphine différente. Elle n’a plus cette sérénité joyeuse de jeune fille équilibrée qui lui avait tant plu quand elle l’avait embauchée quelques années auparavant.
Depuis lors une certaine amitié est née entre les deux femmes. Delphine originaire de province est étudiante en droit. Ses parents étant d’origine modeste, elle fait de petits boulots pour vivre et payer ses études. Elle est vive et intelligente, sérieuse et volontaire. Il se dégage de sa personne un charme discret qui ne laisse pas insensible. Elle ressent pour Laura une certaine admiration. Elle est pour elle un modèle. En plus de sa réussite professionnelle, Delphine trouve Laura très belle. D’une beauté victorieuse et triomphante qu’elle lui envie.
Delphine est jolie, certes. C’est une petite blonde ayant un joli visage et de belles formes, une allure générale un peu trop sérieuse peut-être. Mais elle n’a pas cette beauté éclatante presque agressive qu’elle admire chez Laura. Cette dernière a adopté envers elle une attitude bienveillante, maternelle peut-être. Elle se soucie de sa vie, et lui prodigue parfois des conseils pour ses études. Ce dimanche, en fin de matinée, Delphine accueille Laura les traits tirés, les yeux rougis, gonflés. Il est évident qu’elle a pleuré. Laura connaît assez les femmes pour se rendre compte que la jeune fille n’est pas bien. Au moment de la payer, Laura s’inquiète :
Delphine est trop bien élevée pour parler d’elle et refuse d’entrer dans ce type de discussion. Laura insiste. Elle a de l’autorité sur Delphine. Elle sait que cette dernière lui fait confiance et elle se montre persuasive. Delphine finit par craquer et raconte à Laura le drame sentimental qu’elle vit. Yves, son petit ami, l’a méchamment laissée tomber pour une autre. Elle raconte à Laura ses déboires avec ce garçon qui est en fac de droit avec elle et avec lequel elle est en couple depuis trois ans. Avec le temps, Yves est devenu fêtard, coureur alors que Delphine est restée studieuse, bonne élève raisonnable. Et la veille, il a rompu de manière inélégante puisque sans crier gare il a déménagé ses affaires du studio qu’il occupait avec Delphine pendant son absence et ne s’est expliqué avec elle que par téléphone. Il lui a dit sans ménagement que leur histoire ne peut plus continuer, qu’il en aime une autre, qu’il est désolé, mais qu’elle doit se faire une raison. Delphine se laisse maintenant aller à sangloter devant Laura qui la prend dans ses bras, serre la jeune fille contre elle pour la réconforter.
Elle sent les larmes chaudes de la jeune fille couler le long de ses joues, sa lourde poitrine s’appuyer contre la sienne et ce jeune corps chaud qui se colle au sien l’émeut et la trouble à la fois. D’une main elle caresse les cheveux de Delphine. Les lèvres de cette dernière frôlent le cou de Laura qui sent que Delphine est proche de l’embrasser à cet endroit où la peau est si douce, mais qu’une ultime retenue l’en empêche. Elle aime cette pudeur et ce contact la trouble.
La prenant par la main, Laura l’amène dans sa chambre pour que les enfants ne la voient pas pleurer. Les deux femmes s’assoient sur le lit. Laura face à Delphine garde ses mains dans les siennes et tente de la réconforter. Le regard de la jeune fille qui cesse de sangloter s’attarde soudain sur l’un des placards de la chambre resté ouvert et où s’alignent tant de robes, de jupes, de tailleurs, de chaussures.
Delphine réalise qu’il y a très longtemps qu’elle a envie de ce contact plus intime avec Laura. Une certaine pudeur ou retenue l’avait jusqu’à ce jour empêchée de réaliser que sommeillait en elle un tel désir. Mais sous le coup de l’émotion, le blocage a cédé et maintenant elle attend que la bouche de Laura se colle à la sienne. Les lèvres de cette dernière effleurent celles de la jeune fille qui ne se dérobe pas. Elles sont si douces ! Puis Laura l’embrasse véritablement, plus profondément. Sa langue est chaude. Cette sensation est délicieuse. Delphine se laisse embrasser encore passive. Puis elle ose rendre à Laura son baiser en laissant à son tour sa langue aller dans sa bouche pour rencontrer la sienne. Elle aime la chaleur de son haleine et le goût de sa salive qu’elle boit avec délice. Les langues des deux femmes se mêlent et s’emmêlent.
Puis les mains de Delphine s’aventurent timidement vers la poitrine de Laura. Encore un désir qu’elle ne s’avouait pas qu’elle ose réaliser. Elle effleure ces seins lourds, souvent dissimulés sous des chemisiers de soie et qu’elle admirait tant. Ils sont fermes sous ses doigts. Laura, qui la laisse agir, fait à son tour aller une main sur le corps de la jeune femme : le long de son dos, de ses reins, de ses fesses qu’elle sent rondes et fermes sous sa jupe. Puis revenant sur le devant de ses cuisses nues, elle s’aventure sous sa jupe, remontant vers l’entrejambe. Elle découvre avec bonheur que son slip est trempé à cet endroit.
Je l’excite cette gamine, pense Laura qui se sent également très troublée. Les deux femmes continuent à s’embrasser à pleine bouche. Puis Laura repousse doucement Delphine en arrière et s’étend à côté d’elle. Elle a maintenant toute la main dans la culotte de la jeune femme et passe un doigt dans sa fente qui est tout humide. Laura est attendrie par le désir si spontané qu’elle provoque et commence doucement à la doigter. Elle apprécie le jeune con, bien élastique et resserré de la jeune femme, la cramouille chaude qui enduit son majeur.
De son autre main, elle déboutonne le chemisier de la baby-sitter. Elle ôte tendrement, puis dégrafe son soutien-gorge et caresse ses seins ronds et fermes, en pince doucement les tétons. Delphine est totalement passive et soupire, la tête en arrière, les yeux mi-clos. Laura descend un peu plus bas sur le lit et, après l’avoir dégrafée, tire sur la jupe de Delphine. Puis elle lui ôte son slip, un petit slip de coton blanc et écartant ses jambes va fouiller sa chatte d’une langue active et agile. Une jolie chatte bien épilée aux petites lèvres roses, resserrées. L’odeur âcre et sauvage qui lui emplit les narines l’excite. Delphine, la tête toujours renversée commence à gémir.
La langue de Laura s’active sur le clitoris de la jeune fille pour descendre vers l’entrée de son vagin où elle s’aventure légèrement pour remonter de nouveau vers le petit bouton. De ses mains elle maintient ouvertes les cuisses musclées de Delphine qui se met à jouir sans retenue. Après avoir pris son plaisir, étendue sur le dos, les yeux mi-clos, elle récupère, tandis que Laura appuyée sur ses coudes la regarde amusée et satisfaite de lui avoir donné du bonheur.
Delphine caresse toujours les seins lourds et fermes de Laura encore habillée. Celle-ci déboutonne doucement son chemisier et ôte son soutien-gorge afin de libérer sa poitrine. Delphine la contemple et, sans hésiter, approche ses lèvres pour prendre un sein dans sa bouche. Elle aspire le téton entre ses lèvres et laisse une main s’aventurer sur les fesses de Laura, puis sous sa jupe et timidement remonte le long de sa cuisse. Laura tire sur sa jupe pour l’ôter et laisse Delphine aller plus en avant entre ses jambes où la jeune fille insère timidement une main.
Sans dire un mot, elle vient sur Laura et descend sa tête vers son entrejambe. Presque autoritairement elle ôte le slip de sa patronne qui la laisse faire. La jeune fille contemple sa chatte bien épilée et déjà un peu humide. Elle hésite encore, mais approche lentement ses lèvres et passe sa langue sur les grandes lèvres. Laura reste soupire un peu comme pour l’encourager. Puis Delphine plonge dans le sexe avec frénésie comme pour le dévorer accompagnant ses coups de langues de petits gémissements. Laura aime cet enthousiasme juvénile et l’encourage doucement :
Très vite elle sent le plaisir monter. Puis c’est l’apothéose. Son ventre explose sous la langue et les doigts de Delphine qu’elle encourage toujours. Quelques instants après, les deux femmes sont nues côte à côte et s’embrassent de nouveau à pleine bouche, leurs mains s’égarant entre leurs jambes. Laura reprend sa posture dominatrice. Elle vient sur Delphine, l’enlace, frotte son bas-ventre contre le sien, leurs chattes s’agacent et s’excitent. Elle se met à quatre pattes sur elle, en soixante-neuf. Elle sent la langue de Delphine retrouver le chemin de son sexe qu’elle aspire, suce, pénètre maintenant sans aucune retenue.
De son côté Laura doigte et lèche la chatte de Delphine et la fait sursauter lorsqu’elle passe un doigt sur son anus pour le pénétrer doucement avec son majeur qu’elle introduit maintenant franchement dans le joli petit cul de la jeune fille. Comme pour lui répondre et encore timidement, suivant l’exemple de son aînée, elle laisse aller sa langue un peu plus loin. Tirant sur sa nuque elle la passe sur l’anus de Laura qu’elle aborde aussi avec un doigt. Et comme elle, elle ose le pénétrer à son tour, ce qui a pour effet de faire tressaillir Laura. Les deux femmes imbriquées têtes bêche se lèchent, se gougnottent, se doigtent la chatte, le cul. Elles jouissent simultanément et sans retenue, s’aspergeant mutuellement le visage de leur cramouille.
Allongées toutes deux sur le dos après s’être donné tant de plaisir, elles conversent librement :
Delphine a vu Yannick une fois alors qu’il est venu chercher Laura chez elle pour l’emmener dîner. Ce soir-là, Delphine restait dormir dans la chambre d’amis pour ne pas avoir à rentrer chez elle très tard. Ce que Laura ne sait pas, c’est que lorsqu’elle et Yannick sont rentrés vers trois heures du matin, elle les a épiés alors qu’ils prenaient un dernier verre dans le salon. Delphine avait été réveillée par le bruit de la porte d’entrée et les chuchotements qui provenaient du salon. Doucement elle s’était levée et, par curiosité, s’était cachée derrière la porte. Yannick était assis à côté de Laura sur le canapé. Il lui tenait les mains et l’implorait de le laisser passer la nuit avec elle.
Les mains de Yannick s’égaraient sur le corps de Laura. Sur ses seins, sous sa jupe, il l’embrassait dans le cou.
Cette dernière se défendait mollement.
Avec un sourire coquin, Laura ouvrit la braguette de Yannick pour en sortir un membre comme Delphine n’en avait jamais vu. Il faut dire que Delphine n’avait pas vu tant de bites que cela. La queue d’Yves son ex-petit-ami était certes honorable, mais pas de ce calibre-là. Et Laura s’est ensuite penchée sur Yannick pour la prendre en bouche et le sucer avec un savoir-faire qui étonna la jeune fille qui, au fond, n’avait jamais vraiment sucé ou au moins jamais sucé comme le faisait Laura : sa langue s’attardait d’abord sur le gland rouge et turgescent pour aller ensuite à l’endroit où le frein prenait naissance qu’elle léchait par petits coups. Puis elle enfila le membre dans sa jolie bouche et le pompa avidement. Sa main pétrissait les couilles de Yannick qui, elles aussi, paraissaient énormes à Delphine. Cette dernière était à la fois curieuse, mais aussi très excitée.
Au fond d’elle-même, elle aurait aimé être à la place de sa patronne et sentir dans sa bouche cette queue qu’elle imaginait vivante et chaude. Elle vit que la main de Yannick était passée sous la jupe de Laura et s’agitait doucement, probablement entre ses jambes, ce qui excitait encore plus Delphine. La respiration de Yanick s’accéléra, puis il se mit à grogner comme un ours tandis que le mouvement de succion de Laura s’accéléra. Delphine devina qu’il jouissait, car Laura semblait pomper, avaler le sperme que Yannick devait cracher dans sa bouche et apparemment elle aimait cela puisqu’elle continuait à aspirer tout ce qu’elle pouvait boire de ce membre magnifique jusqu’à ce qu’il finisse par dégonfler. Delphine avait envié Laura ce soir-là.
Étendue nue à côté d’elle, elle revoit la scène et se blottit dans les bras de Laura, se serre contre son corps chaud et met sa tête dans son cou, tandis qu’elle sent sur sa croupe s’attarder la main de sa belle patronne.