n° 19218 | Fiche technique | 13425 caractères | 13425 2299 Temps de lecture estimé : 10 mn |
01/10/19 corrigé 05/06/21 |
Résumé: Florence se rend chez Laure pour une séance de pose. J'arrive au milieu. | ||||
Critères: f fh ff fsoumise fdomine exhib fmast cunnilingu pénétratio fdanus -couplea3 | ||||
Auteur : Sergefra (Bel homme, coquin,amoureux des plaisirs de la vie) Envoi mini-message Co-auteur : Carla.moore Envoi mini-message |
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Résumé :
Nous avons décidé d’exporter notre libido le temps d’un week-end près d’Orléans, en profitant d’une exposition photo. Nous prenons la route, l’esprit léger.
Depuis que nous vivons ensemble, les jours coulent comme un fleuve tranquille ! Celui que l’on nomme le fleuve Amour ! Nous allons le plus souvent possible voir expositions, concerts, théâtre. Il me comble d’amour, d’art et de cochon !
Nous venons de faire un saut de puce sur un week-end à Hyères pour le festival du jeune styliste et de la photographie ! Nous avons profité de ce début de printemps pour nous promener sur la plage naturiste de la région et quand je dis « promener », je pense aussi aux quelques arrêts dans les roseaux avoisinant la plage.
Au salon, donc, j’ai vu un flyer qui nous informait d’une exposition de la photographe Vanessa Vercel, « femme nue ». L’image du prospectus représentait un de ses clichés : le dos d’une femme sous la douche appuyée contre la paroi en verre. Il s’en dégageait un érotisme formidable. Pour convaincre mon amoureux d’aller à Orléans voir ses œuvres, il ne m’a fallu qu’un sourire. Là, nous avons sympathisé avec Laure, une photographe. Je suis attirée par elle et tentée de poser.
Je suis donc allée à la première séance de pose. Comme convenu, Paul arrive au milieu et assiste à ses débuts. Il ne doit pas intervenir.
Les protagonistes :
Florence, mon amante soumise,
Laure, la belle photographe,
Aurélie, sa belle assistante,
Et Paul, moi-même, heureux homme.
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Aurélie, fascinée, se laisse faire. J’en profite pour faire glisser sa culotte le long de ses jambes. Pendant ce temps, Laure s’est accroupie pour photographier Florence en contre-plongée, le sexe légèrement ouvert, les seins arrogants. Elle zoome, fait le point, change de position.
Clic-clac
L’appareil crépite. Laure tourne autour de Florence, comme une lionne autour de sa proie.
J’ai relevé la jupe d’Aurélie, et l’ai saisie aux hanches. Je la sens respirer un peu plus fort, toujours absorbée par la séance de pose, mes mains sur les fossettes en haut de ses reins.
Florence obéit, un téton entre deux doigts, l’autre main écarte les lèvres, les pince, frotte le haut, laisse entrer un doigt, deux doigts.
Laure se rapproche, pose l’appareil sur le sol, s’accroupit auprès de Florence. Elle prend l’une de ses lèvres entre le pouce et l’index et fait de même avec l’autre, elle pince et tire, sans cesser de regarder Florence qui tressaille au fond des yeux. Ses doigts maintiennent son sexe écartelé, elle tire un peu plus fort. Flo laisse échapper un petit cri de douleur et de surprise.
Elle se recule, reprend l’appareil, fait une mise au point, cadre, prend une photo, la regarde sur l’écran, l’agrandit, fait la moue, le pose à nouveau. Elle se saisit du projecteur, le rapproche et l’oriente sur le sexe, repositionne le déflecteur. Elle fait une autre photo, l’observe, regarde Flo, le repose et se dirige vers elle.
Florence est muette sur le canapé, en équilibre sur l’accoudoir, un genou dessus, une jambe en dehors.
Laure porte ses doigts à sa bouche, les lèche et les humecte sans cesser de regarder son modèle, puis elle pose l’index sans hésitation à l’endroit sensible, Flo fait un « oh » silencieux de ses lèvres et se dérobe.
Laure continue à appuyer longuement au même endroit, et laisse deux doigts explorer les chairs et les rougir. Je sens la respiration de Flo s’accélérer, celle de Laure aussi me semble-t-il. Elle retire ses doigts, les porte à la bouche de Flo, les lui fait sucer, les yeux dans les yeux, les porte à la sienne ensuite, et les nettoie avec application comme s’ils étaient couverts de confiture.
Elle se recule, prend l’appareil, shoote à nouveau, la salle crépite des claquements de l’obturateur, elle tourne autour de Flo, se penche, se lève, donne des ordres secs.
Elle déplace un projecteur, le déflecteur, change d’objectif pour un plus imposant, se rapproche en contre-plongée, fait un essai.
Elle se lève, et appuie de tout son poids sur le bas de son dos, se recule, se penche à nouveau fait un nouvel essai.
Laure continue de tourner autour d’elle, pour prendre tous les points de vue, d’en bas, d’en haut, derrière, devant, en une danse muette rythmée du crépitement de l’appareil.
Je n’en peux plus, mon esprit est avec les doigts de Laure en Flo, mes mains l’accompagnent sur ses hanches, ses seins, son sexe, je ressens la chaleur de sa peau sous mes doigts, je l’entends souffler son plaisir.
J’ai libéré mon sexe, douloureux, j’écarte les cuisses d’Aurélie, je la caresse à sentir son jus humecter ses lèvres, je pointe la tête de mon gland à l’entrée de son vagin, je joue avec, et je pousse doucement. J’entre en elle, la première résistance brisée. Je la sens s’animer, mon pieu bouger plus facilement, lubrifié par son plaisir. Elle s’appuie sur le dossier d’une chaise et se cambre pour venir à ma rencontre. Elle pousse son cul vers le haut. Elle donne des coups de reins pour me happer entièrement, ses seins se balancent dans mes mains. Elle est étroite et longue, et accompagne de ses mouvements ma pénétration sur toute sa longueur. Je suis bien en elle, c’est agréable, chaud, et humide, doux, et serré. Elle geint doucement maintenant, je glisse un doigt dans sa bouche, elle le happe, le suce avec voracité, attirant l’attention de Laure qui se tourne et nous regarde. Elle me devine dans la pénombre, derrière Aurélie qui avance et recule. Mon sexe se raidit alors qu’elle me suce les doigts. Laure nous fixe, jalouse, semble-t-il. Elle se retourne vers Flo.
Elle s’est rapprochée de Flo, d’une main elle photographie, de l’autre elle pèse sur ses hanches et la cambre, la caresse, la force à s’ouvrir plus, appuie sur sa main en haut de son sexe.
Aurélie, par mimétisme, lui obéit aussi, s’ouvre encore plus grand, creuse ses reins, ouvre sa bouche et avale mon pouce goulûment. Je bande comme un âne. Elle gémit plus fort, et se presse de plus en plus violemment contre mon sexe, se jette à sa rencontre, me trempe de son plaisir, qui fait des bruits de succion contre mon bas-ventre. Je la prends par la gorge, la serre entre mes doigts, tourne sa bouche vers la mienne, mords ses lèvres, prends sa langue. Je sors complètement de son sexe, puis rentre entièrement, la projetant contre la chaise.
Laure mêle ses doigts à ceux de Flo, sans cesser de la photographier. Leurs doigts pénètrent ensemble son sexe, et s’animent de plus en plus vite. Je l’entends dire son plaisir, se laisser aller, s’abandonner, être sa chose.
Elle retire le zoom, opte pour un normal, se redresse, fait le point sur le visage de Flo, rectifie l’éclairage.
Flo opine de la tête.
Je vois les doigts de Flo jouer avec ses lèvres, ses poils, son sexe, caresser, pénétrer. Elle les porte à sa bouche et revient à son entrejambe. Elle joue, agace, son souffle s’accélère.
Laure se penche et s’approche, change encore d’objectif et mitraille le sexe de Flo, ses doigts dedans, son plaisir luisant.
Elle se rapproche, mêle ses doigts à ceux de Flo, les mouille de son plaisir, et les porte à sa bouche pour étaler son rouge et le faire déborder de ses lèvres, elle délave son eye-liner autour des yeux, se recule et observe.
Elle se rapproche à nouveau, plonge ses doigts dans son sexe, les fait aller longtemps, les y lubrifie avec application et les positionne autour de son anus. Elle appuie son index dessus, et l’enfile dedans, son majeur le rejoint et les deux doigts travaillent l’œillet, l’assouplissent, l’élargissent.
Laure est debout son appareil à peine à vingt centimètres du visage de Flo, elle tourne autour, doit sentir son souffle s’accélérer à mesure que les doigts s’activent sur le sexe et l’anus. On entend Flo respirer plus rapidement, brutalement. De temps en temps Laure abandonne le visage pour le bas-ventre, l’appareil crépite.
Clic clac
Le rythme s’accélère, les doigts pianotent une sarabande de plaisir, la voix chante en écho le plaisir qui monte.
Un cri, Flo s’effondre, elle jouit, convulsée de plaisir, Laure autour n’en perd pas une miette et mitraille, le khôl qui a coulé, la bouche au rouge cramoisi, tordue de plaisirs, les doigts mouillés de ceux-ci, l’abandon des chairs. Elle aimerait photographier les bruits de sa jouissance, son parfum.
Nous sommes tombés au sol et je couvre maintenant Aurélie à quatre pattes de violents coups de boutoir. Elle crie son plaisir sans retenue. Je sors de son sexe, et pousse un peu plus haut la porte étroite, je m’enfonce doucement et l’entends râler. J’alterne le haut, et le bas, je rentre et je sors. Je la possède complètement, elle est à moi, elle gémit de plaisir, tout à sa jouissance, sans aucune retenue.
Flo nous regarde en respirant de plus en plus violemment, entre ses doigts et ceux de Laure, c’est maintenant presque une main entière qu’elle accueille en elle-même.
Je sens que je vais jouir, je me retire à temps, et viens me mettre devant Aurélie.
Alertée par le bruit, Laure tourne la tête à temps pour me voir loger mon sexe au plus profond de sa gorge et jouir à pleines saccades dans la bouche de son assistante-amante.
Elle me fixe longuement, puis se tourne et embrasse voracement à pleine bouche Florence. Elle joue avec ses lèvres, ses dents, sa langue, la maintient par la nuque bloquée, contre sa bouche. Elle pousse en son sexe en même temps sa main, la fait tourner, bouger et disparaître à l’exception du pouce, qui appuie de toute sa force sur le bouton de plaisir. Flo crie dans sa bouche sa jouissance extrême, sa tempête de plaisir, elle s’effondrerait, flageolant sur ses jambes en coton, sans la main profondément ancrée en elle, qui la maintient debout.
Flo s’écroule sur le sofa, pendant que je libère la bouche d’Aurélie.
Laure s’accroupit pour boire au creux des jambes de Flo, la liqueur de son plaisir. Je vois ses cheveux onduler, sa tête, que Flo maintient des deux mains, bouger, je l’entends crier maintenant sans retenue, ses doigts se crispent dans les cheveux, son ventre se projette vers la bouche qui la dévore.
Laure me subjugue. Ses ordres sont de plus en plus secs. Je la sens libérée tout à coup. Est-ce que c’est… Bien sûr, les deux autres… Je ne suis pas étonnée… mais je ne sens pas la complicité que nous avons toujours eue, même avec Betty ou Chloé. Non, il est loin… Par contre Laure est maintenant contre moi, elle me touche, elle me caresse. Oh qu’elle est douce dans sa violence. Sa caresse est divine. Oh je vais jouir très vite. Il faut dire que l’exhibition devant l’objectif m’avait déjà bien chauffée.
Nous nous écroulons sur le sofa… elle a quatre doigts en moi.
Elle m’entraîne dans une autre pièce. Apparemment c’est leur chambre. Laure ferme la porte.
Aurélie frappe à la porte.
Je ne suis pas sûre de vouloir retourner chez lui. Là, je veux juste prendre plaisir avec Laure. Nous nous embrassons et faisons l’amour.
Laure se relève, nous regarde, les cheveux défaits, la bouche maculée, se dirige vers nous, elle prend Aurélie de la main et la conduit sur le palier.
Elle revient vers moi, ramasse au sol nos vêtements épars, me conduit à la porte, laisse choir nos effets.
Elle nous claque la porte au nez, je n’ai que le temps d’entrevoir une dernière fois, Flo, les cheveux épars, les jambes indécemment ouvertes, le sexe gonflé, les yeux dans le vide, comme droguée de plaisir, abandonnée sur le canapé.
Je sais que notre histoire est terminée quand Laure revient vers moi. Je suis à elle et elle seule.
Elle s’allonge contre moi et m’embrasse goulûment.
Je ressens une intensité amoureuse comme jamais.