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Temps de lecture estimé : 23 mn
16/10/19
Résumé:  Je découvre par hasard la double vie de ma belle-mère. Et elle me drague sans savoir que c'est moi...
Critères:  fh fplusag extracon alliance boitenuit fellation -bellemere
Auteur : Alain Michel      

Série : L'élixir de ma belle-mère

Chapitre 01 / 04
Ma belle-mère est surprenante

La vie est pleine de surprises. On croit connaître certaines personnes, et parfois le hasard nous les fait découvrir bien différemment. C’est ce qui m’est arrivé il y a une dizaine d’années.


Mon prénom est Frédéric (mais on m’appelle Fred), trente-cinq ans à l’époque, marié à Céline qui nous a donné deux enfants. Nous habitions en proche banlieue parisienne. Brune aux cheveux longs, plutôt grande et mince, Céline entretenait son corps en pratiquant des activités sportives régulièrement, ceci à côté de son travail de comptable. De mon côté, ingénieur informaticien, brun aux yeux verts de 1,85 m pour 80 kg, j’essayais d’en faire autant, même si je n’avais pas toujours le temps de pratiquer mes sports favoris.


Si Céline était toujours belle et sensuelle après douze années de vie commune, j’avoue qu’à cette époque nous avions conscience que nous commencions à entrer dans une certaine routine sexuelle petit à petit. Si cela ne nous posait pas de question de couple à cette époque, nous nous sommes interrogés sur l’usure progressive inévitable du couple à la longue.


En voyant pratiquement tous nos amis de notre âge divorcer autour de nous, souvent à la suite de petites liaisons passagères sans réelles importances, nous en avions parlé un jour très librement. Et plutôt que de tout casser si cela nous arrivait, nous avions décidé alors de nous autoriser, « si besoin était » ( !) une petite passade provisoire et discrète. Nous avions même convenu que l’idéal serait que l’autre ne s’en aperçoive pas, préservant ainsi surtout la solidité du couple et de la famille. Et si je ne préférais pas me poser la question de savoir si ma femme avait profité de cette « petite opportunité passagère », de mon côté je ne l’avais jamais mise en pratique.


À cette époque, nous étions souvent en contact avec mes beaux-parents, Nadine et Patrick, qui habitaient aussi en banlieue pas très loin de chez nous, ce qui faisait qu’ils pouvaient profiter de leurs petits-enfants, et parfois nous les garder quand on voulait sortir.


Par le jeu du hasard, je m’occupais activement à cette époque de la gestion d’une maison de vacances que possédait ma belle-mère par héritage. Cette maison était située sur la frontière suisse, en Haute-Savoie. Dans les faits, j’étais le seul de la famille à vouloir conserver cette maison, car l’hiver je l’utilisais à plusieurs reprises pour y faire du ski avec une bande de copains, ceci sur un domaine particulièrement étendu. De plus, l’été j’y amenais ma petite famille où nous passions des vacances montagnardes idéales.


Il fut un temps où ma belle-mère voulait vendre cette maison. J’avais cependant réussi à la convaincre de ne pas se précipiter avec le deal suivant quelle m’avait alors concédé : je pouvais utiliser cette maison qu’elle acceptait de ne pas vendre à partir du moment où je m’occupais de sa gestion complète et de son entretien. Ce deal me convenait fort bien.


Cela dit, la relation que j’entretenais alors avec mes beaux-parents était plutôt conventionnelle, courtoise, mais sans plus. Mon beau-père Patrick travaillait dans une banque en tant que responsable d’agence, et ma belle-mère était la patronne d’une société d’investissements immobiliers qu’elle avait créée. À signaler que, si à cinquante-sept ans elle était plutôt « belle femme », elle ne faisait rien pour se mettre en valeur. Grande brune aux cheveux mi-longs, alors qu’elle avait une jolie poitrine qui devait approcher du 90 B ou C et qu’elle avait une paire de fesses très plaisante à regarder (avec tout ce qu’il faut, mais pas plus !), elle n’avait jamais un bouton de corsage dégrafé ou un croisement de jambes qui aurait pu paraître un tantinet sensuel. Ni dans son job, où pourtant la communication est importante, ni bien sûr dans sa vie familiale.


Si on rajoute à cela le fait qu’elle était sujette aux chutes de tension, et qu’elle était alors souvent « patraque » comme elle le disait, je savais que certaines de nos relations, qui trouvaient qu’elle était plutôt distante, l’avaient surnommée entre eux « Misscoincée».


Un après-midi de mai, j’avais terminé tôt mes rendez-vous sur Paris et revenais vers le métro pour repasser à mon bureau. C’est alors que je vis ma belle-mère sur l’autre trottoir marchant vite dans l’autre sens. Malgré ses grosses lunettes de soleil, je l’ai reconnue facilement, car elle portait une robe légère de lin marron qu’elle affectionnait, et surtout elle avait son habituel sac rouge en bandoulière.


Je me dis que c’était sans doute le moment de discuter avec elle discrètement de la fête que nous voulions faire à son mari Patrick pour ses prochains soixante ans. Je fis donc demi-tour et commençais à la rattraper un peu, quand d’un seul coup elle entra dans une sorte de couloir entre des bâtiments et disparut de ma vue. J’eus du mal à traverser, puis quand j’y réussis je m’approchai du couloir un peu interloqué. Ce couloir menait à un escalier d’une vingtaine de marches, que je descendis, puis à une porte portant un écriteau : « Le 97— Club Privé ».


Alors là, j’avoue avoir été plutôt interrogatif sur la conduite à tenir. Jamais je n’aurais imaginé ma belle-mère fréquenter un club privé. D’ailleurs qu’est-ce que ça veut dire au juste ? Sur le numéro 97 j’avais compris que comme il était situé au 97 de la rue B… le nom avait été facile à trouver. Mais pour le reste, mystère.


Je réfléchis durant environ cinq minutes, puis je me dis que finalement je ne risquai rien à appuyer sur la sonnette… et que je verrai bien quoi faire ensuite. Connaissant ma belle-mère, Nadine, la sachant passionnée d’échecs et de bridges, je me dis que cela pourrait être une salle d’entraînement pour elle qui se préparaît régulièrement à des championnats de haut niveau.

Un peu tendu quand même, j’appuyai sur la sonnette…


La porte s’ouvrit quelques instants plus tard dans une demi-pénombre, et une belle femme blonde d’une trentaine d’années m’accueillit avec un grand sourire et un super décolleté.



Et voyant mon hésitation :



Je fis deux pas en avant, et elle referma la porte. J’entendais de la musique au loin, tout en distinguant des costumes de déguisements posés pêle-mêle sur une banque d’accueil face à un vestiaire plutôt bien rempli. Vestiaire dans lequel j’aperçus le sac rouge de ma belle-mère. Pas de doute, elle était bien là.



Troublé, ne sachant trop quelle attitude tenir, je répondis :



Toujours souriante, elle s’approcha de moi et m’expliqua :



C’était très étonnant. Je n’imaginais pas ma belle-mère dans un tel lieu…

Devant mon incertitude, la jeune femme reprit :



Ah oui, je commençais à comprendre ! Un après-midi comme une sorte de quart d’heure américain prolongé, mais chacun étant masqué, le but étant que personne ne sache pas qui a dansé avec qui….



Ma décision fut vite prise, surtout compte tenu de l’anonymat donné par le masque et la perruque. Je me suis dit que finalement, je suis invité, je me balade en regardant, je danse si j’en ai envie… et si je croise Nadine, je verrai bien, de toute façon elle ne saura pas que c’est moi.


J’acceptai la proposition de Laura, me choisis une perruque blonde cheveux mi-longs pour homme, et un loup noir très fin et très souple qui collait cependant bien à ma peau. Je me regardai dans la glace pour vérifier le résultat : j’étais méconnaissable. De plus, petite touche supplémentaire, j’avais au poignet un bracelet de soie que m’avait donné la veille en cadeau de bienvenue un chef d’entreprise hindouiste avec qui je négociais. Selon lui, ce bracelet porté trois jours d’affilés était susceptible d’influencer positivement mes projets professionnels. Je n’y croyais pas bien sûr… cela dit, on ne sait jamais. Mais là, orange vif, il était tout à fait dans le ton de mon déguisement.


Je fermai à clé ma mallette de travail pour la laisser au vestiaire, pris les billets donnés par Laura (qui me fit gentiment un petit bisou en me souhaitant « bon après-midi, bel inconnu… ») et descendis encore une vingtaine de marches en me rapprochant de la musique…


Au détour du couloir, je me suis retrouvé en pleine salle de danse. Une salle relativement grande, avec une piste et une estrade, des fauteuils en alcôve sur les côtés, et un bar qui tenait tout une largeur de mur. La climatisation était parfaitement efficace, il y faisait très bon.


Une cinquantaine de couples dansaient sur un paso, et je constatai que le niveau des danseurs était très bon. Formé dès l’adolescence par mes tantes, j’ai toujours été bon danseur, même si j’ai souvent caché cela dans les cérémonies et événements familiaux. Pour éviter d’être le « taxi danseur » de service…


Là, ça dansait bien. Il y avait des couples de tous âges, sans doute entre dix-huit et presque quatre-vingts ans, pour autant que l’on puisse voir les corps évoluer, même si les déguisements dissimulaient bien les visages. J’ai aimé de suite ce lieu où l’ambiance était discrète et sereine. Pour un peu, je me serais cru en vacances, et même en croisière.


Mais je n’eus pas le temps de chercher ma belle-mère, une femme « arlequine » me prenant par le bras en me disant :



Car derrière le paso, une série de tangos prit la suite. Alors, je me suis lancé, avec plaisir, j’en conviens, le tango étant ma danse préférée. Et visiblement, mon arrivée ne passa pas inaperçue, beaucoup de danseurs nous regardaient et cherchaient à deviner qui était derrière nos masques. Tout en dansant, je découvrais ce lieu qui me semblait magique et hors normes. Au fond, aux quatre coins de la salle, je devinais des petites pistes plus intimes, plus discrètes… Certainement les salons dont m’avait parlé Laura.


La série se termina, et je remerciai ma partenaire en filant rapidement vers le bar pour ne pas être sollicité à nouveau. Un bar de qualité avec tout ce qu’il faut comme consommation et, chose rare à Paris, à des prix tout à fait corrects.


En jetant un coup d’œil vers un des salons du fond, je reconnus ma belle-mère grâce à sa robe. Je m’approchai et constatai que si elle avait son visage dissimulé elle aussi par un loup, elle avait dégrafé deux boutons du haut, laissant voir ainsi largement ses seins lourds. D’autre part, elle croisait les jambes mine de rien, mais quand même de manière à ce que sa robe remonte très haut.


Je tombai des nues ! Très affriolante, je ne l’avais jamais vu ainsi. Où était la « Misscoincée » ? Là, Nadine était une autre femme, une femme sensuelle et attirante.


Elle était en grande discussion avec un jeune garçon d’une vingtaine d’années, discussion dont j’entendis quelques phrases. En fait, elle lui disait que « c’était pas possible entre eux, que c’était une erreur, qu’il était bien trop jeune pour elle et qu’il devait chercher une fille de son âge ». .. Alors là aussi, je ne m’attendais pas à ça. Je commençai à penser que belle-maman avait une double vie, et une sacrée double vie…


Au point où j’en étais de mes découvertes, je me dis alors que je n’avais pas intérêt à ce qu’elle découvre que je sois là. Je commençais sérieusement à penser que je devais quitter cet endroit, et le plus vite possible.


Mais c’était sans compter avec l’après-midi américaine, car une jeune bimbo d’une vingtaine d’années vint me prendre par le bras pour m’obliger à danser le cha-cha-cha avec elle. Et me voilà reparti pour une série… En faisant toujours autant le spectacle autour de nous.


Fin de la série, début des valses… Je commence à m’apprêter à filer en douce, quand une main me prend par la taille et qu’une voix que je connais bien me dit à l’oreille :



Oupssssss… Et me voilà face à ma belle-mère, obligé de l’enlacer pour engager une valse sur « Le beau Danube bleu ». Tout en essayant de ne pas paniquer…



Visiblement, elle m’avait remarqué lors de mon passage pourtant rapide vers le petit salon où elle recadrait le petit jeune. Et elle avait sans doute ensuite été se renseigner sur moi auprès de Laura. Fine mouche, la belle-mère…



Glurpssss… La situation se complexifiait. Et je n’allais pas lui répondre bien sûr avec ma voix normale. Alors je descendis de deux octaves et lui dit d’une voix de crooner :



Et je me lançai alors dans une valse fluide et très limpide, la tenant à peine dans mes bras tellement son corps s’adaptait complètement au mien. Je ne m’attendais pas à ça, mais elle valsait divinement, et je la guidais en parfaite harmonie, comme si nos deux corps ne faisaient plus qu’un.


C’était absolument magique, nos yeux ne se quittaient plus, et nous tournions comme si nous étions seuls sur les berges du Danube… Un grand moment de communion que j’ai rarement perçu dès la première danse avec une femme. Et après cette valse, il y en a eu une autre, puis une autre et encore une dernière. Un grand moment de bonheur, et je ne regrettais pas alors d’être resté.


À ce moment-là, il se passait beaucoup de choses en moi. L’image de ma belle-mère un peu coincée, la mère de ma femme, quand même, et la grand-mère de mes enfants se percutait avec cette femme sensuelle, bonne danseuse de surcroît. Il était encore temps pour moi de détaler sur un prétexte ou un autre, mais j’avoue que la découverte de ce lieu m’impressionnait, et la nouvelle personnalité de Nadine m’intriguait. En pesant le pour et le contre, je me dis alors que je ne risquais rien à rester un peu plus longtemps. Je verrais bien par la suite…


Après les valses, le DJ lança les slows. Et les lumières devinrent ultra tamisées.



Elle se serra un peu contre moi, et on se laissa emporter par la musique alors que je commençais à sentir son corps me frôler à chaque mouvement. En regardant autour de moi, je vis que les couples dansants ne se privaient pas. Si quelques-uns gardaient une certaine distance entre eux, la plupart étaient collés l’un à l’autre, s’embrassant sans retenue. Sans parler des mains baladeuses… Visiblement, cette série de slows était très attendue.



Et la danse nous emporta à nouveau. Nous étions dans un monde à part, nos corps désormais collés l’un contre l’autre ondulaient ensemble au rythme du slow torride « Me and Mrs Jones » de Billy Paul… Nos visages se rapprochèrent à moment donné. Enlacés, avec le mystère excitant de nos deux loups noirs de velours, nous nous regardâmes les yeux dans les yeux, nos lèvres à vingt centimètres à peine les unes des autres… Et si ses seins étaient désormais très durs et pointaient nettement contre moi, elle ne pouvait ignorer une certaine grosseur qui commençait à se développer contre sa cuisse, grosseur qu’habilement d’un mouvement du corps elle vint caler contre son ventre, ou plus exactement contre le bas de son ventre. Et là, sur le final très émotionnel de ce slow mythique, elle commença à approcher ses lèvres des miennes…


Que se passa-t-il dans ma tête à ce moment-là ? En fait, la magie de la danse m’avait amené à oublier ce pour quoi j’étais entré ici, et l’intensité des émotions reçues me faisait littéralement planer. Si c’était ma belle-mère qui était face à moi, c’était aussi une femme que je venais de découvrir, une femme qui m’envoûtait littéralement…


Alors, je la laissais faire. Finalement, je ne risquais rien, me semblait-il. J’avais mon loup, elle, le sien. On n’était pas censés se connaître, et je la quitterai sans qu’elle puisse savoir qui j’étais. Pourquoi ne pas profiter du moment présent ?


Nos masques très fins n’étaient pas un problème quand ses lèvres se posèrent sur les miennes. Et voyant que je ne retirais pas mes lèvres, je sentis sa langue pénétrer en forçant un peu avant qu’elle ne m’embrasse en collant sa bouche à la mienne, me prodiguant une merveilleuse « langue fourrée » particulièrement voluptueuse. C’était divin…


Je savourais cet instant, c’était très fort. Et pendant qu’elle me prenait la tête d’une main pour mieux scotcher ses lèvres sur les miennes afin que sa langue prenne bien possession de ma bouche, elle mit son autre main sur mes hanches pour les pousser contre les siennes afin qu’elle puisse onduler doucement sur moi, et ceci le long de ce qui était devenu petit à petit une barre.


Quel délice, c’était bon…


Le disque se termina alors. Et comme il y avait un flottement dans les enchaînements de séries, elle me prit par la main et me dit :



Au point où j’en étais, je me laissai faire. Comme nous tendions la main pour récupérer nos boissons, elle vit à mon poignet le bracelet hindouiste et m’en demanda la signification. Et après mon explication sur les supposées énergies positives professionnelles, elle ajouta :



Et elle me reprit par la main pour me guider vers son fameux « petit salon de danse ».


En nous frayant un passage pour y arriver, nous fûmes poussés par un mouvement de foule et Nadine renversa un peu de sa liqueur de framboise en partie sur ma chaussure. Elle s’en excusa, même si en fait elle n’y pouvait rien. Une belle auréole ornait ma chaussure de toile.



Cela la rassura, mais elle me fit promettre de revenir la semaine suivante le même jour, pour que nous puissions continuer à nous mieux connaître, sans masques bien sûr. Très hypocritement je lui assurai que je serai là « avec grand plaisir », mais bien sûr à ce moment-là, je n’envisageais absolument pas de revenir pour me dévoiler devant ma belle-mère… Cela dit, rassurée, elle me donna rendez-vous en milieu d’après-midi dans ce fameux petit salon où nous débouchâmes alors.


En fait, c’était une petite piste de danse entourée de fauteuils qui se faisaient face. De taille assez haute, ces fauteuils formaient des alcôves où l’on pouvait si l’on était assis voir et être vus, et si l’on était allongés être plus ou moins bien cachés. Et la pénombre entretenait le côté secret et discret de ce salon. De même que la sono qui n’y diffusait que des slows.


En entrant dans le salon, Nadine s’arrêta un instant, me regardant fixement tout en dégrafant deux boutons du haut de sa robe qui désormais dévoilait une grande partie de ses seins très libres dans un mini soutien-gorge noir. Et elle dégrafa aussi un bouton du bas, ce qui me permettait de voir très haut ses cuisses en laissant deviner sa culotte… Glurpssssssss…


Elle avait visiblement ses habitudes dans ce lieu, et nous nous assîmes à l’opposé d’une alcôve où l’on ne voyait d’une femme que sa tête tendue en arrière, tête qui visiblement s’agitait un peu dans tous les sens… Devant mon interrogation muette, ma compagne de cet après-midi inoubliable me dit en rigolant :



Et devant ma surprise, elle ajouta :



Elle se colla alors à moi, et tout en me roulant une pelle d’enfer, elle commença à déboutonner ma chemise. C’était plutôt troublant, j’avais l’impression que les rôles de la séduction homme-femme étaient inversés, et qu’après m’avoir ouvertement dragué, elle voulait aller un peu plus loin dans le flirt…


Alors que ma chemise fut rapidement ouverte et qu’elle commençait à me griffer délicatement les seins, on entendit une petite sonnerie stridente.



Effectivement, le couple d’à côté se leva rapidement en se réajustant pour être présentable, puis pouffant de rire il nous salua discrètement en quittant le salon.

Me regardant fixement dans les yeux, ma belle-mère reprit :



Je me levai prestement pour essayer de la détourner de l’objet de ses attentions. Elle me dit alors en souriant :



Je n’avais pas le choix bien sûr. Au point où l’on en était, comme imaginer enlever mon masque… Alors que je reculai contre le miroir du salon, elle s’approcha de moi, défit ma ceinture, baissa mon pantalon sur mes cuisses, puis d’un geste sec baissa aussi mon slip d’où jaillit vers elle, tel un diable en boîte, mon sexe tendu.


Dans ma tête, ça se bousculait. Certes la femme qui était là, c’était ma belle-mère. Mais cette femme avait tout pour me faire capituler : du charme, de l’élégance, des seins appétissants et une petite culotte adorable qu’elle me montrait en écartant les jambes pas vraiment par hasard. Franchement, que pouvais-je faire d’autre que de « bander à mort ».


Très sûre d’elle, elle prit alors en main cette bite de bonne taille qui se présentait à elle, et commença à me branler doucement en m’embrassant très suavement. Je dois bien reconnaître que c’était exquis. Pour une « Misscoincée », elle savait y faire !


Puis, tout en m’astiquant de plus en plus vite d’une main et de l’autre en me griffant la poitrine de ses ongles acérés, elle se mit lentement à genoux devant moi, sa bouche à quelques centimètres de ma queue, ses seins quasiment découverts. J’y croyais pas…


Elle me regarda droit dans les yeux, et tout en continuant à me branler, elle commença à me lécher la queue, comme si elle avait à sa disposition un magnifique sucre d’orge. Sa langue montait et descendait, puis tournait autour du gland avant de redescendre avec application. Elle se régalait et gloussait de plaisir…


Enfin, elle commença à me sucer, sa bouche de velours allant et venant d’abord lentement, puis de plus en plus vite, de plus en plus profond. Et elle alternait, elle léchait, elle suçait, elle branlait… Et quand elle sentait mon sexe tressauter, elle retirait sa bouche pour lécher lentement mes couilles en les prenant dans sa bouche. Puis elle revenait vers ma queue, la reléchait avec application et gourmandise, la pressait avec attention, puis se remettait à la sucer très lentement, se l’enfonçant progressivement pour bien la caler au fond de sa gorge en me prodiguant une « gorge profonde » exquise. Une grande experte…


Je fermais les yeux et me disais vraiment que je découvrais là des talents cachés, bien cachés même, de ma belle-mère. Mais je n’étais pas au bout de mes surprises quand d’un seul coup je l’entendis dire :



Absolument incroyable pour moi ! Ma belle-mère proférant de tels propos !


Et là, reprenant ma queue en bouche en se l’enfonçant progressivement, ce qui devait arriver arriva.


Alors qu’elle m’avait calé au plus profond qu’elle le pouvait et qu’une de ses mains me branlait le bas de la queue, je n’ai pas pu me retenir plus longtemps, surtout qu’ayant été en déplacement une bonne partie de la semaine, je n’avais pas eu l’occasion de « m’occuper » de ma femme… Et je lui déchargeai une première longue et généreuse rasade qui vint tapisser le fond de sa gorge, rasade qu’elle n’attendait pas, car elle poussa une sorte de grognement en même temps qu’elle fut forcée d’avaler de surprise.


Machinalement, je l’ai prise alors par la tête pour l’empêcher de bouger, et continuais à déverser dans sa bouche plusieurs autres belles giclées… Quel plaisir de jouir ainsi dans la bouche de sa belle-mère, quel bonheur de lui remplir la bouche de jets lourds et liquoreux de mon nectar le plus intime, quelle extase de me soulager en me vidant complètement en elle… C’était divinement exquis !


Je relâchai petit à petit ma pression sur sa tête, et m’aperçus qu’elle avait les lèvres bien serrées autour de ma queue. Puis doucement, gardant tout en bouche, elle commença des petits mouvements de langue, pour que mon plaisir et le sien se prolongent le plus longtemps possible, tout en se remettant à sucer lentement en faisant attention de ne rien perdre… Quelle jouissance ! Une Diva !


Toujours tout en douceur, elle se retira en faisant en sorte de ne rien laisser perdre. Et là, surprise pour moi, la bouche toujours pleine de mon nectar, elle me guida pour que je m’allonge près d’elle dans les fauteuils. Puis elle prit mes mains. Une pour la poser sur sa cuisse, l’autre pour la glisser sur ses seins, dans le haut de sa robe largement échancrée. Message compris !


Alors que je glissai ma main dans son soutien-gorge pour saisir un sein devenu très ferme, ses cuisses s’ouvrirent largement pour que mon autre main remonte vers sa chatte que je découvris alors bien humide à travers sa culotte. Doucement, je commençai à masturber ma belle-mère en allant et venant de haut en bas sur sa culotte, en tournant et en pressant son clitoris.


J’étais aux anges ! Suprême jouissance cérébrale pour moi que de branler ma belle-mère, Nadine !


Puis, la bouche toujours bien pleine, elle me regarda droit dans les yeux et elle commença à avaler, en plusieurs fois tellement il y en avait. La musique s’étant éteinte, je l’entendis déglutir avec des soupirs de satisfaction, et plus elle avalait, plus elle pressait mes mains sur ses seins et sur sa chatte.


Elle se mit alors à feuler doucement puis de plus en plus fort, poussant des « Hmmm » et des « Argggggg ». Elle commençait à jouir… Et je la vis s’arc-bouter et tressauter sous l’effet de convulsions, son corps tétanisé de plaisir… Jusqu’à ce qu’elle soit secouée par un orgasme intense que j’accompagnai en pinçant durement le téton du sein que j’avais en main, et en prenant totalement et fermement sa chatte dans mon autre main. Sous l’effet de ma prise de possession, elle décolla en secouant la tête dans tous les sens. Et plus elle s’arc-boutait, plus j’écrasais son téton, plus je pinçais durement son clito à travers sa culotte… Elle se mit à hurler, en vibrant telle une possédée…



Et me griffant les bras comme une démente, emportée par la vague d’un plaisir incontrôlable, elle secouait sa tête dans tous les sens comme une poupée de chiffon…


C’était super bon, pour elle comme pour moi… Et son orgasme dura facilement deux bonnes minutes, période d’extase qui la laissa pantelante, désarticulée… et ravie !



Puis après quelques instants de répit :



Les yeux encore hagards, elle serra avec sa main le bas de ma queue, puis remonta très lentement tout du long jusqu’au gland, me trayant ainsi des dernières gouttes qu’elle pouvait récupérer, pour les faire jaillir sur sa langue et les avaler avidement. Et elle recommença plusieurs fois, décidée effectivement à ne rien laisser perdre !

Quelle jouissance pour nous deux… !


Puis dans un état second, nous nous allongeâmes sur les fauteuils en nous serrant l’un contre l’autre, pour savourer ce moment de bonheur précieux.

Mais Laura passa la tête pour nous rappeler qu’il était temps de « finir » et de nous « réajuster », tout en nous faisant un grand clin d’œil. Message compris. ..



Et après un bisou sur les lèvres et une dernière étreinte, nous nous séparâmes…

Je me dis, en quittant le club que je n’étais pas prêt d’oublier cet après-midi. Ce fut effectivement le cas…




* * * * * * * * * * *




Je rentrai ce soir-là à la maison après être passé au bureau pour expédier les affaires courantes.


Surprise, mon beau-père était là, et il avait donné rendez-vous à ma belle-mère pour se retrouver avant de rentrer chez eux. Selon lui, elle était allée à Paris pour « ses affaires » en transports en commun. En l’attendant, ma femme, Céline prépara un petit apéritif.


Je n’eus même pas le temps de me changer qu’elle arriva comme une trombe, comme à son habitude.

Plus de femme sensuelle, la robe était reboutonnée jusqu’au cou et rien dans son attitude ne pouvait montrer ce qu’elle avait fait de son après-midi.


Elle me fit une bise normale, et cela me rassura au cas où à ce moment-là j’aurais pu penser qu’elle me reconnaisse. Elle nous dit qu’elle avait « viré » un jeune chef d’entreprise avec qui elle était en affaires pour la location d’un patrimoine immobilier, puis qu’elle l’avait transféré à quelqu’un de plus mûr, qui semblait plus approprié. Cela me fit discrètement sourire, surtout sa référence à son patrimoine. Mais comme tout allait bien, je commençai à servir l’apéritif.


C’est alors que tout bascula…

Quand je passai près de mon beau-père pour lui servir son vin blanc préféré, voyant à mon poignet le bracelet que je n’avais pas eu le temps d’enlever, il me dit tout haut :



La réponse vint de ma femme :



Et mon beau-père d’ajouter :



Je ne savais plus quoi dire…



Et je m’assis.


Et regardai en coin ma belle-mère.


Elle était devenue d’un seul coup livide, blanche, tétanisée. Elle me fixait dans les yeux sans trop comprendre d’abord. Puis petit à petit, je sentis qu’elle commençait à paniquer. Sans doute devait-elle se dire que ce n’était pas possible… Que c’était même impossible…


Puis je vis le doute commencer à monter en elle. Je la vis étudier d’abord mon costume, ma bouche, puis mes yeux. Et là, comme nous avions quand même passés de longs moments les yeux dans les yeux, le doute devint plus fort. Le doute et même l’effroi, surtout qu’elle devait se remémorer ce que lui avait dit Laura en parlant de moi « un grand brun avec beaucoup de classe ». .. Il faut dire que de mon côté je fuyais son regard en faisant tout pour cacher ce malheureux bracelet par qui le scandale venait d’arriver.


C’est alors qu’elle repensa à la tache qu’elle m’avait faite sur la chaussure…


Mon beau-père et ma femme étant partis à discuter des nouveaux modes de management spirituels en entreprise, elle s’accrocha à la table des deux mains, prit une inspiration et plongea la tête dessous… pour constater effectivement que ma chaussure de toile avait une belle tache…


Quand elle revint vers nous, elle avait compris. Elle me regarda et me fusilla des yeux. Si ceux-ci avaient été des mitraillettes, j’aurais été exécuté sur place. Elle se leva, s’excusa vaguement et disparut dans la pièce d’à côté, sous prétexte d’un coup de fil urgent. Cela ne surpris personne, on était habitué à cela avec elle. Pour autant, je n’en menais pas large…


Quand elle revient, après cinq bonnes minutes, elle semblait certes remontée, mais aussi plus sereine. Et elle nous dit à tous :



Si mon beau-père et ma femme n’ont pas vraiment compris de quoi elle voulait parler, de mon côté j’avais bien percuté. Le message était pour moi, et si je ne venais pas au rendez-vous la semaine prochaine au club 97, elle me retirait la gestion de la maison de vacances en Haute-Savoie pour la vendre.


Et elle ajouta en me regardant :



Ils me regardaient tous. Je ne disais rien.



Le comble, dans la situation délicate où j’étais, c’était que ma femme m’obligeait à répondre…



Je l’ai sentie alors moins stressée. Elle me regarda froidement cependant en me disant :



Sur ce, ma belle-mère se leva et exigea de mon beau-père qu’ils rentrent chez eux rapidement.


Effectivement, je n’avais pas le choix que de retourner au club pour ce rendez-vous très sensible…


Mais ça, c’est une autre histoire, pour bientôt… !