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n° 19318Fiche technique42490 caractères42490
Temps de lecture estimé : 24 mn
20/11/19
Résumé:  Ma belle-mère est furieuse, car j'ai découvert par hasard sa deuxième vie parallèle. Elle m'impose de m'utiliser parfois selon ses besoins. J'accepte, mais les choses ne sont pas si simples...
Critères:  fh fplusag alliance fsoumise fmast fellation sm fouetfesse -bellemere
Auteur : Alain Michel      

Série : L'élixir de ma belle-mère

Chapitre 02 / 04
Nadine passe un deal avec moi...

Résumé de l'épisode précédent » :

J’ai découvert par hasard que Nadine, ma belle-mère, mène une double vie et fréquente un club de danse. Je me suis retrouvé dans ce club déguisé et elle m’a dragué ouvertement sans savoir que j’étais son gendre. Mais plus tard, lors d’un apéritif familial, elle s’est rendu compte de ce qui s’était passé et m’a donné rageusement rendez-vous la semaine suivante dans ce même club pour faire le point. Tout cela devant rester strictement entre elle et moi, bien sûr.






Une semaine après, je me retrouve quasiment à la même heure devant la porte du « Club 97 »…


Il faut dire que durant toute cette semaine j’avais imaginé toutes sortes de scénarios pour expliquer à Nadine comment on en était arrivés là. Pour autant, je n’avais vraiment pas d’idée bien précise pour débattre avec elle sur un sujet aussi sensible, surtout que je n’arrivais pas à me trouver coupable de ce qui était arrivé. Au final, je m’étais dit qu’il était préférable d’attendre ses arguments, et de faire au mieux par la suite.


Je sonnais donc, et la porte s’ouvrit sur une Laura toute souriante qui me fit la bise très chaleureusement.



Visiblement, ma belle-mère lui avait donné mon vrai prénom, ça commençait bien…


Après quelques mots de bienvenue, je payais cette fois mon entrée et laissais mes affaires au vestiaire.


Et Laura rajouta :



Puis elle me prit discrètement par le bras et me souffla à l’oreille :



Puis, la boule au ventre, je descendis les escaliers et pénétrai dans la salle de danse.


Cette fois-ci, pas de personnes déguisées, pas d’anonymat. Et ça dansait bien, justement sur une série de tangos. Je supposais alors que cet après-midi serait très latino. Et si j’adore le tango, il me fallait cependant rejoindre Nadine…


En pénétrant dans le petit salon, je la vis qui me regardait. Visiblement, elle m’attendait de pied ferme. Je m’assis face à elle sans dire un mot. Vu le contexte, je ne m’approchai pas pour lui faire la bise que nous aurions dû échanger normalement. Si elle était habillée de circonstance pour cet après-midi « tango », corsage blanc légèrement échancré et jupe noire fendue sur le côté, même dans la demi-pénombre je sentais son regard acéré sur moi.

Elle mit quelque temps avant de démarrer. Puis elle se lança :



Bon, ça démarrait fort, mais je m’y attendais un peu.



Alors je me lançai. Je lui expliquai comment par hasard je l’avais vue entrer dans ce club de danse, et comment je m’étais retrouvé déguisé sans trop savoir ce qui m’attendait. Puis, ayant surpris sa « rupture » avec son jeune ami, je reconnaissais m’être enfoncé petit à petit dans cette histoire sans pouvoir faire marche arrière, et sans finalement imaginer la suite. Et puis il y a eu ce bracelet qui m’a dénoncé. Je lui ai alors assuré ma grande discrétion et le respect de son jardin secret que je ne me permettais pas de juger. Au final, je lui annonçai que mon souhait était de tout oublier.


Après un moment de silence de silence entre nous, elle reprit :



Elle reprit :



Je ne m’attendais pas à ça je l’avoue. Je réfléchis alors très vite. Visiblement, si on minimisait l’un et l’autre notre « flirt », cela pourrait peut-être arranger les choses.



J’étais plutôt content de moi. Et comme du coup elle ne disait plus rien, j’en profitai pour l’inviter à danser :



Je l’ai complètement déstabilisée. Sans attendre sa réponse, je me suis levé et l’ai prise par le bras. Elle s’est laissé faire, et je l’ai emmené sur la piste de danse. Et là, avec une certaine distance entre nous quand même, nous avons dansé toute la fin de la série des tangos.


Dans la situation où nous étions alors, il était un fait incontestable : nous avions encore pris un grand plaisir à danser ensemble. Si mon corps était en communion avec le sien, de son côté elle se laissait guider complètement. Il était clair que nous étions en harmonie parfaite, et nous savions alors que nous nous étions trouvés en tant que partenaire de danse. Ce qui est très difficile à concrétiser en matière de danse-rétros. Il est probable que le fait que nous fassions un couple de danseurs parfaitement en phase a dû compter entre nous pour ce qui est arrivé par la suite.


Après les tangos, nous nous dirigeâmes naturellement vers le petit salon pour continuer notre discussion.


Le spectacle des danseurs professionnels de tango argentin commença, et nous nous enfonçâmes dans deux fauteuils côte à côte, pour faire semblant de regarder.

Belle-maman me dévoila alors ce qu’elle attendait de moi.



Nous y voilà. J’attendais la suite…



La connaissant, je savais que ce n’était pas de fausses promesses… Mais intrigué par ce deal, je lui demandai alors :



En disant « tout mettre en œuvre », je ne m’attendais cependant pas à la suite…


Elle hésita, puis elle se lança :



Là, je tombais des nues. C’était la première fois qu’on me parlait ainsi de ma liqueur intime…



Interloqué, je lui demandai :



Sa réponse fut claire et nette :



Alors là, je ne m’attendais pas à ça, loin de là. Ma belle-mère voulait une nouvelle fois me tailler une pipe…



Petit silence de ma part. J’étais complètement hébété. Puis, me reprenant, je lui répondis malicieusement :



Je pense qu’elle s’attendait à ma réponse.



Petit silence. Puis elle reprit :



Je réfléchis alors très vite. Pourquoi ne pas essayer ? Finalement je ne risquais pas grand-chose, si ce n’est de me faire tailler une pipe par ma belle-mère de temps en temps… Mais y a pire comme punition ! Et il me fallait bien reconnaître qu’elle s’y connaissait en la matière.



Elle me regarda fixement un long moment. Puis, après réflexion elle me répondit :



J’étais plutôt content de moi, je ne m’en sortais finalement pas si mal que ça…


Je réfléchis alors à la meilleure manière de créer ce moment d’érotisme. Et je me souvins que la semaine d’avant elle avait de suite joui quand je lui avais écrasé les seins et la chatte. Sans doute que, consciemment ou inconsciemment, elle avait en elle des pulsions de « SM soft » plus ou moins refoulées. Je me dis que cela valait la peine de vérifier cela…

Pour mieux prendre la main, je me rapprochai de son canapé.



Après un temps d’attente, elle s’exécuta sans rien dire.



Elle hésita, puis elle saisit sa jupe et commença à la remonter jusqu’à mi-cuisses.



Elle ne bougea pas.



Je l’entendis dire « salaud », mais elle remonta sa jupe jusqu’à la taille en soulevant légèrement son corps pour permettre le passage du tissu.


Je découvrais alors qu’elle avait mis un string noir, qui mettait en valeur ses fesses sublimes. Et là, je restais quelques instants à profiter de ce spectacle de toute beauté. Dans l’écran pourpre du canapé, son cul était un véritable bijou. Un cul assez rebondi, avec de jolies fesses joliment bombées, parfaitement équilibrées par la ficelle du string qui disparaissait dans sa raie culière. Un régal pour les yeux.

À genoux, je me collai contre le canapé, et d’un coup sec je lui claquai la croupe de ma main.

Elle sursauta et réagit en se cachant les fesses avec les mains :



Après quelques secondes, elle s’exécuta et remit ses bras le long du corps.


Et là je commençai à lui administrer une fessée intense et soutenue. Je distribuais les claques en variant l’intensité, doucement au début puis de plus en plus fort ensuite. Je claquais le haut puis le bas, la fesse droite puis la fesse gauche. Et elle se tordait dans tous les sens, elle râlait de plus en plus fort. Parfois même, quand ça la brûlait trop, elle mettait une main pour se protéger, main que j’enlevais de façon ferme pour mieux recommencer à claquer ce cul absolument divin.


Et je n’avais aucun scrupule à faire cela, car nous savions tous deux que cela pouvait s’arrêter à tout moment. Il suffisait simplement qu’elle se mette debout.


En fait, le SM n’est pas vraiment ma tasse de thé. Pour autant, il m’était arrivé précédemment, dans ma période estudiantine, de rencontrer deux femmes « mûres » qui m’avaient demandé ce type de jeux sexuels, au final très soft. C’étaient des femmes qui avaient des responsabilités de commandement dans leurs vies professionnelles, et je pense qu’elles trouvaient une sorte de compensation cérébrale de devenir soumise ainsi. J’ai pensé alors que ma belle-mère était peut-être dans la même logique sans le savoir.


La fessée dura cinq bonnes minutes. Cinq minutes où je me défoulais en pensant à cette arrogance qu’elle avait parfois vis-à-vis de moi. Quel plaisir ! Et j’arrêtai quand le cul de Nadine fut complètement rouge et brûlant, strié de tous les côtés. Je dois bien reconnaître qu’à ce moment-là, je commençais à bander…


Je glissai alors une main sur ses fesses pour apprécier cette somptueuse croupe, palpant et caressant partout. Je l’entendis alors maugréer, sans pour autant faire quoi que ce soit pour retirer ma main. Quel plaisir de peloter le cul de sa belle-mère ! Puis je descendis ma main dans la raie. Elle essaya de m’empêcher d’aller plus loin en fermant ses cuisses, mais trop tard. Fichée entre ses fesses et collée à son sexe, ma main était humide, et même très humide…



Elle retourna hargneusement sa tête vers moi et me répondit :



Souriant intérieurement, je repris :



Après un petit moment d’attente, elle s’exécuta. Désormais sur le dos, la jupe roulée à la ceinture avec le slip de dentelle noir bien apparent, lentement elle défit tous les boutons de son corsage. Et elle remonta son soutif bien haut, presque autour du cou. Ses seins apparurent. De beaux seins, de tailles moyennes (sans doute du 90 B), avec de belles aréoles brunes. Et les pointes dardaient comme des petits sexes dressés de plaisir. Entre sa chatte très humide et ses seins bien dressés, elle ne pouvait cacher l’excitation que cette fessée avait provoquée en elle.


La prenant par les cheveux en lui tirant la tête en arrière, j’approchai mon visage du sien et lui roulai une pelle d’enfer, fourrant ma langue dans sa bouche, collant littéralement mes lèvres aux siennes. Surprise, les yeux exorbités, elle me laissa faire en me laissant enrouler ma langue à la sienne. Si nous restâmes ainsi scotchés ensemble plusieurs minutes, elle ne bougea pas et me laissa faire.


Mais je n’oubliais pas que « j’avais la main ». Je me décollai d’elle, la repoussai en arrière et défis ma ceinture de pantalon. Chance, le matin j’avais choisi une ceinture étroite et en cuir souple. Je l’enroulais autour de ma main en laissant libre une petite lanière d’environ quarante à cinquante centimètres.



Sans répondre, je commençai à promener mon petit fouet ainsi constitué sur ses seins… qui dardèrent encore plus tellement ils étaient excités.


Je commençai alors à les fouetter doucement. Puis un peu plus fort… mais pas trop quand même. De toute façon, là encore elle pouvait arrêter si elle le voulait. Mais visiblement, elle n’en avait aucunement l’intention… Ses seins étaient durs, tendus comme deux offrandes vers la lanière de cuir…



Puis tout de suite après :



Le doute n’était plus permis, elle aimait ça. Alors, je forçais un peu plus et ses seins devinrent rapidement complètement zébrés de tous les côtés. Après plusieurs minutes de ce traitement, je posai ma main sur eux et les caressai avec plaisir, pour alterner le chaud et le froid d’une part, mais aussi pour me permettre de profiter plus prosaïquement de ce bon moment de pelotage. En me regardant dans les yeux, elle continuait à rester muette.


Puis je descendis des seins à sa chatte, en immobilisant ma main sur son pubis que je sentais palpiter à travers son string. Et là, c’était Niagara…



Elle s’exécuta et présenta sa chatte à la lanière de cuir en surélevant légèrement son bassin avec ses pieds, les cuisses largement ouvertes et tendues vers moi.


Et je me remis à fouetter d’abord doucement le bas de son corps, puis le haut de ses jambes. Enfin je visais spécifiquement ses lèvres intimes à peine dissimulées par la fine lanière de sa culotte… Et je forçai la dose, je fouettais de plus en plus durement. Et plus je fouettais, plus elle s’arc-boutait et s’approchait de moi pour ressentir plus fort les brûlures de ce qui était devenu un fouet… Et elle se contorsionnait, elle râlait, elle criait… C’était terriblement excitant, et là je me sentais désormais très à l’étroit dans mon slip…


À ce stade de la situation, j’eus un moment de lucidité et me suis dit que la situation en une semaine était devenue quasiment incroyable. Ma belle-mère, plutôt distante vis-à-vis de moi, s’était transformée en huit jours en une femme sensuelle, chaude et excitante. Non seulement elle m’avait sucé et s’était masturbée sur ma main la semaine d’avant, mais aujourd’hui, quasiment nue devant moi, elle mouillait de plaisir quand je la pelotais, la fessais et la fouettais.


Cette pensée passa cependant rapidement, surtout quand je posai ma ceinture et que je pris en main ses seins que je me mis à comprimer de plus en plus fort. Alors, me regardant dans les yeux, elle fit glisser elle-même sa culotte le long de ses cuisses, puis d’un mouvement de ciseaux des jambes l’expédia de l’autre côté du canapé. Et toujours en me regardant, elle écarta le plus largement possible ses cuisses. Et là, je découvris sa magnifique chatte, rasée de près avec juste le ticket de métro qu’il fallait, beau fruit qui visiblement ne demandait qu’à être dégusté…


Et glissant sa main entre ses cuisses elle commença, toujours en me regardant, à se caresser en soulevant lascivement son bassin.

Je pris cela pour une provocation. Je saisis alors avec une main la pointe dressée d’un de ses seins pour la broyer le plus possible. En même temps je pris entre mes dents la pointe de l’autre sein et commençai à serrer, à mordiller très fort… La réaction fut immédiate : elle hurla…



Et plus j’écrasais ses pointes de sein, plus elle se cambrait, les cuisses complètement ouvertes, se branlant de plus en plus vite, de plus en plus fort. C’était très beau, ses doigts allaient et venaient sur ses lèvres, sur son clito, en même temps qu’elle décollait ses fesses de plus en plus vite…


Et tout à coup, elle fut emportée par un orgasme fulgurant, un orgasme de très forte intensité durant lequel elle fut soulevée plusieurs fois par cette marée déferlante. Elle hurlait en même temps qu’elle enfonçait ses doigts dans sa chatte. Sa tête allait dans tous les sens, son corps était sous l’emprise de tremblements incontrôlables, elle semblait possédée par un courant électrique qui la tétanisait de plaisir. Whaouuuuuuuuu… c’était sublime !


Puis elle s’écroula d’un seul coup les bras en croix, complètement assommée. Elle ne bougeait plus, les mains crispées sur les coussins du canapé… Et elle resta ainsi un bon moment, les yeux révulsés sous la vague du plaisir qu’elle venait de recevoir. Un grand moment de plénitude…


Je ne m’étais pas trompé, ma belle-mère semblait bien apprécier le SM… Tout au moins le SM soft…


Quand Nadine reprit pied sur terre, elle se mit sur un coude et me regarda d’abord sans dire un mot. Je suppose que dans sa tête beaucoup de choses se bousculaient concernant notre relation belle-mère/gendre. Puis je vis son regard descendre le long de mon corps, pour se poser sur la barre qui apparaissait nettement dans mon pantalon. Et là, elle commença à se décrisper.


Sur la scène, les danseurs venaient de terminer leur show sous quelques applaudissements sporadiques ici ou là. Et comme la fois dernière, une petite sonnerie annonça la dernière demi-heure.



D’abord elle hésita un peu, pas trop cependant. Et elle se rapprocha de moi et posa doucement sa main sur la fameuse barre. Et là, elle ne bougea plus. Je me doutais de ce qui se passait dans sa tête : si la semaine dernière elle s’était lâchée avec un inconnu (car avec mon déguisement, elle ne savait pas que c’était moi), là ce n’était pas la même chose. J’étais quand même son gendre, le mari de sa fille, et elle avait cependant la main posée sur ma bite…



Elle hésita encore, puis elle se décida à ouvrir ma braguette pendant que je soulevai mes fesses pour qu’elle puisse faire glisser mon pantalon sur mes mollets. Puis, me regardant dans les yeux, elle fit de même avec mon slip. Et elle se retrouva alors avec une bite de belle taille et de bon gabarit dressée devant elle, bite qu’elle connaissait déjà…


Arrêt sur image de sa part. Elle approcha sa main, puis la retira. Là encore, ça devait travailler dur dans sa tête : la semaine dernière c’était la bite d’un inconnu, là c’était celle de son gendre. Je décidai alors de l’aider.



Je l’ai sentie un peu rassurée. Timidement elle s’exécuta en fermant les yeux. J’avançai alors ma bite vers elle et me mis à frapper sèchement son visage avec. Je lui administrais des petites « bifles », c’est-à-dire des gifles avec la bite. Elle semblait étonnée de cette pratique, mais elle se laissa faire, sans doute parce que finalement cela ne devait pas lui être très désagréable…


Au bout de quelques instants, je lui dis alors :



Ce qu’elle fit… et je plongeai rapidement ma queue dans sa bouche bien à fond. Elle referma ses lèvres autour de mon sucre d’orge qu’elle avala complètement. Et quand je fus bien calé en elle, je l’ai prise des deux mains par les cheveux et commençai doucement à faire aller et venir sa tête le long de ma queue. En fait, je me servais d’elle et de sa bouche comme d’un masturbateur.



Puis, plus sèchement :



Elle ne pouvait faire autrement que de coopérer à fond… si j’ose dire ! En faisant des allers et retours avec sa tête le long de ma bite, je me branlais délicieusement dans sa bouche bien lubrifiée. Un grand bonheur ! Puis après ces petits « amuse-gueule », je décidai d’aller plus loin. Et je m’enfonçai bien profond. Quand je sentis que je heurtai ses amygdales, je basculai légèrement sa tête pour passer l’obstacle et m’enfonçai encore plus loin au fond de sa gorge. Là, alors qu’elle avait la tête collée à mon ventre, je passai ma main le long de son cou pour palper ma queue à travers la paroi de chair.


Complètement ahurie de ce qui lui arrivait, elle faisait tout pour ne pas s’étrangler en respirant fortement par le nez. Et je rythmais la cadence en fonction du plaisir que je commençais à sentir monter en moi. Hummmmmmmmmm. ..


Je l’ai vue bouger alors légèrement. Toujours les yeux fermés, elle glissait à nouveau une main entre ses cuisses et recommençait à se caresser. Décidément, je ne pouvais que constater que ma belle-mère était très chaude…


Comme par hasard, Laura passa la tête dans le salon pour, semblait-il, récupérer quelques verres vides. Elle nous aperçut fort occupés. Elle me sourit et m’envoya un petit bisou à distance en me faisant ensuite le V de la victoire avec ses doigts avant de disparaître tout aussi discrètement qu’elle était apparue. Une petite coquine quand même, cette Laura… !


Son passage me mit du baume au cœur, et je secouai de plus en plus vite la tête de Nadine, tête qui glissait de plus en plus facilement le long de ma queue, de ses lèvres au fond de sa gorge. Elle se mit alors à feuler d’abord doucement, puis de plus en plus fort, pour autant que le lui permettait sa bouche bien remplie. Et elle se mit à se caresser de plus en plus vite, de plus en plus fort. Jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus se contrôler, et qu’elle jouisse une nouvelle fois, arc-boutée sur le canapé.


C’en était trop pour moi, je ne pouvais plus tenir ! Pendant qu’elle jouissait sous l’emprise de soubresauts incontrôlables, je me déchaînais en secouant sa tête très vite. Puis, me sentant à la limite de l’explosion, je la bloquai contre mon bas-ventre, une de mes mains la tenant toujours par les cheveux et l’autre la tenant carrément par la gorge dans laquelle je m’étais enfoncé le plus profondément possible.


Là, en me branlant avec ma main le long de son cou qui servait de vagin à ma bite, je lui déchargeai directement dans l’œsophage de longues rasades de la lotion qu’elle attendait. J’avais vraiment l’impression que je la gavais comme une oie ! Plus je giclais en elle, plus j’en avais encore à lui donner. Et comme elle ne pouvait bouger toujours bloquée contre moi, elle faisait des mouvements de cou pour absorber les lourdes salves onctueuses que je propulsais en elle. Ce traitement amplifiait sa jouissance, car je l’entendais jouir et déglutir en même temps qu’elle enfonçait ses doigts dans sa chatte très profondément.


Mais sachant qu’elle aimait déguster mon nectar intime, je me retirai de sa gorge pour finir les dernières giclées dans sa bouche. Que c’était bon de se vider en lui servant dans la bouche une belle purée grasse et lourde alors qu’enfin elle ouvrait les yeux en me regardant fixement ! Elle était en pleine extase… et moi aussi !


Je me retirai doucement d’elle et la regardai faire. Elle ferma la bouche et je vis qu’elle savourait mon jus de couille en se le passant de droite à gauche dans la bouche, tout en faisant des petits « hummmmm » à peine perceptibles. Visiblement, elle se régalait… Puis, toujours en me regardant droit dans les yeux, elle avala tout n’en laissant rien perdre.


Ne voulant rien gâcher, je pressai fermement ma bite pour faire sortir les dernières gouttes qu’elle attendait la bouche grande ouverte. Comble de la perfection, elle se lécha les lèvres ensuite. Une vraie experte de la pipe !


Finalement, je trouvais que le deal passé avec elle avait plutôt de bons côtés… Et comme elle n’avait pas encore totalement atterri, je décidai de lui laisser encore un dernier souvenir de cette après-midi.


Je lui écartais les jambes et pris une petite lingette parfumée qui était à disposition des clients sur la table. Doucement, je la lui passai ensuite sur sa chatte et sur le haut de ses cuisses avant de la jeter dans la corbeille à côté. Hébétée, n’en croyant pas ses yeux, elle me laissa faire en me regardant curieusement. Puis j’attrapai sa culotte, et la lui remis en la passant d’abord par les pieds et en la remontant jusqu’aux hanches, sans oublier de glisser mes doigts entre ses fesses pour bien vérifier que la ficelle du string était au bon endroit… Enfin, tranquillement, et toujours devant son air ahuri, je rebaissai sa jupe puis remis en place ses seins dans son soutien-gorge, là aussi en vérifiant bien qu’ils soient correctement en place… avant de refermer méticuleusement les boutons de son corsage.


Elle était complètement décontenancée… Non seulement son gendre venait de lui faire découvrir à travers la fessée, le fouet et les biffles une sorte de SM doux, où elle avait joui deux fois en se régalant de son sperme, mais en plus il venait de la rhabiller avec des attentions très intimes… S’il était sûr que des hommes l’avaient déjà déshabillée auparavant, sans doute que jamais un homme ne l’avait rhabillée, tout au moins avec de telles attentions…


Alors que je la regardais avec un petit sourire, elle me lança mi-figue, mi-raisin :



Était-ce de l’humour ? Pas facile à dire vu les circonstances. À ce stade-là, elle devait être pas mal perdue dans notre relation belle-mère/gendre… Cela dit, je constatai qu’elle était devenue très sereine, voire même décontractée. Si les deux orgasmes étaient passés par là, le fait d’avoir avalé ma semence contribuait peut-être à cette espèce de « zen attitude » qu’elle affichait. Finalement, je commençais à me dire (un peu hypocritement je l’avoue !) qu’effectivement me tailler une pipe lui était sans doute bénéfique. Hummmmmmm… la vie est vraiment pleine de surprises !


Au vestiaire, comme si de rien n’était, elle me signala très courtoisement qu’elle viendrait avec mon beau-père chez nous le lendemain soir pour l’apéritif. Elle me conseilla « vivement » d’être là, me fit un rapide bisou très proche des lèvres, et disparut rapidement. Je constatais que ma cote avait l’air d’avoir augmenté vis-à-vis d’elle, et qu’elle était désormais très en forme !


Je saluai Laura avant de partir. Elle aussi me fit un bisou, certes sur la joue, mais quand même très appuyé, en me disant :



Je m’éclipsais rapidement, me demandant ce qui m’attendait pour cet apéritif…

Dans la journée du lendemain, je reçus un mail sibyllin de Nadine :


« Prévoyez mon cher gendre de m’accompagner le week-end dans deux semaines pour les olympiades européennes d’échecs en Suisse. Nous laisserons mon mari et votre femme aller avec les enfants aux noces de diamant prévues. Je vous en reparle ce soir à l’apéritif. Ce mail doit rester strictement entre nous. »


Effectivement, ce week-end-là nous devions aller dans le nord de la France à une fête familiale du côté de mon beau-père. Si cela me rasait, ma belle-mère encore plus. Il se trouve qu’en principe elle avait prévu de ne pas se rendre au championnat européen d’échecs qui se tenait en Suisse, à quelques kilomètres de la propriété de Haute-Savoie. Bien évidemment, je ne dis pas un mot de ce mail à mon épouse, et je me préparais donc à accepter cette bizarre proposition de ma belle-mère.


Le soir venu, alors que nous étions réunis tous les quatre, Nadine nous expliqua ce qu’elle avait imaginé.



Après une petite pause, ma belle-mère reprit :



Petit flottement dans la discussion…



Ma belle-mère me regarda, puis se lança :



Après un petit temps d’attente, ma belle-mère reprit :



Il y eut alors un nouveau flottement dans la discussion. Puis tout le monde se tourna vers moi, attendant ma réaction.


En fait, j’avais bien compris « l’entraînement » que je devais pratiquer avec Nadine. Un entraînement basé peut-être sur des équations mathématiques, mais surtout sur mon élixir intime… qui aurait des vertus particulières sur ma belle-mère. Cela dit, non seulement je pouvais difficilement refuser, mais en plus j’avoue que je préférais nettement aller en Haute-Savoie ce week-end-là plutôt que de me rendre à cette fête que je trouvais complètement ringarde. De plus, en Savoie, je pourrais certainement retrouver quelques copains de ski.



Vu que ma femme semblait réticente, ce fut mon beau-père qui fit pencher la balance.



Ma femme soupira, puis accepta en disant :



Ma belle-mère reprit alors :



Après une courte hésitation, ma femme me regarda, puis devant mon sourire conciliant accepta. Je me suis dit que si elle devait être contente de la confiance que lui faisait sa mère, elle était aussi heureuse d’être libre pendant deux journées pour revoir ses cousins et ses cousines.


De mon côté, j’avais bien compris la manip de ma belle-mère : elle éloignait sa fille deux jours avant que l’on se retrouve elle et moi en Savoie. Ceci pour éviter que je « m’occupe » un peu trop de ma femme juste avant le week-end, et qu’au contraire elle puisse bénéficier de doses d’entraînement « bonifiées » de ma part ensuite… Très habile de sa part !


Tout le monde semblait satisfait de l’accord trouvé. Moi aussi, même si quand parfois ce soir-là le regard de Nadine croisait le mien, j’y sentais une lueur troublante.


Au moment de partir, alors que nous nous trouvions seuls quelques instants elle et moi dans l’entrée, elle me glissa à l’oreille :



Message compris… !


J’ai eu à ce moment-là l’impression que ces deux journées allaient être très particulières. Et cela fut effectivement le cas…


Mais ça, c’est pour la prochaine histoire… !