n° 19286 | Fiche technique | 15746 caractères | 15746 2764 Temps de lecture estimé : 12 mn |
03/11/19 corrigé 05/06/21 |
Résumé: Amalia part au Cambodge sur les traces de son père... | ||||
Critères: #aventure #roadmovie fh pénétratio | ||||
Auteur : HannahClem |
Épisode précédent | Série : Une aventure cambodgienne Chapitre 02 | Fin provisoire |
Julian était attablé à la terrasse de son hôtel à Phnom Penh. Il venait de commander une Angkor, une bière locale que lui avait conseillée le barman. Il tuait son ennui en picolant le soir pour décompresser. Il enchaîne cigarette sur cigarette en espérant qu’une bonne âme vienne lui causer.
Il se remémore le pourquoi du comment il avait atterri ici, dans cette ville qu’il ne connaissait pas, ce pays dont il ignorait tout. Tout avait commencé lors d’un appel d’une boîte de presta comme on les appelle pudiquement pour cacher le fait qu’il était vendu à la mission comme un vulgaire tâcheron. Le coup de fil passé, on lui avait proposé de venir s’expatrier en Indonésie sur une mine de nickel en construction pour le compte de la SLN. Une belle opportunité, bien rémunérée, tout frais payé avec des rotations confortables. Les allers-retours étaient prévus en économique sur une compagnie locale. Quelle bande de rats, se dit-il ! Il avait profité de ses premières rotations pour rentrer voir sa femme à Paris qui était plus occupée à refaire la déco de leur appartement haussmannien pendant que lui ramenait le fric à la maison. Elle avait la belle vie ! Elle qui n’avait jamais vraiment bossé, elle se vivait comme une artiste, vaste blague ! La lassitude, l’éloignement avaient peu à peu émoussé les folies du début… À la troisième rotation, l’envie de ne pas rentrer en France apparut. Ses collègues d’expat’ lui proposèrent de venir en Thaïlande pour la vie (et les filles) faciles. Très peu pour lui. Quel intérêt de coucher avec une personne si elle ne vous voit que comme un porte-monnaie ambulant ? Il préféra partir visiter un pays où peu de touristes s’aventurent, pensait-il. Il déchanta très vite…
Il en était là dans ces réflexions quand il réalisa qu’un groupe de jeunes Français se trouvait la table à côté. Ils étaient pleins d’entrain, insouciants et heureux de vivre. Il décida de venir discuter avec eux. Ils avaient l’air d’aventuriers, lui qui n’avait voyagé que pour le travail, le passeport plein de tampons de pays dont, parfois, il serait bien incapable de placer sur une carte… La conversation s’engagea sur un ton badin.
Une fille se détachait du lot. Elle était assez grande, fine et joyeuse ! Ce n’était pas une de ces backpackeuse étonnées par une fourmi verte, non, une vraie baroudeuse. Une qui appréciait les pays pour autre chose que le fric que l’on pouvait y faire.
Elle sortait d’une fac de lettre où elle pensait déboucher sur un poste de prof de fac. La crise passée par là, ne trouvant pas de boulot en France, elle s’était dit que prendre la route était peut-être une autre alternative tout aussi réjouissante ! Elle revenait du Vietnam, entamée par le nord, son idéal marxiste l’ayant poussée dans cette lointaine contrée. Elle lui fit part de ses désillusions quant à ce qu’elle avait pu découvrir des restes du communisme. Elle s’était aguerrie et ses blocages de fac doublés d’AG interminables lui paraissaient bien vains à présent… De plus, elle avait pris le temps de l’écouter sans le juger, lui laissant s’exprimer sur sa vie, ses raisons purement matérialistes de voyager à travers le monde. Il ne s’était pas étendu sur sa relation actuelle avec sa femme… Il ressentait le besoin de séduire, de prouver qu’il pouvait encore plaire. Engoncé dans un mariage qui partait à vau-l’eau, en déplacement dans des endroits reculés peuplés en grande majorité d’hommes, cette fille lui paraissait comme un vent frais terrible qui lui soufflait au visage !
Le reste du groupe papotait dans son coin, ils étaient dans leur bulle. Un sourire échangé, une main posée innocemment sur une cuisse, leur visage se rapprochait, l’ombre de la fidélité passait au-dessus de sa tête… Il lui susurra un mot à l’oreille puis lui déposa un tendre baiser sur sa joue. Elle sourit et vint chercher sa bouche pour l’embrasser. La tendresse ne dura que peu de temps, l’envie du corps de l’autre étant de plus en plus présente. Ils entendirent les ricanements de leurs camarades attablés et ils s’éclipsèrent à son hôtel. Elle qui avait l’habitude des dortoirs et des douches à l’eau froide, elle ne se fit pas prier pour partager une bonne chambre ! Arrivés à l’intérieur, leurs bouches se soudèrent dans un baiser passionné. Il la poussa sur le lit fermement et vint sur elle. Elle s’abandonna pendant qu’il l’embrassait dans le cou… Il lui releva son top, il avait déjà remarqué qu’elle ne portait pas de soutien-gorge (il l’avait vu quand ses tétons pointaient à travers son chemisier moulant). Il caressa délicatement des mamelons et lui suçotait le téton gauche tout en malaxant son sein droit. Elle se laissa faire, elle se sentait partir… alors il descendit plus bas et posa de délicats baisers sur l’intérieur de ses cuisses. Il remarqua son absence de culotte également ! Elles sont bien coquines les jeunes aujourd’hui ! se dit-il. Il continua plus bas afin de ne laisser aucune parcelle de sa jambe gauche. Il suçota ensuite un à un ses orteils ce qui la fit chavirer. Il repartit du pied et infligea le même traitement à sa jambe droite jusqu’à atteindre son entrejambe. Sans prévenir, il passa un coup de langue furtif sur sa chatte joliment taillée en ticket de métro. Elle expira un grand coup sous l’effet de la surprise ! Puis il redéposa quelques bisous sur les côtés de son minou afin de la faire redescendre… Il plantait ses yeux dans les siens pour voir sa réaction, mais elle semblait ailleurs… Il lapa de chaque côté afin de la faire remonter petit à petit quand il sentit, d’un coup, une main lui saisir le crâne pour lui plaquer contre sa fente grande ouverte !
Elle ondula du bassin, comme possédée, maintint la pression sur sa tête jusqu’à ce qu’un orgasme fulgurant la subjugue. Puis, dans la foulée, elle envoya valdinguer les derniers remparts qui couvraient la nudité de Julian, lui prit son sexe et le planta au fond de sa minette. Il la besogna longuement en missionnaire quand elle le poussa et vint se mettre en levrette. Une petite fessée plus tard (elle l’avait pas volé, la coquine !), il revint dans son antre tout chaud et humide et y alla de bon cœur ! Elle criait, elle hurlait son plaisir jusqu’à ce qu’un orgasme foudroyant la paralyse. Il se retira et éjacula sur ses jolies petites fesses. Puis elle se retourna, l’embrassa tendrement puis fila à la salle de bains. Il était épuisé ! Il entendit un bruit caractéristique d’une douche qui ruisselle et ensuite, un long gémissement plaintif… Elle l’appela et qu’elle ne fut pas sa surprise quand il débarqua ! Elle était tout simplement assise, les jambes écartées en train de se donner du plaisir avec le pommeau de douche ! Elle lui demanda de la rejoindre afin qu’il la prenne pendant qu’elle s’aspergeait d’eau son petit clito… Il la fit se lever puis cambrer et la prit sauvagement dans cette position.
Au petit matin, Julian se réveilla, mais ne trouva pas sa conquête de la veille. Un petit mot laissé négligemment sur la table de chevet racontait :
« Cette nuit fut merveilleuse ! Tu m’as fait jouir comme jamais ! Désolé de partir si précipitamment, mais nous avions un bus à prendre pour aller dans un coin reculé du Cambodge : je ne te dis pas où, car si on doit se revoir, alors tant mieux et on remettra ça, sinon tant pis, lol ! »
Julian resta dubitatif : cette nuit l’a rajeuni de vingt ans, mais le mot tel que rédigé le fit revenir à son âge réel… Il décida de mettre les voiles !
On lui avait tant rebattu les oreilles avec les temples d’Angkor qu’il se décida d’y aller en bus au plus tôt. L’hôtel lui indiqua un départ dans 2 h : il retourna à sa chambre, prit une douche, emballa son fourbi et mit les voiles.
Il se retrouva dans ce bus délabré, affublé d’un chauffeur du type Ayrton Senna cambodgien : dépassement par la droite, accélération et freinage brusques le tout sur une piste qui s’apparentait plus au Paris-Dakar qu’à un asphalte d’une piste de F1… Mais il arriva vivant ! Lui qui voulait sortir de sa zone de confort, le voilà servi !
Il fila dans une de ces innombrables auberges de jeunesse avec piscine et nymphettes trempant leurs panards (avant de prendre leur pied dans le lupanar, se dit-il en souriant…). Il demanda une chambre double et le réceptionniste lui donna les clés, et il alla directement poser son barda dans sa chambre. Il ressortit quelques minutes plus tard, décidé à visiter un peu la ville, se réservant pour les temples le lendemain. Il repassa devant la piscine, il devait être 17/18 h. Il arpenta les différentes artères de la ville où se succédaient les restaurants, bouis-bouis et autre bar locaux. Il tomba sur pub street où la faune n’avait rien de local et il ne s’attarda pas plus longtemps.
Il continua d’arpenter les rues quand il se décida à rentrer à l’hôtel : la piscine était cernée par les beaux gosses et les créatures taillées comme des avions de chasse. Ça dragouillait gentiment et il prit quelques pintes en discutant avec le barman australien. C’était sympa, mais le niveau de la soirée de la veille était tellement haut que cette soirée lui paraissait fade…
Après avoir dit bonsoir à son collègue de bières, il se décida à aller se coucher. Il avait remarqué que la piscine s’était vidée et il comprit mieux pourquoi quand il traversa le couloir : des gémissements caractéristiques se faisaient retentir partout dans l’auberge… Il se dit que l’on ne pouvait pas être chanceux tous les jours et il alla se coucher en mettant ses écouteurs afin d’éviter de subir les baises alentour…
Cependant, il se serait bien sifflé une de plus et le bruit de baise lui retournait le cerveau…
Il arriva au bar et vit une fille seule, sirotant une cambodia. Il la jaugea d’un coup d’œil, pas canon, mais un regard qui sent le « vécu », et surtout… un truc indéfinissable dans les yeux, dans ce qu’elle dégage : elle sentait le sexe. Elle portait une jupe très courte et ample. Au-dessus, un tee-shirt noué sous une poitrine volumineuse. Tout en elle transpirait une sexualité assumée, ouverte et débridée !
Ils discutèrent de leurs parcours respectifs : elle lui posa mille questions sur ces différentes expat’ et fut étonnée de voir son manque de culture sur des pays dans lequel il avait pourtant vécu un certain temps ! Il avait cependant vécu beaucoup de choses et cela toucha Amalia. Elle en avait ras le bol des backpackers de l’Asie du Sud-est et de ces gens qui n’ont pas vu grand-chose et n’ont pas cherché à connaître les pays qu’ils traversent… Le travail de Julian l’avait souvent empêché de mieux connaître les pays dans lesquels il bossait, mais justement, pendant cette rotation, il avait décidé de mieux s’insérer dans une culture différente.
Elle, de son côté, lui expliqua sa démarche, la quête à la recherche de son père et ce long voyage en moto ! Il était subjugué ! Ce petit bout de femme, sexy en diable était en fait une vraie tête brûlée.
Puis ils se mirent à discuter de leur venue à Siem Réap : tous deux étaient très curieux de visiter les temples : Amalia avait sa propre moto et ne comptait pas perdre sa liberté avec un tuktuk. Julian lui voulait en louer une… Puis ils parlèrent du backpack où elle venait tout juste d’arriver. Julian lui raconta sa « soirée », les nymphettes et les bruits de jouissance (on ne sait jamais, si ça peut donner des idées à la belle Amalia… :p). Ils en rigolèrent ! Après la cinquième bière, le barman leur dit qu’il allait fermer et qu’il était temps de partir.
Les deux tourtereaux se regardèrent et Julian n’eut pas le temps d’hésiter qu’Amalia prit les choses en main :
Il tomba des nues : ils n’avaient pas spécialement dragué l’un l’autre et voilà une proposition comme il n’en avait jamais entendue !
Il réfléchit et trouva une réponse facile à ce dilemme. Facile, mais excitante !
Amalia revint, plus sexy que jamais : elle avait refait son nœud de tee-shirt pour mettre encore plus en avant son opulente poitrine. Elle s’attacha les cheveux ce qui fit remonter sa robe, Julian pouvait apercevoir sa chatte ! Décidément, c’est la nouvelle mode le sans-culotte !
D’un geste ferme, il la prit à la poitrine et l’embrassa fougueusement : elle vint se coller à lui et se frotter à sa jambe… puis d’un coup, il la poussa dans la piscine ! « Maintenant tu es vraiment toute mouillée petite coquine ! ». Puis il se jeta à l’eau, elle l’aspergea pour se venger… son tee-shirt ne cachait plus rien de ses seins et ses tétons pointaient fièrement. Julian la souleva et la fit asseoir sur le rebord et d’un geste ferme, vint lui écarter les cuisses. La jupe retroussée, la chatte ouverte et trempée, Amalia n’avait plus une once de pudeur sur elle. Et cela rendit fou Julian qui se mit à lécher sa chatte grande ouverte. Amalia couinait, gémissait sans aucune retenue…
Un moment donné, Amalia se mit à crier plus fort sans que Julian ne change quoi que ce soit à sa technique de broutage minesque… Il regarda autour de lui et vit une petite Cambodgienne très jolie en train de les regarder. Elle avait l’air très intimidée, mais Amalia lui fit un signe pour s’approcher… La petite esquissa quelques pas dans leur direction, mais resta à bonne distance. Julian reprit son œuvre, excité par cette nouvelle situation et il décida d’insérer deux doigts dans la chatte d’Amalia… Cette dernière jouissait de plus en plus fort ! Il se retourna et vit la petite Cambodgienne qui avait soulevé sa jupe et se caressait le minou ! Encore une sans culotte, décidément… Celle-ci avait beaucoup perdu de sa timidité : elle se tortillait de partout avec la main qui farfouillait dans sa chatte. Amalia lui demanda de se rapprocher et elle vint sans hésitation : elle se mit debout, de profil par rapport à Amalia et elle avança le bassin afin que cette dernière la lèche. Elle lui écarte son sexe délicatement et vint lécher tout doucement cette chatte asiatique. Julian était aux anges : ce tableau devant lui était beau, magnifique et terriblement excitant !
La petite Cambodgienne vint s’allonger pour qu’Amalia continue son œuvre : son abandon était total ! Amalia se retourna vers Julian lui demandant de continuer à se rendre utile, ça l’énervait d’être laissée en plan après un préchauffage pareil ! Julian la mit à quatre pattes, releva sa jupe et écarta ses jambes : totalement impudique, son minou débordant de cyprine, Julian s’enfourna en elle d’un coup ! Il la besogna pendant qu’Amalia amenait sa petite Cambodgienne au septième ciel… Il évita les fessées, ses deux compères étaient déjà bien assez bruyantes !
Puis Amalia se dégagea de l’emprise de Julian :
Il vint au-dessus d’elle et s’enfourna dans cette petite chatte trempée… La petite jouissait très fort, d’un son aigu qu’il pensait réserver aux films pornos… Elle était si menue, avec des petits seins et une peau très mate, elle était terriblement belle ! Elle était de plus en plus trempée et de la cyprine coulait régulièrement de son minou. Il l’embrassait, lui léchait les tétons… il aurait aimé que ce moment ne s’arrête jamais.
Soudain, le barman australien débarqua sans prévenir : ni une ni deux, l’amie de baise cambodgienne déguerpit et l’Australien ne vit ainsi que les deux français…
Il leur demanda poliment de « finir » ailleurs tout en leur souhaitant une bonne fin de nuit !
Ils arrivèrent dans la chambre de Julian, mais l’excitation était retombée :
Et elle vint l’embrasser à pleine bouche.
Quelle coquine !
Ils se couchèrent puis s’endormirent très vite…