n° 19288 | Fiche technique | 58324 caractères | 58324Temps de lecture estimé : 33 mn | 04/11/19 |
Résumé: Axelle trouve une clé USB dans son vide-ordure. Cette mémoire appartient à la locataire précédente. Elle la contacte et découvre que cette clé ouvre de bien troublantes portes. | ||||
Critères: fh hagé fagée extraoffre piscine fdomine vidéox fellation cunnilingu préservati pénétratio fdanus fsodo échange sm attache confession | ||||
Auteur : Sésame (J'ouvre les portes qui cachent la personnalité profonde.) Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Aux âmes bien nées la valeur... Chapitre 01 / 02 | Épisode suivant |
Je sais que c’est un titre un peu glauque. En tout cas bien éloigné de ce que vous avez l’habitude de voir sur ce site. Mais le destin est farceur parfois. Et là, franchement, il a fait fort.
Je nettoyais notre vide-ordures. On venait juste d’emménager et je ne me serais pas occupée de ce truc si la porte ne fermait pas bien et que des odeurs nauséabondes n’envahissaient notre deux-pièces. C’est une barrette blanche qui s’était collée vers la charnière. Je vais la saisir de mes doigts gantés lorsque je remarque que cela ressemble à une clé USB. Cela ressemble, mais aussi, c’est une clé USB.
Qui peut jeter ce genre de machin dans un vide-ordures ? À moins que ce soit une erreur ? Elle n’a pas l’air abîmée, à peine sale et le connecteur est rentré. Certainement qu’elle est aux locataires précédents ! Comme ils ont laissé, bien en évidence, un numéro de téléphone en cas de courrier ou autre, je décide de les appeler :
Une voix féminine.
Un silence. Et puis :
C’est arrivé comme un cri du cœur, une angoisse qui transpire dans sa voix.
Un silence.
Et comme pour me venger de l’état dans lequel j’ai trouvé la location j’ajoute :
Elle sent le reproche.
Entendu et surprise de sa réaction ! Cette soudaine urgence à la récupérer. Ce cri du cœur dans le « surtout pas » … Alors je fais une chose horrible. Je regarde…
Je n’ai pas vu le temps passer. En tout cas moins de deux heures. Elle a fait vite pour venir récupérer son dû. Maintenant je sais pourquoi.
Je vois d’abord un bouquet de fleurs. Celle qui le tient, ainsi qu’un tube qui contient manifestement une bouteille, fait encore plus jeune que ce que j’en ai vu. Un visage de gamine. Je lui donnerais dix-huit ans pas plus. Elle porte une robe à petites fleurs, sagement boutonnées du haut jusqu’en bas qui conforte à première vue cette impression de jeunesse et d’innocence. Mais ce que j’ai vu m’affûte le regard. La poitrine fait une belle bosse, les hanches pas si étroites que cela, je sais que lorsqu’elle passera devant moi, je découvrirai une cambrure qui renforce la présence de deux belles fesses.
L’appart est petit. On est tout de suite dans le salon.
Quelques secondes où je m’active. Elle est assise sur le bord du fauteuil, prête à repartir. Son regard explore la pièce. C’est vite fait. Mais je vois qu’elle fixe mon ordi. La clé est juste à côté. Elle se lève.
Elle s’en saisit. Elle la palpe.
Elle fait le tour de la table. Grave erreur de ma part, j’aurais dû être plus vigilante, mais son arrivée prématurée m’a prise de court. Sur l’écran apparaît encore l’avertissement : « le matériel peut être retiré maintenant en toute sécurité » .
Ce n’est pas une question, plutôt une affirmation. Il ne sert à rien de nier. Mon ordi m’a trahie !
Je m’attendais à des reproches, voire de la fureur qu’une inconnue se permette de regarder dans ses affaires. Mais non, elle paraît effondrée. D’ailleurs, elle regagne le fauteuil et s’y assied avec lourdeur. De la lourdeur pour cette frêle jeune fille ! Quelle drôle d’expression. Pourtant à y regarder de près et ce que j’ai vu, m’a montré que sous cet aspect « enfantin » se cache des atours de femme.
Elle me regarde comme si elle ne m’entendait pas. Alors je sors une bouteille encore dans un carton de déménagement et lui verse une bonne dose…
Elle le fait. Surprise par la puissance de l’alcool, elle devient toute rouge et ses yeux pleurent. Ce beau regard si doux qui se trouble…
Mais son regard ne fait qu’effleurer la photo. Pourtant Lyam fait toujours son effet sur les femmes.
Je souris.
Elle met un moment pour comprendre. Mais elle sourit aussi.
Ma remarque accompagnée d’un sourire, si elle la surprend, ne la fait réagir que par un :
Ce genre de remarques ! On se relançait la balle avec des :
Il faut dire aussi qu’on picolait pas mal. Le rosé coulait à flots. Mais aussi que le couple avait de quoi fumer pour planer un peu.
Et puis cela a changé sans prévenir. Luc et Martine étaient encore dans la piscine à discuter alors que Max et moi on était sortis depuis un moment. Il me dit :
On se tutoyait dès notre second week-end. Comme il plaisantait souvent et parfois de façon grivoise, je réponds :
Il voit bien que je suis un peu gênée par la direction que prend notre conversation, d’ailleurs de par ma faute. Il ajoute :
Dix minutes plus tard, je le retrouve. Avant de m’entraîner, il lance en direction des deux nageurs :
Des mains levées signalent qu’ils ont entendu.
Je le suis. On rentre dans la maison, suivons le couloir qui mène aux chambres et Max s’arrête devant la porte du fond.
Il ouvre la porte, fait quelques pas pour allumer, m’invite à entrer et dit :
Je ne m’attendais pas du tout à cela, évidemment. Si le canapé pouvait paraître anodin, le reste ne l’était pas.
Il avance dans la pièce.
**********
Loane commence à m’expliquer les raisons de sa surprise. Mais mon esprit est ailleurs. J’ai encore le souvenir de la vidéo que contient la clé USB. Elle commence justement à ce moment-là. Manifestement la caméra s’est déclenchée à l’ouverture de la porte ou à l’allumage des lampes. Je vois l’homme avancer dans la pièce, suivi par Loane. Une Loane plus qu’étonnée de ce qu’elle voit. Une ingénue qui découvre. Mais une ingénue dont le Crop-Top et le short moulant ne font pas « tache » dans ce lieu que l’homme lui fait découvrir.
**********
Son geste montre les canapés, la table basse, la télé qui est accrochée au mur, mais surtout le lit rond de taille imposante dont l’usage n’est manifestement pas que pour dormir.
Il rit.
Elle hésite. Manifestement, elle se demande pourquoi l’homme lui montre son secret. Elle reprend :
Mais on voit bien que Loane regarde ailleurs. Max qui, sans avoir l’air d’y toucher surveille de l’œil, les réactions de son invitée reprend :
Il l’entraîne plus au fond de la pièce. Manifestement il y a une autre caméra et quelqu’un s’est chargé de faire un montage des deux, car je peux voir ce qu’il lui montre.
Il lui montre toute une série de godes et sex-toys. Elle est presque heureuse de pouvoir dire :
Elle hésite, mais répond avec une moue qui la rend encore plus « gamine » .
Mais un objet manifestement attire son attention.
Max se fait un plaisir de le sortir et de lui donner.
Il est évident que Max cherche à troubler Loane. On le serait à moins. Même si je ne connaissais pas la suite, un voyeur anonyme devinerait que l’homme a un objectif qu’il est facile de comprendre. Il explique :
Le regard de Max est lourd de sous-entendus. Pour un peu je pourrais le voir penser. Il est comme moi. Cette femme est-elle vraiment innocente à ce point ou bien fait-elle l’ingénue pour faire concorder ses remarques avec son visage de gamine ? Mais qui, à notre époque où le Net permet de tout connaître, peut être innocente à ce point ? Pourtant elle doit bien savoir les signaux qu’elle envoie avec ce Crop-Top et son short si moulant qu’elle ne doit pas porter de culotte dessous.
Mais elle continue son petit jeu. Si petit jeu il y a !
Elle s’étonne des menottes, cordes, bandeaux, bâillons, colliers. Elle s’inquiète de la douleur que doivent procurer les badines et martinets. Max la rassure avec délectation. Manifestement cela lui plaît et bien évidemment il est dans ce rôle qu’il s’est attribué en la conduisant dans cette pièce. Elle pourrait être sa fille, mais ni l’un ni l’autre ne joue dans ce registre.
Elle s’est saisie d’un plug en métal.
Max la fixe du regard. Je ne sais s’il est étonné de tant de naïveté ou si justement cette naïveté lui donne le bon rôle de « formateur » . Quel homme et même quelle femme n’aimerait pas être celui ou celle qui éduque ? Et si Max a entraîné Loane en ce lieu où il lui montre qu’il a une sexualité libérée, c’est évidemment dans un but bien précis. Mais c’est toujours le professeur qui parle :
Il lui montre le plug.
Un silence s’établit. Loane doit bien sentir que si elle est ici ce n’est pas que pour une visite. Pourtant l’homme ne dit rien. Il range ce qu’il a sorti dans l’armoire. De son côté elle s’éloigne de lui comme pour mettre une distance infranchissable. Max doit sentir qu’il n’a pas gagné.
C’est un oui de soulagement.
Il lui prend la main.
**********
La voix de Loane accompagnait en arrière-plan ce que je me souvenais de la vidéo, mais son ton qui était de confidence, change pour une sorte de colère.
Ils étaient sur un transat. On était encore dans le salon. J’imagine qu’eux ne pouvaient pas nous voir, cachés par l’ombre alors qu’ils étaient en plein soleil. Avec Max, on se regarde. Il n’avait pas l’air plus étonné que ça. Moi je vais aller leur dire ce que je pense de tout ça, mais ma main est prisonnière de l’homme. Le temps que je me dégage, la pute avait mis une capote sur la bite de mon copain et elle venait de s’enfiler son mandrin en le chevauchant.
Le mari reprend ma main et me souffle :
Alors je comprends :
Il me fait tourner vers eux et se place derrière moi. Je suis en colère. Autant contre mon copain que contre moi. On s’est fait manipuler et moi comme une conne je n’ai rien vu venir. Et lui ? Est-ce que Luc sentait que tout cela était une mise en condition. En tout cas cela n’a pas l’air de lui déplaire. Le salaud ! Il se laisse chevaucher. D’habitude il préfère me posséder, mais avec cette femme il accepte que ce soit elle. Et… Putain… Il gémit… Merde… Salaud… Et l’autre qui se colle à moi… Qui me parle à l’oreille comme si on était au spectacle :
Oui, je le sens contre moi. Le pervers. Il doit bander, car je sens une barre contre moi.
Il m’embrasse dans le cou. Ses mains m’enveloppent. Sans m’en rendre compte, je penche la tête pour mieux le sentir. Ses lèvres remontent vers mon oreille, jouent avec mon lobe. Je suis hyper sensible dans cet endroit. C’est comme s’il savait ! Mais comment ? Pourtant il insiste :
Il m’entraîne. J’essaie de protester, mais un mélange de colère, d’envie de me venger, de goûter à un autre plaisir, de me laisser…
La porte de la fameuse pièce se referme sur nous. J’ai encore dans les yeux le chevauchement de Martine sur mon copain alors que lui se cambre pour mieux la posséder.
Il fait sombre. C’est plus intime. J’ai une pensée encore lucide que le couple est un couple manipulateur qui entraîne d’autres avec lui. Et les autres c’est Luc avec Martine et moi avec… Oh, ses lèvres…
**********
Je comprends maintenant ce retour dans la pièce. Ils étaient partis et l’heure qui s’affiche sur la vidéo montre qu’ils reviennent moins de dix minutes après. Je comprends aussi le changement manifeste d’ambiance. Avant c’était une sorte de visite initiatique et je sais maintenant qu’elle était prévue en accord avec la femme de l’homme. Lui éloignait Loane de son mari pour lui laisser le temps de « conclure » . Mais en même temps il la « préparait » pour ce qu’elle allait découvrir en la chauffant avec tous ces objets. Oui, l’ambiance a changé. Cela pourrait être dans une chambre normale ou n’importe où ailleurs. C’est un couple, enfin surtout l’homme qui montre son envie.
Dès la porte fermée, il l’embrasse. Un baiser fougueux comme celui d’un homme qui attendait depuis longtemps. Loane se décontracte doucement. Alors qu’il l’embrasse et que déjà ses mains cherchent son corps, elle qui dans un premier temps paraissait inerte, se réveille. Je vois bien qu’une de ses mains cherche à se glisser sous la chemise. Mais elle est obligée de s’arrêter, car Max soulève son Crop-Top pour le faire passer par-dessus tête. Les bras en l’air elle n’a pas encore le temps de se débattre avec son haut qu’il est déjà parti pour caresser sa poitrine. Une poitrine qui n’a pas la timidité de sa propriétaire. Deux seins bien fermes, deux lobes que même les mains de l’homme n’arrivent pas à emprisonner. Mais sa bouche vient à la rescousse.
Si elle avait pensé résister, il est trop tard. L’homme lui fait du bien. Je pense que la visite guidée de cette pièce, même pour une « Candide », avait déclenché une envie, consciente ou inconsciente, que Max sait utiliser.
Mais il ne lui laisse pas le temps de trop réfléchir. Il la pousse sur le canapé, l’accompagne lorsqu’elle s’assied et se penche déjà pour atteindre le short. Il est si serré qu’elle doit l’aider pour l’enlever. Elle est nue dessous et ses cuisses s’ouvrent alors que Max s’approche de son intimité.
Le « Mmmm » qu’elle expulse donne le ton. Il n’est que le début d’un doux babillage accompagné de « Ohh » de « Ahh » alors que l’homme lui mange le minou. Cela semble si bon qu’elle s’ouvre pour lui, que ses mains pressent la tête qui lui fait du bien et que le « Ouiiii » réveillerait un régiment d’eunuques si la pièce n’était close.
Elle ne se refuse pas lorsque Max se relève et qu’il vient l’embrasser. Il est porteur se sa jouissance et lui fait déguster. Mais il n’en a pas fini. Il se relève et en quelques secondes enlève sa chemise pour faire apparaître un torse velu que je découvre, mais qui est bien entendu connu de Loane qui manifestement voulait y glisser sa main. Le short et le slip laissent apparaître un sexe en érection. Sexe bien lisse qui tranche avec le côté « animal » de la toison. Mais déjà un préservatif vient de recouvrir.
Il est devant elle. Mâle en puissance, alors qu’elle est assise, alanguie, à sa merci, petite fille qu’un corps de femme trahit. Il se penche. Les cuisses sont ouvertes pour l’accueillir. Son dard se place. Sur le visage de Loane, je peux suivre la progression du mandrin qui la possède.
Alors que je revois la vidéo, Loane, celle qui me raconte alors que moi je vois celle qui vit ce moment, me berce de ses commentaires. Bien que je ne sois pas vraiment attentive, ses confidences me paraissent bien éloignées de la réalité.
Mais moi, ce que j’ai vu c’est une femme et non pas une pauvre copine qu’un compagnon a cocufiée, et qui se laisse posséder.
Menteuse, tu mens ! Celle qui gémit n’a pas l’air de se soumettre de force ! Celle que je vois enserrer les hanches de l’homme avec ses jambes pour qu’il reste bien en elle, n’est pas une malheureuse que l’on force, mais bel et bien une femelle qui demande du plaisir.
Là, je suis d’accord. Mais une poupée consentante.
Une poupée qu’il soulève comme un fétu de paille alors qu’elle s’accroche de ses bras, de ses jambes, empalée par une tige de chair et qu’il déplace dans la pièce pour l’emporter vers ce qui semble un fauteuil où il l’installe. Un fauteuil avec un miroir juste à côté. Un fauteuil où il la fait tourner ne la quittant que pour la prendre dans une levrette d’enfer.
En formant ses couettes, certainement qu’elle pensait accentuer son air de gamine. Un air dont elle jouait manifestement. Mais avait-elle pensé qu’un homme les prendrait à pleines mains et s’en servirait comme des rênes qui servent à guider un cheval ?
À quoi pensait-elle vraiment en se regardant ainsi ? Cambrée, les reins arqués, la croupe offerte, les fesses claquées par un ventre qui la heurtait à chaque possession.
Mais oui, je confirme. Mais d’une brutalité toute sexuelle qui te faisait grimper aux rideaux, pauvre écervelée. En tout cas d’une brutalité qui montrait son envie de toi, de te posséder, de te faire jouir.
Oh, tu peux me regarder alors que tu essaies de minimiser ton implication. Moi je t’ai vue. Je t’ai entendue. Ce n’était pas des cris de protestation ou de douleur. Oh que non, mais des cris de plaisir. De ceux que toute femme rêve de pouvoir prononcer, expulser alors que la jouissance monte et que l’orgasme libère son lot de plaisir.
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Elle me regarde et semble découvrir une vérité sur mon visage.
Elle me fixe :
J’ouvre sa bouteille de vin et nous trinquons.
Son regard se pose sur la photo que je lui ai montrée tout à l’heure, celle où je suis avec Lyam, mon copain. Elle semble la découvrir.
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Il descend son short. Sa bite est dure.
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Si Loane minimise sa part de responsabilité et ses envies, par contre elle a raison pour le couple qui les accueille. Ce sont bien des manipulateurs, mieux, des prédateurs, de ceux qui décident en toute connaissance de cause de jouer avec d’autres sans qu’ils en aient conscience.
Si la visite de Loane avec Max était empreinte d’érotisme et de non-dits, ce n’est pas le cas de Martine avec le copain. Il est vrai que le couple a déjà « fauté » et que cela rapproche. Martine fait visiter, mais comme une initiatrice plus entreprenante. Il faut dire aussi que Luc paraît moins innocent que sa copine, manifestement plus dans l’air du temps, déjà bien informé de ces pratiques et de certains accessoires.
Elle le caresse sans pudeur. Elle guide la main de son amant vers son intimité et je ne comprendrai que plus tard pourquoi il semble étonné. Un minou est un minou. Il l’a déjà possédée. En réalité c’est plutôt le minou qui était venu s’empaler sur lui. Je comprends aussi pourquoi les amants sont seuls. Le mari répète ce qu’il a commencé avant le repas ! Il laisse le temps à sa femme de bien prendre en main le copain pendant que lui, dans une perversité bien comprise, suit les pas de son épouse en se faisant chevaucher par la gamine.
Oh que oui, ils savent ce qu’ils font. Une génération les sépare, un gouffre dans les pratiques et les expériences diverses en font des initiateurs chevronnés. Mais il faut reconnaître qu’ils ne s’attaquent pas à de pauvres innocents même s’ils pourraient donner le change. Eux aussi ont joué avec ce flirt poussé, cette excitation qu’ils ont ressentie et surtout fait connaître par leurs baises que, consciemment ou comme acte manqué, leurs hôtes ne pouvaient qu’entendre.
Luc s’est laissé bien facilement séduire !
Loane pouvait quitter aussitôt la pièce, dès qu’elle avait réalisé dans quel milieu Max l’entraînait.
Et si Loane me menait en bateau ? Si, derrière cette façade de « naïve » , elle cachait des envies. Des envies que Max pouvait satisfaire. Des envies qu’elle n’a pas osé avouer à son copain, coincée dans son rôle de composition qu’elle se donne.
Et si Luc…
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Elle était sur cette sorte de balançoire et lui…
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Sur la vidéo on ne les voit pas arriver. Il faut dire que le regard est plus attiré par le cercle de lumière avec le couple au milieu. Il faut reconnaître au couple de pervers qu’ils savent mener leur barque et que manifestement chaque détail a été étudié. Combien de fois ce scénario a-t-il déjà été réalisé ?
Un cercle de lumière, non pas comme un spot qui aurait sûrement donné un côté trop cru et film porno, mais plus comme une lumière de lune qui suffit à rendre tout autour assez sombre. Ainsi certains peuvent regarder discrètement alors que d’autres s’activent.
Martine a montré comment elle s’installe sur cette balançoire, enchevêtrement de sangles qui ne prend sens qu’une fois la femme en place. J’ai déjà vu ce genre d’accessoire, mais c’est toujours une surprise. C’est là que j’ai compris l’étonnement de Luc. Martine avait un plug dans son petit trou.
Elle a commencé par le sucer pour lui montrer combien la balançoire lui donnait de la liberté pour qu’elle le prenne bien en bouche. Les deux mains de la femme sur les fesses de l’homme donnaient un côté encore plus « sexe » . Martine se l’est enfilé bien profond dans la gorge. Mais c’était juste une « démonstration » , initiatrice jusqu’au bout. Au bout de la bite si j’ose dire.
Ensuite il a fait le tour.
Il s’est équipé. C’est lorsqu’il s’est installé bien entre les jambes largement ouvertes, dans une posture qui laissait peu de place à la retenue, que j’ai aperçu Loane.
À partir de ce moment, c’est Luc qui a « pris en main » le côté balançoire de la scène. Il ne lui a pas fallu longtemps pour qu’il l’utile afin de faire venir et partir Martine sur sa queue bien tendue. On peut dire ce que l’on veut du jeune homme, mais il a rapidement compris tout ce qu’il pouvait tirer de cet accessoire et de la femme qui s’était elle-même placée dans cette posture. Très vite la pièce s’est remplie du bruit délicieux du ventre claquant le pubis de Martine avec ce bâton qui lui arrachait des gémissements à chaque avancée.
Discrètement, Loane, manifestement dirigée par Max, a fait le tour pour arriver de côté. De là où ils étaient, les voyeurs pouvaient mieux profiter du spectacle, d’ailleurs, j’entends « Loane la narratrice » me dire, parlant si doucement qu’elle semble se parler à elle-même ou comme une confidence :
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Ce n’est pas bien d’avoir ce genre de pensées ! Vous voyez comme il m’avait pervertie…
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Je ne pas bien vu comment, mais toujours est-il que Loane et Max apparaissent dans la lumière et que Luc les remarque. Aussitôt il s’arrête. On peut le comprendre. Rien n’est bien normal. Il vient de se faire surprendre par le mari, mais aussi sa copine. Surpris en train de baiser la maîtresse de maison, et de quelle façon ! Mais je crois deviner ce qu’il pense aussi en voyant les « cocus » apparaître. Ils n’ont rien de conjoints en colère. Ou alors pourquoi seraient-ils nus comme cela ? Non, la vérité ne peut que jaillir dans le cerveau de Luc. Loane et Max ont eux aussi baisé. Son infidélité a été contagieuse.
C’est la voix de Martine. S’il fallait une confirmation, elle vient par l’impatience de la femelle.
Est-ce par défi ? Probablement, car on lit sur le visage de Luc comme un énervement. Comme beaucoup d’hommes, il ne peut pas imaginer que sa copine puisse avoir, comme lui, des envies et des faiblesses. Son amour-propre de Mâle, si répandu même chez ceux qui font mine d’être cool, détaché de ce sens de la propriété qui vient de la nuit des temps et relègue la femelle en boniche et procréatrice, à la rigueur pourvoyeuse de plaisir masculin, oui, son amour-propre vient d’en prendre un bon coup. Aussi c’est en reprenant ce mouvement de va-et-vient qu’il retrouve d’une certaine façon, sa dignité de mâle.
Il rebaise Martine, mais ne quitte pas des yeux sa copine et son désormais officiellement, amant. Max entraîne sa conquête en face de lui. En poussant Loane, elle se retrouve vers le visage de la femelle en suspension. Son corps massif et velu est un rempart qui bloque sa maîtresse dans une position si étonnante. Encore, on sent la parfaite complicité et l’expérience du couple de pervers. Martine se voit offrir « sur un plateau » la minette « de la « naïve de service » .
Luc ne peut pas ignorer ce qui se passe juste en face de lui. Sa copine, les jambes écartées se fait gouiner par celle qu’il baise. Il ne peut que deviner que ses propres mouvements participent au léchage d’une chatte qu’il sait maintenant broutée par une autre que lui.
Mais Max en veut plus. Luc ne peut ignorer la capote que l’homme enfile avec dextérité et qu’il force Loane à se pencher pour se retrouver pratiquement allongée sur Martine dans un 69 bien particulier. La naïve a son visage si près de la fente de Martine qu’elle ne peut qu’être la spectatrice attentive d’une bite, celle de son copain qui va-et-vient dans la grotte, se frottant aux lèvres humides avec délice. Mais sa grotte aussi se fait occuper. Max la possède en glissant son mandrin dans une fente que Martine a, si besoin était, rendue très accueillante.
Voilà les deux femmes en quasi-suspension dans une posture des plus érotiques.
Est-ce cette vision qui inspire Luc ?
Est-ce que c’est son dard qui doit se frotter au plug de Martine ?
Est-ce une sorte de vengeance envers sa copine ?
Peu importe, toujours est-il qu’il prend la décision de retirer ce plug et de le remplacer par sa bite luisante.
C’est sous les yeux de Loane, qui lui refuse ce plaisir, qu’il embroche Martine par le cul. Loane ne peut que constater l’enculade sans effort, découvrant probablement qu’un cul peut être aussi ouvert qu’un vagin.
C’est un couple de pervers, de prédateurs qui a accueilli ce couple de jeunes pour les « éduquer » sans avoir l’ait d’y toucher. L’homme et la femme sont des complices parfaits et leur scénario bien huilé. Mais pour quelqu’un qui entrerait dans la pièce, il verrait deux hommes, complices dans la réalisation de leur plaisir.
L’un qui s’active dans la fente quasi juvénile, du moins qui veut en donner l’apparence, de Loane, sous les regards de sa propre femme.
L’autre, le jeune, celui qui doit être « éduqué » , qui encule sa maîtresse sous les yeux de sa copine.
Oui, deux hommes complices.
Mais aussi deux femmes, la jeune et la plus vieille qui ne refusent pas ce que les mâles leur proposent. Les cris de Martine sont sourds, mais ceux de Loane, si au début on devinait qu’elle se retenait, se répandent dans la pièce.
Oui, les deux hommes s’échangent des regards complices. Complices, mais aussi concurrents.
J’ai connu assez d’hommes dans ce genre de situation pour ne pas savoir que, même les meilleurs amis du monde, ne peuvent se retenir, et c’est heureux pour nous les femmes, justement de « se retenir » et ne pas juter dans une chatte, un cul, une bouche trop vite et sans avoir apporté son lot de plaisirs avant.
Mais à ce jeu, c’est Luc qui perd. À son corps défendant, que l’expression est bien adaptée à cette situation, Martine lui a fait monter la pression lentement, alors que Max s’était déjà libéré une première fois avant d’entrer dans la pièce.
Mais qu’importe. Mieux il peut ainsi « profiter » du spectacle de sa copine qui se croit toute seule, immergée dans une bulle de plaisir et qui hurle sa jouissance.
Enfin, c’est ce que je lui souhaite !
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Loane me rappelle à son souvenir.
Elle est mignonne dans ce rôle d’ingénue qu’elle continue de me faire. Cette fille… pardon, cette femme sait jouer de son physique. Elle a compris manifestement depuis longtemps qu’avec son minois de gamine elle pouvait jouer le rôle de l’innocente et en abuser. La coquine ! Mais je sais comment lui faire tomber le masque :
Elle semble soudain inquiète :
Elle semble réfléchir :
Un long silence. Et elle reprend :
Elle regarde à nouveau la photo :
À suivre