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Temps de lecture estimé : 28 mn
07/11/19
Résumé:  Pendant qu'Axelle confesse Loane dans le salon, son copain Lyam écoute depuis la chambre. Encore une fois la clé va ouvrir une porte, mais cette fois-ci bien réelle.
Critères:  ffh couplus fsoumise fellation sandwich sm confession -initff
Auteur : Sésame            Envoi mini-message

Série : Aux âmes bien nées la valeur...

Chapitre 02 / 02
D'un couple à l'autre

Résumé de l’épisode 1 :

Axelle trouve une clé USB dans son vide-ordures. Elle appartient au couple qui habitait avant et la femme, Loane, vient la récupérer. La clé contient une vidéo montrant les propriétaires de l’appartement avec le couple de locataires dans des rapports de séduction très poussées qui frisent avec la domination. Axelle confesse Loane qui refuse encore de reconnaître qu’elle et son copain ne sont pas innocents au point d’être considérés comme des victimes.




La façon dont c’est parti, je crois bien que je vais perdre mon pari. Ce n’est pas grave. En général avec Axelle, que l’on perde ou que l’on gagne, on est toujours « gagnant ». Elle adore parier. Elle parie sur tout. Souvent c’est sur des bricoles, parfois sur des défis autrement plus « engagés » qui mettent du piment dans notre vie qui n’en manque pourtant pas.




**********





Moi, comme presque toujours, je relève le pari.



Ses yeux brillent. Je sais qu’elle pense à un gage basé sur le sexe.



Elle plaisante, mais à peine. Parfois nos gages prennent des formes osées. Mais je pense à autre chose :





**********




Lorsqu’on a loué cet appartement, les proprios nous ont dit :



On a accepté de nous charger du ménage, mais j’ai demandé si cela se produisait souvent. Lui m’a répondu :



On avait conclu qu’on était tombé sur des proprios bien gentils et c’est assez rare pour être souligné.

Mais en faisant justement le ménage, on a trouvé la fameuse clé USB.

Axelle a menti à la fille. Axelle sait très bien mentir et je connais peu de personnes qui lui arrivent à la cheville pour ça. Il faut dire que la vie, celle qu’on lui a donnée et celle qu’elle s’est construite lui ont fourni de nombreuses occasions. Avant c’était pour se dissimuler, maintenant c’est plus par jeu.


Donc en réalité c’est moi qui ai découvert ce truc qui bloquait la porte du vide-ordures.

En réalité, j’ai commencé par regarder ce qu’il y avait dedans et ce n’est, qu’ensuite, qu’Axelle a découvert la succession de vidéos. Évidemment, on a reconnu nos proprios. Pour la femme et l’homme, on a conclu que c’était les locataires d’avant.



C’est vrai. Choquant, mais évidemment excitant. Déjà avant, lorsqu’ils étaient tous les quatre, la façon dont le proprio a conduit et dirigé la fille montrait son charisme et un certain pouvoir sur cette jeune femme.

Je demande à Axelle :



Alors Axelle parcourt la vidéo en accéléré pour s’arrêter par moment et :



Max lèche la fille. Max la pénètre. Max la porte vers le fauteuil où il la prend en levrette en la tirant par ses couettes.





**********




Je dois bien reconnaître qu’Axelle a raison, au moins pour cette fin de soirée avec juste elle et Max.

Je me souviens de la surprise de cette Loane lorsque l’homme lui a dévoilé tous ses secrets. Elle était entrée « innocente ». Elle en était ressortie la première fois un peu mieux informée sur tout cela.

Mais lorsque son copain l’a laissée avec cet homme, elle était curieuse et c’était si évident que Max s’est fait un plaisir de lui montrer.


Elle connaissait la balançoire. Elle a fait connaissance avec cette sorte de cheval d’arçon avec des marches de chaque côté. Mais la phase d’explications de la première visite s’est transformée en phase d’expérimentation. Les bijoux à seins, les bâillons, les boules de geisha vibrantes, l’énorme vibromasseur qui a eu un effet énorme sur son minou. Même les badines et martinets pour la « chatouiller ». Mais une fois attachée sur ce meuble si étrange, le jeu a pris une tournure bien plus réaliste. Il a pris bien soin de lui glisser un coussin sous chaque genou et de lui demander si elle était « bien ».

Il a commencé par jouer avec sa chatte et son petit trou.



Axelle a sans doute raison, Loane n’a même pas protesté.

Il a commencé par jouer avec sa bouche, sa langue, et puis un doigt qu’il avait longuement enduit de crème. Et puis il a été chercher un plug qu’il lui a montré… qu’il lui a fait prendre en bouche.



Elle n’a pas protesté lorsqu’il lui a enfilé lentement. Même pas une grimace, plutôt une surprise lorsqu’elle a dit « Oui » alors qu’il lui disait : « Tu vois il est entré facilement ».

Ensuite il s’est fait sucer. Plus exactement, il est assez vite passé au niveau supérieur en lui enfournant son mandrin dans la gorge. Le visage poupin s’est vite transformé avec la bouche déformée, la salive qui ruisselle de partout, des yeux qui pleurent. Je ne sais pas si c’était sa première fois, après tout Axelle avait peut-être raison qu’elle cachait son jeu, mais elle s’est laissé faire. J’ai bien cru un moment qu’il allait lui juter dans la bouche lorsqu’il lui a demandé si elle « avalait » et qu’elle a dit « non ». À ce moment-là et à d’autres où Max lui laissait une ou deux secondes de répit pour reprendre sa respiration, oui, à ces moments-là elle aurait pu dire « Non. Arrête » . Le proprio aurait arrêté, c’est certain. On voyait bien qu’il était vigilant. Lui aussi devait être surpris de ce que cette fille acceptait.


Et puis il a fait le tour. Le temps de mettre une capote et son mandrin est entré dans la chatte comme une glissade. La crème pour le cul avait peut-être coulé un peu, mais je pense que Loane était si chaude qu’un bâton de baseball aurait pu passer. La coquine !

Il a commencé à la baiser lentement, puis fort, puis lentement. Elle était totalement prisonnière, les bras et les jambes attachés. Il l’a forcée à parler, à lui répondre, transformant la jeune soumise en femme qui assume.



Et puis il lui demande :



Il la bourre très fort, déclenchant des gémissements.



Les mains de Max attrapent les couettes et à nouveau il s’en sert comme des rênes, la faisant cabrer dans une posture obscène.



Il relâche les couettes, se retire et enlève la capote avant de replonger d’une poussée fantastique.



Quelques mouvements et puis il sort. Sa main saisit le plug et le tire tout en tournant. La pièce de métal apparaît d’abord avec réticence et puis, comme toujours avec ce genre de truc, jaillit, expulsée par la rondelle qui l’étrangle.



Pendant ce bavardage, Max enduit le petit trou de crème qu’il étale en se servant de son gland. Et puis il se place. Ses mains ouvrent les fesses dans un geste d’une sexualité quasi obscène. La caméra est trop loin pour vraiment savoir lorsqu’il entre, mais le « ohhh » de la femelle donne le top de départ. Les mains relâchent les fesses pour attraper les hanches. Des hanches qui sont celles d’une femme bien constituée et non pas d’un ange androgyne.


Elle regarde le ciel, mais ne voit rien si ce n’est pour imaginer le mandrin qui l’enfile. Son visage qui a déjà perdu de sa candeur avec la fellation profonde reflète un mélange de sensations. Plus exactement une succession de sensations. On pourrait croire que j’invente, mais non. J’ai regardé ce passage au ralenti, et de la crainte, de la surprise, une longue inquiétude et enfin un relâchement lorsqu’elle sent que Max est maintenant collé contre elle, signe que toute sa queue est dans son cul de pucelle.


Mais oui, ma belle, on en fait toute une histoire. Axelle et moi on aurait pu te rassurer, mieux te convaincre si on t’avait connue avant les proprios.

On peut accuser l’homme de tous les vices, mais il n’est pas une brute. Non, un initiateur prévenant, attentif à sa partenaire. En la baisant, il en avait fait une femelle assumant ses envies. En l’enculant, il la traite d’abord en vierge fragile :



C’est pas mignon ce changement de ton ?



Il rit :



Mais bien vite il se rend compte que la vierge a tourné la page. Il suffit de voir la façon dont elle bouge avec le peu de liberté que lui donnent ses liens.




**********





Axelle me rappelle à notre conversation :



Axelle doit avoir raison. C’est énervant, avec elle, du moins pour tout ce qui touche au sexe elle a comme un sixième sens.

Max aussi a compris, car la possession délicate cède vite la place à une enculade effrénée. Et Loane a bien appris sa leçon. Il n’a pas besoin de lui demander de parler, elle le fait naturellement. Des mots crus sortent de ses lèvres, qui n’ont plus rien d’angélique, mais que le diable, ou tout le moins, un dieu du sexe a pris en possession.



Jusqu’à un final avec un : « je viens ! » de Max qui paraît presque sage perdu dans ce flot de paroles et puis un : « c’est chaud… ça brûle… » étonnant dans la bouche d’un démon.




**********




Et c’est comme ça, que je suis dans notre chambre et que j’assiste à l’enfumage d’Axelle sur l’innocente Loane. Il faut dire qu’elle a pensé à chaque détail :

Faire croire qu’elle vient de trouver la clé USB.

Laisser traîner la clé à côté d’un PC dont l’écran est figé avec la preuve qu’elle a, au moins un peu, regardé ce qu’elle contenait.

Proposer un coup de gniole pour, soi-disant, donner un coup de fouet. Ne pas hésiter à faire des pauses en proposant de goûter à la bouteille. De toute façon même si Loane n’avait pas amené de bouteille, il y en avait une de prête.


Mais le top du top, la marque d’une maestro, c’est sa façon de mettre Loane en confiance, de se présenter comme une amie, une grande sœur, une confidente, parfois dans le soutien, parfois dans le rôle de celle qui lit entre les lignes, n’oubliant pas de faire comprendre par petites touches qu’elle aussi, Axelle a une sexualité…

Cela fait quoi ? Oh, presque 1 h 30, que Loane est au confessionnal. Les derniers péchés n’ont pas été si durs à avouer d’autant qu’Axelle a fait comprendre que cette partie-là, faisait aussi partie de la vidéo.

Elle a rejoint Loane sur le canapé. Son genou touche celui de sa voisine. Le moment est fort. La femme vient de comprendre que si son copain est parti, c’est qu’il a vu ce qui s’est passé dès que lui et Martine ont quitté la pièce.



Elle lui passe doucement la main sur la joue.



Long silence où on voit bien que Loane voudrait poser une question, mais n’ose pas. Alors Axelle reprend, tout en posant son autre main sur les mains de la femme.



Un long silence. Je vois bien qu’Axelle fait toute douceur.



La main revient au visage. Elle se fait enveloppante.



Voilà c’est dit. Si Loane est surprise, en tout cas elle n’a pas de mouvement de recul.



Axelle avance son visage vers Loane. C’est vers les paupières qu’elle se dirige. Un baiser ici. Un baiser là. La joue. L’autre. La main enveloppe le menton.

Bingo, les lèvres se rejoignent. D’abord juste un contact, mais qui n’est pas repoussé.

C’est comme si j’y étais. Il n’y a pas que ces pervers de proprios qui savent se servir d’une caméra. Axelle a calé son smartphone et je reçois en direct :



Pour voir ! Je vois !

Je vois le baiser chaste non refusé qui se prolonge.

Je vois la main d’Axelle qui passe derrière la tête de Loane et le baiser devenir plus humide, intrusif, alors que les têtes se penchent. Je dis bien « les têtes », car c’est par ce mouvement que, d’une certaine façon, Loane ne fait pas que subir.

Le baiser qui n’a plus de fin. Mais aussi, pendant ce temps, les mains de ma copine qui « détricotent » la robe boutonnée. Maintenant Axelle s’est levée, surplombant d’une certaine façon celle qu’elle contrôle.

Je vois, oui je vois que la robe passe le barrage des bras, que Loane se soulève légèrement afin que rien ne gêne son déshabillage.

Mais je vois qu’elle aussi s’est activée, cachée par le corps d’Axelle, car si la robe est enlevée, ma copine se retrouve aussi torse nu. Contrairement à Loane, elle ne porte pas de soutien-gorge. La femme n’a pu que le remarquer, car ses lobes magnifiques ont tendance à vouloir percer le fin tissu qui, s’il n’est pas transparent, laisse deviner les merveilles.


Je vois Loane passer ses mains dans le dos…

Je vois le tissu laisser la place aux deux seins. Des seins de femme, bien formés, manifestement bien fermes et qui se gonflent facilement sous les caresses d’après ce que j’ai vu dans la vidéo.

Deux seins que deux autres surplombent. Ceux de Loane sont beaux, mais ils n’auront jamais la forme parfaite de ceux d’Axelle. Deux lobes qui poussent leurs pointes. Deux tétons qui en cherchent d’autres. Caresse si douce que Loane ne bouge pas de peur de rompre le fragile équilibre de ses deux pointes de chairs, tendues de désir qui jouent avec les siennes et qui, si elles ratent leur objectif, ne font que caresser la peau si sensible.


Mais Axelle monte un peu pour lui proposer d’autres caresses. Loane se saisit aussitôt des mamelons pour les caresser et attirer les tétons vers sa bouche. De longues secondes où Axelle laisse sa conquête jouer avec sa poitrine. C’est une façon de la faire participer et qu’elle ne se retranche pas dans le rôle de la fille séduite. Séduite, mais volontaire.


Je vois ! Oh que je vois ! Je vois et j’entends !

J’entends le doux murmure lorsque c’est ma copine qui suce les tétons de Loane. Qui les suce, mais aussi qui les tord, coincés entre deux doigts, pour en extirper des soupirs.

J’entends et pourtant la dentelle est trop fine pour « crisser » sur la peau des cuisses alors que la petite culotte est repoussée plus bas. Je vois les deux jambes bouger pour que la dentelle ne l’entrave pas alors qu’Axelle plonge vers une intimité qui n’est plus qu’envie.


Axelle a tous les talents. Homme ou femme, elle sait comment leur arracher des soupirs de plaisir. Elle suce divinement bien. Je peux en témoigner et beaucoup d’autres avec moi. Elle n’a pas son pareil pour vous gober, vous lécher, vous sucer, vous pomper jusqu’à ce que votre foutre, mais uniquement pour les mecs cleans, jaillisse et lui fasse son apéritif. Mais pour les femmes aussi, elle sait y faire. Je peux en témoigner en tant que spectateur qu’aucune ne résiste à ses cunnis d’enfer. Mais aussi, indirectement si j’ose dire, lorsqu’elle me fait une feuille de rose.


Loane, comme les autres, succombe. Le léchage rapide de Martine n’a été qu’un aperçu, celui d’Axelle une entrée, un plat et un dessert. C’est presque frustrant de savoir à l’avance comment cela va finir. Cela dépend juste si la femme est une bavarde ou une silencieuse. Certaines ne cessent de parler, d’autres ne s’expriment qu’à la fin lorsque le corps exulte si fort que la jouissance doit être partagée avec les autres.

Comme les autres, elle guide la tête entre ses cuisses pour la retenir et que ne cesse pas le doux léchage.

Comme les autres, elle se sent possédée par le doigt qui pousse son petit bouton vers la bouche avide. Probablement, je dis probablement car je ne peux pas bien voir, que son petit trou a droit aussi à un début de possession.


Voilà, j’ai perdu. Axelle a mis Loane dans son lit ! En une seule rencontre ! Et ce n’est que le début. La gamine ne sait pas dans quoi elle s’est embarquée. Je ferai le ménage comme promis. Mais en attendant…


Loane n’est pas égoïste. Elle veut rendre sa pareille à sa maîtresse. Alors qu’Axelle lui fait goûter sa propre liqueur en l’embrassant, je vois qu’elle cherche à l’envelopper de ses mains et chercher l’attache de la jupe.



Loane ne refuse pas la main d’Axelle. C’est son destin de se faire entraîner, guider. Déjà par les proprios, maintenant par ma copine. La porte s’ouvre.



Le volet est tiré. Le choc sera déjà assez fort pour éviter qu’une lumière trop crue ne soit agressive. Déjà ce qu’elle voit suffit pour surprendre. Elle m’a vu sur la photo. Peut-être pas au début, trop concentrée sur sa « personne » et son aventure, mais lorsqu’Axelle a distillé son expérience, le regard qu’elle a jeté a changé. « Est-ce avec cet homme ? » Elle a dû s’interroger.


Je fais presque toujours cet effet. Surtout lorsque c’est Axelle la « séductrice » et que, même en parlant d’un copain compréhensif et partageur qu’elle va faire connaître, je me montre.

Je sais, cela fait « mise en scène ». J’aurais pu paraître dans le salon pour venir prendre ma part du gâteau après juste une bougie soufflée. Mais Axelle soigne ses effets. Son copain est là, étendu langoureusement sur le drap blanc, d’abord masse sombre et puis à mesure que les yeux s’habituent à la demi-obscurité, corps d’ébène que j’espère apprécié pour sa plastique autant que sa couleur de peau. Je sais cela fait un peu prétentieux, mais après tout, on est jamais si bien servi que par soi-même !


Les gens, enfin beaucoup de gens sont racistes. C’est tous les jours que je croise les regards de ces hommes et de ces femmes qui, me voyant au bras d’Axelle, femme blonde et magnifique, ne peuvent s’empêcher de penser si fort que je peux presque les entendre :


« Qu’est-ce qu’elle fout au bras de ce gars ? Il n’y a pas assez d’hommes pour aller chercher un black ? Ou alors c’est une salope qu’il retient avec sa grosse bite ! Elle doit aimer cela la chienne, de se faire remplir par son gros machin. »


Le racisme, mais aussi l’envie :

« Putain, j’en voudrais bien une grosse comme doit être la sienne. Au moins ma femme n’irait pas voir ailleurs. On dit qu’ils sont bien montés, mais est-ce qu’ils tiennent la distance ? »


Ou bien, plus vicieux encore :

« Pourquoi elle s’affiche avec lui. Moi, si j’avais un beau mâle comme ça, je me le garderais au chaud. Juste pour la bagatelle. Encore que bagatelle ne doit pas être le bon mot pour parler de ce qu’il a entre les jambes. Elle arrive à le sucer ? Il n’est pas trop gros pour qu’il l’encule ? Putain, il doit balancer des litres de foutre… »


Vous pensez que j’exagère ? Mais regardez autour de vous !

Mais ce « beau mâle » (eh oui, c’est moi) change de statut une fois dans une chambre. La forme sombre sait aussi afficher son désir.

Je bande. Pas très dur, mais assez pour que ma tige se soit déployée, délicatement posée sur mon bas-ventre, bâton avec ses deux boules bien dans l’axe.



Axelle franchit la distance qui la sépare du lit. Elle s’assied à côté de moi. Elle se saisit de mon mandrin. Sa main blanche le fait paraître plus gros. Pourtant je ne suis pas si gros. Rien à voir avec l’imaginaire véhiculé ou les exemples difformes sur le Net. Non, je suis bien monté, pas plus. Pas plus, mais bien assez, car peu de femmes apprécient les très grosses bites. Elles font mal, il faut toujours surveiller la possession et, si c’est la femelle qui chevauche, elle doit en permanence s’empêcher de s’empaler bien à fond, ne jamais sentir ses fesses sur les cuisses de son amant pour toujours rester « crispée » sur le baobab.

Axelle me flatte, me branle doucement pendant que l’autre main fait un nid pour mes bourses.



Elle pouvait s’enfuir. Après tout elle avait récupéré sa vidéo avec, d’accord, une facture bien agréable à régler, mais rien de l’obligeait à continuer.

Non, elle s’approche. Axelle s’occupe de tout, ainsi elle pourra plus tard, raconter que c’est un couple de pervers, de prédateurs qui a su profiter d’elle et l’entraîner à…

Oui, ta main paraît plus blanche sur ma tige.

Oui, tes lèvres sont douces sur mon gland.

Ta langue constate que peau blanche ou peau noire, son grain est d’une finesse exquise et que s’il est totalement accessible sans qu’aucun prépuce ne perturbe la symétrie, cela rend plus facile de bien le gober avec les lèvres qui se referment sur sa base ourlée.


Axelle te guide.

Axelle t’encourage.

Tu obéis à ses conseils. Décidément, on décide pour toi et on te tient la main pour tout ! Même si pour l’instant on appuie sur ta tête pour que tu absorbes le plus possible de cette sucette de chair.

Et mes couilles ! Oui, ne les oublie pas, même si je sais que tu ne pourras pas goûter à leur liqueur. Une liqueur que la capote qu’on te donne et que tu te charges de dérouler sur ma tige va recueillir.


Putain, que tu es belle et désirable ! Corps de femme surmonté par un visage d’ange. Sacrilège, messe noire, mais que c’est beau de te voir, toujours guidée par ma copine, oui de te voir m’enjamber. Je t’aide en guidant mon mandrin que tes lèvres enveloppent et que ton vagin engloutit.

Mais oui, bite noire ou bite blanche, c’est la même chose. Toutes font leur chemin si on leur propose une grotte bien humide. Il te reste juste la différence du fantasme si jamais tu l’as eu.



Et encore tu n’as rien vu ! Oui, elle te conseille de non pas t’agenouiller sur moi comme une cavalière sur sa monture, mais t’accroupir, en appui sur les pieds dans un déséquilibre certes plus « physique », mais bien plus excitant autant pour moi que pour toi.

Je vois ta chatte, ta fente, avec les lèvres bien nommées, qui bougent au rythme de tes possessions. Car tu n’as pas de fausse pudeur ni de retenue. On doit te guider, mais une fois « lancée », tu te trouves dans ton élément.

Tu montes et tu descends sur ma queue. Tu regardes ton intimité toujours étonnée de voir un bâton de cette couleur qui tranche sur le rosé de ton intimité.

Axelle t’embrasse.

Axelle m’embrasse.

Elle est notre lien du haut… Celui du bas est une cheville à la fois souple et rigide.

Axelle qui fait glisser sa jupe. Tu la découvres en petite culotte et pourtant rien ne te choque. Non, tu me regardes et tu souris. Tu as compris qu’elle va venir de joindre à nous.


Moi, je ne quitte plus ton visage du regard. Je veux surprendre ce moment magique, la surprise, l’étonnement, parfois la colère, alors que notre partenaire découvre ce qu’il ne soupçonnait pas.


Sidérée. Oui, tu es sidérée. Tu n’en crois pas tes yeux. Tu la regardes, de haut en bas, puis moi, puis de retour elle. Après tout, elle est comme toi. Toi, sous ton air de gamine, tu caches un tempérament de feu, une envie de sexe, de jouir de tout tenter de tout essayer si on sait te le proposer.


Axelle c’est autre chose. C’est un corps de femme qui cache un « reliquat » de corps d’homme. Un « trans » comme on dit. Surtout ne pas l’appeler « shemale ». Elle ne le supporte pas. Il faut dire qu’il lui en a fallu du temps pour assumer et réaliser ce que la nature lui a refusé physiquement alors qu’elle lui avait distillé des envies différentes.

Mais maintenant, elle est en paix avec elle. Elle assume. Ella a fait ce qu’il fallait pendant toutes ces années où elle s’est cachée aux autres. D’où son talent de dissimulatrice et de manipulatrice.

Oui, c’est une verge que la petite culotte découvre. Une verge bien classique d’homme normalement constitué.



Loane ne répond pas, encore sous le choc. Elle réalise la situation étonnante. Peu de gens le devinent. Elle est figée sur ma queue, incapable de reprendre. C’est bien normal. Nous savons ce qu’il faut faire. À une surprise, en ajouter une autre. Une autre qui rend la situation totalement différente des « grands classiques hétéros ». Je soulève la tête. Axelle se penche vers moi et sous le regard de notre ingénue en formation continue, je gobe la bite. J’imagine que cela aussi est une première, voir un homme sucer une bite.


Comme je disais, à une surprise en ajouter une autre. Elle regarde. Moi, je ne la quitte pas des yeux, cherchant son regard, de ceux qui s’échangent entre partenaires complices. Le sexe flasque se transforme vite en bâton de chair qu’un homme ne renierait pas. Maintenant Axelle me le retire pour se lever un peu afin de l’amener à portée de bouche de notre complice.

Loane accepte. Après tout une queue est une queue et la normalité lui paraît de retour.

Je la pousse un peu afin qu’elle reprenne ses mouvements. Elle répond à ma sollicitation et en quelques secondes la voici redevenue cavalière accroupie si ce n’est qu’elle suce Axelle en même temps.


La position est difficile et de toute façon je sais que ma copine a une autre intention. Elle retire sa bite maintenant bien raide et gluante pour la recouvrir de latex.

Loane regarde ce mandrin préparé pour… Si elle s’est posé la question un instant, alors qu’Axelle fait le tour, la réponse arrive sous forme d’un mouvement qui la fait se pencher vers moi, passant de cavalière à femme alanguie.

Je la sens réagir. J’ai vu la main d’Axelle attraper dans notre tiroir de table de nuit, l’onguent indispensable pour une bonne sodomie, surtout si l’anus est encore dans ses premières fois.


Loane bouge alors que la crème froide est étalée. J’imagine qu’un doigt, si ce n’est deux, d’ailleurs je le sens sur ma propre bite, est poussé pour bien enduire et décontracter.

Axelle me fait un signe. Elle va le faire. J’enveloppe Loane de mes bras, non pas pour la contenir, la retenir ou la forcer, mais pour lui apporter mon soutien. D’ailleurs elle ne cherche pas à s’enfuir.


Ma copine a raison, elle cache son jeu. Si elle ne s’est jamais fait prendre en sandwich, elle y a au moins pensé et imaginé dans une envie fantasmée. Combien d’envies, de fantasmes conscients ou inconscients, cache ce minois d’ange ?


Elle entre facilement. Miracle du lubrifiant, mais aussi à Axelle dont l’expérience n’est plus à refaire, sans oublier notre protégée qui se laisse guider sans inquiétude.

C’est toujours différent. Même si c’est la même position, le même partenaire, sauf évidemment lorsque c’est moi qui prends la porte de derrière, oui c’est différent. La respiration, les mouvements du corps, l’expression du visage, la façon dont le mandrin qui vient de forcer l’anus, rencontre mon bâton, le sentir s’aligner sur ma queue, la repousser, la longer, la frotter pour progresser et venir petit à petit se joindre à moi dans une possession où la femelle se sent pleine et étonnée de pouvoir accueillir deux sexes d’homme.


J’aime ce moment où la femme est totalement alanguie sur moi, à la merci de celui qui l’encule. Cela dure juste quelques secondes, le temps qu’elle comprenne que « Oui », elle est sodomisée jusqu’à la garde. Moi je sens les couilles de l’homme, en l’occurrence ici Axelle, se frotter aux miennes.

Mais cela dure peu. La femme réagit comme pour mieux sentir ce qui l’occupe. Un mouvement, une ondulation, une respiration afin que sa chatte et son cul lui envoient des signaux et demandent de ne pas s’arrêter en si bon chemin.

Loane se soulève un peu, assez pour que nos regards se croisent :



Je questionne dans un murmure. Un battement de paupière me répond. Mais un signe qui disparaît bien vite, car Axelle bouge.

Elle bouge. Et la gentille copine, compatissante, dans son rôle de femme solidaire et coquine laisse poindre son ancienne nature.

Ah, la nature qui l’a affublée de ce mandrin dur que pendant des années elle s’est refusée à assumer. Mais maintenant, elle le considère comme un ami, un ami qui peut participer à la réalisation de ses envies. Et la croupe de Loane ne peut que lui donner envie.

Axelle l’enfile avec délice. Par-dessus la tête de Loane, je croise son regard. Il a des lueurs étranges, dérangeantes, comme un soupçon de folie, de vice, de perversité.

Elle bouge, question de bien faire sentir à la « gamine » qu’elle est entre de bonnes mains.

Elle bouge, bien à fond, lentement, et je sens le bâton sortir et revenir se frotter au mien.

Elle bouge et accélère.

Elle bouge et enfile.

Elle bouge et encule.


Je suis le témoin de ce que cela provoque chez notre proie. Pas de cris ! Pas de hurlement. Nul ne doute qu’après elle dira : « Ce n’est pas ma faute, ce sont les autres… », mais son visage la trahit. Que c’est beau, une femme dans cet état ! Des lèvres qui bougent, une bouche qui s’arrondit pour laisser passer des soupirs qui ne sont pas de douleur, mais de plaisir.

Moi aussi je veux ma part. Deux mandrins bousculent ce corps de jeunette pour en extirper des jouissances qu’elle n’imaginait pas.

Elle aussi bouge. Pendant quelques secondes, c’est un joyeux capharnaüm qui désorganise notre trio. Mais Axelle comme moi avons compris.

Oui, Loane se baise sur nous. Après tout, quitte à chevaucher, autant se prendre avec deux belles bites. Elle impose son rythme. Elle déclenche ses jouissances. Plusieurs… différentes… silencieuses… hurlantes…


On souffle un peu. On a enlevé nos capotes. Déjà je recommence à bander ! Cette Loane me fait un effet bœuf. Déjà elle a retrouvé sa moue de gamine, pourtant son visage est marqué par des stigmates de plaisir et au coin de ses lèvres des filets de salive la souillent délicieusement. J’ai hâte que nous fassions des tests. Mes partenaires apprécient que je me vide en eux, hommes ou femmes, car j’ai des bourses très généreuses et productives. Déjà j’imagine ses lèvres déformées par mon mandrin et la gorge suffoquer de tant de liqueur. Je serai le Balthasar de cet ange/démon et lui prouverai que ma liqueur est goûteuse, chargée des odeurs de l’Afrique, ruisselante dans une cascade sans fin qu’il lui faudra avaler pour ne pas s’étouffer.


Mon expérience me dit que nous la reverrons. Une fois la surprise passée avec la vraie identité d’Axelle, en général nos invitées et invités reviennent nous voir.

Elle voit que je rebande. Axelle aussi. Elles sourient, complices. Elles se penchent vers moi. Loane est la première. C’est bien.


Oui, prends ma tige dans ta petite paume. Tu es étonnée que ce dard soit entré si facilement en toi ? Mais ma chérie, c’est que ta fente en avait envie et qu’elle a fait ce qu’il fallait.

Oui, regarde comme mon gland est beau. Bien détaché, sans cette peau et ce filet que je trouve disgracieux chez les autres.

Oui, pose tes lèvres… Déguste… Tu as tout ton temps… Après tu vas goûter au mandrin d’Axelle…


Un téléphone sonne. C’est celui d’Axelle. Elle va le chercher dans le salon. Je l’entends dire allo puis un silence juste coupé par des « mumm » .

Elle revient vers nous. La main sur le téléphone, elle me fait un signe qu’elle accompagne de :



Loane sursaute et m’abandonne. Nous nous demandons ce qu’il veut, mais aussi pourquoi Axelle sourit béatement.



Je fais un signe d’interrogation, mais elle me fait signe d’écouter.



Je fais autant pour lui que pour Axelle.



Je fais un oui assez fort pour qu’il entende. Je vois déjà ma copine imaginer plein de choses. C’est vrai que cela pourrait être drôle. Jouer le couple « innocent » pour ces prédateurs. La surprise lorsque l’homme attirera Axelle pour la séduire…

Mais Axelle reprend.



Oh, là là je la sens venir.



Je vois le couple se faire des signes pendant que lui nous parle. Je vois la déception.



Loane commence à réagir. Elle comprend ce qu’Axelle prévoit. Elle fait un grand signe de la main pour dire « non » . Je me penche vers elle et lui susurre à l’oreille :



Son regard change. Elle aussi imagine. Mais je la pousse vers mon bâton. Ses lèvres s’ouvrent. Je m’y glisse.

On aura juste le temps de faire les tests.



Un silence et puis elle continue :



On devine sans peine les signes que doivent se faire l’homme et la femme. Pensez trois proies potentielles…



Elle raccroche. Loane se libère de ma queue.



Un silence. Et Axelle qui pose son téléphone et avance lui dit :



Et je me tourne pour me placer en levrette. Loane n’est pas au bout de ses découvertes…