n° 19308 | Fiche technique | 38986 caractères | 38986Temps de lecture estimé : 23 mn | 13/11/19 |
Résumé: Mya décide de m'offrir un massage par l'intermédiaire de son esthéticienne. | ||||
Critères: fh fépilée plage nudisme massage nopéné -lieuloisi | ||||
Auteur : Couple? Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : L'esthéticienne Chapitre 01 | Épisode suivant |
Luccio
C’était ce que ma femme me dit depuis environ un an, depuis qu’elle a découvert ce salon d’esthétique où elle alterne séances de massage et séances d’épilation.
Je garde cela à l’esprit, mais d’une part je n’ai pas franchement le temps d’aller me faire masser et d’autre part, comme beaucoup d’hommes, je rechigne à aller prendre du temps et de l’argent pour un moment de détente.
Au mois de juillet, lorsque mon planning s’allège, je me dis que ça ne me ferait pas de mal d’aller me relaxer un peu. Je demande donc à ma femme de me prendre un rendez-vous chez son esthéticienne préférée.
Rendez-vous pris, j’attends le jour de la séance durant laquelle est prévu un massage californien, ce qui ne signifie que du bon, car c’est un massage des pieds à la tête et je m’en réjouis. Le jour dit, au moment de partir, ma femme me dit avec un ton que je lui connais bien : mi-inquiétude, mi-plaisanterie,
Et elle rajoute sur un ton sérieux :
La question ne m’étonne guère, car elle est d’un naturel inquiet alors que j’ai toujours été fidèle. J’ai appris avec les années à répondre à ses interro-négations afin de ne pas créer la polémique quant à une interprétation de ma réponse.
Je ne crois pas le savoir et sans répondre je m’en vais à mon rendez-vous. Sur le chemin, je repense à ce que je sais et finalement j’en sais et ce que je sais, je le sais de ma femme : je sais qu’elle est pas mal, je sais qu’elle est métisse, je sais qu’elle fait du naturisme (comme nous parfois), je sais qu’elle est épilée intégralement (comme je l’aimerais parfois).
Pas mal, métisse, naturiste, épilée, tout cela ne fait pas d’une personne une chaudasse. Sait-elle une chose qu’elle ne m’aurait pas dite ?
J’arrive au centre, je suis accueilli par la fameuse Nathalie, elle est effectivement pas mal, une métisse avec un visage éclairé et souriant, une poitrine généreuse maintenue par un soutien-gorge sous sa tunique avec deux boutons défaits.
Elle me demande d’entrer et me propose de me déshabiller, de prendre la serviette puis de m’allonger sur le ventre.
Je me mets en caleçon, je pose la serviette sur la table et je m’allonge dessus. Un peu surmené en ce moment, je commence déjà à m’assoupir. Elle entre et me signale que la serviette est faite pour mettre autour de la taille, que je peux donc retirer mon caleçon, ce qui évitera de le salir avec l’huile. Sur ce, elle ressort, j’ôte mon caleçon, j’enroule la serviette autour de ma taille, serrée avec un nœud sur le côté et me réinstalle.
Me voilà donc totalement nu avec un carré de tissu posé sur mes fesses prêt à me relaxer et me laisser aller. Nathalie entre de nouveau,
Le massage commence par le dos, suivent les bras, je recommence à passer dans un demi-sommeil. Elle passe aux pieds, j’essaie de suivre ses mains sur mon corps mais les mouvements sont très enveloppants. Les cuisses, elle remonte haut, je perds le fil. Les fesses, sous la serviette, je m’abandonne. Elle écarte mes cuisses et va jusqu’au périnée. Elle masse lentement et profondément cette zone si souvent oubliée et tellement tendue.
Je suis en érection étant donné ce qu’elle fait, elle sait l’effet qu’elle produit, je décide donc de ne pas être gêné.
Après ce traitement bien agréable, elle me demande de me mettre sur le dos.
Je me tourne, nos regards se croisent, j’essaie d’ajuster la serviette mais elle est clairement déformée. Je lui dis :
Je lui tends la serviette et m’allonge sur le dos.
Elle attaque par le torse, puis l’abdomen. Elle prend son temps, elle s’y prend tellement bien que mon érection disparaît et tout mon corps se relâche. Elle descend ensuite le long des cuisses en effleurant légèrement mes parties intimes mais sans s’en occuper, elle passe par les jambes et termine par les orteils. Mon corps est un chamallow, je suis bien.
Elle me glisse à l’oreille :
Je ne réponds pas, je reste paisible dans la pénombre. Je finis par émerger, je me lève, m’habille et sors de la pièce. Elle m’attend au comptoir avec un large sourire.
Je m’étonne intérieurement d’une part que ma femme accepte cela de quelqu’un d’autre que moi et encore plus qu’elle m’ait offert ce type de massage, elle qui a une tendance très claire à la jalousie.
Je la remercie encore pour le massage et je rentre à la maison avec l’esprit qui vagabonde autour de cette main qui est venue masser mon entrejambe et qui masse aussi celle de ma femme.
Mya
Je ne sais pas ce qui m’a pris de lui offrir ce massage. Je ne sais pas ce qu’elle va lui faire mais si c’est du même genre que pour moi, il ne va pas être déçu et moi maintenant je suis morte de jalousie. Quelle conne !
J’étais tellement émoustillée la dernière fois que je n’ai pas pu m’empêcher de vouloir lui en faire profiter et maintenant je regrette. Pourtant les femmes ce n’est pas mon truc. Mais elle a une telle manière que même le massage de mon sexe ne semblait pas dépasser les bornes, et celui de mon petit trou…
Le soir lorsque je rentre à la maison, il est déjà arrivé. Je m’empresse de lui demander comment c’était. Parfait et très détendant, c’est tout ce à quoi j’ai droit comme réponse. Il me remercie pour le cadeau. Je ne tiens plus.
Merde je suis piégée, je ne peux pas en savoir plus sans me dévoiler, l’a-t-il fait exprès ?
Le sujet est clos, je reste dans le doute. Pourquoi ai-je fait ça ? Pourquoi est-ce que je me laisse masser comme ça par quelqu’un d’autre que mon mari ? Le soir, je le sens très réceptif, dans le même état que moi la dernière fois… Nous faisons l’amour, c’est très sensuel.
Le vendredi arrive enfin. J’entre dans le salon d’esthétique. Elle est là, ravissante comme toujours. Elle me fait entrer dans la salle. Je me mets en sous-vêtements, m’installe sur la table. Quelques minutes plus tard, elle entre à son tour et commence l’épilation : les aisselles, les jambes, arrivée au maillot elle me dit :
L’ordre intimé avec douceur est sans appel. En me disant que nous n’avons pas prévu d’aller sous peu à une plage naturiste, je retire le bas et conserve les jambes serrées.
Elle étale la cire sur le mont de vénus, me préviens que ce sera douloureux car c’est la première fois que ces poils sont retirés. C’est le cas…
Elle pose ensuite une main sur ma fente pour la protéger de la cire, cela m’électrise, douleur…
Je commence à regretter l’idée. Elle me demande d’écarter les cuisses pour pouvoir continuer. Cire, douleur. Pour penser à autre chose, je lui dis :
Elle me fait plier les genoux, pose la cire chaude tout près de mon anus, électrifiée, cire, douleur.
Ça brûle tellement, que j’écarte les cuisses sans rien dire. La position est totalement indécente, je suis complètement ouverte Elle m’étale délicatement la crème. Je me laisse aller, la caresse est délicate, elle va de mon pubis à mon anus, frotte mes lèvres et mon clitoris. Je commence à me sentir excitée, elle s’arrête.
Je me lève nue et me place devant une glace en pied. Je vois cette femme que je suis, grande, mince, petits seins et ce sexe gonflé si bien mis en valeur par l’absence de poil.
Nathalie se place derrière moi, mets une main sur mon ventre et dit :
La caresse est brève mais très perturbante. Je rejoins sa main et caresse mes grandes lèvres. C’est exquis de douceur, je commence à mouiller.
Elle retire sa main et je retourne me rhabiller, troublée par ma cette sensation d’exhibition devant une femme et par les mains de Nathalie.
Moi
Aujourd’hui, c’est le jour de vérité. Mya est allé voir Nathalie. J’espère qu’elle a pensé à ce que je lui ai demandé.
Lorsque je rentre le soir, je ne décèle rien de particulier, la discussion va bon train, mais rien sur l’esthéticienne.
Après une soirée très tranquille, je vais me coucher en premier, j’éteins la lumière, Mya se glisse quelques minutes plus tard sous les draps. Nous nous enlaçons amoureusement. Je glisse ma main sous sa nuisette, je remonte entre ses cuisses pour être enfin fixé et retouche ses lèvres et j’ai le plaisir de constater l’absence totale de pilosité, je remonte sur son mont de vénus : idem.
Pour ne pas la brusquer, je laisse la lumière éteinte.
Je fais glisser la nuisette au-dessus de sa tête, je lui caresse la poitrine, ses tétons sont déjà durs. Je repose ma main sur son sexe et commence à jouer avec son clito. C’est magnifique d’y avoir accès si facilement. Je sens Mya tout excitée, elle bouge plus que d’habitude sous mes doigts.
À son tour, elle me déshabille et attrape mon sexe pour le mettre dans sa bouche.
Je m’allonge sur le dos, elle se place au-dessus de moi. Je peux enfin goûter son abricot nature. Elle gobe mon sexe et me suce fort. Je suis ravi que sa nouvelle épilation lui fasse autant d’effet qu’à moi. La pression commence à monter mais elle n’est pas décidée à s’arrêter. Elle me suce de plus en plus profondément.
Quand je la sens bien disposée, j’allume la lampe de chevet.
Elle me gratifie d’un : « Salaud, faut toujours que tu mates, hein ? »
Ce que je confirme. Pas un poil ! Ses lèvres roses bien en valeur, son petit trou légèrement dilaté, j’adore ! Je jouis très rapidement après cette découverte et elle me suit quasi immédiatement.
Je la remercie pour ce cadeau et lui dit que ça me plaît beaucoup et que j’espère qu’elle va rester comme ça.
Elle
Les semaines et les mois passent.
J’ai pris pour habitude de me faire épiler intégralement car la sensation lorsque l’on fait l’amour est vraiment sensationnelle. Luc aime me voir ainsi et j’aime quand il me regarde.
Je suis chez l’esthéticienne, je m’entends de mieux en mieux avec elle et la conversation va bon train. Nathalie me demande :
Tout à coup tout va trop vite. Je n’étais pas préparée à ça. Elle est naturiste et sait que j’en fais aussi, donc aller à la plage signifie potentiellement pas de maillot, or je ne suis pas vraiment prête à me montrer toute nue. Nous sommes vendredi, donc je ne peux pas jouer le coup des règles car elle voit bien que je ne les ai pas. Je suis coincée. Je réponds :
Tu parles, évidemment qu’il sera d’accord… voir la belle Nathalie à poil, il ne raterait ça pour rien au monde… J’ai toujours le choix de prétexter qu’il ne veut pas et l’affaire sera close, mais je crois que j’ai envie de voir moi aussi Nathalie. De plus ce sera une bonne occasion de terminer de m’assumer telle que je suis.
En rentrant à la maison, j’annonce donc à Luc que demain nous sommes invités à aller à la mer avec Nathalie et son mari. Sans être complètement transcendé, il accepte volontiers. J’aurais pensé qu’il sauterait de joie, mais non…
Moi
J’ai bien joué la première manche, elle était presque étonnée que ça ne me fasse ni chaud ni froid. Je pense qu’elle ne viendra pas me chercher tout de suite avec sa jalousie. J’attendais ce moment avec impatience et je commençais à penser qu’il n’arriverait jamais.
Je l’entends appeler sa nouvelle copine pour confirmer le rendez-vous à 10 h sur une plage que nous ne connaissons pas.
Le soir je ratiboise tout ce que j’ai de trop en poil, mais Mya veut que j’en conserve sur le pubis. Quand elle arrive dans la salle de bain, je termine juste. Elle me regarde, me dévore des yeux, se penche en avant et me suce sans aucun commentaire, j’adore quand elle fait ça. Une fois que je suis bien dur, je la déshabille et la penche en avant sur le lavabo. Nous nous regardons dans le miroir pendant que je la prends en levrette, ça aussi j’adore. Elle bouge bien.
Nous y allons bon train. Elle s ‘assied sur le lavabo, les cuisses complètement écartées, je lui lèche le clitoris en glissant un doigt à l’entrée de son vagin. Elle jouit fort après quelques minutes de ce traitement. Dès qu’elle est repue, je me lève et la pénètre directement, je m’accroche à sa poitrine gonflée ce qui la fait revenir à nouveau.
Nous nous couchons fatigués, prêts pour demain.
Nous arrivons à la plage vers dix heures soit 30 min de retard par rapport au rendez-vous initial. Il n’y a pas grand monde. Mya porte une légère robe d’été, je vois qu’elle ne porte pas de soutien-gorge et je me laisse la surprise de voir si elle porte une culotte.
Le trajet en voiture a été plutôt silencieux. Les quelques échanges ont tourné autour du fait que nous nous demandions si le mari de Nathalie était sympa et sur le fait que Mya allait se montrer sans aucun poil pour la première fois. J’avais tenté de la rassurer en lui disant que de toute façon elle était la plus belle et que de toute façon, ça ne choquerait personne, ni Nathalie qui avait fait le travail, ni son mec car les hommes sont plutôt ravis de voir une femme épilée ni moi qui suis très fier de ma femme qui assume enfin complètement sa nudité.
En descendant le petit escalier, j’aperçois Nathalie au bout de la plage. Elle nous fait un signe. Alors que nous nous approchons, Julien et elle se lèvent pour nous accueillir.
Elle est effectivement magnifique, elle a le bronzage intégral, un grand sourire sur le visage, sa poitrine est avantageuse mais ses seins semblent tenir trop aisément pour être les siens, ses fesses bien rebondies et son sexe, de ce que je peux en voir est totalement épilé ce qui, soit dit en passant, n’a rien d’étonnant mais j’essaie de ne pas trop m’attarder. Elle pose une main sur l’épaule de Mya et lui fait la bise. Je serre la main de Julien. Il est un peu plus grand que moi, les cheveux bruns, les yeux marron, et le sourire franc, il est plutôt musclé, son sexe a de bonnes proportions. Puis je fais la bise à Nathalie qui me dit qu’elle est ravie que nous ayons pu venir pendant que Mya fait la bise à Julien.
Nous posons nos affaires et nos serviettes à côté d’eux. Mya s’installe à côté de Nath et moi à côté de Mya. Cette dernière, une fois assise sur sa serviette, passe sa robe par-dessus sa tête. Du coin de l’œil, j’observe nos nouveaux amis et ils ne ratent pas une miette de ce mini effeuillage. Je suis un peu déçu car elle a gardé un petit string assorti à sa robe. Je suppose que c’est pour ne pas paraître délurée en plus d’être naturiste. Toujours assise, elle allonge les jambes et fait glisser le morceau de tissu jusqu’à ses pieds.
Pour ma part, je me déshabille en essayant d’être le plus naturel possible. Je me mets debout, j’ôte ma chemisette puis mon bermuda et mon caleçon.
Commence alors le manège de la crème solaire. Dans mes fantasmes, j’avais imaginé nos nouveaux amis nous mettre de la crème respectivement mais évidemment il faut être réaliste. Tout se passe le plus banalement du monde, je me passe de la crème, Mya se passe de la crème et nous nous passons de la crème dans le dos… bref, peu de réjouissance.
Après quelques échanges banals entre personnes qui ne se connaissent pas ou si peu, Julien part se promener sur la plage. Nathalie propose alors d’aller se baigner. Mya refuse en disant qu’elle n’a pas assez chaud, j’accepte car je n’aime pas particulièrement faire la crêpe sur ma serviette.
Mya s’allonge sur le ventre, les jambes bien serrées et nous nous dirigeons vers la mer.
L’eau est plutôt bonne et nous y entrons facilement. Après avoir fait quelques brasses côte à côte, nous retournons où nous avons pied. Tout en barbotant face à face, nous discutons de tout et de rien. J’essaie de ne pas m’attarder sur sa poitrine qui apparaît lorsqu’elle se redresse mais lorsqu’elle fait la planche (provocation ?) j’ai tout le loisir de détailler ses seins volumineux et fermes ainsi que son abricot dont on ne voit que les grandes lèvres fermées (dommage, mais tant mieux car il faut que je calme mon esprit maintenant); comme je me sens à l’aise, je lui dis :
La conversation part sur un autre sujet. Nous sommes rafraîchis et nous remontons sur la plage. Nous avons dû rester un moment car Mya est sur le dos, les jambes relâchées, elle a l’air endormie. Julien lui est assis sur sa serviette avec son appareil photo réflexe à la main. Quand il nous voit sortir de l’eau, il le dirige vers nous, et nous met en joue. Nath lui fait un signe de la main, moi aussi mais je me sens extrêmement stupide de me faire prendre en photo à poil par un type que je connais à peine. Mya commence à poser un peu, puis surloue : elle est marrante. Elle s’appuie sur moi alors je me prends au jeu et fais semblant moi aussi. Elle suppliante, moi dédaigneux, j’offre une rose, elle jette du sable, c’est du vrai roman-photo avec un Julien qui ne lâche pas son appareil.
Après quelques minutes, nous revenons aux serviettes en riant. Mya se réveille, resserre un peu ses jambes laissées à l’abandon et se redresse. Elle voit alors l’appareil photo et demande à Julien s’il en fait depuis longtemps car elle est elle-même amatrice. Ils partent sur le sujet alors que je m’allonge sur le dos pour me laisser sécher. Ils parlent technique pendant un long moment et je tourne finalement la tête pour les regarder. Ils sont assis en tailleur l’un à côté de l’autre, l’appareil photo entre eux qu’ils décortiquent au niveau des réglages manuels et automatiques. Tout se passe sur le petit écran et dans le viseur. Ils sont donc proches se passant régulièrement l’objet. Julien doit avoir une très belle vue sur le sexe de Mya et je me demande si elle s’en rend compte. Si c’est le cas, ça ne la dérange vraisemblablement pas. Elle aussi doit alors profiter de la vue. J’essaie de ne pas trop y penser pour ne pas m’exciter.
Le soleil monte et je commence à sentir le soleil mes épaules chauffer. Je me remets donc de la crème sur tout le corps et demande à Mya si elle peut me mettre de la crème dans le dos. Elle me répond :
Évidemment je suis aux anges mais je ne le montre pas. Je regarde Nathalie.
Elle me passe la crème dans le dos, des épaules jusqu’au-dessus des fesses mais aucun geste sensuel particulier de sa part. Décidément, je me fais des films pour rien. Quand elle a terminé, elle s’exclame :
Nathalie se place derrière elle et lui enduit le dos, le haut des fesses, les épaules, les bras et avant-bras et s’arrête au poignet. Mya toujours en tailleur se laisse faire.
Mya s’exécute et Nathalie toujours derrière elle passe ses mains pleines de crème sur ses cuisses et ses mollets. La situation est étrange mais Nathalie fait ça tellement naturellement que Mya se laisse faire de bonne grâce.
Puis elle continue son chemin, elle remonte sur le ventre et sur la poitrine, sans vraiment s’attarder mais le geste de plus est là. Alors que je pense que c’est fini, elle redescend tranquillement vers le sexe de Mya et y applique la crème toujours sans s’attarder et en disant : « Maintenant qu’elle n’a plus de poils, il ne faudrait pas que ta minette prenne un coup de soleil ».
Mya qui devait être détendue des manœuvres précédentes ne semble pas s’offusquer et répond même : « Tu as raison, il faut que j’y fasse attention. »
Je suis carrément interloqué. J’en voulais du geste en plus et bien me voilà servi et surtout ma femme qui trouve ça normal, ça c’est fun.
Nathalie demande à Julien s’il veut aussi de la crème. Il répond positivement et elle lui administre le même traitement. Arrivée à l’entre jambe, je vois sa main plonger deux ou trois fois. D’où je suis, je ne vois pas la réaction physique de Julien mais je vois bien que Mya n’en perd pas une miette. Décidément, que de surprises. Logiquement c’est mon tour de crémer Nathalie et voilà mon cerveau qui s’emballe mais elle se débrouille toute seule sauf pour le dos où je lui applique moi-même la crème.
Ils continuent donc un moment à étudier leur appareil photo, il lui explique les fonctions macro et zoom en fonction de l’objectif pendant que Nathalie et moi sommes allongés chacun à lire à côté de notre conjoint.
À midi, nous installons les serviettes en rond. Après concertation sur qui veut du soleil, Mya et Nathalie se mettent à côté, face au soleil, Julien et moi dos au soleil.
Ils sortent le punch bien frais de la glacière, nous sortons les gâteaux apéro et l’incontournable saucisson. Nous trinquons à notre récente rencontre.
Après deux verres, l’ambiance est nettement relâchée. Mya qui avait les jambes serrées au départ de l’apéritif (elle n’avait donc dû se rendre compte de rien pendant la séance appareil photo) s’est maintenant mise en tailleur et même si ses pieds cachent la partie la plus intime de son sexe, on voit bien le reste.
Tout à coup Nathalie demande à Mya :
Nathalie qui était déjà en tailleur, plie les genoux, s’appuie sur les coudes, bascule le bassin et écarte largement les cuisses. Julien et moi avons alors une vue imprenable sur son sexe et son anus totalement glabre. Son sexe est bien différent de celui de Mya car ses grandes lèvres recouvrent sa vulve et ne laissent pas entrevoir son clitoris. J’essaie de ne pas fixer mais la tentation est grande. Elle s’exclame alors :
Sans paraître gênée, sur une plage, à un mètre cinquante de deux hommes dont un qu’elle ne connaît que depuis quelques heures, elle qui jusqu’à il y a peu n’aimait pas être « matée » même par son mari, Mya s’appuie sur les coudes, plie les genoux bascule le bassin et écarte à son tour largement les cuisses. Elle m’adresse un sourire à travers lequel rien ne laisse transparaître de ce qu’elle pense à part la sincérité du sourire lui-même.
La vision est carrément extraordinaire. Deux femmes ravissantes exhibant leur sexe et leur fleur de rose sous prétexte de bronzage, j’ai le corps qui commence à bouillir mais je me concentre pour ne pas avoir d’érection car tout semble sans sous-entendu donc je ne veux pas casser la scène. Le sexe de Julien est légèrement gonflé mais rien de transgressif. Nathalie dit alors :
Elle s’interrompt, consciente de l’ambiguïté de la phrase.
Tout le monde rit, et nous y allons tous de notre petite phrase. Je suis étonnée que tout soit aussi détendu et que malgré ces exhibitions, la situation ne vire pas de bord.
Elle se redresse et place ses doigts sur son minou clos et écarte ses lèvres et laisse apparaître son clitoris et ses petites lèvres.
Elle écarte ces dernières et décalotte son clitoris.
Mya qui regardait faire sa copine l’imite. Les voilà toutes les deux en train de se faire chauffer de l’intérieur et si je ne m’abuse leurs petites chattes semblent bien humides, en tout cas moi aussi je sens une chaleur dans le bas-ventre et je gonfle légèrement.
La position n’étant pas très confortable, elles se réinstallent sur les coudes.
Julien fouille alors dans son sac et sort l’appareil photo. Il interroge Mya :
Malgré sa réponse, Mya ne resserre pourtant pas les cuisses. Je ne peux m’empêcher d’ajouter :
Elle lève les yeux au ciel tout en souriant. Julien prend quelques clichés. Certains des deux filles, certains de Nath seule, certains de Mya seule. Cependant il a la délicatesse de ne pas faire durer le shooting, surtout il ne demande rien et laisse la conversation se faire.
Après l’apéro vient le déjeuner qui se passe pour le mieux. Nous apprenons à nous connaître et nous rions de bon cœur.
Après le repas encore un peu arrosé, séance de crémage personnel pour tout le monde, sauf le dos. Nous allons ensuite nous baigner pour nous rafraîchir. Nous batifolons tous les quatre dans l’eau quand je propose un combat de chevalier. Tout le monde est partant. Mya monte sur mes épaules, Nath sur celles de Julien. Je sens la petite chatte toute chaude dans mon cou et c’est avec cette sensation bien agréable que nous commençons la bataille. On se tire, on se pousse, chacun y met de la vigueur. Les filles tombent chacune à leur tour. Quand Mya tombe, je pose ma main sur mon cou pour constater que l’humidité que je ressens n’est pas de l’eau. Ce petit jeu semble lui plaire au-delà des énormes fous rires qu’il nous déclenche.
Alors que j’aide Mya à remonter sur mes épaules en me mettant sous l’eau, j’en profite pour glisser discrètement un doigt sur son intimité. Elle s’enfonce sur mon doigt mais comme je suis sous l’eau, je ne peux pas voir sa réaction. Elle se retire prestement pour me chevaucher de nouveau.
À un moment, Nath tombe en avant juste devant moi. Plutôt que de se relever, elle fait mine de passer entre mes jambes, se redresse juste sous moi ce qui a pour effet de me déséquilibrer en avant. Mya suit le mouvement et plonge la tête sous l’eau en tombant. Quand elle relâche l’étreinte de ses jambes, je remonte à la surface et la trouve toute riante dans les bras de Julien qui a dû la récupérer au vol.
J’en profite pour proposer de changer de cavalière. Tout le monde est partant, Julien s’assoit au fond de l’eau, Mya s’assoit à califourchon sur ses épaules, elle me regarde avec le rouge aux joues. Julien a posé ses mains sur ses genoux pour bien la tenir. C’est la première fois qu’elle est aussi proche d’un autre homme que moi. Jalousie, excitation, les deux se mêlent. Ça tourne dans ma tête. Pour Mya je ne sais pas mais en tout cas elle a l’air bien heureuse là où elle est.
À mon tour, je plonge. Nathalie pose ses mains sur mes épaules, elle s’appuie pour sauter et vient se caler sur mon cou et je l’attrape par les cuisses.
Pas besoin de me poser mille questions sur l’état d’excitation de Nathalie, étant donné la chaleur et l’humidité visqueuse que je ressens entre son entrejambe et moi.
Dès sa première chute, je commence mon exploration en essayant de la rattraper puis en l’aidant à remonter. Le jeu se poursuit, une caresse sur la poitrine, un agrippage de fesse, un doigt glissé sur son sexe. Elle se trémousse, elle laisse elle aussi traîner ses mains sur mon dos, sur mon sexe que j’essaie de laisser bas mais c’est peine perdue… Quoi de plus excitant que de voir deux femmes se violenter pour le jeu ? C’est un peu macho mais on ne peut plus sexy.
De son côté, il semble que Mya ne soit pas en reste. Je ne vois rien mais je peux deviner des contacts un peu plus longs que ce qu’ils devraient être.
Alors que Mya vient de tomber et que Nathalie est toujours sur mes épaules, elle se rapproche de moi pour m’embrasser mais entre d’abord en contact avec mon sexe bien tendu.
Sans que j’aie le temps de répondre à cette question piège, je glisse un doigt dans sa chatte trempée et lui retourne la question. Sans qu’elle-même ait le temps de répondre, Nathalie enchaîne :
Elle devient rouge, tout le monde rit, je jette Nath par-dessus bord et serre Mya dans mes bras. Depuis une heure que nous jouons dans l’eau, les filles décident de rentrer se sécher alors que nous restons pour nous calmer un peu. Nous discutons de tout et de rien. À un moment, Julien me demande :
Je propose de remonter sur la plage. La fin de journée se passe tranquillement alternant baignades et jeux de plage avec concours de château de sable entre les hommes et les femmes. Quand le soleil décline, nous nous embrassons chaleureusement en nous promettant de remettre ça bientôt.