n° 19313 | Fiche technique | 17556 caractères | 17556Temps de lecture estimé : 10 mn | 15/11/19 corrigé 05/06/21 |
Résumé: Jennifer connaît son premier jour dans son nouveau travail alors que Sébastien cherche des réponses. | ||||
Critères: fh jeunes travail amour miroir -occasion | ||||
Auteur : AuteurSecret |
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Résumé de l’épisode précédent :
Au lendemain d’une journée shopping et détente avec Jennifer, Sébastien s’était réveillé seul dans son studio alors que celle-ci est partie pour son premier jour de travail…
Après avoir été dérangé par ce coup de téléphone commercial, tout ce dont je me souviens, c’est que je me suis laissé tomber sur mon lit… Apparemment, c’était il y a deux heures… J’ai dû me rendormir, ça me ressemblerait bien en tout cas !
Mon deuxième réveil n’est guère différent du premier, mon cerveau est rapidement assailli de pensées destinées à Jennifer, mais pas que ! En effet, je n’ai pas oublié qu’il faut que j’élucide le mystère du SMS que m’a envoyé Carla à propos d’une supposée « curiosité » d’Alicia à mon sujet. Ni une ni deux, je rédige un SMS à son intention :
« Salut, Carla, dis-moi, tu comptes développer ton SMS d’hier soir ? »
Quelques secondes plus tard, mon smartphone vibre, je ne suis pas étonné, Carla étant le genre de fille à être collée à son téléphone h/24…
« Je m’attendais à ce que tu m’en reparles ! Tu en as mis du temps, LOL. »
« L’attente fait partie du plaisir, tu le sais bien ! »
« Donc je dois te faire attendre à propos de mon SMS, c’est ça ? »
« Non non ! Ça ne marche pas dans ce sens-là ma belle… Alors, quand tu dis qu’Alicia est curieuse… ? »
« Je confirme, Alicia est une fille curieuse. »
« Allez, te fais pas prier. »
« Oh, tu te doutes bien, les questions habituelles quand une fille est curieuse à propos d’un jeune homme. »
« Célibataire ? Mec bien ? A-t-il parlé de moi ? Je pense que je n’ai pas besoin de te faire un dessin, Seb LOL. »
Ce message a pour effet d’accélérer légèrement mon rythme cardiaque et de me donner une bouffée d’adrénaline dans le ventre. Il semble clair que j’ai fait bonne impression auprès d’Alicia… Et ce serait mentir que de dire que ce n’est pas réciproque.
Le téléphone s’agite de nouveau sur le canapé-lit…
« Tu ne veux pas savoir si je t’ai bien vendu ? »
« Ah désolé, j’étais dans mes pensées. Mais je connais ma Carla, je sais que tu m’as même survendu ! »
« Exactement ! Alors maintenant, petit tuyau… Elle attend. »
« Euh, elle attend quoi ? »
« Que tu la contactes, gros bêta ! »
« Ah oui je suis con LOL. Merci à toi pour le soutien, ma belle, à bientôt ! »
Carla se contente de répondre par une émoticône souriante signifiant la fin de la conversation pour le moment. Me revoilà seul avec mes pensées voguant de Jennifer à Alicia et d’Alicia à Jennifer… Comme tout homme digne de ce nom qui se retrouve face à ses responsabilités et qui doit prendre une décision, je ne fais rien ! Les heures suivantes sont un enchaînement de séries TV et autres jeux vidéo.
C’est aux alentours de 21 heures que mon téléphone sonne alors que j’ai le nez dans mon kebab, et une fois n’est pas coutume, c’est bien un appel qui retentit et non un SMS… Un numéro que je ne connais pas, un numéro de fixe…
Un sourire incontrôlable s’affiche sur mon visage en reconnaissant la voix de Jennifer.
Je sens une tension dans sa voix, presque de la colère mêlée à de l’inquiétude…
Je lui coupe la parole…
Jenn commence à se lancer dans une vague de remerciements et de mots gentils, mais j’entends le barman qui semble l’appeler au secours, probablement dépassé par l’affluence de l’Happy Hour…
Jenn raccroche me laissant seul face à ce kebab que je vais dévorer… À défaut de dévorer autre chose !
Cependant, posé un verre à la main avec de la musique dans mon canapé-lit, je ne vois pas le temps passer et l’heure de partir retrouver Jenn au bar arrive à grande vitesse. Je file donc me préparer dans la salle de bains, pas vraiment le temps de prendre une douche, je renifle mon corps… Ça fera l’affaire… De toute façon, personne ne mettra le nez dans mon boxer ce soir a priori.
Après un quart d’heure de marche, je me retrouve devant le bar voulu. Je ne me mêle pas à la foule, mais je n’ai nullement besoin de tendre l’oreille pour entendre un groupe de trois mecs visiblement bien imbibés, échanger leurs impressions sur la soirée… et sur la nouvelle serveuse. Les termes sont loin d’être élégants et ne laissent aucune place à l’ambiguïté. Étrangement, alors que je sais bien que beaucoup d’hommes s’expriment comme ça, surtout dans leur état, les entendre parler de Jennifer ainsi me fait bouillir.
Je me sens serrer le poing et les dents et commencer à m’avancer pour faire une connerie quand tout à coup, la belle brune sort de l’établissement, portant un pantalon noir moulant et un superbe chemisier blanc ouvert de deux boutons. Je la vois me chercher du regard. Je lève discrètement la main alors que le groupe de courtisans commençait à s’approcher d’elle. La serveuse me repère alors et m’offre un grand et magnifique sourire, puis accélère le pas pour me rejoindre esquivant au passage les trois nigauds qui essayent de l’appeler.
Jenn ne leur accorde pas un regard et s’approche de moi. Elle ouvre grand ses bras et m’enlace à ma grande surprise puis je l’entends murmurer à mon oreille :
Jennifer relâche son étreinte et pose une main derrière mon cou pour m’attirer à elle et me déposer un tendre baiser qui me prend totalement au dépourvu. Les langues restent sagement à leur place, mais le baiser dure bien deux à trois secondes pendant lesquelles mon ventre et mon cerveau sont en ébullition au contact de ses lèvres charnues et de sa main qui caresse ma peau… La belle met fin au baiser et recule légèrement tout en me souriant, tel un ange, sans lâcher mes yeux de son regard brun. Je suis comme sonné alors que les trois fans de Jennifer quittent les lieux dans une déception non dissimulée.
Sans se retourner, la serveuse me demande discrètement s’ils sont partis. Je les fixe du regard et vois qu’ils ne comptent pas se retourner.
Ma voix sort terriblement fébrile, je ne peux cacher mon trouble d’autant que Jenn, qui s’était collée à moi pour son baiser, n’a pas pu louper la réaction de mon entrejambe avant de se reculer. Elle rit légèrement.
Et tout dur, me dis-je en moi-même…
Jenn sourit.
Son sourire me fait fondre, mais ça, je dois absolument le cacher…
Sur le chemin du retour, je prends bien soin d’éviter le sujet du baiser et me contente de questionner Jenn sur sa première journée de boulot qui visiblement s’est bien passée… Si on met de côté les clients un peu trop chargés en testostérone et en bibine.
Arrivée au studio, Jennifer ne perd pas une seconde pour filer dans la salle de bains. Pendant les quelques minutes que dure sa douche, mon esprit ne peut se défaire de ce baiser échangé. Je sais que c’était du fake et que c’était un cas de force majeure, mais son impact sur mon esprit et sur mon cœur est bien réel… Tout comme l’érection qu’il me procure encore ! Et pour ne rien arranger, je vois Jennifer sortir de la salle de bains seulement enveloppée dans une serviette.
Je ne peux m’empêcher de la détailler de la tête aux pieds, mais mon regard est irrémédiablement attiré par les gouttes d’eau qui perlent de la pointe de ses cheveux jusqu’à la naissance de ses lourds et imposants seins que je rêve de caresser, de soupeser, d’embrasser, de…
Oh purée, vu la chaleur que je ressens dans mes joues, je peux déjà deviner que je suis à nouveau rouge comme une écrevisse.
Jennifer se sert un verre de jus d’orange dans le mini frigo, me laissant admirer ses longues jambes et le début de ses bonnes cuisses sous sa serviette, il ne manquait plus que ça, j’adore les femmes qui ont de vraies cuisses et non des fines baguettes…
Jenn agite ses doigts autour de son verre, je me lève et m’approche un tout petit peu d’elle…
Jenn sourit presque timidement. Ma main se lève sans que je ne puisse la contrôler et vient se poser autour de son bras.
Jenn fait une petite moue…
Jennifer me regarde avec intensité, droit dans les yeux, désormais elle semble aussi perdue que moi dans ses pensées… Puis en une fraction de seconde, elle se reprend et me lance un sourire moqueur.
Et la voilà qui pose son verre et retourne vers la salle de bains me laissant planté là comme les crétins devant le bar !
Mon cœur s’emballe à nouveau, et mon entrejambe a toutes les peines du monde à se calmer ce soir. Je me dirige à mon tour vers la salle de bains et me stationne dans l’embrasure de la porte, je peux admirer Jennifer face au miroir en train de se coiffer, toujours couverte par sa seule serviette. Cette fois, je ne peux me défiler, je ne peux lutter contre mon instinct, j’entre dans la salle de bains, suivi du regard par Jennifer. Je me place derrière elle et pose mes mains sur ses hanches tout en la regardant dans le miroir, mes mains passent désormais sur son ventre et je colle mon bassin à son fessier ferme et rebondi, Jennifer sent mon trouble, mon sexe dressé contre ses fesses, elle ferme les yeux et soupire légèrement…
J’approche ma bouche de sa nuque pour lui déposer un baiser, une de mes mains caresse son bras pris de frissons, à l’instar de son cou lorsque mes lèvres touchent sa peau… Mon autre main remonte de son ventre à sa lourde poitrine que je peux presque enfin sentir, juste protégée par la serviette… Mais le poids de ses globes, lui, semble bel et bien conforme à ce que j’attendais… Si je pouvais, si j’osais les prendre fermement en main pour confirmer cette impression…
Tant pis, je me lance ! Alors que ma bouche prend soin de sa nuque fraîche et parfumée, ma main décide de défaire le nœud de sa serviette lentement… Je vois dans le miroir que Jenn ouvre à nouveau les yeux, son regard ne trompe pas, le désir, le trouble, la fébrilité l’assaillent… Soudain, je sens une de ses mains passer dans son dos et palper ma bosse à travers mon jean, mon ventre se tord… Et puis… et puis la serviette tombe, le voilà enfin, le corps de Jenn offert à mon regard curieux et affamé, Jenn nous regarde elle aussi… Mes yeux ne peuvent la quitter…
Ses seins sont là, nus, devant moi, imposants, massifs, très légèrement tombants, juste ce qu’il faut… Ses aréoles sont beaucoup plus foncées que le reste de sa peau, presque noires alors que le reste de son corps est tout sauf métissé ! Et ses tétons… Je ne les touche pas encore qu’ils pointent déjà terriblement… Ils m’appellent, mes mains remontent doucement son ventre pour se poser sous ses deux globes laiteux, objets de tout mon désir… Et enfin, je les touche, je les soupèse, je les palpe délicatement, mais fermement, Jenn sourit et souffle légèrement, mes doigts atteignent désormais ses mamelons que je frôle avant de venir titiller ses tétons déjà dressés longuement et durs comme du béton… Je les pince légèrement arrachant un gémissement à Jenn qui se mord les lèvres… Son visage est aussi magnifique que sa poitrine et que le reste de son corps que je détaille sans pudeur…
Mon regard se pose désormais sur son entrejambe et son sexe intégralement épilé, son petit abricot tout lisse, tout propre, tout doux n’est même pas dérangé par ses lèvres qui visiblement sont fines et bien cachées… Mais ça je vais pouvoir en avoir le cœur net cette nuit !
Sous mes mains, je sens sa poitrine se lever de plus en plus à chaque respiration. Cette respiration qui connaît des saccades et des halètements quand j’ai la bonne idée de faire tourner mes index sur ses tétons gourmands et provocants. De son côté, ma bouche remonte le long de sa nuque pour venir sucer, aspirer, mordiller son lobe d’oreille… C’est à ce moment que je sens sa main se crisper et attraper bien plus fermement mon sexe dressé comme jamais et que je sens commencer à mouiller dans mon boxer. À ce même instant, nos voix se mêlent dans un soupir d’excitation indécent… rejoint par la sonnerie du téléphone de Jenn qui était posé depuis tout ce temps près du lavabo, Jennifer sursaute en reconnaissant la sonnerie !
Ces trois mots me glacent le sang, Jenn se baisse en un éclair pour ramasser sa serviette et cacher son corps que je commençais à peine à découvrir… Elle saisit son téléphone et se retourne vers moi, le regard perdu, le visage glacé…
Tentant de la rassurer et de me rassurer, je lui prends la main et me force à respirer profondément et me calmer :
En dix secondes, me voilà dans la rue, seul et dans le flou le plus total… Est-ce que tout ceci est bien réel ? Est-ce que toute cette journée s’est bien produite ? Est-ce que cette semaine a vraiment existé ?
À suivre…