Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 19364Fiche technique31987 caractères31987
Temps de lecture estimé : 19 mn
16/12/19
Résumé:  Dave Mitchell, la star du porno français, a une belle queue. Et il sait s'en servir...
Critères:  fh grossexe hotel travail cunnilingu fsodo -totalsexe -filmx
Auteur : Pericles  (Épicurien marxiste, tendance Groucho)            Envoi mini-message
Dave Mitchell a une belle queue...

Ça va faire vingt minutes que je tourne dans mon dressing. Je suis plongée dans les affres du doute : est-ce que je mets une tenue un peu sexy, ou est-ce que je m’habille comme tous les jours d’un jean et d’un t-shirt ?


Que je vous explique : aujourd’hui est un jour pas comme les autres. Aujourd’hui, je vais interviewer Dave Mitchell !

Ouiiiiii, LE Dave Mitchell, l’acteur incontournable du porno Made in France depuis plus de dix ans. Le seul acteur du X français qui soit plus connu que ses collègues féminines ; le seul d’ailleurs, dans ce milieu si particulier, qui touche plus d’argent que les actrices. Celles-ci sont en général payées 50 % plus cher que les hommes, ce qui s’explique notamment par le fait que le salaire d’un acteur ne varie pas en fonction de la configuration de l’acte sexuel, contrairement à celui d’une actrice.


Je ne devrais pas le dire, mais je trouve ce mec tellement beau, que même si je ne suis normalement pas consommatrice de porno, je passe de temps en temps sur Pornhub ou Xvideos pour le mater, et qu’à chaque fois, c’est plus fort que moi, je vais ensuite sous la douche ou dans mon lit pour achever, avec mes doigts ou un toy, ce que mes yeux et mon cerveau, en le regardant, ont entamé : en bref, il a sur moi un effet littéralement jouissif !


Ah, oui, j’ai oublié de vous dire : moi c’est Stéphanie, 35 ans, célibataire. Je travaille dans un célèbre magazine hebdomadaire qui a récemment fusionné avec un « pure player », et je ne suis pas peu fière d’être devenue la rédac cheffe adjointe de l’ensemble, qui pèse aujourd’hui plus de 1,5 million de visiteurs uniques mensuels alors que le magazine tire toujours à plus de 100 000 exemplaires.

Et quand il s’est agi de décider qui allait interviewer Dave Mitchell dans le cadre de notre dossier sur les rapports entre Cinéma et Internet, je peux vous assurer que personne d’autre n’a pu postuler.


Finalement, j’opte pour une petite robe noire en maille évasée qui s’arrête au-dessus du genou. Avant de la mettre, j’enlève les sous-vêtements confortables que j’avais mis au préalable pour quelque chose d’un peu plus raffiné, avec un top push-up noir en dentelle de calais et le shorty coordonné. C’est purement professionnel, il ne va rien se passer, mais dans ma tête, une petite voix se fait entendre qui me murmure : « on sait jamais… ».


À 10 h précises, je me retrouve devant l’hôtel où Marc Cordel, le producteur de Dave Mitchell m’a confirmé la tenue de l’interview. Je trouve le choix de l’hôtel très subtil puisqu’il s’agit de la Maison Souquet, un Boutique Hôtel; cinq étoiles du 18e qui se situe dans l’immeuble où, à la Belle Époque, se trouvait un bordel renommé dans tout Paris.


J’y suis déjà allée une fois pour faire une interview, dans le superbe salon-bibliothèque de l’hôtel, les murs tendus de velours violet et aux boiseries magnifiques. Tout naturellement, je me dirige vers ce salon, mais, alors que je passe devant la réception, le producteur m’intercepte et m’indique que l’interview se fera dans l’appartement Liane de Pougy, à l’étage, parce qu’un problème de climatisation qui fuit empêche temporairement l’accès au salon-bar.


Nous prenons donc l’ascenseur et montons jusqu’à l’appartement. Marc Cordel en profite pour m’expliquer que ladite Liane de Pougy était une des plus célèbres demi-mondaines parisiennes du XIXe siècle.


Arrivés au troisième étage, nous pénétrons dans la suite dont le décor vaut largement celui du salon-bibliothèque. Dave Mitchell y est assis sur un très beau divan en compagnie d’une jolie femme de la trentaine. Il porte un jean noir et un t-shirt moulant de même couleur : wôw, qu’est-ce qu’il est craquant !



Prévenant, l’acteur se lève à notre entrée et vient me serrer la main.



Quel charmeur… Face à ce sourire qui lui creuse les fossettes, je me retrouve totalement décontenancée, presque hypnotisée. Je ne peux que bredouiller :



Mais ça n’était pas prévu, ça. Personne ne m’avait dit que je resterais seule avec Mitchell, surtout dans une chambre d’hôtel. Je me sens comme un agneau qu’on abandonnerait dans la tanière d’un loup.



Assure, Stéphanie, t’es une grande fille maintenant, me dis-je in petto.


Je serre la main à Marc Cordel et à la « préparatrice » de Dave, et, quand ils sont sortis de la pièce, je m’assieds sur le divan, les jambes serrées en me disant que j’ai été vraiment stupide de mettre une robe aussi courte.

Pour garder une contenance, je sors mon iPhone de mon sac à main et le pose sur la table après avoir activé l’enregistreur.



Il me coupe :



Ça, je le savais déjà. Antoine Doisnel, c’est son vrai prénom, mais ça ne devait sans doute pas faire assez acteur de porno.



Hmmm. Juste pour moi, ça suffirait largement, me souffle mon petit démon.



Autant vous dire qu’être pompier, pour moi, c’était terminé, et je n’avais pas du tout envie d’être recasé à un autre poste dans l’armée de terre. J’ai donc dû trouver une carrière différente, quelque chose qui m’épanouirait.

Je ne sais pas si vous l’avez remarqué, mais je ne suis pas vraiment un mec qui pourrait travailler dans un bureau.

Par ailleurs, comme j’étais malheureusement allergique à la plupart des antidouleurs à base d’opioïdes, sur les conseils absolument pas officiels d’un médecin, j’ai commencé à fumer de l’herbe, ce que je n’avais jamais fait avant mon accident. La marijuana a vraiment aidé à diminuer cette douleur permanente que j’avais au cou, mais, effet secondaire pas forcément voulu, le shit a également profondément modifié ma vie émotionnelle, que j’avais un peu mise sous couvert en étant militaire.

J’ai eu l’impression de renaître en tant que personne. C’est comme si je pouvais ressentir toute une nouvelle gamme d’émotions que je n’avais jamais ressenties auparavant. Et, même si je n’étais pas spécialement asexué avant, ma vie sexuelle en a aussi été profondément bouleversée. Je suis devenu un vrai chaud lapin. Et comme je ne suis pas trop moche, à partir de mes vingt-cinq ans, je suis devenu un vrai serial baiseur.



Vous savez, dans l’industrie du porno, contrairement au reste du monde du travail, les hommes sont généralement moins bien payés que les femmes. Dans un film porno, vu qu’il va être très majoritairement regardé par des mecs, ce qui compte, ce sont les filles. L’acteur porno est secondaire par rapport à l’actrice.

Heureusement, vu que je n’étais a priori pas mauvais dans mon job, et que je permettais à mes producteurs d’attirer plus de femmes (et pas moins d’hommes, ce qui est fondamental), j’ai vite pris du galon, et, aujourd’hui, je vis très confortablement et je suis mieux payé que la plupart des actrices du X. Bon pas toutes, il faut pas rêver, mais honnêtement, je suis super bien payé pour faire ce que je préfère : baiser des filles ! dit-il dans un grand éclat de rire.


Qu’est-ce qu’il est beau ce mec ! Et tellement sensuel. C’est dingue, j’en arrive à jalouser les nanas avec lesquelles il tourne.



Un tournage ça se déroule en général sur plusieurs heures et toutes les scènes sont montées et remontées, certaines images montrées plusieurs fois. En fait, comme dans le cinéma normal, les acteurs pornos passent la plus grande partie de leur temps sur le plateau à attendre. Et quand il faut tourner, il faut être immédiatement au garde-à-vous. C’est d’ailleurs à ça que me sert aussi Patricia, ma « préparatrice » : être vite en érection. Elle est très douée pour ça, elle sait exactement ce qui me fait réagir.

Et je vais même vous dire un secret du cinéma porno : l’éjaculation est toujours montrée à la fin de la scène, mais en fait, le plus souvent, elle intervient beaucoup plus tôt. Comme, sur un plateau, il est rare de tourner les scènes d’un film dans l’ordre chronologique, le moment où un homme jouit est souvent l’une des premières scènes tournées de façon à ce que la quantité de sperme soit importante et sa texture plus dense. Après cette première séquence, on fait une pause, puis on peut revenir aux choses sérieuses…


Et il éclate de rire.



Par contre, j’avoue qu’il m’est arrivé, dans des moments de baisse de forme, de prendre du Cialis, qui offre deux gros avantages par rapport au Viagra : son action dure quarante-huit heures, contre quatre ou cinq pour le Viagra, et, en ce qui me concerne, il ne me donne pas de ces bouffées de chaleur. Juste parfois un mal de crâne, mais ça passe vite avec un Doliprane. Putain, en disant cela, je vais écorner un peu mon image, dit-il en éclatant de rire à nouveau.



Il a le don pour me faire rougir ce con. En même temps, une séance privée, rien que pour moi, je dirais pas non.



Il se lève soudainement, et déboutonnant son 501, il apparaît en boxer. Son sexe se dessine parfaitement sous le fin tissu… et il bande, le salaud !

Même s’il n’est pas équipé comme Pierro Alfredi, Dave Mitchell est réputé pour sa très belle queue et, de ce que je peux en voir, la réputation n’est pas usurpée



Il n’attend pas ma réponse et en à peine quinze secondes, il a balancé son jean, son t-shirt et son boxer sur le sol de la chambre, et je me retrouve, toujours assise sur le divan, avec un superbe braquemart en érection, à peine cinquante centimètres devant mes yeux. Effectivement je la vois de plus près : une belle queue bien droite, à l’horizontale pour le moment et des testicules gros comme des balles de golf. Comme c’est l’usage chez les acteurs pornos, Dave a son service trois-pièces complètement rasé ou épilé, peut-être. Il a juste gardé des poils pubiens au-dessus, mais coupés à un demi-centimètre de la peau. J’avoue que c’est très joli à regarder.


Ouh là là, cette interview est en train de se barrer en couille. Je suis statufiée sur le canapé incapable de savoir quoi faire, comme hypnotisée par cette magnifique queue.



Non, mais il se fout de ma gueule en plus. J’avance ma main droite et je la referme sur sa bite. Dieu que c’est chaud… et très épais aussi, je n’arrive pas à en faire le tour avec mes doigts.



Jetant tout mon reste de pudeur et de professionnalisme aux orties, j’entame un lent mouvement de masturbation de son engin, et, ce faisant, il se retrouve complètement décalotté.

Wôw, quelle belle queue ! J’avais lu en préparant l’interview, que le godemiché moulé sur sa queue était celui qui se vendait le plus dans les sex-shops « Passage du plaisir », eh bien, en ayant l’original sous la main, je comprends tout à fait pourquoi.


Sous l’action de mes doigts, la queue s’est redressée, passant de l’horizontale à la verticale. C’est dingue, le bout de son gland arrive jusqu’à son nombril.

Wôw, quelle belle queue !

Oui, je sais, je me répète.

Se penchant vers moi, il prend mon autre main et tire sur moi pour que je me lève.



Effectivement, la chambre de l’appartement est magnifique, les murs recouverts de papier peint de la même couleur bordeaux que les rideaux et que la tête de lit. Lit king-size devant lequel Mitchell s’arrête, les mains maintenant posées sur le zip de ma robe dans mon dos :



Je meurs d’envie de tester ce matelas qui m’a l’air suprêmement confortable.



Je crois qu’il est temps de passer au tutoiement…

Et je me retrouve devant lui, presque nue, seulement habillée de mon ensemble en dentelle de Calais et de mes escarpins.



Et c’est très con, mais de savoir que ce dieu du porno me trouve plus classe que des actrices X, je me rengorge comme un paon.


Il m’allonge sur le lit et ses doigts viennent caresser mon corps. Se penchant doucement jusqu’à mon ventre, il souffle doucement sur mon nombril. Au frisson incontrôlable qui me parcourt, et à ma respiration qui s’est soudain arrêtée, il peut sentir l’effet qu’il me fait. Il laisse alors glisser ses doigts le long de mon bras, sur mon épaule, mon cou, puis ma joue, mes lèvres enfin. Il me murmure à l’oreille :



Je ne peux m’empêcher de soupirer à l’écoute de ces mots susurrés à mon oreille.


Il s’écarte légèrement, puis me fait basculer sur le ventre. Il reprend alors le ballet de ses doigts sur mon corps. Un deuxième frisson, un soupçon de chair de poule, ce contact a le don de m’électriser. Il en profite maintenant pour s’aventurer vers le bas de mon dos et atteint mes fesses que je sais superbement mises en valeur par le shorty de dentelle noire. Je suis là, offerte impudiquement à un homme que je ne connaissais absolument pas vingt minutes plus tôt.

,Mais qu’est-ce qui t’arrive Stéphanie, t’es devenue folle ? Je fais vite taire mon reste de morale et me laisse aller à la caresse de ses mains.


Mon frisson se fait tremblement lorsque ses doigts, glissant sur la fine dentelle, puis suivant la raie de mes fesses, viennent s’immiscer entre mes cuisses. Mon excitation franchit un palier, j’attends qu’il y aille franchement, mais ce salaud repart vers mon visage et répète ce cheminement de ses doigts sur ma peau, à plusieurs reprises, augmentant simplement à chaque fois la pression de sa caresse. Il doit bien sentir, à chaque passage entre mes cuisses, une humidité de plus en plus évidente sourdre à travers le shorty. Qu’est-ce qu’il attend ?


Je n’en peux plus. Quand une fois encore il revient effleurer mes lèvres, j’ouvre la bouche et je suce les deux doigts qui me torturent si délicieusement. Je les lèche entièrement, je les suce avec délectation avant qu’il ne les retire et qu’ils reprennent leur sensuel parcours.


Je ne suis pas à proprement parler une femme fontaine, mais là, clairement il ne doit plus pouvoir avoir de doutes sur l’effet qu’il me fait. Ma cyprine coule sur le voile en dentelle tandis que ses doigts enfoncent toujours plus profondément le délicat tissu entre les lèvres de mon sexe.

Je ne peux m’empêcher de gémir sous ses caresses chaque fois que sa main investit l’intérieur de mes cuisses.


Je le regarde me contempler : je ne suis pas trop mal foutue pour mes 35 ans et je pense qu’il apprécie le spectacle que je lui offre. Il profite de mon corps offert, de mon sexe maintenant grand ouvert entre les lèvres duquel s’est inséré le shorty de dentelle noire. Il est le maître de la situation, et il fait durer et monter le plaisir à sa guise. Je veux bien croire qu’il les fait toutes jouir, tellement il est expert à faire se développer une extrême tension sexuelle.


Il se décide enfin à passer aux choses sérieuses. Pressant ses mains sur mes jambes, il me fait resserrer les genoux, ce qui lui permet, avec mon aide très intéressée, de faire glisser le shorty jusqu’à mes pieds, puis de jeter négligemment ces quelques grammes de tissu sur la moquette.

Comme je reprends alors la pose précédente, je sens qu’il se délecte de mon sexe brillant de plaisir offert maintenant librement à sa vue, surmonté de l’œillet un peu plus sombre de mon anus.


Enfin, se penchant à nouveau vers ma croupe, sa bouche se pose entre mes petites lèvres, sa langue y pénètre, me lèche, me suce, récoltant au passage avec gourmandise le liquide salé qui s’écoule maintenant en abondance.



Je n’ai pas pu m’empêcher de manifester mon plaisir

Ma croupe s’agite, mon bassin se creuse. Mon corps vibre sous le travail de sa langue, toujours plus appuyé, toujours plus profond. Et lorsqu’il me sent au bord de l’extase, ce salaud m’abandonne à mon sort, me laissant pantelante, mon désir de jouir inassouvi.


Il se lève puis vient s’asseoir de l’autre côté du lit.

Et là, sans prévenir, il enfonce deux doigts dans mon sexe, le plus loin possible. Je suis tellement trempée que ses doigts glissent sans aucun heurt jusqu’au plus profond de mon vagin.

Les enduisant copieusement de ma cyprine, il les ressort pour pouvoir maintenant doucement masser mon anus ; puis il alterne pénétration de mon sexe et massage de mon petit œillet, qui s’ouvre de plus en plus sous la caresse. Je suis loin d’être vierge de ce côté, mais jamais encore on ne m’avait si bien caressée à cet endroit.


Dave me retourne à nouveau. Il écarte mes jambes et vient se mettre à genoux entre elles. Il pose ensuite ses mains sur mes cuisses, les écartant plus. Résultat immédiat, je sens que mon sexe est grand ouvert, totalement impudique. Je dois faire une belle pornstar, là !

Sa bouche revient se positionner sur mon sexe.


Pour lui montrer que je n’attends que ça, je cambre mes reins tandis que sa langue s’enfonce en moi, que ses lèvres et même ses dents se mettent à me dévorer tout entière.

M’enhardissant, je prends sa tête entre mes mains et le pousse encore plus contre mon giron. Puis je viens mettre l’index et le majeur de ma main droite sur mon clitoris, dans une position que mes doigts connaissent par cœur, puisque c’est comme ça qu’en général je pratique le péché d’Onan.


Tandis que lui s’applique à recueillir avec sa langue le nectar bouillonnant qui s’écoule de ma vulve, mes doigts s’agitent dans un rythme effréné sur mon clitoris. Cette double stimulation finit par avoir raison de moi et, feulant de plaisir, je me laisse emporter dans un énorme orgasme, tellement libérateur. De son côté, il n’en perd pas une goutte : il aurait de toute façon du mal à faire autrement, mes cuisses enserrant sa tête comme dans un étau !


Les spasmes de ma jouissance durent longtemps, en de nombreuses secousses secondaires s’atténuant peu à peu, pâles, mais toujours plaisantes répliques de ce séisme qui vient de m’emporter.


Dave se relève alors, et prenant sur le chevet l’enveloppe d’un préservatif, il en déchire l’emballage et se prépare à le positionner sur sa magnifique queue.



Il me tend la capote et me redressant, je prends le caoutchouc entre mes doigts et viens le positionner sur sa verge. Comme ce n’est pas forcément mon domaine de compétence le plus affirmé, j’ai mis la capote à l’envers et ça ne marche pas. Je la retourne donc sous le regard goguenard de mon amant, et je peux alors la faire glisser tout le long de cette queue parfaite.

La contemplant de si près, je me demande si j’ai déjà eu en moi un sexe aussi large, puis si ça passera sans problème. Une question très existentielle qui amène un sourire sur mon visage, ce que ne manque pas de remarquer Dave :



Son organe maintenant prêt à l’attaque, je me rallonge sur le lit, telle une princesse attendant son prince charmant. Il vient se positionner au-dessus de moi, et, presque sans tâtonner, il investit la place d’une seule poussée.


Aussitôt, il se met à me pilonner comme si sa vie en dépendait, sur un rythme effréné. Un long gémissement s’élève dans la chambre et je m’aperçois que c’est moi qui exprime ainsi mon plaisir d’être prise si intensément.



Il fixe ses yeux – vous ai-je dit qu’il avait de très jolis yeux bleus ? donc, il fixe ses yeux dans les miens, et lentement, presque lascivement, il fait glisser sa langue sur ses lèvres.


Je m’abandonne à nouveau au plaisir que je sens grandir en moi, sentant monter cette vague qui va tout emporter sur son passage. J’aimerais que lui aussi jouisse, en même temps que moi. Je sais, c’est ridicule, c’est un acteur porno, il peut tenir des heures, mais là, j’ai juste une énorme envie que nous connaissions un orgasme synchrone.


Il ne l’entend pas tout à fait comme cela, puisqu’il se retire – mon Dieu, ce vide soudain, après cette plénitude – et me retourne à nouveau sans ménagement. C’est comme s’il avait senti que là, il pouvait faire de moi ce qu’il voulait, tout ne serait que plaisir pour moi.


Plutôt que de le laisser s’allonger sur moi, en superbe salope que je sais parfois être, je me mets alors à genoux, la tête dans l’oreiller et les fesses superbement cambrées, dans l’attente de la levrette qui ne manquera pas de suivre.


Son sexe ne tarde pas à m’envahir. Et il prend toute la place à nouveau : j’ai l’impression que son mandrin est une épée sans fin qui va ressortir par ma gorge.


Bien en place, il reprend son pilonnage, mais cette fois, il imprime de subtiles variations, il adopte un tempo changeant constamment, comme s’il suivait une succession de morceaux très différents qu’il écouterait dans la tête. Serait-ce le Bach du sexe ? Et utiliserait-il mon corps pour sa propre interprétation des variations Goldberg du sexe ?


Ce n’est plus le même Dave Mitchell que celui qui vient de me baiser en missionnaire, c’est un autre homme, un compositeur sexuel de génie. Son œuvre est d’une richesse extraordinaire de formes, d’harmonies, de rythmes, d’expression et de raffinement technique. Il joue de mon corps comme d’un instrument fabuleux, je suis devenue un Stradivarius du sexe.


Il arrive à placer sa queue à des endroits que je ne savais même pas posséder au fond de moi, bref, il me baise comme un virtuose et moi j’aime.


J’aime sa façon de ne pas se retenir, de se servir de moi pour son plaisir.


Son véritable talent, ce qui, je le comprends maintenant, fait qu’il est pour les actrices un partenaire exceptionnel, c’est de réussir à faire que son plaisir alimente mon plaisir au centuple. Il génère en moi une jouissance quasi continue. Il me fait jouir, encore et encore, alors que sa queue me laboure en profondeur.


Et là, je ne sais pas ce qui me prend ! Le désir soudain de faire comme on le voit dans les films qu’il tourne ? Le désir de transgresser l’espace d’un instant tous les tabous et les plaisirs interdits.

La parole est obscène. Le geste, extravagant. Mais je le fais.



J’entends dire par cette femme qui lance ses mains en arrière pour écarter ses fesses.

Un reste de conscience m’amène cependant à ajouter :



Mon baiseur prend son temps et je l’en remercie. Il arrose mon petit trou de sa salive, puis écarte mes fesses pour ouvrir ma rondelle, y glisse un doigt, puis deux, tandis que je laisse échapper un long gémissement. Lorsque l’anneau est suffisamment assoupli, il pose son gland et sa queue pousse à la porte.


Un reste de raison me traverse l’esprit, je vais dire « non », mais il est déjà trop tard, il est entré, la partie la plus large de son gland a eu raison de mon sphincter, et il enfouit jusqu’à la racine sa queue dans mon étroit fourreau.


Quelle sensation étrange ! Mon anus est tendu comme une arbalète et doit vraiment étrangler l’organe de mon enculeur. Le mandrin, pourtant, sait se faire plus délicat et endort petit à petit la douleur qu’il a provoquée lors de son intromission.


En quelques secondes, la messe est dite. Pardon, mon Dieu pour ce blasphème, mais j’ai le cul plein de cette bite que je n’aurais jamais cru réussir à me pénétrer, là, sans que je ne défaille de douleur.


Profondément emmanché en moi, il me redresse contre son torse pour caresser ma poitrine d’une main tandis que l’autre descend sur mon sexe toujours aussi trempé… Il presse doucement mon clitoris pendant que sa queue recommence ses variations virtuoses. Forcément moins de variations, toutefois, le lieu étant bien plus étroit et serré.


Quelqu’un dit :



C’est moi.

Je jouis.

Longtemps.

Plusieurs fois.


On peut donc vraiment avoir un orgasme anal !


Je lance mes fesses vers son bassin, l’invitant par ce geste à me rejoindre dans l’extase.


J’attends maintenant qu’il jouisse dans mes entrailles, mais en bon acteur porno qui se respecte, quand il n’en peut plus, il retire son glaive de mon fondement, se débarrasse promptement du préservatif et jouit à longues saccades sur mes reins.


Foudroyée par toute cette jouissance, je m’écroule sur le lit et Dave vient se coucher contre moi. Nous restons un long moment immobiles tous les deux, reprenant notre souffle tant bien que mal. Lorsque nous retrouvons nos esprits, il m’embrasse, pour la première fois, me mordillant doucement les lèvres. Moi je caresse son torse recouvert d’une toison brune douce comme de la soie, reprenant mon souffle, heureuse.



Et, nous éclatons de rire tous les deux en même temps.