n° 19364	Lire ce texte	28095 caractères   4944 mots   Temps de lecture estimé : 20 mn	16/12/19
Résumé:  Dave Mitchell, la star du porno français, a une belle queue. Et il sait s'en servir...
critères:  #totalsexe #vidéox fh grossexe hotel travail cunnilingu fsodo
Auteur : Pericles  (Épicurien marxiste, tendance Groucho)

 

Note générale = 14.90 / 20 (133 notations)

Note des inscrits = 15.99 / 20 (7 notations)

Note des non-inscrits = 13.05 / 20 (126 notations)

0 Originalité

0 Ecriture

0 Humour

0 Excitation

0 Atmosphère

0 Sentiments

Période de recueil des lectures = du 30/09/22 au 22/05/25

1062 Lectures partielles

253 Lectures entières

24 %

Intervenant	Lui écrire	Date	Note	Appréciations
Evaluations des inscrits
L'artiste (1856 notations)		16/12/19	Très bon - 16	Rien à redire concernant l'écriture... c'est fluide et ça se lit tout seul. Question émotion, pour moi... bof ! le fantasme de l'acteur c'est pas vraiment mon truc.
amateur de mots et de... (85 notations)		17/12/19	Très bon - 16	Je sais maintenant qu'un acteur porno est habituellement payé 50% moins cher qu'une femme. Comme disait Groucho: "Il y a ce qu'on peut faire dans un lit et le reste. Le reste ne vaut pas cher".
charlie67 (3409 notations)		19/12/19	Excellent - 18	J'adore l'interview d'un acteur porno qui se "barre en couille" comme dit la journaliste. Il ne pouvait en être autrement " Ca a dérapé ". Scénario certes prévisible, mais une lecture agreable, très agreable.
athanagor (1030 notations)		20/12/19	Très bon - 16	Il s’agit donc, sans surprise, d’un porno « conçu de fluide blanc ». Mais c’est un bon porno, peut-être parce qu’il adopte le point de vue féminin et nous livre les pensées de la narratrice. La différence entre show et réalité pourrait être plus marquée.
zambois (1 notations)		25/12/19	Top du top - 20
benoblack (1752 notations)		25/12/19	Bon - 14	Une grosse scène de baise tournée sous un angle original.
asymptote (386 notations)		17/01/20	Excellent - 18	Cette histoire est-elle vraie ? (rire) Pour sûr du porno elle subsume toute la froideur émotive. On hésite à y voir un récit à prendre au second degré ce que je n’aurai manqué de faire si Virginie laissait place à plus d’humour dans ses propos.