n° 19395 | Fiche technique | 18585 caractères | 18585Temps de lecture estimé : 11 mn | 09/01/20 |
Résumé: Comment je suis devenue une soumise. | ||||
Critères: fh hplusag collègues travail fsoumise hmast -fsoumisah | ||||
Auteur : Athanagor Wurlitzer Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Et si c'était vrai Chapitre 01 | Épisode suivant |
Elle savait. Elle savait ce que cet homme voulait d’elle. Elle n’avait que ça en tête avant de rentrer dans son bureau. Mais, elle s’y refusait. Cet horrible personnage pensait que tout pouvait être à lui, tout, même les gens. Jamais, elle n’avait connu un tel personnage. Son boss était horrible. Il était vulgaire et malsain. Un rien despote. Il n’avait pas trop l’habitude de hurler, mais il possédait une sorte de rage froide qui la glaçait.
C’était sa deuxième semaine. Cynthia s’était dit, que si elle tenait un mois dans ce travail, non seulement, elle gagnerait un meilleur salaire – ce qui pensait-elle n’était jamais arrivé vraiment – et elle s’habituerait… Tout du moins, elle réussirait à « amadouer » son patron. Le rendre plus agréable, ou en tout cas moins désagréable…
Mais les jours passaient, et rien n’y faisait. Elle avait d’abord subi des remarques un peu salaces, puis carrément déplacées. Ainsi, encore, hier il lui avait demandé d’être plus féminine… Mais de quoi se mêle-t-il, ce con sexiste ? Cependant le matin suivant, elle s’était même étonnée à s’habiller avec un tailleur court et des talons, histoire de ne pas avoir encore une remarque désobligeante. Et puis finalement, je m’en fiche comment je m’habille au taf, du moment, qu’il paie ce salaire d’enfer… dans quelques mois, je pourrai enfin rembourser mon prêt à la consommation et pourquoi pas, mettre un peu de côté pour reprendre mes études.
Elle se trouvait devant la porte et allait rentrer. Son boss lui avait demandé de venir pour régler un courrier urgent. En tant « qu’assistante », elle se devait d’être corvéable à merci… « Un boulot intéressant, mais encore fallait-il accepter le personnage ».
Elle rentra donc. À chaque fois, ce porc la regardait avec un regard bizarre. Pas pervers… non, mais plutôt en pleine réflexion. Comme si, il la reluquait, mais d’une autre façon que tous ces mecs dans métro qu’elle croisait. C’était certain, qu’avec ce tailleur, ces talons et ce chemisier un peu serré, c’était un peu la caricature… mais bon. Elle n’allait pas non plus s’habiller comme un sac, avec un jean et un grand pull, et inversement en mini-jupe et avec un décolleté plongeant… Elle se trouvait mignonne et un peu sexy juste ce qu’il faut.
Il était là derrière son bureau. Comme d’habitude plutôt froid.
Elle s’assit et sortit le carnet de notes. Elle croisait les jambes, histoire de cacher ses cuisses, mais également pour faire appui pour son carnet.
Incroyable ! lui, « THE » boss allait lui demander un conseil ! D’abord, elle fut fière, puis très vite, elle sentit une certaine inquiétude. Si jamais elle le conseillait mal, il ne dirait sûrement rien, mais elle savait qu’il serait déçu… et la verrait non plus comme une « assistante », mais une vulgaire « secrétaire », ou pire… lui demanderait de partir sitôt la fin de la période d’essai… elle se raidit.
Il baissa les yeux…
Au fur et à mesure qu’il parlait, ses jambes et cuisses se serraient. Elle ne savait pas où il voulait en venir, mais heureusement que la dernière phrase, sur l’âge, relâchait un peu la pression… Elle, elle avait vingt-six ans, alors… Ouf, se dit-elle.
Cela devenait un peu plus clair… un peu plus rassurée et flattée qu’on puisse lui demander son avis, elle commença :
Elle-même, tout en parlant, était confondue par ses propres paroles si lénifiantes et insipides… Et bientôt je vais te parler de l’amour et des choux, sourit-elle intérieurement.
Après un long silence, son boss, fit mine de prendre en compte ses paroles, mais tous deux se rendaient bien compte que la réponse était insatisfaisante. Le regard de l’homme se baissa, un peu tristement, montrant un peu de déception…
Cynthia comprit tout de suite, il fallait qu’elle reprenne le dessus, et change cette image trop aseptisée…
Elle-même s’étonnait de sa réponse. Mais c’était le tout pour le tout, ou la nunuche coincée, ou l’assistante honnête en qui on peut avoir confiance et s’épancher.
Son regard changea soudainement, il la regarda enfin vraiment dans les yeux. Elle avait gagné ses galons, se dit-elle, fière d’elle.
Quand elle répondit, elle sentit, au creux de son estomac que le boss, depuis le début, voulait en arriver là. Tout en parlant, elle se mordait les lèvres d’être tombée dans le piège si bêtement :
Elle ne voulait pas paraître comme une femme vénale, mais comme une ingénue fleur bleue, non plus…
Les gouttes de sueur perlaient maintenant au creux de ses reins… la conversation devenait de plus en plus glissante…
Cynthia comprenait maintenant… promotion canapé… c’était oui ou non maintenant. Elle s’était, elle-même mise dans ce pétrin et, elle se devait de répondre. Elle se disait : il est horrible, moche et il veut me sauter… Que dois-je faire ? Étrangement, malgré tout, cette situation commençait à l’exciter… son boss était horrible, mais la situation était excitante… et puis soudainement, tant pis, elle osa :
Cynthia se leva, et ne put s’empêcher de se dire : mais mon Dieu, qu’est-ce que tu fais là ? Tu vas pas faire la pute pour ce porc ?, Mais elle était comme hypnotisée…
Son cerveau disait non, mais ses gestes, ses bras, ses jambes se dérobaient à elle. Comme si elle était traversée par des sentiments contradictoires. À la fois, la colère, la curiosité, mais aussi une sorte d’humiliation gênée. Et le pire, c’est que cette humiliation commençait à réellement l’exciter. Elle sentait que son sexe commençait à suinter, et que son corps répondait honteusement aux paroles de son boss. Le fait même de se voir en train de faire ça, de réaliser qu’elle devenait une traînée l’excitait.
Elle se souvenait de tous les hommes qu’elle avait refusés, tous ces beaux gosses qui avaient essayé de la séduire, de tous ses collègues qui rêvaient d’entrevoir, ne serait-ce que son décolleté… Tous ces refus, cet air un peu supérieur et même quelquefois ses sourires condescendants, qu’elle prenait pour dire : « non, non, tu sais cela ne va pas être possible, tu te méprends… »
Toutes ces paroles perdaient de leur sens, disparaissaient en cette minute. Tous ces jolis principes, sur l’Amour, sur le prince charmant, et « il sera beau et musclé »… Plus rien, juste cette étrange minute, où s’approchant du bureau de son boss, elle se réduisait, elle-même, en une petite pute.
Elle souleva un peu sa jupe, juste pour montrer sa résignation. Elle se trouvait debout, la tête basse. Un geste, qu’elle n’avait jamais fait aussi froidement. Elle entraperçut le regard de son boss. Il souriait…
Elle se sentait humiliée au plus haut point… mais maintenant, elle ne pouvait plus reculer.
Le boss la regardait. C’est vrai qu’elle était horriblement jolie. Son faux air ingénu, ses cheveux bruns tombants. Son visage doux, sa peau si blanche. Son boss appréciait déjà ce qu’il voyait. Il l’a voyait un peu gênée. Et ce chemisier ! On n’avait qu’une envie, celle de lui arracher les boutons pour lui écarter les deux pans et enfin voir les deux galbes de ses seins. Enfin voir, cette jeune femme coincée, d’elle-même ouvrir son chemisier et lui offrir la vue qu’elle se refusait à donner qu’à son jeune petit ami. Ses seins n’étaient pas trop gros, juste ce qu’il faut… mais ils étaient fermes et les tétons s’érigeaient droit vers le désir. Souvent elle était même obligée de mettre un soutien-gorge coqué pour éviter que les hommes devinent la pointe de ses tétons. Depuis le temps qu’il attendait ça. Qu’elle s’offre à lui.
Elle se dit intérieurement, qu’elle ruisselait, et que cela serait bien qu’il la prenne à la renverse sur son bureau. Elle se penche et hop, il rentre en elle et en deux minutes, c’est terminé.
Cela ne se passa pas du tout comme elle l’avait prévu. Il resta assis et lui demanda de rester debout à côté de lui. Puis la laissant un peu bête, il se leva et se mit derrière elle. En silence.
Elle ressentait ce corps derrière elle. Elle ressentait le désir de cet homme qu’elle haïssait. Et plus elle se disait qu’elle ne devrait pas faire ça, qu’elle l’autorisait à faire ce qu’aucun homme ne lui avait déjà fait et plus elle ruisselait. Elle sentait cette chaleur au creux de son ventre. Elle sentait cette chaleur en bas de son cou. Elle sentait, ses tétons se durcir…
Plus les secondes s’égrenaient et plus elle avait envie d’en finir… non pas en finir, pour que cela cesse. Mais en finir, car elle avait maintenant une furieuse envie d’être prise sauvagement. D’être prise sur le bureau, qu’elle sente son sexe entrer en elle, comme ça. De se sentir remplie. Je deviens folle, se dit-elle… comment puis-je avoir ces pensées… ?
Son boss, derrière elle, la faisait languir. Quelques secondes. Ces quelques secondes qui lui donnaient cet ascendant sur elle. Elle s’offre. Elle se soumet. Il la regarda, debout et de dos. Il appréciait déjà de voir les courbes de ses fesses. Cette petite salope a un cul incroyable. Il est petit, rebondi, et ferme. Et elle doit avoir des seins prodigieux. Il se calma. Il aurait bien eu envie de la prendre à la hussarde, mais il contint ses ardeurs…
Elle commença à soulever sa jupe, dévoilant le haut de ses bas et sa culotte noire. Elle n’était pas échancrée, mais elle laissait ses deux fesses blanches à la vue de ce pervers.
Mais qu’est-ce que je suis devenue pour accepter de faire ça ? Cependant, elle continua.
Puis ayant rehaussé sa jupe jusqu’en haut, elle resta un peu dans l’attente. L’homme lui demanda alors de baisser un peu sa culotte. Ce qu’elle fit. Offrant à la vue, son petit cul si serré. Elle se sentait horriblement gênée. Elle s’étonnait elle-même de ses propres gestes. De sa propre obéissance.
Et elle le sentit… elle entendit d’abord sa fermeture éclair, puis sentit son sexe sur ses fesses. Elle n’osait bouger. Son boss caressait son sexe horizontalement sur ses fesses. Elle s’attendait à ce qu’il la prenne dans un élan rageur. Mais non… il caressait son gland sur elle…
N’en pouvant plus, elle commença, malgré elle, à bouger un peu ses fesses, mais une main ferme sur sa hanche lui fit comprendre qu’elle n’avait à rien à vouloir ou exiger.
Puis elle sentit, ce sexe chaud, s’insinuer entre ses fesses. Entre la raie de ses fesses. Il montait et descendait… mais il ne la pénétrait pas. Quelle frustration pour elle !
Je dégouline maintenant, il faut qu’il me prenne…
Mais non, il continuait à faire des va-et-vient verticaux dans la raie de ses fesses. Un simple mouvement doux et régulier… Il touchait de son gland le sexe de Cynthia, puis remontait glissant son membre entre les deux fessiers.
Mon Dieu que c’est bon, se dit-elle… Cela me donne trop envie. J’en viens même à avoir envie qu’il me prenne pour la première fois dans le cul… quel salaud !
Elle avait toujours refusé la sodomie à son petit ami… Les deux amants s’étaient déjà habitués à des ébats répétitifs et finalement sans intérêt… mais là… la situation devenait vraiment irrésistible…
Il continuait.
Il se branle entre mes fesses, ce salaud, réalisa-t-elle.
Il fait glisser son sexe dans mon cul sans même essayer de me prendre. Il utilise mes deux fesses comme sa main ! Je suis un simple sex-toy.
Cette image l’horrifiait. La mettait dans une colère sourde… ,Mais merde, il pourrait au moins me prendre, un minimum… Il se sert juste de mon cul pour se branler !
Le pire dans cette situation c’est que maintenant elle désirait vraiment ce gros sexe qui glissait sur elle. Elle le sentait bien raide, dur, et ses petites fesses étaient bien écartées à force des va-et-vient de ce sexe turgescent… Oui… en cette seconde, elle aurait adoré qu’il lui mette dans sa chatte humide. Qu’elle sente son sexe s’écarter pour accueillir ce sexe en elle… qu’elle sente son vagin se resserrer autour de lui et le compresser pour le faire jouir…
Et soudain, elle sentit qu’il éjaculait entre ses fesses. Elle sentit le sperme couler dans sa raie des fesses et sentit même des gouttes de sperme sur ses reins. Lentement le sperme coulait sur elle, de ses fesses, jusqu’à son entrecuisse bouillonnant, puis dégoulinait de l’intérieur de ses cuisses jusque dans sa culotte baissée.
Elle sentit les mains de son boss lui remonter sa culotte, puis lui baisser sa jupe…
Elle se sentait salie. Utilisée comme un vulgaire kleenex. Il n’avait même pas daigné lui donner du plaisir… quel salaud… il s’était servi d’elle, branler sur elle… et c’est tout.
Elle avait offert son corps, ses fesses, mis de côté tous ses principes, elle s’était humiliée, comportée comme une pute et finalement était laissée comme une conne, maculée de sperme… elle n’en revenait pas. Elle était à la fois en colère et encore étonnée qu’elle ait accepté de se soumettre à ce sale type… Et elle pensa à son petit ami, qui allait, ce soir, lui demander si sa journée s’était bien passée…
Sa voix résonna bizarrement dans le silence soudain de la pièce… Elle n’osait pas parler et n’osait même pas se retourner et croiser son regard… Quelle honte ! se dit-elle…
Il lui parla d’une voix normale.
Abasourdie… elle entendit ces mots avec stupeur. Comment ce sale type, qui vient de se branler entre mes fesses, ose me faire ça ? Il s’est vidé les couilles sur moi, et je sens encore qu’il coule sur moi… et il me jette à la porte… quelle humiliation !
Elle sentait sa culotte coller sur son sexe et son entrecuisse. Elle n’osa même pas se retourner, se réajusta quelque peu, prit son carnet sur la chaise en face du bureau, et sortit.
À suivre…