n° 19412 | Fiche technique | 15137 caractères | 15137Temps de lecture estimé : 8 mn | 18/01/20 |
Résumé: Suite de la période d'essai. Comment je suis devenue une soumise. | ||||
Critères: fh ffh hplusag travail fsoumise -initff | ||||
Auteur : Athanagor Wurlitzer Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Et si c'était vrai Chapitre 02 | Fin provisoire |
Dans le premier épisode :
Cynthia, très belle jeune femme, en période d’essai, se voit proposer une prime exceptionnelle pour des services exclusifs. Il s’avère que son boss souhaite lui prodiguer une toute nouvelle éducation…
Le lendemain, Cynthia eut cru bon de venir au travail un peu en avance afin de ne pas avoir à croiser le regard de son patron, au moment inévitable d’aller le saluer. Son bureau jouxtait le sien, mais au moins, dans cette situation, elle n’aurait pas à faire la démarche.
Pour tout dire, elle appréhendait la nouvelle rencontre. Elle avait attendu qu’il la rappelle l’après-midi. Mais rien. Elle dut repartir chez elle sans nouvelle rencontre.
Ce matin, comme par bravade, elle n’avait pas mis son petit tailleur, ni une robe, mais un élégant pantalon fin qui marquait sa taille et ses longues jambes. En haut, elle avait opté pour un chemisier branché blanc.
Rien d’extravagant ni de trop BCBG, se dit-elle. En fait, au fond d’elle, elle était tiraillée. Soit elle l’envoyait bouler avec véhémence, soit elle attendait de voir ce qui allait se passer. D’un certain côté, elle se disait que – le mal est déjà fait maintenant, alors mieux vaut vivre de regrets que de remords –.
Mais ce qui la dérangeait le plus, c’est que dans cette étrange situation, son boss avait pris l’ascendant sur elle. Elle se transformait involontairement en jouet sexuel.
C’est vrai que cela pouvait être excitant, mais de là à devenir le jouet d’un vieux, c’était même frustrant, elle qui, d’habitude, choisissait ses conquêtes. Genre les plus beaux gosses des soirées, musclés, tatoués, gominés. Ils étaient tous séduits pour un battement de cil de sa part. Un regard coquin, un décolleté profond, le haut d’un bas sur une cuisse, un air espiègle et salope. Elle connaissait parfaitement ses atouts et abusait de ses « armes » naturelles. Aucun homme, si beau soit-il, ne lui résistait longtemps.
Là, c’était différent. Cet homme qu’elle n’aimait pas la contrôlait. La situation était très étrange. D’habitude, dans les rapports de séduction et même sexuels, elle menait le jeu, et là, pour une stupide prime, une excuse finalement, il avait réussi à inverser les rôles.
Elle se sentait « proie » et ce qui l’embêtait davantage, c’est qu’elle se sentait « démunie ». Le vieux, je vais le mettre à mes pieds, espérait-elle intérieurement. Plus cela allait, et plus l’histoire de la prime l’indifférait. Elle désirait que son boss soit à ses pieds. Une sorte de revanche du pauvre. Elle avait envie qu’il se fourvoie pour elle. Elle savait qu’il la désirait. Restait maintenant à le mettre à genoux.
Elle n’en restait pas moins sur ses gardes. Mais se dit-elle : il a intérêt à vraiment bien payer quand même… Elle essayait de se rassurer, de bomber le torse, mais au fond d’elle-même, elle savait qu’elle n’en menait pas large. Preuve en était, sa boule au ventre, et la chaleur entre ses cuisses. C’était peut-être ça, ce dernier « détail », qui l‘enrageait le plus, c’était de sentir son sexe s’humidifier rien qu’à l’idée de le recroiser. Être excitée par cette situation incroyable ou se sentir humiliée et rabaissée, se laisser faire, et y prendre même du plaisir. Un vrai plaisir. Là c’était une vraie nouveauté.
En revenant la veille au soir, elle avait même dû aller dans les toilettes pour se caresser et enfin jouir. Elle avait alors senti un plaisir profond, inédit, entier, qui l’avait submergée. Rien qu’à imaginer que son boss était derrière elle, en train de mater son cul, ses jambes en tremblaient encore.
Ses pensées se figèrent quand elle entendit son téléphone. La ligne intérieure. La ligne de son boss. Elle décrocha hésitante, un peu fébrile.
Son boss lui demandait de venir. Elle sentait que cette rencontre allait être la bonne. Cette fois-ci, elle allait reprendre la main, et s’il désirait encore réaliser une branlette en solo, elle allait, de façon directive, se retourner et lui prodiguer une sauvage fellation. Lui prendre son sexe en bouche, le happer, et aspirer comme jamais elle avait fait. Elle était prête à tout.
Je vais lui sucer la bite et lui malaxer les testicules, à tel point, avec un tel acharnement, qu’il va venir sur ma langue en moins de deux minutes, pensa-t-elle un pour se rassurer… Elle savait qu’il ne pourrait refuser de se faire sucer et encore moins d’apprécier de baiser son joli visage. Tous ses amants, lui avaient dit qu’elle suçait divinement et que c’était extrêmement excitant de voir son visage d’ange avaler une bite. Certains lui avaient même avoué que ce qui les exciterait le plus, ce serait d’éjaculer sur son joli visage.
Une seule fois, elle avait accepté cet acte dégradant, mais c’était surtout par accident qu’elle avait reçu ce « trophée ». Un ancien amant en voulant venir sur ses seins, avait malencontreusement été un peu trop explosif..
Elle revint à la réalité soudainement. Elle toqua et avec courage n’attendit pas d’entendre « entrez » pour rentrer dans le bureau.
Sa surprise fut double. D’une part son boss n’était pas tout seul, d’autre part, il était avec une femme.
Tel un ballon de baudruche qui se dégonfle de façon ridicule, Cynthia se trouva complètement décontenancée d’un tel accueil. Toute l’énergie qu’elle avait emmagasinée pour se confronter à son boss, s’envola en une seconde.
Son boss, souriant – ce qui n’était pas habituel – était assis derrière son bureau, et face à lui, sur la droite, assise dans un fauteuil, une femme dans la quarantaine passée. Cette dernière était encore très jolie et son tailleur court mettait en avant ses jolies jambes. D’un regard, on pouvait, apprécier ses chaussures très élégantes et ses talons semi-hauts. Tout chez elle, inspirait, l’élégance, la classe et le luxe. Son regard doux dénotait malgré tout de son look relativement sévère.
Elle eut juste le temps de reprendre ses esprits, pour entendre son boss lui parler et l’entendre lui expliquer la situation..
Cynthia ne savait plus quoi faire. En un fragment de seconde, elle redevint, en tout cas, l’espérait-elle, son assistante à la fois professionnelle et serviable.
Cynthia, un peu encore éberluée avait dû faire apparaître un léger trouble, mais elle essaya de se ressaisir. Reviens à toi, ma grande, et vite… tu as l’air d’une cruche, là, pensa-t-elle.
Le boss reprit :
Au fur et à mesure que les mots de son patron entraient dans son cerveau, les jambes de Cynthia flageolaient. En une fraction de seconde, des milliers sentiments la submergeaient. Sait-elle ? Que veut-il dire par là ? Est-ce des sous-entendus ? La colère, s’atténua au fil des secondes et de façon étrange, plus son ressentiment disparaissait lentement et plus elle sentait ses joues rougir de gêne puis de honte.
Debout au milieu du bureau, elle se trouvait ridicule, plantée là comme une potiche, ballottée par les paroles ambiguës de son boss, démunie devant le regard soudainement compatissant de cette femme.
Quel salaud, il me met dans une situation inextricable, car lui seul connaît les tenants et les aboutissants de cette prime et de nos relations ? Sait-elle ? Elle doit savoir.
Comme paralysée, elle ne dit rien. Elle vit, la femme se relever doucement de son fauteuil et, ne la quittant pas du regard, se rapprocher d’elle. Comme hypnotisée par les gestes de la femme, elle n’osait bouger. Une proie, pensa-t-elle. Une proie entourée de félins, une proie consentante.
La femme, sans la quitter des yeux, se rapprocha d’elle. Et presque collée à elle, vint se positionner derrière, laissant, en passant, sa main effleurer le bras de Cynthia, puis sa hanche.
Cynthia se retrouvait face à son boss encore assis et tournant le dos à cette femme mystérieuse. La femme était maintenant collée derrière elle. Cynthia sentit des doigts se perdre dans ses cheveux au niveau de la nuque, et soudain, de façon délicate, comme une caresse, entendit les premiers mots de Sandrine à son oreille. Comme un chuchotement doux et chaud.
Sa voix était calme, douce et tendre à la fois.
Cynthia n’avait jamais fait l’amour avec une femme, mais cette situation, si étrange, cette voix si douce, ces gestes si délicats, la mettaient déjà en émoi. Elle ne la voyait pas, mais elle ressentait chaque souffle de cette femme. Elle en vint même à attendre chaque effleurement de ses doigts.
Mon Dieu, je ruisselle. Dans quelle situation je me suis mise ? Les mains délicatement, caressaient son cou, ses épaules et son décolleté. C’est trop bon ! Elle se sentait offerte. Pour la première fois, elle se laissait réellement faire. Complètement soumise. Sans contrôle. Sans être spectatrice de ses propres actions. Elle n’était là que pour offrir et s’offrir. Sentir et ressentir. Sans calcul. Sans arrière-pensée. Ne rien avoir à penser. S’abandonner.
Elle comprit ce nouveau plaisir. Le fait de se sentir calme et sereine, parce que totalement offerte. Elle comprit ce nouveau plaisir, parce qu’il ne s’acquiert qu’en s’abandonnant totalement.
La femme maintenant détachait un par un les boutons de son chemisier qui, petit à petit, s’entrouvrait sur le galbe de ses seins et son soutien-gorge en dentelle. Cynthia se laissait faire par ces mains expertes et regardait son boss profiter du spectacle. Son regard ne pouvait quitter celui de son boss, pendant qu’elle se faisait déshabiller.
Sans lui retirer son chemisier, la femme défit l’accroche arrière du soutien-gorge et doucement libéra les seins de Cynthia en les caressant de bas en haut. Maintenant elle les prenait à pleine main. Cynthia sentait les mains chaudes de la femme sur sa poitrine, appréciait chaque centimètre parcouru par cette nouvelle sensualité. Elle sentit désormais les lèvres de Sandrine sur son cou. Elle ne put s’empêcher de frissonner en sentant l’humidité des lèvres parcourir sa nuque.
Les seins à l’air, magnifiquement blancs, avec le chemisier et soutien-gorge défaits, maintenus ouverts, elle se laissait caresser. Sans que leurs regards ne se quittent, son boss se leva, fit le tour de son bureau et se mit debout face à elle. Il restait savamment à quelques mètres d’elle, appuyé sur son bureau, mais, avec lenteur, baissa sa braguette et sortit son sexe.
De voir Cynthia ainsi offerte, les seins libres, soumise par cette femme, était extrêmement excitant. De voir cette jeune femme, si belle, si sûre d’elle, si inatteignable dans les soirées huppées, s’offrir de la sorte rendait à chaque seconde son sexe encore plus dur. C’était le genre de jeune femme que l’on croise dans la rue, ou dans les soirées dont on ne peut s’empêcher d’admirer et de convoiter vainement.
Cynthia n’en pouvait plus. Elle ruisselait littéralement. Sa culotte était trempée. Et voir son boss commencer à se masturber devant elle, l’excitait encore un peu plus. La femme continuait son doux labeur. Maintenant elle s’était agenouillée derrière Cynthia. Elle baissa délicatement son pantalon, puis lui baissa sa culotte à mi-cuisse, toujours sous les yeux de l’homme.
Jamais Cynthia n’eut cru possible un tel plaisir. Soudainement, sans prévenir, la langue de la femme parcourut son sexe et la raie de ses fesses. Jamais une personne ne lui avait prodigué un tel cunnilingus. Mais là, la femme tout en la maintenant debout, par les hanches, la dévorait.
La langue écartait les derniers renoncements de Cynthia. Elle sentait la langue s’immiscer au fond d’elle, ouvrir ses lèvres, aspirer son jus. Sans retenue, sans calcul, Cynthia écarta d’elle-même ses cuisses, en se penchant, pour que cette femme aille encore un peu plus loin.
L’étincelle fut le doigt de la femme dans son anus. Elle sentit le majeur de la femme pénétrer son anus rendu humide par les coups de langue. Comme un éclair, tout son corps se mit à trembler, puis comme traversée par une incroyable décharge électrique elle commença à jouir. La jouissance était telle une vague, sourde, profonde, continue, immense. Une vague puissante et inconnue jusqu’alors.
Elle ne se rendit à peine compte qu’elle avait joui tellement fort, qu’elle en avait libéré tous les liquides que son corps pouvait offrir. Elle était devenue fontaine et maintenant se laissait aller à vider sa vessie sous elle. C’était comme si son corps, si ravi de ce nouveau et immense plaisir se libérait de lui-même.
Toujours debout, Cynthia les jambes vacillantes ne put, peu à peu que s’agenouiller. Ses jambes ne la portaient plus. Puis reprenant un tout petit peu ses esprits, elle s’aperçut que son boss s’était rapproché d’elle. Soudain, il éjacula sur ses seins. Le sperme avait jailli fortement, et avait complètement maculé son décolleté, sa gorge et ses vêtements. Cynthia sentait ce liquide chaud glisser sur sa peau. Elle ne fut même pas dégoûtée de sentir la femme venir récupérer quelques gouttes de semence, et lui glisser dans la bouche..
Encore sous le choc, Cynthia comprit. Elle aimait cette situation. Aimait s’abandonner. Elle adorait se sentir objet. Elle n’avait jamais ressenti un tel plaisir. Celui d’être soumise.
À suivre…