n° 19443 | Fiche technique | 23594 caractères | 23594Temps de lecture estimé : 14 mn | 06/02/20 |
Résumé: Après avoir épousé Henry, son ancien client, les deux époux partent en voyage de noces en République Dominicaine. | ||||
Critères: ff 2couples fhhh fbi hplusag jeunes couleurs couplus vacances piscine amour voir partouze -cocucont | ||||
Auteur : Cortes Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Laura Chapitre 11 / 11 | FIN de la série |
Résumé de l’épisode précédent :
Henry a demandé sa main à Laura qui a finalement accepté de l’épouser. Après un joli mariage célébré dans la propriété bordelaise d’Henry, les deux époux partent se reposer en République Dominicaine.
Laura et Henry partent quinze jours en voyage de noces. Ce n’est pas facile pour Laura de caser les deux garçons. Heureusement ses parents, chez qui Delphine s’installe pour deux semaines, accueillent Pierre et Louis pour que le couple puisse profiter pleinement de leur voyage de noces. C’est aussi très difficile pour Laura de quitter le cabinet pour une durée si longue. Mais pour une fois, elle décide d’abandonner ses dossiers qu’elle laisse sous la surveillance du jeune Jean-Pierre, si content de pouvoir aider sa patronne.
Des amis d’Henry lui prêtent une très jolie maison en République Dominicaine, à Las Terenas, avec le personnel attaché au domaine. Après un vol de dix heures, les mariés sont accueillis à l’aéroport par Juan, un grand noir athlétique d’une trentaine d’années, impeccable en pantalon blanc chemise blanche. Il se présente en anglais avec un accent espagnol très marqué comme le régisseur, homme à tout faire, de la propriété. Il est joyeux et a un beau visage barré d’un sourire irrésistible. Il prend les bagages et montre le chemin du couple vers un puissant véhicule tout terrain.
Après une petite heure de route, la voiture s’arrête devant une grille qui s’ouvre sur un beau et, semble-t-il, immense jardin tropical rempli de palmiers, de buissons odorants et de leurs fleurs multicolores. On aperçoit au loin le toit de la maison bâtie sur une petite colline émergeant de la verdure luxuriante. Elle apparaît enfin au détour du chemin. C’est une grande demeure blanche plutôt moderne, au toit plat. Les yeux des visiteurs sont frappés par le bleu turquoise d’une immense piscine bordée d’une sorte de péristyle fait de colonnes blanches devant la façade de la maison.
Aux yeux du nageur qui s’y baigne, la mer apparaît au loin grâce à la situation surélevée de la maison. Le soleil commence à tomber et émet une lueur rouge orange qui éclaire un magnifique paysage. L’entrée se fait par la façade opposée au milieu de la végétation luxuriante du jardin. Une jeune femme noire les accueille à l’entrée de la maison et se présente comme Lolie, la femme de Juan. Elle est de petite taille, porte un short et un tee-shirt blancs qui mettent en valeur son corps athlétique et harmonieux. Fesses rondes, seins fermes, bras musclés et, comme Juan, elle fait preuve d’une grande joie de vivre et offre un sourire dévastateur. Lolie fait visiter la maison à Laura et Henry et leur montre leur appartement au premier étage, composé d’une grande chambre avec vue sur la piscine et au loin sur la mer. Le lit recouvert d’une moustiquaire est gigantesque. Lolie ne peut s’empêcher de dire dans son mauvais anglais avec un sourire malicieux :
Puis elle les laisse en leur rappelant qu’elle et Juan sont à leur disposition s’ils ont besoin de quoi que ce soit. Elle rajoute que la propriété est très protégée et que s’ils veulent ne pas mettre de maillot à la piscine et bronzer nus, il n’y a pas de problèmes, qu’elle et Juan sont naturistes, mais que si cela les gêne ce qu’ils comprennent parfaitement, ils s’habilleront. Laura, sans attendre la réponse d’Henry, s’empresse de lui répondre qu’ils apprécient ne pas avoir à mettre de maillot pour se baigner et qu’ils ont l’habitude. Henry ne dit rien pour la contredire.
Après un bon dîner servi dans la grande salle à manger du rez-de-chaussée par Juan, les deux époux montent se coucher, fatigués par le voyage. Ils sont trop fatigués pour penser à l’amour. Laura s’en excuse presque en posant sa main sur le sexe d’Henry allongé à côté d’elle. Sa queue est chaude, mais elle ne tressaille même pas au contact de sa paume.
Elle n’a pas de réponse. En approchant sa tête de celle de son mari, elle réalise qu’il dort déjà profondément.
Le lendemain matin, Henry est sollicité par Laura qui dès qu’elle est réveillée, lui caresse doucement le sexe sous les draps. Puis le sentant réagir, elle le prend en bouche sans attendre l’autorisation de son propriétaire qui encore dans la brume du sommeil ne prend conscience de la situation que lorsqu’il sent sa queue pompée par une bouche chaude et adroite. Il reprend rapidement le dessus et en quelques mouvements se retrouve bite dressée derrière Laura, la pénètre et la laboure par petits coups secs, mais efficaces, car elle se met à gémir doucement en se cambrant plus pour que la bite d’Henry aille encore plus loin.
Devant elle, il y a la fenêtre dont les stores ne sont qu’à moitié baissés ce qui permet ainsi de voir le patio, et la piscine baignés du beau soleil des caraïbes déjà levé très haut dans le ciel. Elle aperçoit Juan sortir de la maison, dans le plus simple appareil, muni d’un grand balai probablement pour nettoyer la piscine. Il a un long corps musculeux, mais harmonieux : cuisses et fesses musclées, pectoraux et épaules saillants et taillés et surtout entre ses jambes, s’agitant avec les mouvements de son corps, une queue magnifique, longue, de très jolie forme, sur une paire de couilles rondes et fermes.
L’élégance du physique de Juan est mise en valeur par les mouvements qu’il exécute pour nettoyer la piscine. Il est adroit, souple, sa musculature roule sous sa peau noire. Tout en sentant la bite d’Henry aller et venir dans sa chatte, elle fixe le ventre plat et musclé de Juan au bas duquel s’agite cette bite superbe avec laquelle elle fantasme qu’elle joue. Elle l’imagine dans sa bouche, dans sa chatte, dans son cul. L’excitation monte en elle et la jouissance s’annonce. Elle sent les couilles d’Henry frapper ses fesses de plus en plus fort et imagine que cela pourrait être celles de Juan. C’en est trop ! Elle se met à feuler avec la jouissance qui se déchaîne dans son ventre. Henry qui ne voit pas la scène de la piscine est heureux du plaisir qu’il lui donne et accélère son mouvement pour jouir à son tour le regard fixé sur les belles fesses de son épouse tout aussi excitantes pour lui que ne l’est pour elle la queue de Juan pour Laura.
Encore fatigués par le voyage et par l’amour, les deux époux se recouchent après le petit-déjeuner et c’est vers quatorze heures qu’ils descendent à la piscine pour se restaurer au bord de l’eau. Ils s’allongent nus côte à côte sous le parasol, l’ombre étant indispensable à cette heure en République Dominicaine. Lolie sort de la maison pour leur demander ce qu’ils veulent manger et boire. Elle ne porte pas de maillot et les deux époux remarquent que la nudité va très bien à cette petite femme joyeuse et vive. Elle a de jolis seins épanouis, mais fermes, un ventre plat et des fesses rondes. Entre ses jambes son entrejambe épilé dévoile une chatte séparée par deux fines lèvres foncées qui tranchent sur sa peau café. Elle ne paraît pas gênée par la nudité du couple pas plus que par la sienne. Juan toujours aussi nu plonge dans la piscine comme pour en essayer la température. Lorsqu’il ressort, l’eau produit sur son corps un effet brillant qui accentue sa musculature et Laura ne peut s’empêcher de soupirer en le regardant. Henry qui a remarqué la scène émet un petit rire compréhensif.
Après le déjeuner servi par Juan et Lolie, les mariés s’endorment sous leur grand parasol. C’est Henry qui émerge le premier et aperçoit de l’autre côté de la piscine, Juan et Lolie étendus sous un parasol. Il lui semble, la scène est un peu lointaine, que la main de Lolie caresse le sexe de Juan qui a atteint une taille plus que remarquable. À ce moment, il sent la main de Laura commencer à le branler doucement. Devant lui, Lolie est maintenant en train de sucer Juan dont la queue noire et luisante de salive est devenue énorme dans la jolie bouche de sa compagne. Laura se lève et vient se mettre à cheval sur Henry, s’empaler sur sa queue, le dos et les fesses tournées vers lui de sorte qu’elle peut voir devant elle un très joli tableau : la petite Lolie est maintenant à quatre pattes sur son matelas, la croupe levée, en train de se faire prendre par Juan. Elle regarde Laura qui se déhanche sur Henry avec un sourire complice et mutin. Les deux femmes se font face et s’excitent mutuellement. Lolie est de plus en plus ébranlée par les coups de boutoir de Juan et commence à pousser de petits cris de bonheur ce qui excite Laura et Henry dont la vue est partiellement cachée par le dos et les fesses de sa femme, mais qui, conscient de ce qui se déroule devant lui, essaie d’en voir plus. Finalement, tout le monde jouit en même temps dans un concert de gémissements. Tandis que Laura et Henry s’effondrent sur leur matelas, Lolie et Juan rentrent dans la maison.
Le lendemain à la même heure, après le déjeuner, Henry a demandé à Juan et Lolie de les rejoindre pour prendre le café ensemble près de la piscine, ce que le jeune couple accepte avec plaisir. Tout le monde est étendu sur les matelas côte à côte. Les conversations se sont arrêtées, car l’heure est à la somnolence.
Laura sur le côté regarde Lolie et pose un baiser sur ses belles lèvres. Cette dernière sourit et lui rend le baiser. Les deux femmes s’embrassent à pleine bouche, jouant longuement avec leur langue. Leurs mains s’égarent sur leurs seins et entre leurs jambes. Peau noire, peau blanche, petite femme, grande femme, entremêlées, embrassées par la force du désir. Laura prend en bouche un sein de Lolie et en aspire goulûment le bout. Puis elle descend le long de son ventre s’imprégnant de l’odeur de cette peau épicée. Puis c’est le nombril et enfin ce qu’elle cherchait, ce qu’elle attendait, la chatte de Lolie dont elle sépare les lèvres avec sa langue pour la lécher de haut en bas. Chaque fois qu’elle passe sur son clito, Lolie tressaille, comme elle tressaille quand Laura lui enfonce un puis deux doigts dans le vagin tout en continuant à la laper comme une chienne. Sa bouche est trempée de la cramouille de Lolie. Cette dernière gémit chaque fois que les doigts de Laura s’enfoncent plus loin en elle.
Les deux hommes regardent cette scène délicieuse n’osant pas intervenir. Pas encore du moins. Laura, la tête dans l’entrejambe de Lolie, saisit la queue de Juan à côté d’elle et le branle tout en continuant à lécher sa compagne. Pour ne pas être en reste, Henry prend l’un des seins de Lolie et en caresse doucement le téton très noir. Comme pour le remercier, Lolie à son tour prend sa bite en main et la caresse doucement. Dans la main de Laura, la queue de Juan est devenue énorme. Elle sort sa tête d’entre les cuisses de Lolie et la prend dans sa bouche pleine de la cramouille de sa compagne.
Elle avait tellement envie de la sucer cette queue, depuis qu’elle l’avait vue pour la première fois ! Elle la pompe avec avidité l’amenant jusqu’au fond de sa gorge. Lolie, de son côté, s’est aussi mise à sucer Henry qui est de plus en plus séduit par ce petit bout de femme tellement sexy. Il met sa main où Laura avait sa bouche et fait passer ses doigts dans la chatte gluante de Lolie. Il a soudain très envie de la prendre. Il s’étend sur elle et la pénètre en missionnaire. Il sent son ventre chaud contre le sien. Ses cuisses musclées qui entourent ses reins. Il est aux anges.
À côté de lui Laura continue ses travaux de succion de cette bite qui a atteint l’apogée de son érection. Laura est heureuse elle suce et suce et pétrit les couilles de Juan à pleine main. Puis elle se tourne et se fait prendre en levrette, la longue bite de Juan la fouillant très profondément. Que c’est bon ! Elle sent les mains du dominicain saisir ses hanches comme pour guider les coups de queue qu’il lui donne avec adresse. Il sait baiser, Juan ! Sa chatte s’ouvre encore, mouille abondamment et aspire son membre qui y coulisse de plus en plus vite. Devant elle, sur le matelas adjacent, elle voit la petite Lolie, arc-boutée au corps d’Henry, ne faisant qu’un avec lui, ses bras noués autour de son cou comme pour s’arrimer plus fort à son corps. Tout cela l’excite et elle se met à jouir très fort, suivie par Lolie qui maintenant gémit de bonheur et crie des insanités en espagnol. Les deux hommes se lâchent à leur tour et tous semblent unis par les gémissements et le plaisir qui émanent du groupe.
Les vacances des époux se poursuivent dans une atmosphère de farniente, de repos et de plaisir. Lolie et Juan sont au petit soin pour eux et une réelle amitié est née entre les deux couples.
Vers le milieu de leur séjour, Juan demande à Henry s’ils souhaitent visiter un peu plus la région et propose de les accompagner dans des restaurants et boîtes locales. Henry trouve l’idée excellente et explique à Juan que Laura aime beaucoup les jeunes hommes dominicains.
Le lendemain en toute fin d’après-midi, les deux couples sont prêts à partir pour aller dîner dans un restaurant local que Juan connaît avant d’aller danser dans une boîte fréquentée par les dominicains. Laura porte un petit short en jean très court qui moule ses fesses et souligne son pubis de manière indécente. Aux pieds, elle a chaussé des sandales à talons très hauts qui mettent en valeur ses longues jambes bronzées et musclées. Sa tenue est un appel au viol, mais lui sied à ravir. Elle a laissé libre sa belle chevelure brune qui touche presque ses épaules, lui donnant l’air d’une sauvageonne. Quand ils la découvrent, Juan et Lolie ont le souffle coupé tellement elle est sexy. Lolie n’est pas en reste et a revêtu une tenue un peu moins provocante. Elle porte une petite robe blanche courte qui tranche bien avec la peau cuivrée de ses petites jambes musclées.
Les deux couples sont devenus très amis et le dîner est joyeux. Le homard et le vin rosé aident à accroître la bonne humeur. Laura est à côté de Juan face à Henry et Lolie et la conversation va bon train à moitié en espagnol à moitié en anglais. Lolie aime entendre Laura lui parler de Paris, de la mode, de son métier. Juan raconte son enfance dans un village du nord de l’île et ses espoirs ratés dans l’équipe de football de sa région natale. Henry, qui est le plus âgé, prend du plaisir à écouter cette conversation joyeuse à laquelle Laura prend si bien part. Il sent parfois contre sa cuisse celle de Lolie le frôler et cela l’excite. Au dessert comme pour rappeler l’objet initial de la soirée il aborde le sujet :
C’est Juan qui a pris le volant. Il fait pénétrer la voiture dans un village assez typique de l’île et sans hésiter se gare devant une maison basse avec une grande terrasse. Au-dessus de la porte en lettre bleue le nom de l’établissement frappe le regard : « El Barracuda Bar ».
Après avoir laissé la voiture sur le parking de l’établissement, les deux couples entrent dans une grande pièce sombre où des baffles crachent de la bachata, la musique locale, autant que la clim un air glacé qui les saisit. Ils s’accoudent au bar. La clientèle est composée majoritairement de dominicains plutôt jeunes. Ils dévisagent les nouveaux arrivants, surtout Laura qui éveille incontestablement la sensualité des hommes. Un couple de jeunes dominicains danse dans un coin. Bien accordés, ils s’agitent en rythme sur la musique. La croupe généreuse de la fille oscille de droite à gauche ce qui fascine Henry qui ne peut en détacher son regard. Laura se retourne et fixe la salle. Un groupe de jeunes garçons est assis autour d’une table dans un coin. Laura les dévisage sans gêne. L’un d’entre eux se lève, s’approche de Laura et s’adresse à Henry dans un mauvais anglais :
Henri lui répond en souriant :
Le jeune homme prend Laura par la main et l’entraîne vers la piste où le couple continue à danser. Le jeune homme bouge bien et Laura se laisse vite emporter par le rythme. Il la colle et se frotte contre elle. Elle sent sur sa cuisse l’érection du garçon qui lui paraît très bien monté. Mais la musique prend le dessus et le couple oscille, danse, tourne. Henry contemple avec délice les danseurs bouger devant lui. Juan et Lolie vont aussi sur la piste et virevoltent avec les autres. Lorsque le morceau est terminé, le jeune homme ramène Laura près d’Henry qui lui offre une bière et entame une discussion à moitié en anglais, à moitié en espagnol.
Du fond de la salle, de la table où était assis le cavalier de Laura, un autre jeune noir s’approche. Il demande à Henry s’il peut aussi danser avec Laura, ce qu’il accepte bien volontiers. Et c’est reparti pour une autre bachata. Les uns après les autres, d’autres jeunes dominicains vont, toujours après en avoir demandé la permission à Henry, danser avec elle. Elle aura successivement quatre cavaliers. Cela l’excite. Elle serre son corps contre celui des jeunes hommes et sent leur odeur, leur sueur, leur bite tendue, dressée sous leur jean qu’ils frottent sans honte contre ses cuisses avec d’autant moins de retenue qu’elle avance délibérément son bassin pour accentuer le contact. Les mains des jeunes danseurs sur le haut de ses reins descendent parfois plus bas pour aborder le haut de ses fesses tandis que le garçon la tire vers lui pour lui faire sentir encore plus fort la vigueur de son sexe emprisonné dans son jean. Laura sent qu’elle mouille de plus en plus au contact de ces jeunes queues. Elle craint que cela ne finisse par se voir sur son short clair, entre ses cuisses. Pendant qu’elle danse, Henry s’entretient avec l’un des jeunes dominicains.
Le garçon semble hésiter, mais saisit la perche que Henry lui tend.
Le jeune homme s’éloigne et retourne vers la table où ses amis sont assis. Il revient après un conciliabule de quelques minutes.
Le groupe composé de cinq jeunes dominicains, de Juan et de Lolie se retrouve devant une maison dans un village sans nom. Henry sait qu’il prend peut-être des risques, mais les jeunes noirs ont une bonne tête et la stature et la musculature de Juan est dissuasive.
À l’intérieur le groupe est invité à rentrer dans une grande pièce meublée d’un canapé, d’une télévision et d’un buffet sans style. Le propriétaire de la maison, Miguel, met en marche un lecteur de CD qui crache sans attendre l’éternelle bachata que l’on entend partout sur l’île. Henry, Lolie et Juan restent dans un coin de la pièce. Laura se met à danser seule. L’un des garçons enlève son tee-shirt et vient onduler contre elle. Il lui met la main sur les fesses et l’embrasse dans le cou.
Les autres s’approchent et c’est une avalanche de mains qui s’abat sut elle. Très vite, elle se retrouve nue au milieu du groupe. Les bites sortent des braguettes et elle n’a que l’embarras du choix pour choisir l’une de ces magnifiques queues noires qui se dressent toutes vers elle et qui semblent réclamer que l’on s’occupe d’elles. Laura va les branler, les sucer, les lécher, puis elle va se faire prendre par la chatte, par le cul dans toutes les positions. Elle sent sur elle, sous elle, les corps chauds et musclés des jeunes dominicains qui la baisent, l’enculent, la lèchent profitant de ce corps superbe, offert à leur désir.
Dans leur coin, Lolie, Juan et Henry regardent la scène. Ce dernier est très excité. Il sent la main de Lolie venir sur sa braguette, l’ouvrir et sortir sa queue pour le branler. De son autre main, elle branle également Juan qui est aussi excité qu’Henri. Laura est assise sur la bite d’un grand garçon. Derrière elle, l’un de ses acolytes l’encule avec une queue énorme. En face d’elle, prise par les deux trous, elle suce la queue d’un troisième garçon alors que le reste de la bande se caresse en la touchant. Les premières giclées de sperme commencent à frapper son corps. En elle, les deux garçons se lâchent et crachent leur foutre dans le caoutchouc du préservatif. Et puis comme une apothéose, une grande giclée lui frappe le visage.
Du côté des spectateurs, l’excitation est aussi à son comble. Lolie s’est accroupie et suce la bite de Juan tandis que de son autre main elle branle Henry. Les deux hommes se lâchent aussi, Juan dans la bouche de Lolie et Henry sur ses seins qu’elle a sortis de son chemisier. Quand tout le monde a joui, un calme étrange règne malgré la tempête qui a précédé. Laura est étendue sur les coudes, souriante, mais sonnée par la violence des plaisirs qu’elle a ressentis. Henry s’approche d’elle et après lui avoir doucement essuyé le corps avec une serviette que Miguel est allé chercher, l’embrasse tendrement sur les lèvres.