n° 19371 | Fiche technique | 21980 caractères | 21980Temps de lecture estimé : 13 mn | 22/12/19 |
Résumé: Laura et Henry sont maintenant des amants réguliers. Henry la demande en mariage. | ||||
Critères: hh fhhh sauna exhib double sandwich fsodo partouze -fhhh | ||||
Auteur : Cortes Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Laura Chapitre 10 / 11 | Épisode suivant |
Résumé de l’épisode précédent :
Après son voyage à Madrid où elle est allée pour les besoins d’un dossier, accompagnée de Jean-Pierre, son jeune collaborateur, Laura continue à passer régulièrement ses week-ends en région bordelaise dans la propriété d’Henry, devenu son amant. Leur liaison devient plus sérieuse.
Très vite la relation de Laura avec Henry de Germont devient plus qu’une simple aventure. Est-elle amoureuse d’Henry ? Elle ne le sait pas très bien elle-même. Ce qu’elle sait c’est qu’elle se sent bien lorsqu’elle est avec lui. Elle a comme un besoin de le voir régulièrement.
Henry passe maintenant une grande partie de son temps dans sa propriété bordelaise où il peut assouvir sa passion des chevaux. Laura, quand elle, arrive à se libérer et quand ses parents acceptent de prendre les garçons pour le week-end, monte dans le TGV du vendredi soir – ou du samedi matin tôt quand elle a raté celui de la veille –, pour rejoindre son amant. Au cours de ces week-ends, elle peut se reposer après une longue semaine de travail. Elle y est traitée comme une princesse. Il y a souvent des invités et la maison dispose de tout le confort et des installations qui permettent de passer de très bons moments.
Ce week-end-là, Henry a convié deux jockeys britanniques, vedettes dans le monde des courses, afin de leur montrer son élevage de pur-sang et de leur en faire monter quelques-uns. Les deux hommes qu’Henry présente à Laura au déjeuner de ce samedi méritent d’être décrits. Jack est un petit blond à la silhouette mince. Cheveux mi-longs, bien coupés, yeux bleus, visage d’ange au nez fin, il ferait presque efféminé s’il n’avait pas un regard volontaire de petite brute des faubourgs de Londres. Bill est de petite taille comme Jack, mais il est aussi brun que ce dernier est blond. Cheveux noirs et drus coupés courts, longs favoris, nez cassé et yeux noirs. Musculeux et trapu, il pourrait être un boxeur poids plume.
Les deux hommes se lèvent pour la saluer lorsque Laura entre dans la salle à manger. Ils sont élégants, en blazer pantalon gris cravate club et parlent un français très approximatif. La conversation a lieu en anglais que tout le monde parle bien et porte sur des sujets aussi divers que les stars de la musique rock britannique des années 70 ou le Prix de l’Arc-de-Triomphe auquel Jack et Bill ont souvent participé et qu’ils ont parfois gagné. Les deux hommes sont sympathiques et volubiles. Leur accent cockney trahit leurs origines populaires, mais la fréquentation du monde des courses et des propriétaires de chevaux a affiné leurs manières.
Au cours de l’après-midi, Jack et Bill vont monter les pur-sang d’Henry et Laura reste dans sa chambre afin de se plonger dans un dossier qu’elle doit « sortir » pour le début de la semaine prochaine. Vers dix-huit heures, elle décide de faire un peu de sauna pour se détendre. Elle descend en peignoir dans le sous-sol de la maison où Henry a fait installer une salle de sport et un sauna, le tout très bien équipé. Devant la cabine, elle ôte son peignoir et entre dans la petite pièce sombre et chaude revêtue seulement d’une serviette nouée autour de ses reins. Elle aperçoit tout de suite Jack et Bill, nus comme des vers, assis côte à côte sur la marche la plus élevée du sauna. Elle ne s’attendait vraiment pas à les trouver là et n’a pas pris la peine de couvrir sa poitrine.
Les deux jockeys l’accueillent par un « Hie Laura » jovial tandis qu’elle s’assoit sur la marche du bas, perpendiculaire à celle des deux hommes. Elle ne peut s’empêcher de les détailler. Jack a un joli corps, blanc et imberbe, musculeux, mais harmonieux. Bill a une puissante musculature saillante et un torse couvert d’une épaisse toison noire. Bien entendu, elle ne peut s’empêcher de descendre son regard et est étonnée par la taille des sexes de deux garçons. Comment des hommes aussi petits peuvent-ils avoir d’aussi grosses queues ? Cette vision l’excite d’autant plus qu’ils la regardent et paraissent fixer ses seins. Il lui semble d’ailleurs que leur bite commence à gonfler, surtout celle de Bill qui est déjà à moitié levée. Laura décide de s’amuser à les provoquer.
Elle étend les jambes sur la marche de bois et laisse sa serviette descendre légèrement au-dessous de son nombril rendant ainsi visible le haut du petit ticket de métro de sa toison intime bien taillée. Elle passe ses mains sur ses seins. Puis comme si de rien n’était, enlève la serviette pour essuyer la sueur qui perle sur sa poitrine. Nue, elle s’assoit ensuite face aux deux hommes, les jambes légèrement écartées ce qui dévoile largement son sexe qu’ils fixent avec appétit. La queue de Bill est maintenant dressée vers le ciel et celle de Jack à mi-chemin. Cela n’a pas l’air de les gêner. Ils continuent à la regarder sans vulgarité, mais ouvertement. Elle se lève, et debout devant eux, essuie tout son corps avec sa serviette. Les deux garçons la regardent en souriant, leur bite est maintenant bien dressée. Comme Laura continue à s’exhiber, ils n’hésitent pas à se masturber lentement tout en contemplant son corps magnifique. Elle se rassoit et continue à les regarder sans détour en leur souriant gentiment, jambes écartées, comme pour les encourager.
À sa stupéfaction, Jack passe sa main entre les jambes de Bill et le branle avec douceur. Bill pousse un petit grognement et caresse le bas du dos de son comparse. Allant plus loin, Jack se penche sur lui et lui suce la queue tout doucement presque avec tendresse et les deux sportifs semblent chacun prendre un immense plaisir à cet exercice. Laura ne s’attendait pas à assister à cette scène. Mais cela l’excite de voir Jack sucer Bill. Elle trouve même une certaine esthétique à ce spectacle. Au bout de quelques instants, elle quitte la cabine du sauna, laissant les deux hommes poursuivre leurs caresses. Un peu plus tard Laura raconte la scène à Henry.
Le soir au dîner, Laura est la seule femme. Elle est le centre de toutes les attentions. Elle est ravissante. Elle porte une robe noire assez courte sans être provocante, mais bien décolletée. Elle s’est maquillée et à ses oreilles pendent deux anneaux d’or qui mettent en valeur par contraste le noir de jais de ses beaux cheveux qu’elle a laissés libres ce soir. La séance du sauna est présente dans les esprits. L’humeur est joyeuse. Les deux sportifs racontent des anecdotes de courses de chevaux, leurs blessures si nombreuses dans ce sport et les potins des hippodromes. Le ton devient même un peu grivois quand sont évoquées certaines liaisons dans le monde des courses. Henry a veillé à ce que l’on serve de grands bordeaux et l’on boit un peu plus que de raison. Après un excellent dîner, les convives sont appelés à passer au salon pour finir la soirée.
Les deux jockeys sont venus s’asseoir sur le canapé à côté de Laura. Ils plaisantent en anglais. Leur humeur est enjouée et joyeuse. Jack pose sa main sur la cuisse de Laura.
Henry appuyé contre la cheminée du salon, un cigare à la main regarde la scène et répond à Jack :
Comme Laura n’a rien fait pour retirer la main de son comparse, Bill à son tour de son côté caresser l’autre jambe de Laura. Cette dernière est partagée entre l’idée de se rebeller pour la forme et celle de se laisser faire. C’est la deuxième option qu’elle retient et ce d’autant plus qu’Henry, toujours appuyé à la cheminée, souriant, ne fait rien pour arrêter les travaux d’approche des deux garçons.
Henri lui répond :
Jack embrasse Laura dans le cou tandis que Bill remonte sa main sous sa robe. Laura regarde Henry d’un air interrogateur.
Les doigts de Bill, qui a poursuivi ses travaux d’exploration, s’insèrent maintenant dans l’échancrure de son petit slip, tandis que de l’autre côté, Jack pétrit ses seins qu’il a extraits de son décolleté. Elle sent qu’elle va céder. Elle pose ses mains sur les genoux de chacun des deux jockeys et remonte jusqu’à leur entrejambe. Elle perçoit sous le tissu des pantalons les queues qu’elle a vues tout à l’heure dans le sauna, bien dressées, prêtes à servir. Sa caresse accentue d’ailleurs leur rigidité.
Bill a maintenant mis un doigt dans sa chatte et Jack lui mordille un téton. Le ventre de Laura commence à prendre feu. Elle ouvre la braguette de Bill et sort sa bite en pleine érection. Elle se penche sur lui pour le sucer goulûment. Elle sent le membre dur et chaud dans sa bouche. Elle fait aller sa langue autour du gland. La queue de Bill est énorme, presque disproportionnée avec la taille de son corps. Laura en a plein la bouche, mais elle aime le contact de ce beau jeune membre bien vivant sous sa langue.
Jack derrière elle a relevé sa jupe et lui caresse les fesses à pleine main. Il s’enhardit, passe deux de ses doigts dans l’échancrure de sa culotte et les enfonce doucement dans son vagin maintenant bien humide. Puis il sort son sexe, prend les hanches de Laura qu’il met à quatre pattes et la pénètre après lui avoir ôté son slip. Il commence à aller et venir, tandis que Laura continue sa fellation sur la queue de Bill. Henry contemple toujours la scène sans bouger, impassible, tirant doucement sur son cigare. Il regarde Laura qui a affaire aux deux jeunes et belles queues et qui semble s’en tirer honorablement. Au bout de quelques minutes, Bill lance à Jack :
Jack qui continue son va-et-vient émet une moue de déception. Mais bon camarade, il s’incline. Il va se mettre à son tour devant Laura toujours à quatre pattes tandis que Bill prend sa place derrière son cul. Ils ont profité de cet intermède pour arracher leurs vêtements et se retrouvent tous les trois nus comme des vers. À son tour, Bill pénètre Laura qui ne peut éviter de pousser un petit cri lorsqu’elle sent l’énorme queue entrer en elle. Devant sa bouche, Jack lui tend sa bite et elle la gobe sans hésiter. Et tout reprend comme cela s’était arrêté quelques instants auparavant, sauf que maintenant c’est la queue de Jack qu’elle bouffe goulûment et que c’est celle de Bill qui la bourre. Les esprits et les corps commencent à s’échauffer et l’exercice est si excitant que tant les deux compères que Laura sentent monter en eux la jouissance.
Mais il est trop tôt, et pour faire diversion, Laura repousse Jack, le fait s’étendre et, se désengageant de Bill, s’assoit sur la bite de son compère, face à lui. Dans cette position elle tend son fessier à Bill et en écarte elle-même les globes pour lui dévoiler son anus rose sombre et l’inviter ainsi à lui rendre visite. Laura a envie de sentir deux queues en elle, de sentir à la fois son cul et sa charte remplis et forcés.
Henry qui a compris la manœuvre, peut-être même l’a-t-il anticipé, s’approche du trio et tend à Bill un tube de gel qu’il a sorti du tiroir d’un secrétaire empire. Après avoir enduit sa queue de gel, Bill l’approche du cul de Laura qui attend la douleur qui accompagne les premiers instants d’une sodomie, mais qui est le prix à payer pour le plaisir immense qui va suivre. Avec précaution, Bill lui pénètre le cul. Son gros membre se fraye un chemin dans l’anus de Laura qui subit d’abord en silence cette douce agression. Une fois son cul rempli, une fois que la queue de Bill a touché le fond de son ventre, elle ressent une sorte de plénitude à l’idée et aussi par la sensation qu’elle a en elle deux queues qui se touchent presque et qui ne sont séparées que par une fine membrane. Les deux hommes commencent doucement à bouger. Les bites sont maintenant des instruments d’un plaisir qui petit à petit monte en elle. Elle râle doucement et accompagne du bassin le mouvement des deux hommes.
Les mains de Bill sont accrochées à ses reins tandis que celles de Jack qui est sous elle sont sur ses épaules. Henry contemple le très beau spectacle qu’il a en face de lui. Il s’approche, tourne autour du canapé où les trois corps ondulent, emboîtés les uns dans les autres. Puis il s’approche de Laura. Il sort sa queue et se place devant elle comme pour exiger qu’elle la prenne en bouche, ce qu’elle fait d’ailleurs sans hésiter. Elle le suce maintenant goulûment, avec avidité. Elle a trois queues à sa disposition. L’une dans sa charte, l’autre dans son cul et la dernière dans la bouche. Tant les sensations que l’idée même de ce qu’elle subit ou ce qu’elle a provoqué l’excitent profondément. Elle sent le plaisir monter et sait que la jouissance est proche. Les deux Jockeys savent aussi qu’ils ne pourront pas se retenir beaucoup plus longtemps. Henry qui sent la langue de Laura sur son gland est ému par cette scène magnifique. Cette belle et grande femme brune pénétrée par tous ses orifices, ondulant du dos comme pour aller chercher plus loin la queue de l’homme qui derrière elle la sodomise ! Cette bouche qui le bouffe avec avidité !
C’est Bill qui jouit le premier dans son derrière. Il grogne et murmure des insanités en accélérant ses coups de boutoir dans l’anus de Laura. Cela provoque comme par enchaînement la jouissance de Jack qui sent la queue de Bill si proche de la sienne et qui plonge son regard dans les yeux fous de plaisir de Laura. Les deux hommes se vident en elle ce qu’elle sent malgré le rempart du caoutchouc des préservatifs. Henry se décide enfin à se laisser aussi aller. Il éjacule dans la bouche de Laura qui avale son foutre avec délectation. Elle n’est plus elle-même dans ces moments. Elle sait qu’elle va jouir très fort. Si fort qu’elle va presque perdre connaissance. Elle hurle comme une hyène en se tortillant sur la bite de Jack qui, sous elle, la pénètre encore. Derrière elle, Bill s’est retiré et contemple ce corps qui tressaille et tremble de plaisir. Il regrette presque d’avoir joui tant son émotion est grande. Henry qui a fini de se vider dans la bouche de Laura n’a pas encore eu le temps de se retirer et sent les lèvres de la jeune femme se serrer sur son gland encore tuméfié par sa fellation vigoureuse. Il la contemple avec stupéfaction. Il a rarement vu une femme jouir si fort.
Laura et Henry se voient de plus en plus fréquemment. Laura aime la présence de cet homme plus âgé qu’elle certes, mais dont elle trouve la maturité tellement séduisante. Il est à la fois dominateur, mais aussi attentif et sensible à ses souhaits, à ses besoins. Son expérience lui permet de prendre du recul sur tout ce qui pourrait les éloigner. Et par surcroît, Henry, comme elle, est un homme de plaisir. Il est dans ce domaine foncièrement altruiste. Il aime donner du plaisir autant qu’il aime en recevoir. Son expérience lui permet d’utiliser tout son art et sa science pour créer et offrir ce plaisir. Enfin il y a chez lui une part de mystère, sur ce qu’il pense réellement, ce qu’il aime et ainsi sur ce qu’il est intimement. Pudique, il parle peu de lui, de son histoire, et reste parfois silencieux des heures entières. Il a probablement beaucoup vécu. D’abord par son âge, mais aussi par les expériences nombreuses qu’il a pu faire au cours d’une vie professionnelle réussie et par d’autres aventures qu’il ne raconte jamais. Ce côté mystérieux de sa personnalité, ces silences le rendent encore plus attirant aux yeux de Laura.
Pour Henry, Laura allie d’abord une intelligence exceptionnelle au charme et à la beauté. Mais plus que cela, Laura fait partie de ces quelques femmes, il y en a très peu, qui vivent leur sexualité comme des hommes. Elle est de celles qui n’hésitent pas à « se servir » quand elles en ont envie et le reconnaissent ouvertement. C’est une amazone, une chasseresse, sûre de sa beauté et avide d’un plaisir qu’elle peut aller chercher en sortant des pratiques traditionnelles. Henry qui peut être plus qu’un autre a atteint la maturité en matière de sexualité trouve en Laura dans ce domaine une partenaire unique, comme il n’aurait probablement jamais imaginé trouver et avec laquelle il a noué une délicieuse complicité. Enfin, il est pour lui valorisant d’apparaître à ses côtés. Elle est brillante sur le plan professionnel, élégante et jolie. Il est difficile de ne pas la remarquer et de ne pas être séduit par cette grande et belle femme.
C’est ainsi qu’il la demande en mariage. Laura en est tout d’abord surprise. Elle sollicite quelques jours de réflexion. Elle essaie de mettre ses sentiments de côté et de peser le pour et le contre d’une union légitime avec Henry. Elle ne trouve pas grand-chose de négatif à opposer à ce qu’elle sentait au fond d’elle-même : elle est bien avec Henry et a très envie d’accepter la proposition. Et c’est ce qu’elle fait.
Le mariage a lieu dans la propriété d’Henry par une belle journée du mois de juin. Il n’y a pas de cérémonie religieuse puisqu’ils sont divorcés tous les deux. Après un passage à la mairie en fin de matinée, les époux ont convié leurs proches pour un déjeuner. Pas de relations professionnelles. Seulement des amis proches et quelques voisins.
Des tables ont été installées dans le parc. Le temps est magnifique. Un temps de printemps, doux et ensoleillé. Laura est radieuse, vêtue d’un tailleur clair, assez court et près du corps. Elle est perchée sur des talons qui mettent joliment en valeur ses longues jambes bronzées. Elle a tressé sa natte qui coule le long de son cou jusqu’à ses épaules. Henry, plus sobre, porte un costume sombre de bonne coupe. Les deux époux sont à la même table, comme le veut la tradition. Devant Laura, son collaborateur, le jeune Jean-Pierre lui fait face, à côté de sa fiancée, Anne, une grande brune, jolie, mais un peu suffisante. Laura se sent dévisagée par Jean-Pierre qui doit, pense-t-elle avec délice, se remémorer ce qu’elle lui a fait endurer à Madrid. Un peu plus loin, Delphine se fait ouvertement draguer par Yanick et n’est pas insensible à son charme.
À la fin du repas, l’atmosphère est détendue. Les excellents vins qui ont été servis aux convives et la douce chaleur du soleil de printemps les désinhibent et réveillent les pulsions. Des effluves de parfum et d’odeurs sensuelles entourent les femmes qui découvrent leur corps : jupes fendues sur des cuisses prometteuses, décolletés généreux, croisements de jambe exhibitionnistes ou spontanés, flambées de désirs dans le ventre des hommes.
Anne entraîne Jean Pierre dans une grange adjacente aux écuries où elle lui impose une fellation vigoureuse qu’elle lui prodigue accroupie sur ses talons, la main entre ses jambes, dans son slip, son majeur s’agitant tout entier dans sa charte. Elle avalera goulûment les giclées de foutre que son fiancé expulsera dans sa bouche. Elle ne lui demandera rien de plus et une fois qu’elle l’a bien vidangé le prenant par la main le ramènera auprès des convives.
Yanick, plus tendre, emmènera Delphine prendre l’air dans le parc où après l’avoir embrassée gentiment et tendrement, la fourrera doucement d’abord puis énergiquement, retournée contre un vieux chêne, la jupe relevée sur les reins. Delphine appréciera les grands coups de queue que Yanick lui prodiguera avec art avant de lâcher des jets de foutre en elle en grognant comme un ours. Tous deux pensent à Laura et il leur semble que derrière un buisson, elle les épie avec un sourire coquin. Delphine a déjà oublié sa rupture récente et sent qu’elle entame une nouvelle vie où plaisir et amour ne sont pas absents. Elle découvre le plaisir que peut procurer une bonne queue et pour cela elle a trouvé son compte.
Henry contemple avec satisfaction cette fin de repas de noces et apprécie la beauté des femmes, relevée par le soleil de printemps qui chauffe doucement la peau. Il sent la cuisse de Laura serrer la sienne. Il sent sa main s’insinuer entre ses jambes. Il réalise qu’elle a également passé son autre main entre les jambes de Yanick qui est revenu s’asseoir à côté d’elle. Laura aime toucher ces deux queues dont elle perçoit le raidissement dans les pantalons de ses voisins. Henry le sait et cela le fait sourire.