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n° 19444Fiche technique18548 caractères18548
Temps de lecture estimé : 11 mn
06/02/20
corrigé 05/06/21
Résumé:  Une femme mariée, hétérosexuelle, se laisse emporter avec une jeune fille...
Critères:  ff fplusag fsoumise humilié(e) voir nopéné init confession portrait -sm
Auteur : Electron  (Cérébral actif)            Envoi mini-message

Série : Retour de gala

Chapitre 02
Mon petit déjeuner avec notre nourrice

Rappel :

Nous sommes un couple marié et, pour faire face à une certaine lassitude, mon mari a décidé de suivre une thérapie nouvelle génération à laquelle j’ai été moi aussi conviée à participer. L’abstinence qui nous est proposée nous perturbe tous les deux, mon mari et moi, à un point que je n’aurais pas cru capable. Cela ne fait que de commencer…





J’ai dû me traîner au lit et m’écrouler comme une masse. Ce matin j’ai la tête lourde et peu à peu les souvenirs de la veille affluent. J’ai honte de ce qui s’est passé, je suis rêveuse, la tête sur l’oreiller. Je voudrais savoir comment mon mari s’en est sorti avec l’étudiante.


C’est inimaginable ce que je vis avec mon mari depuis qu’il est en thérapie, cette fameuse thérapeute qui applique des méthodes américaines nouvelles. Je ne le reconnais plus du tout, lui si vindicatif il y a peu de temps encore, je ne dirais pas macho, car il se forçait toujours un peu, il n’est pas un macho naturel… mais tout de même. Lui qui tentait d’afficher une nature dominante, beaucoup dans son travail d’abord, envers ses subordonnés, ses subordonnés femmes, qui plus est. Comment hier soir en est-il arrivé à se frotter contre ma jambe tel un chien ? À genoux, uniquement vêtu d’une veste de pyjama, dans le couloir et à la vue d’Anaïs ?


Je ne peux m’empêcher de sourire à ce souvenir. C’est vrai qu’à sa décharge, si je puis dire, les recommandations imposées par notre thérapeute nous sont très contraignantes. Surtout pour lui, comme je l’ai vu éjaculer hier soir sous mon soulier, la puissance de ses jets de sperme sont remontés jusqu’à son menton, je suis certaine qu’il n’aurait pas pu encore tenir toute la semaine avant le prochain rendez-vous thérapeutique.


Je sais qu’Anaïs a tout vu, j’espère qu’elle ne dira rien à ses parents que nous connaissons bien… elle est jeune et d’un naturel pudique, me semble-t-il, il faudra tout de même que je lui parle.


Quand je suis allée prendre mon petit déjeuner tout à l’Euhre dans la cuisine, j’ai trouvé mon mari habillé prêt à partir au travail. Il se dépêchait de boire son bol de café. En guise de bonjour, il m’a murmuré quelque chose d’incompréhensible. Je sentais qu’il était gêné. J’ai osé m’approcher de lui en peignoir, j’étais complètement nue au-dessous, pour lui rectifier le nœud de sa cravate. À mon étonnement, il a soulevé le menton et s’est laissé faire. J’ai eu un geste affectueux envers lui et lui ai demandé tendrement :


  • — Comment est-ce que tu t’en es tiré hier soir, avec Anaïs ?

Il ne semblait pas très à l’aise pour me répondre, il était gêné, le rouge est monté aux joues :


  • — Je ne sais plus vraiment, je me suis relevé et j’ai regagné la chambre d’amis à reculons.
  • — Elle t’a vu te relever et t’a regardé tout le temps que tu regagnais la chambre ?
  • — Oui, elle n’a pas arrêté de me fixer dans les yeux.

J’essayais d’imaginer la scène, je voulais en savoir plus.


  • — Tu as pu refermer ta veste de pyjama, au moins ?
  • — Non, je n’en ai pas eu le temps et puis…
  • — Quoi ? Raconte…

Je commençais à me rendre compte que la situation avait dû être pénible pour René, mon mari. Il ne pouvait pas tout à la fois refermer sa veste de pyjama sur les jets de sperme qu’il avait sur le torse et cacher son sexe encore tout rouge et pas complètement ramolli. Pendant que je le regardais dans les yeux, essayant de deviner ses pensées, je ne pouvais pas m’empêcher de sourire.


À ce moment-là, je sentais bien que mon mari devenait soudain vulnérable. J’ai enlacé mes bras autour de son cou et me suis collée à lui. J’avais pleinement conscience de mes seins, de mon ventre et de mes cuisses en contact direct sur sa chemise, sa ceinture et son pantalon. Et moi aussi, je me sentis devenir toute molle… je savais que j’avais chaud, je sentais que René recevait cette chaleur de femme, sa femme, de plein fouet.


Avec un long soupir que je lui renvoyais dans le cou, mes cheveux sur son oreille et sa joue j’insistais :


  • — Allez, tu peux bien me le dire, elle t’a vu tout nu ?
  • — Euh… oui, quand je me suis relevé, c’était inévitable… mais après j’ai marché à reculons en me baissant pour me cacher avec ma veste de pyjama,
  • — Elle a vu ton sexe, alors ?
  • — Oui… oui, je voyais bien qu’elle me regardait à cet endroit-là.
  • — Ohhh… comment était son regard ?
  • — Elle semblait stupéfaite, elle s’est mise à rougir, mais elle n’a pas bougé,
  • — Tu as pu commencer à débander quand même, enfin j’espère, sinon tu devais être obscène.
  • — …

Je réalisais que j’entraînais mon mari sur un terrain excitant pour tous les deux et sans pouvoir m’en empêcher. Je me faisais chatte contre son corps, je lui envoyais mon souffle au visage quand je lui parlais doucement, je lui envoyais aussi toute ma chaleur de femme.


Mon mari semblait redevenu le petit garçon qu’il était hier soir devant notre chambre. J’insistais encore :


  • — Non, sûrement que tu n’as pas eu le temps de débander, tu as dû te relever aussitôt, mais tu étais plein de sperme, je ne me souviens pas t’avoir vu éjaculer autant.
  • — Euh, oui, je coulais encore quand je me suis relevé… ça coulait encore de mon sexe…
  • — Ohh…
  • — Elle a vu ça ?
  • — Oui…
  • — Hum… Il faudra que je lui parle, il ne manquerait plus qu’elle raconte cela à ses parents, ils ne voudraient plus me parler. Je pense que je vais pouvoir la convaincre de se taire. Je vais lui dire que c’était un accident entre couples, après tout, elle est majeure et les jeunes sont émancipés de nos jours. Même si Anaïs semble plutôt timide.
  • — Oui, tu as raison, il faudrait que tu lui parles.
  • — Mon pauvre chéri, tu as dû avoir honte.
  • — Oui… j’avais honte…
  • — C’est pas grave, c’est presque normal dans ces conditions. Nous allons bien voir comment elle va réagir. Mais tu ferais mieux de partir, car elle ne va pas tarder à se lever.

J’embrassai mon mari à pleine bouche, nous étions très complices à ce moment-là, je sentais son érection sous son pantalon.

Mon mari sortait la voiture du garage lorsqu’Anaïs fit son apparition devant moi. J’avais à peine eu le temps de refaire du café, pas celui d’aller m’habiller plus décemment. Je resserrai la ceinture de mon peignoir en sachant que, ce faisant, les pointes de mes seins devenaient proéminentes sous le tissu. Elle était fraîche dans son jean taille basse et son t-shirt tendu sur sa jeune et un peu forte poitrine, mince et vive comme l’on peut être à vingt-deux ans. Je l’invitai à partager un café avec moi et lui offris du pain grillé. Assises face à face, étant moi aussi subitement intimidée, car elle me regardait d’une drôle de façon, je résolus d’aborder le sujet de la scène d’hier soir entre mon mari et moi :


  • — Je suis désolée pour ce qui s’est passé hier soir et qui t’a réveillée, Anaïs.
  • — Non, non, ne le soyez pas, ce n’est pas grave.
  • — Tu en es sûre, Anaïs ? Il s’agissait de quelque chose d’intime dans notre couple, je suis très gênée que tu aies vu ça, c’était un accident ça ne se reproduira pas.
  • — Non, je vous assure, ça ne m’a pas gênée. J’étais un peu surprise, c’est tout.
  • — Donc tu ne raconteras rien tes parents ?
  • — Non, bien sûr que non…
  • — Ça restera entre nous ?
  • — Oui, je vous assure que je ne le répéterai pas.

Anaïs me semblait sincère. La conversation lui avait empourpré les joues. Elle baissait souvent la tête vers son bol, mais quand je croisais son regard, il semblait trouble. Moi-même, je me sentais comme en apesanteur, très en confiance avec Anaïs, comme si nous nous faisions des confidences entre femmes. Elle avait juste douze ans de moins que moi. J’ai soudain souhaité m’assurer de ce que je ressentais.


Subrepticement, je redressai le torse, bombait ma poitrine et laissai s’entrouvrir les pans de mon peignoir.

Je baissai ma voix d’un ton et lui demandai :


  • — Tu as vu son… enfin tu l’as vu nu… il n’avait que sa veste de pyjama… ?
  • — Euh… oui…
  • — Il devait être très gêné ?
  • — … Oui, enfin je suppose…

Soudain j’ai eu envie de devenir obscène, je voulais choquer Anaïs pour voir sa réaction :


  • — Il coulait encore ?
  • — Quoi ?
  • — Il coulait encore, je veux dire, tu sais, ça coulait encore de son sexe ?

Anaïs baissa encore un peu plus la tête, si c’était possible, elle ne répondit pas, mais poussa un long soupir en restant immobile, comme si elle réfléchissait. Elle redressa enfin la tête et un sourire se dessina sur ses lèvres. Il fut communicatif. Moi aussi je souriais et tout à coup, nous nous sommes mises à rire toutes les deux sans plus pouvoir nous retenir. Cela dura quelque temps et j’en profitai pour laisser s’entrebâiller encore un peu plus mon peignoir sur mes seins tendus, très tendus. Je savais que mes mamelons étaient gros, elle ne pouvait pas ne pas s’en apercevoir. Peu à peu nous reprenions nos esprits, je la questionnais à nouveau :


  • — Alors, il… coulait encore ?…
  • — Oui… c’était… dégoûtant…

Nous rîmes encore. Je voulus alors faire perdurer notre complicité de femmes et je chargeai mon mari devant cette jeune personne qui n’était censée que de garder notre fille. Une excitation nouvelle grandit en moi qui me rappela le moment où je tenais mon soulier fermement appuyé sur le sexe de René la veille au soir, avec mon talon dans ses testicules…


  • — Pardonne-moi Anaïs, mais mon mari n’était pas un homme hier soir. Les hommes ne se conduisent pas comme ça, tu sais…
  • — Non je ne sais…
  • — Eh bien… tu l’apprendras… Hier soir, René ne s’est pas conduit autrement que comme un petit garçon. Tu comprends ?
  • — Oui… enfin, je crois…

Je décidai de lui en dire plus encore. Je voulais me confier à elle. Je me sentais tout à coup vulnérable, elle regardait mes seins de plus en plus souvent. D’une main distraite je jouais avec les bords de mon peignoir, j’élargissais de plus en plus le décolleté, mon audace m’entraînait comme dans une spirale. Je faisais en sorte que mes seins vibrent, je remuais les épaules quand je parlais, je les sentais bouger sous son regard, ça me plaisait de plus en plus. Anaïs semblait choquée, mais pas pressée. Je repris :


  • — Les vrais hommes sont plus… comment dire ?… directs. Je veux dire… plus offensifs… tu comprends Anaïs ?
  • — Oui, j’imagine…
  • — Et René en ce moment n’est pas comme ça, enfin je veux dire il n’est plus comme ça. Il l’était, mais c’est terminé, il suit une thérapie…
  • — Ah d’accord…
  • — Oui, et sa thérapeute lui a prescrit une longue période d’abstinence sexuelle… et hier soir il n’en pouvait plus.
  • — Je comprends mieux maintenant, dit Anaïs en relevant la tête et en me regardant dans les yeux pour la première fois avec une grande franchise.

Ce fut à mon tour d’être troublée, je savais mes seins presque découverts. Soudain j’eus honte, quelque chose en moi craqua, je voulus m’enfoncer plus encore :


  • — Pour moi non plus, ça n’est pas facile, tu sais, Anaïs. L’abstinence sexuelle est aussi difficile à supporter pour une femme, surtout une femme de mon âge, en pleine maturité.

Je gonflai encore mes seins devant elle…


  • — Je ne sais plus comment faire, parfois, Anaïs. Mon corps me dépasse, par moments je n’arrive plus à me contrôler…

Ce faisant, subrepticement, sans vraiment réaliser, j’enfonçai la petite cuillère à confiture que je tenais à la main dans mon sein, un peu en dessous, et je commençai à le soulever de cette façon. Le bout de la cuillère s’enfonça dans le moelleux de ma chair et me fit mal. J’insistai. Mon sein finit par se lever comme suspendu, tel un morceau de viande au bout d’une fourchette tenue à la verticale. Il me semblait descendre dans un sous-sol d’immeuble, toujours vêtue de mon peignoir, sombre et froid… je perdais presque le sens des réalités, mais je continuai à lui parler :


  • — Ce sont mes seins… ce sont mes seins qui me trahissent le plus souvent, si tu savais comme ils sont sensibles, Anaïs !

Sans rien dire d’autre, sans réaliser mon audace incroyable, j’ouvris complètement mon peignoir sur mon sein déformé par la petite cuillère à confiture… Anaïs le regardait fixement, véritablement captivée. Je me regardai aussi et fus stupéfaite de la grosseur de mon mamelon. Je n’arrivais plus trop à me maîtriser et je cherchai à faire ballotter mon sein en agitant la petite cuillère en dessous. J’avais mal et le lui dit :


  • — Ils me font mal aussi, Anaïs… Ça t’arrive à toi aussi ?

Anaïs hésita, mais consentit d’une voix feutrée, presque un murmure :


  • — Oui, moi aussi j’ai mal, par moments…
  • — Ils te font mal aussi, tes seins ?
  • — Oui, quelquefois…
  • — Tu as de la chance aussi, moi je dois faire abstinence… comme mon mari… Alors quelquefois, je m’en veux, je voudrais les frapper, leur faire mal… tu comprends ?
  • — … Oui
  • — Tiens, Anaïs, s’il te plaît rends-moi service, il me faut me calmer… (mes paroles alors n’étaient plus que murmure, Anaïs aussi murmurait, nous n’étions plus que toutes les deux seules)… fais leur mal…
  • — …
  • — Vas-y… s’il te plaît…

Je lui donnais la cuillère à confiture et à deux mains, ouvris mon peignoir et lui exposai toute ma poitrine au-dessus de nos bols. Elle prit la cuillère et resta là, immobile. Je m’abaissai plus encore, avec une honte indescriptible.


  • — S’il te plaît, Anaïs, fais-leur ce que tu veux…
  • — …
  • — … Anaïs, s’il te plaît, vas-y !

Comme dans un brouillard, je vis Anaïs étendre le bras par-dessus la table et prendre mon sein gauche, tenter de prendre par en dessous mon sein gauche avec la petite cuillère à confiture. Je me laissais faire, je m’abandonnais. Nous regardions tous les deux mon sein. Soudain elle commença très lentement à relever la cuillère qui s’enfonça dans mon sein, lequel débordait… Anaïs avait pleinement conscience, me semblait-il, que la cuillère agissait comme une pique dans le moelleux de ma chair, mais elle continuait. Elle releva la tête et me regarda dans les yeux.


Je ne faisais qu’un avec elle, je commençais à avoir très mal, Anaïs continuait, j’exhalai un long soupir… Anaïs continuait… j’allais avoir une marque, c’était certain… tout à coup mon sein lui échappa. Alors, consciemment, Anaïs recommença. Nous regardions toutes les deux à nouveau mon sein déformé et sur lequel apparaissait une estafilade rouge… Anaïs s’appliquait, elle releva mon sein encore plus haut cette fois-ci, j’avais très mal, mais je me laissais faire, je m’offrais à la douleur, j’avais honte, je mouillais comme une femelle en chaleur. Anaïs recommença une troisième fois, elle semblait s’appliquer, sa bouche formait une petite grimace, elle devenait insolente… mon sein était marqué.


Soudain elle arrêta son petit jeu et se mit à tapoter doucement ma chair autour de mon mamelon. Je respirai un grand coup, observai avec elle ma chair trembloter. Devenue audacieuse, Anaïs se mit à taper plus fort, je ne pus retenir un gémissement de douleur, ma main droite comme pour me protéger, saisit mon autre sein et, presque sans m’en rendre compte, je me pinçai le téton sous les yeux d’Anaïs. Anaïs me tapait le sein gauche de plus en plus fort avec l’arrondi de la cuillère. J’avais mal, mais je me laissais faire. Mais gémissement augmentaient, je sentais qu’une grande jouissance allait m’emporter, Anaïs aussi devait le sentir. Le mal que me faisait la cuillère devint intolérable, Anaïs n’augmentait par la cadence des coups, mais seulement leur puissance, comme si elle calculait…


Nous regardions toutes les deux ma chair fragile, rougie qui tremblotait sous ses coups. Nous étions excitées toutes les deux, j’allais jouir d’un instant à l’autre. Sans réfléchir, je lui dis :


  • — Le téton… s’il te plaît, Anaïs…

Anaïs comprit. Elle avança sa main et me prit le bout de sein qu’elle pinça de plus en plus fort. Elle tourna et tira à elle. J’étais devenu grotesque, mon sein déformé, étiré, rouge vif, avec des estafilades. Anaïs me tenait bien par le téton, elle le pinçait maintenant de toutes ses forces sans le lâcher. La douleur était indescriptible. Je vis alors comme un regard de triomphe dans ses yeux, je me mis alors à jouir, emportée comme jamais je ne l’avais été auparavant.


Plus tard, je songeais, mortifiée, à tout ce que j’allais devoir raconter à notre thérapeute, laquelle n’est guère plus âgée qu’Anaïs, la nourrice de notre fille.