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Temps de lecture estimé : 18 mn
08/02/20
Résumé:  Je découvre le sexe peu à peu et j'y prends goût.
Critères:  fh hplusag jeunes extracon cocus inconnu vacances plage voiture fellation cunnilingu pénétratio confession -initiatiq -totalsexe
Auteur : Pierre Charmand  (J'aime vous lire, j'aime vous raconter.)            Envoi mini-message

Série : Ma femme m'a tout raconté, je l'ai écrit

Chapitre 01 / 05
Ma femme, sa vie

Comme beaucoup de filles de ma génération, mes parents m’avaient nommée Brigitte. En peu de temps, j’étais passée d’une ado boulotte à une jeune fille qui faisait se retourner les hommes sur son passage, et je me suis aperçu que j’aimais ça.


Étant enfin en harmonie avec mon corps, je l’explorais sous la douche ou sous les draps, et découvrais qu’il pouvait m’apporter beaucoup de plaisir. Très tôt, ma mère m’avait expliqué comment fonctionnait le corps féminin, puis celui des hommes et je vérifiais par moi-même toutes les possibilités que mon sexe pouvait me donner.


Pendant les vacances de Pâques, mon amie m’invita chez sa grand-mère à la campagne, elle était plus âgée que moi. Un après-midi, elle m’amena dans un petit bal de campagne et, pour la première fois, un garçon m’a invitée à danser. Avant la fin du premier slow, j’ai connu mon premier baiser.

D’abord des petits bisous sur la bouche, puis bouche contre bouche, puis j’ai senti sa langue passer entre mes lèvres et venir en contact avec la mienne. J’ai ouvert la bouche et répondu à son baiser, d’abord timidement, puis de plus en plus voracement.


Les jours suivants, ma copine trouvait des promenades à faire les après-midi, mais, en réalité, elle les faisait seule, me laissant avec mon flirt.

On trouva une grange remplie de foin au premier étage ; il étendit son blouson pour m’éviter le contact avec la paille et on a commencé à s’embrasser. Ses mains commencèrent à me caresser la poitrine par-dessus mes vêtements. Il me débarrassa de mon pull, puis défit les boutons de mon corsage. Une de ses mains s’incrusta sous mon soutif et entra en contact avec un de mes seins déjà érigé. Quelles sensations que cette main, par rapport aux miennes ! Il réussit à dégrafer mon soutif et à le passer au-dessus de mes seins pour s’occuper des deux à la fois. Lorsque sa bouche se posa sur l’un d’eux, j’ai cru défaillir. Mes pointes étaient dures et sensibles et chaque coup de langue m’envoyait de l’électricité dans tout le corps. J’avais la culotte inondée. Le premier jour, je lui demandai d’arrêter à ce niveau.


Je me rhabillai et m’empressai d’aller rejoindre ma copine pour lui raconter. Elle m’expliqua que lorsqu’il me caresserait le sexe, les sensations seraient encore plus fortes, que si je lui laissais y mettre la bouche, ce serait le nirvana. Elle rajouta que le jour où je me ferai sauter, je ne pourrai plus m’en passer. Toutefois, elle me conseilla de le faire uniquement lorsque je me sentirai prête.


Le lendemain après-midi, même promenade, même divergence de loisir. Mon copain m’attendait au même endroit. On retourna au plus vite à la paille. Pour plus de confort, il avait amené une couverture. On se retrouva comme la veille, étendus côte à côte, à nous embrasser. Sa langue jouait avec la mienne, sa main défaisait les boutons de mon corsage et dégrafait mon soutif, mettant à disposition de ses mains et sa bouche mes deux seins dont les bouts étaient déjà en érection.


Sa main descendit vers mon ventre, le bout de ses doigts passa sous la ceinture de mon jean. Instinctivement, je bloquai ma respiration et rentrai mon ventre, ce qui permit à sa main de s’incruster pour arriver à l’élastique de ma culotte et toucher mes premiers poils. Ma main bloqua la sienne pour empêcher sa progression.


Il m’embrassa à nouveau. Sa langue jouait avec la mienne, son baiser devenait plus profond, et son doigt reprit sa progression. Il atteignit le début de ma fente, je serrai les cuisses. Du coup, sa main ressortit, pour défaire le bouton et faire descendre la fermeture, puis repassa sous ma culotte. Ses baisers me faisaient faiblir. Sa main passa entre mes petites lèvres, ma résistance se relâcha, je desserrai mes cuisses et un doigt me pénétra.


Je ne saurais décrire la sensation que j’eus lorsque ce doigt s’empara de mon clitoris et je crois que j’eus mon premier vrai orgasme. Par moment, je plaçai ma main sur la sienne pour ralentir ses gestes, tant j’étais effrayée par les sensations qu’elle me procurait. Au bout d’un moment, je lui demandai d’arrêter et il me dit que c’était moi qui décidais.


Dès nos retrouvailles, je racontai à ma copine le détail de notre flirt, elle me dit d’y aller mollo, sinon j’allais me faire baiser rapidement et qu’en plus, je n’avais aucune contraception.


Le lendemain, même scénario : on se retrouva dans les foins, je me retrouvai rapidement le corsage et le soutif enlevés, offrant sans aucune pudeur ma poitrine en pâture à mon petit copain. Puis, comme la veille, il défit le bouton de mon jean et en ouvrit la fermeture. Sa main se posa sur ma vulve et ses doigts commencèrent à me branler le clito et la chatte. Il entreprit de faire descendre jean et culotte au niveau des genoux puis, l’accès étant complètement libre, il en profita pour découvrir tous les recoins. J’essayais d’ouvrir mes jambes, mais, avec le pantalon aux genoux, ce n’était pas évident. Je décidai d’en rester là et, comme la veille, il arrêta.


Pour ma dernière journée de vacances, je retrouvai mon amoureux et enlevai de moi-même le haut de mes vêtements. Je défis mon jean et le fis descendre sur mes mollets. Je n’osai pas me mettre nue : ces vêtements sur mes jambes m’assuraient de pouvoir les remettre en place rapidement. À nouveau, ses baisers me tournaient la tête, aidés par des mains sur ma poitrine et mon minou. Il me demanda de caresser son sexe par-dessus son pantalon, puis de le dégager de son slip et je découvris un sexe masculin réel, en érection. Instinctivement, je commençai à le caresser, puis à le branler. Il n’eut pas le temps de me prévenir. Il éjacula et son sperme tiède sortit en saccade et se répandit sur sa couverture. Un peu honteux, il arrêta tout. On se rhabilla et on partit.


C’était notre dernière rencontre.


De retour chez moi, je repris mon train-train habituel. Seules mes soirées avaient un peu changé : lorsque je me caressais, c’était en me repassant les scènes avec mon amoureux. Je retrouvais la sensation de ses baisers sur ma bouche et sur mes seins, de sa langue sur la mienne puis sur ma poitrine. Je mouillais abondamment en revivant la sensation de ses mains sur mon sexe, l’orgasme que j’avais eu lorsqu’il s’était occupé de mon clitoris, puis la découverte de son sexe, déjà dur lorsque je l’avais dégagé, qui avait encore durci lorsque je l’avais caressé, puis lorsqu’il avait éjaculé. Je regrettai que ce contact fût si bref et qu’il y ait mis fin aussi rapidement, un peu vexé.




* * *




Un jour où je me baladais avec un copain, on croisa un de ses potes. Il me le présenta. Une sensation étrange s’empara de moi : je pense que ça s’appelle un coup de foudre.

En rentrant chez moi, je demandai à ma sœur si elle le connaissait. Elle me répondit que tout le monde connaissait Nico.


Au mois de juillet, je partis deux semaines en Angleterre, dans le cadre des échanges scolaires. Nous étions une dizaine de jeunes Français, répartis dans des familles d’accueil dans la même bourgade. Le matin, nous avions quelques heures de cours d’anglais, nous étions libres les après-midi.


Dans le groupe, j’avais repéré François, du même âge que moi et beau comme un dieu. Apparemment, il m’avait aussi remarquée. En marchant côte à côte, nos mains se sont touchées et nos doigts se sont croisés. À la première occasion, il m’a prise dans ses bras et m’a embarrassée, d’abord timidement, puis de manière plus appuyée, et lorsque nos lèvres se sont entrouvertes, nos langues ont commencé à se découvrir.

Le plus difficile était de trouver un endroit pour se retrouver seuls. En attendant, on se contentait de baisers passionnés et de se balader enlacés.


Un après-midi, il ne dit que la famille qui le logeait était absente jusqu’au soir. On y alla.

On se retrouva dans sa chambre, un peu intimidés. On se regardait, puis nos bouches se retrouvèrent, puis on s’étendit sur son lit, toujours soudés par nos lèvres. Il commença à me caresser la poitrine. Il déboutonna mon corsage, défit mon soutif ; je fus rapidement dénudée jusqu’à la taille. Ses mains et sa bouche firent durcir mes seins, tendre mes tétons et mouiller ma culotte. Je le serrai très fort contre moi pour sentir au mieux sa bouche contre mes seins.


Toujours serré dans mes bras, une de ses mains descendit, glissa sur ma minijupe et atterrit sur mes cuisses avant de s’aventurer dessous pour remonter lentement jusqu’à ma culotte. Sachant ce qu’il voulait, j’écartai petit à petit mes jambes et sa main se posa à plat sur ma touffe, protégée par mon seul slip. En me regardant, il me demanda s’il pouvait continuer.


Mon baiser intense lui signifia mon acceptation. Sa main passa sous l’élastique et entra en contact avec mon minou. Elle fit glisser la culotte vers le bas. Lorsqu’elle fut au niveau de mes genoux, ne voulant pas être gênée comme la fois précédente, je lui demandai d’arrêter un instant et, rapidement, je me déchaussai et enlevai ma petite culotte. Puis je revins me blottir dans ses bras.

J’étais étendue sur le dos, le buste nu, la jupe remontée, les cuisses écartées et le minou offert. Il reposa sa main dessus et son majeur s’y glissa lentement avant de s’arrêter sur mon clito. Il le caressa par des petites touches en cercle. Je posai ma main sur la sienne lorsque je sentis mon orgasme arriver. Il attendit quelques instants. J’écartai mes jambes au maximum et son doigt s’incrusta dans mon vagin. Je soulevai mes fesses pour aller a sa rencontre.


Je décidai de m’occuper un peu de lui. Je lui enlevai son polo et passai ma main sur sa braguette. Une belle bosse déformait son pantalon et je commençai à l’ouvrir. Je le baissai un peu et son sexe apparut, tendu au maximum. Pour la seconde fois, je posai ma main sur un sexe masculin et commençai à le caresser. Je me lançai en embrassant sa poitrine puis son ventre. Ma main caressait toujours son engin et ma bouche n’était plus qu’à quelques centimètres de lui. Je m’apprêtai à poser mes lèvres sur son gland lorsque des à-coups sur son sexe m’avertirent qu’il allait éjaculer. J’eus juste le temps de me mettre sur le côté avant qu’un jet intense se répande sur son ventre.


Deuxième flirt qui éjaculait trop rapidement. Devant sa confusion, je lui dis que ce n’était pas grave et qu’on se rattraperait un autre jour, car on s’aperçut que l’horloge avait bien avancé. Les jours qui nous restaient marquèrent la fin de notre flirt. Ils ne nous permirent pas de retrouver une chambre pour terminer ce qu’on avait si bien commencé, et on a dû se contenter d’embrassades à tous moments.


Je retrouvai ma famille à mon retour, toujours avec ma virginité.




* * *




Quelques jours après la rentrée de septembre, on se retrouva à une douzaine chez un couple, pour manger un couscous, copieusement arrosé de rosé bien frais. Nico était assis à mon côté, mais il avait à sa droite sa copine du moment. Tout en mangeant et buvant, on se levait pour danser. Ayant un peu abusé du rosé, la copine de Nico sortit prendre le frais et, sans doute, évacuer le surplus d’alcool. Une série de slows commençant, Nico m’attrapa par la main et nous nous retrouvâmes dans le coin qui servait de piste de danse.


J’étais toute chose. Comme ses bras étaient autour de ma taille, je passai les miens autour de son cou. J’ignore encore comment, cinquante ans après, mais nos lèvres se collèrent et nos langues commencèrent à se découvrir. Entre chaque baiser, il me regardait en souriant.


Lorsque sa copine revint, nous étions à l’horizontale sur le canapé. Elle repartit, accompagnée de son chevalier servant, homosexuel notable. Beaucoup de copains étaient partis, cours du lendemain obligent, et il ne restait plus que le couple qui nous recevait, étalé à nos côtés sur le canapé. Ils se levèrent et regagnèrent leur chambre en nous disant de claquer la porte après notre départ.


On se retrouva seuls tous les deux, couchés sur le canapé-lit. Nico n’arrêtait pas de m’embrasser. Sa langue jouait avec la mienne, j’avais l’impression qu’on s’était toujours embrassés, tant ses baisers me semblaient familiers. Sa main avait soulevé mon pull, caressait mon ventre et arriva à mon soutif. Elle passa dessous et prit possession de mes seins, ce qui m’excita. Je commençais à mouiller sérieusement. Nico passa sa main dans mon dos pour dégrafer mon soutif. L’attache lui résistait. Elle revint devant et le fit passer au-dessus de mes seins, lui permettant ainsi de venir les sucer. Je me trouvai le pull remonté, le soutif juste en dessous. Sa bouche passait d’un sein à l’autre et, ses jambes mélangées aux miennes, je sentais son sexe en érection contre ma cuisse. Je réalisai que j’allais certainement y laisser mon pucelage, surtout lorsque sa main commença à descendre.


J’avais une minijupe et un collant, ce qui n’allait pas lui faciliter la tâche. Sa main rejoignit mes cuisses, remonta jusqu’à mon entrejambe et caressa mon sexe à travers le collant et la culotte. Elle remonta jusqu’à l’élastique et passa sous le collant et la culotte jusqu’à toucher ma fente, puis mon clitoris qu’il titilla.


Étant gêné, il remonta la main puis entraîna dans sa descente collant et culotte. Je me retrouvai pull et soutif sous le menton, collants et culotte sur les chevilles, et ma minijupe enroulée autour de la taille. Heureusement que les photos numériques n’étaient pas inventées, je m’imagine le cliché. Une fois libérée de tout ce qui la gênait, sa main reprit l’exploration de mon minou, de mon clito, de ma fente d’un bout à l’autre, de mon vagin. Il s’occupa de chaque parcelle ; j’avais les jambes entrouvertes et légèrement pliées au niveau des genoux.


Lorsqu’il s’écarta un peu en enlevant sa main, je compris qu’il ouvrait son pantalon pour dégager son sexe, il se plaça entre mes jambes et nos sexes se rapprochèrent, son gland se positionna au bord de mes lèvres. Avant qu’il me prenne, je lui demandai d’y aller doucement, car j’étais vierge. Il me pénétra lentement, me laissa m’habituer à cette présence et enfin, il donna le coup de reins qui fit de moi une femme. Je me rendis compte que j’étais en train de faire l’amour, et en plus avec Nico. Quelle sensation ! Même à la première pénétration, je n’eus pas de moment de douleur, lorsque la membrane se déchira et maintenant, à chaque aller-retour je sentais ce sexe s’enfoncer en moi. J’essayai d’écarter mes cuisses au maximum, mais mon collant et ma culotte à mi-mollet en limitaient les possibilités.


Je ne savais pas si je devais lui dire que j’étais amoureuse de lui depuis notre première rencontre, j’avais peur de passer pour une cruche. Aussi, je me contentais de le serrer très fort et de l’embrasser sans arrêt. Lorsqu’il a augmenté son rythme, j’ai su qu’il allait éjaculer et je me suis dit qu’il fallait que mes calculs sur mes périodes de fécondité soient justes.


Pour mon premier rapport sexuel, j’ai eu un orgasme lorsqu’il me caressait, mais pas pendant le coït. C’était très agréable, cette sensation nouvelle de la pénétration était fabuleuse et je venais de découvrir que passer dans l’âge adulte était merveilleux.


On se rhabilla. Comme prévu, on claqua la porte derrière nous et on partit bras dessus bras dessous jusqu’à sa voiture. Avant de se séparer, il me dit qu’il avait été étonné que je sois vierge, n’ayant à aucun moment montré une quelconque appréhension. J’ai osé lui dire que j’avais décidé que je coucherais avec lui à la première occasion, ayant décidé que ma première serait avec lui. J’ai un peu oublié de lui dire qu’avec mes deux premiers flirts, il s’en est fallu d’une éjaculation trop rapide pour que j’arrive vierge dans ses bras.


Lorsque je l’ai croisé, le lendemain, il était à nouveau avec sa copine. En décembre radio tam-tam m’informa qu’il n’était plus avec elle et j’appris qu’il serait avec ses copains le samedi suivant dans une soirée organisée par une association. Bien sûr, je m’y trouvai aussi. Lorsqu’il me vit, il vint me faire la bise et me dit dans le creux de l’oreille que j’étais très mignonne ce soir. On but un pot ensemble, je relançai sans cesse la conversation et lorsqu’une série de slows débuta, il m’amena sur la piste. Avant la fin du premier morceau, on s’embrassait. Nos lèvres se soudèrent et sa langue retrouva la mienne. Dès le premier baiser, je n’eus qu’une envie : être nue dans ses bras.


Après cette série de slows, on est resté encore un peu, mais je ne le lâchai plus et lorsqu’il me proposa de partir, je le suivis aussitôt. On partit avec sa voiture ; il s’est garé dans un coin tranquille, à l’abri de tout regard, en laissant le moteur tourner, chauffage mis à fond. Il m’a prise dans ses bras et on s’est à nouveau embrassé.


J’aurais voulu que ça ne s’arrête jamais, surtout lorsque je sentis sa main passer sous mon chemisier et se poser sur mon soutif. Elle passa dans mon dos et réussit à le défaire en un coup – il dit en rigolant qu’il s’améliorait de jour en jour – ce qui lui permit de dégager mes seins, de les caresser puis de les sucer. Des ondes de plaisir passaient de ma poitrine jusqu’à mon minou et lorsque sa main y descendit, je mouillais déjà abondamment. Ce coup-ci, il lui fallut baisser mon pantalon, mes collants et ma culotte pour accéder facilement à ma chatte. Pendant qu’il me caressait, je passai ma main sur son jean et sentis son sexe en érection, très à l’étroit. Il se dressa dès qu’il fut libéré et j’osai l’entourer de ma main.


Il se pencha par-dessus moi et actionna la manette qui inclina le dossier de mon siège. Mes pantalon, collants et culotte se retrouvèrent sur mes chevilles. Une fois sur moi, c’est ma main qui guida son sexe jusqu’à la pénétration. Il entra en entier d’un coup de rein.

Ça y est, pour la seconde fois, Nico me possédait, sa verge coulissait dans mon vagin et j’ai su que j’avais très envie qu’il recommence souvent. Nous étions seuls, Nico me baisait et je n’aurais pas laissé ma place pour tout l’or du monde. Je ressentais un immense plaisir à sentir son sexe coulisser dans le mien, mais l’inconfort du lieu ne me permit pas de jouir complètement.


Ça y est, cette fois j’étais la petite amie de Nico ! Dès qu’on était libres, on se retrouvait aussitôt. Un jour où ma maison était vide, on passa l’après-midi sous la couette. J’étais enfin entièrement nue dans ses bras et lui, nu, dans les miens. On se caressait, on s’embrassait, on faisait l’amour, mais n’ayant pas commencé notre relation sexuelle par des caresses buccales, à aucun moment il n’essaya de se faire sucer ni tenta de me faire découvrir le cunnilingus.


Il avait une chambre d’étudiant et souvent, le samedi, on allait y passer la soirée qui parfois durait… Lorsqu’il s’endormait dans mes bras, je restais des heures comme ça, heureuse de le savoir en confiance.

Je n’étais pas amoureuse, non, je l’aimais simplement. Un jour, je lui demandai pourquoi il restait avec moi, et il me répondit :



L’homme que j’aimais venait de me dire qu’il m’aimait aussi. Dès ce moment, on n’hésita plus à montrer notre amour à tout le monde. Je dis à ma mère que je couchai avec lui et, dès le lendemain, elle me fournit une contraception. Fini les calculs de périodes de fécondité ou les coïts interrompus : on pouvait faire l’amour comme on voulait.


L’été approchait et je lui annonçai que je partais quatre semaines à l’étranger, dans une famille amie de mon père qui avait une fille un peu plus âgée que moi. Le téléphone étant très cher, on n’aurait quasiment aucun contact. La veille de mon départ, on la passa au lit à faire l’amour.




* * *




Les deux premières semaines se passèrent à visiter de nombreuses villes et régions. Ensuite, avec ma nouvelle amie, on a pris le train pour aller le restant des vacances dans un centre équestre renommé. On était en pension complète, il y avait des jeunes venus des quatre coins de l’Europe.

Nous passions notre temps en groupe, selon notre niveau équestre, entre les chevaux, les calèches, la piscine ; le soir en discussions devant la télé ou devant une boisson sans alcool.


Une semaine avant la fin du séjour, on était regroupés devant le poste de télé, j’étais au fond de la salle, à côté d’un copain de vingt-cinq ans, plutôt mignon. Au bout d’un moment, il me proposa d’aller boire un soda. On discuta un peu et, au moment de repartir, il m’attrapa la main, m’attira vers lui et m’embrassa.

En manque de tendresses depuis mon départ de France, je répondis à ses baisers et sa langue fouilla ma bouche. Ensuite, sans aucune envie de résistance, je le suivis dans sa chambre. La porte aussitôt fermée, nos lèvres se retrouvèrent et on s’étendit sur le lit.


Je savais déjà que j’allais coucher avec lui. Mon corsage et mon soutif se retrouvèrent sur le sol, ses mains et sa bouche s’occupèrent de ma poitrine. Après huit mois de liaison avec Nico, la sensation de ces nouvelles lèvres sur mes seins était étrange et très excitante.

Lorsqu’il commença à ouvrir mon pantalon, c’est moi-même qui me dégageai pour enlever mes chaussures, chaussettes et pantalon. Par un excès de pudeur, je revins dans ses bras en ayant conservé ma culotte, qui se retrouva rapidement avec mon tas de vêtements. Daniel avait aussi profité de mon déshabillage pour se mettre nu.

On s’embrassa à nouveau, sa main arriva sur mon sexe et la mienne sur le sien, on se caressa mutuellement et pour notre première, les préliminaires s’arrêtèrent là. J’écartai les jambes, il vint sur moi et me pénétra. Ça y est, j’étais au lit, à faire l’amour avec un homme de vingt-cinq ans, et je trompais l’homme que j’aimais à la folie.


Cette situation était très excitante et, sous ses coups de reins, j’eus rapidement mon premier orgasme, très différent de ceux avec Nico, car avec cet amant il n’y avait pas d’amour, mais juste une attirance physique et, surtout, l’excitation de l’interdit.

On s’endormit enlacés et lorsqu’on s’éveilla, je trompai mon chéri pour la seconde fois de la nuit, et ce sans arrière-pensée.


Pendant les huit jours restants, tous les matins, je me disais que j’allais arrêter ma liaison avec Daniel, et tous les soirs j’allais passer la nuit avec lui.


La seconde nuit, je me suis mise nue immédiatement, avant de le rejoindre sous les draps. Il avait du mal à m’embrasser, car il s’était blessé la lèvre en passant sous un arbre à cheval. À part quelques baisers légers sur la bouche, seules ses mains pouvaient s’occuper de mes seins et de mon minou.

Moi, je l’embrassais dans le cou, sur la poitrine, sur le ventre, tout en lui caressant la verge. Lorsqu’elle se trouva près de ma bouche, je m’en approchai et je posai mes lèvres dessus. Je commençai par des petits bisous sur le gland, puis l’introduisis dans ma bouche avant de le sucer en entier.


Après avoir trompé Nicolas mon amour, voilà que, dès le lendemain, je faisais une fellation – une première pour moi – à mon amant, alors qu’en huit mois avec mon chéri, je ne l’avais jamais fait.


Encore une découverte merveilleuse que sentir ce sexe dans ma bouche. J’essayai de montrer à Daniel que j’étais une habituée et je pensai m’en être bien sortie. En tout cas, il eut l’air d’aimer. J’arrivais à me rendre compte de son degré d’excitation à la manière dont sa bite réagissait à mes caresses buccales. Lorsque je le sentis près de l’explosion, je me mis sur le dos. Il se positionna sur moi puis me pénétra. Il me dit être désolé de ne pouvoir me faire un cunnilingus à cause de sa blessure. Alors, pendant toute la semaine, il me caressa, je le suçai et on fit l’amour. Il me proposa de me sodomiser, mais je refusai : je ne me sentais pas prête, ni très tentée, par cette pratique.


Le dernier soir, on savait que c’était le dernier et que nos chemins se séparaient. On a baisé toute la nuit. Je l’ai laissé éjaculer dans ma bouche, j’ai recraché, car je n’ai pas trouvé extra d’avaler son sperme et on a encore refait l’amour avant de rejoindre le groupe pour les adieux.




* * *




Nico m’attendait l’aérogare ; j’étais heureuse de le retrouver. Je l’aimais toujours, malgré mes huit jours au lit avec un autre.


Dans la voiture, je lui dis que j’avais quelque chose à lui avouer et, là, je lui racontai que j’avais couché avec un autre. Il me demanda combien de fois et je lui répondis : « une seule soirée ». Il me demanda si j’étais amoureuse de l’autre, je lui expliquai que non, bien sûr, que c’était toujours lui que j’aimais. Il me répondit qu’il me comprenait, que je n’avais connu que lui et qu’il était normal d’avoir envie d’aller voir ailleurs.

Au premier feu rouge, il m’embrassa et le soir, il me fit l’amour très tendrement. Je n’ai pas osé le sucer, de peur qu’il comprenne que je l’avais fait avec mon amant de vacances.


Le lendemain, départ avec ma mère, ma sœur et une copine, pour trois semaines sur la Côte d’Azur.

Nos vacances se passaient entre shopping le matin, repas léger le midi, plage l’après-midi, petit resto le soir ou repas à l’appartement, puis pots dans une boîte, les trois-quarts en plein air.

Au bout d’une semaine, alors que je me déhanchais sur la piste, un beau mec est venu se mettre face à moi pour danser. Il me souriait, je lui souriais. Lorsque les slows ont commencé, naturellement, on a dansé ensemble et, comme à mon habitude, j’ai mis mes bras autour de son cou. Avant de connaître son prénom, on s’embrassait.

Mes lèvres s’ouvrirent et ma langue vint jouer avec la sienne : nos corps se frottèrent, jambes intercalées. Je notai que je ne le laissais pas indifférent, car je sentais son sexe bien raide contre moi.


On retourna s’asseoir, on discuta, puis il me proposa d’aller faire un tour sur la plage voisine. J’avais une petite robe d’été, un soutif, une petite culotte et des chaussures d’été, que j’enlevai pour marcher dans le sable. En galant homme, il étala son blouson sur le sable pour m’asseoir dessus, puis m’embrassa. On s’étendit avant de reprendre nos baisers.

Ne pouvant décemment pas m’enlever ma robe en ce lieu, sa main passa directement sur mes jambes puis remonta sous ma robe et rapidement atteignit ma culotte. Un doigt passa dessous entra en contact avec ma fente. J’ouvris un peu mes jambes et il put ainsi me fouiller intimement. Je soulevai mes fesses et il retira ma petite lingerie. Les jambes entrouvertes, il me doigta, caressa mon clito, revint dans la fente, s’aventura vers ma rosette, mais je l’arrêtai. Il sortit sa verge ; je commençai à la caresser.


Nous étions dans un coin retiré de la plage, à l’abri des regards et des intrusions inopinées, aussi, lorsqu’il passa entre mes jambes et que je sentis son sexe contre le mien, j’appuyai sur ses fesses et il me pénétra d’un coup. Il commença lentement, accéléra au fur et à mesure et lorsqu’il éjacula, je jouis en même temps. Je remis ma culotte avec un kleenex au fond, pour éviter que son sperme ne coule le long de mes jambes, puis je me précipitai aux toilettes pour remettre tout en ordre.


Pendant la suite du séjour, ce ne fut pas évident. Je ne pouvais pas le faire venir dans notre location : nous étions, ma sœur, la copine et moi dans la même chambre ; et lui, il était aussi en famille et ses moyens ne lui permettraient pas de prendre une chambre d’hôtel. On ne réussit à faire l’amour que deux autres fois, dans une petite pinède pas très loin, toujours tard dans la nuit. Ces deux fois, je ne pus pas me mettre nue. On fit l’amour la culotte enlevée, mais, ces deux fois, je le suçai avant qu’il me baise, sans pouvoir innover dans de nouvelles positions.


À mon retour de vacances, je contactai Nico. Lorsqu’on se vit, je lui dis que j’avais eu un nouvel amant, que je l’aimais toujours, mais que j’étais trop jeune et qu’avant de me fixer, je voulais découvrir la vie. Je voulais aussi qu’on ne se quitte pas fâchés, j’avais besoin de le voir et de savoir que je pouvais compter sur lui.



… À suivre …