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16/02/20
corrigé 05/06/21
Résumé:  J'ai cassé avec l'homme que j'aimais, je voulais profiter de la vie.
Critères:  hagé jeunes inconnu copains grossexe vacances plage boitenuit fellation cunnilingu anulingus pénétratio fsodo -totalsexe
Auteur : Pierre Charmand  (J'aime vous lire, j'aime vous raconter.)            Envoi mini-message

Série : Ma femme m'a tout raconté, je l'ai écrit

Chapitre 02 / 05
Ma femme, sa vie - Partie 2

Ma vie – Deuxième partie




Résumé de la première partie : « Ma femme, sa vie »


J’ai connu Nico, je l’ai aimé passionnément, je me suis donnée à lui. L’été suivant, je l’ai trompé, bien qu’étant toujours amoureuse, j’ai cassé, voulant profiter de ma jeunesse.



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Peu après ma rupture, Nico est parti en stage à l’autre bout de la France, on s’écrivait régulièrement, je n’étais plus avec lui, mais je ne voulais pas casser le lien, car c’était toujours l’homme de ma vie. Lors de son premier week-end dans sa famille, il y avait une boum chez moi et naturellement je l’ai invité, je fus surprise, car il avait changé de look, cheveux très courts et barbe mal taillée. Pendant la soirée, il s’embêtait, car j’étais avec des copains de mon âge qui en avaient cinq de moins que lui. Il me regardait souvent et pour lui montrer qu’on n’était plus ensemble, j’ai embrassé le premier copain qui me fit danser, du coup, il est parti se coucher.


Moi, je me retrouvai avec un nouveau petit ami et ce n’était pas celui que j’aurais choisi en temps normal. Mais bon, aux yeux de tous je ne pouvais pas en prendre un autre, ce qui fait qu’après le départ des autres, je me suis retrouvée seule avec lui puis dans mon lit et enfin en train de faire l’amour ensemble. J’ai fait le minimum, car je n’étais pas très motivée, on s’est embrassé, mis nus tous les deux, il m’a caressé le clito et la chatte puis je lui ai demandé de venir et on a baisé. Il n’a pas eu droit à une fellation, pourtant c’était devenu une habitude, sauf avec Nico, c’est une des rares fois où je n’ai pas joui avec un amant. Le lundi, je lui ai dit que j’arrêtais avec lui et du coup il m’a traité de salope, ce à quoi je lui ai répondu qu’effectivement il fallait être une grosse salope pour baiser avec un con pareil.


Le train-train était rythmé par mes horaires de fac. Lors de soirées ou sur les bancs de la fac, il m’arrivait de sortir avec un mec, parfois c’était un simple flirt, d’autres fois je le suçai et d’autres fois lorsqu’il avait de quoi recevoir, je finissais la nuit au lit avec lui, je le suçai puis lui demandai de venir sur moi. Régulièrement, je revoyais Nico depuis qu’il était revenu dans notre région et à chaque fois, on refaisait l’amour ensemble. Il me demandait si j’avais des aventures, je lui racontais et lui me parlait des siennes, surtout lorsque je connaissais sa copine, malgré tout, j’étais un peu jalouse. J’allais souvent le samedi dans la même boîte et le patron de trente-huit ans a commencé à me draguer. Il m’amena dans l’arrière-salle et m’embrassa. Sans perdre de temps, il baissa mon collant et ma culotte et me baisa, les fesses posées sur le stock de whisky.


Régulièrement les après-midi où j’étais libre, il venait me chercher ou je le retrouvais directement dans sa boîte, on a fait l’amour sur toutes les banquettes de son établissement, on se mettait à poil, je le suçai à chaque fois. Une fois où j’étais nue, il me coucha sur un des sièges, écarta mes cuisses et posa sa bouche sur ma chatte, enfin un homme s’occupait de mon sexe avec sa bouche et sa langue, j’ai su que j’aurais du mal à m’en passer. Chaque fois qu’il me dévorait la chatte, j’avais des jouissances fulgurantes et lorsqu’il me pénétrait, je repartais dans un nouvel orgasme, mon sexe n’avait plus eu aucun secret pour lui, mon clito a été sucé, aspiré et titillé de nombreuses fois.


Un soir, pendant l’ouverture de sa boîte, il m’amena dans son appartement juste au-dessus, me demanda de me déshabiller puis me baisa rapidement. Régulièrement, pendant la soirée, il montait me retrouver, un coup je le suçai, un coup il me broutait le sexe et à chaque fois me baisait. J’en ai eu marre, je me suis rhabillée, j’ai traversé sa boîte et devant tous les clients je l’ai traité de gros connard, j’ai pris ma voiture et je suis partie. Un mois plus tard, les journaux parlaient de son assassinat devant sa boîte par deux types en moto, ils n’ont jamais été retrouvés.


Mes parents ont contacté un jeune étudiant à peine plus âgé que moi pour me donner des cours. Le premier jour, on travailla normalement et dès le deuxième on s’est embrassés et retrouvés au lit ; jusqu’à la veille de mes partiels, il venait cinq jours par semaine, on commençait toujours par faire l’amour. La deuxième fois, je l’ai sucé et la troisième il s’est occupé de mon minou. Il était autant attentionné avec sa langue que pour les cours de français que pour me faire jouir, il aimait particulièrement aspirer mon clito et le téter, ensuite, il me prenait chaque jour dans une pose différente. J’ai eu tous mes partiels et mes parents l’ont félicité.


Quelques jours avant nos vacances d’été, un copain de fac est venu à la piscine avec moi, après notre baignade, on a fait l’amour dans ma chambre. Il m’a fait un cunni puis m’a baisée sans attendre que je le suce, car le temps nous manquait ; le lendemain, j’ai été voir Nicolas pour lui souhaiter de bonnes vacances et, bien sûr, on a fait l’amour, mais toujours pas de fellation ni de cunni avec lui. Deux hommes différents en vingt-quatre heures avec qui j’ai fait l’amour, c’était très excitant.


Le lendemain, départ pour Menton, avec ma mère, ma sœur et son copain. On reprit nos habitudes et en particulier d’aller boire un pot dans notre boîte habituelle dès le deuxième soir. Du haut de mon mètre soixante-dix, je me trouvais très belle surtout l’été dans mes petites robes très courtes avec juste une petite culotte et des escarpins. Au comptoir, il y avait un homme très beau, une bonne quarantaine, le charme méditerranéen. En jerkant, je me retournais sans cesse et lui souriais et il arriva vite pour danser face moi. Lors du premier slow, il m’invita à danser et on s’embrassa rapidement. Il me dit qu’il était italien, en vacances à Menton pour le mois et qu’il avait quarante-deux ans. Lorsque je lui ai dit mon âge, il a failli partir, je l’ai embrassé, je lui ai dit que j’étais majeure, qu’il n’y avait aucun problème ni pour moi ni pour ma mère qui venait d’avoir quarante-trois ans. Le soir même, j’étais dans sa chambre d’hôtel, il me fit l’amour sans trop de préliminaires ne sachant pas ce qu’il pouvait me faire.


On passa mes trois semaines de vacances ensemble. Je me suis perfectionnée en fellation, je le suçai l’après-midi et le soir, j’aimais de plus en plus les cunnilingus. Il n’hésitait pas à aller de mon clito à ma rondelle, suçait mes grandes et mes petites lèvres, revenait jouer avec sa langue à l’entrée de mon anus, il forçait ma petite étoile avec sa langue bien raide et pénétrait légèrement le conduit. Un jour, il me fit mettre à genoux, fesses offertes et jambes légèrement écartées, se pencha sur mon cul et le lécha, ses doigts assouplirent le conduit, un liquide remplaça sa salive et son gland est entré en contact avec ma rondelle, il marqua un temps d’arrêt et n’ayant aucun refus de ma part, il commença à me sodomiser. Il y allait doucement, par étapes, je sentis sa progression dans mon anus et lorsque j’ai senti son ventre sur mes fesses et ses couilles cogner sur mes cuisses, j’ai su qu’il était entré entièrement, ça y est, j’étais enculée. Dans ma tête j’employais ce terme que je trouvais salissant, mais excitant. Oui, j’avais la bite d’un italien de quarante-deux ans au fond de mon cul, c’était étrange comme sensation, je n’éprouvais pas de jouissance comme lorsqu’il me remplissait mon vagin avec son sexe, mais c’était la situation qui m’excitait.


Lorsqu’il éjacula, sentir ce jet partir dans mon anus et les soubresauts de son sexe sur mes parois faillit me faire jouir. À la fin de mes vacances, il me proposa de partir avec lui en Italie, j’avais mis Nico, l’homme que j’aimais en stand-by pour vivre ma jeunesse, ce n’était pas pour m’installer dans un pays dont j’ignorais la langue, enfin celle écrite et parlée, avec un homme de quarante-deux ans, fut-il riche et séduisant.


Au retour des vacances, mes parents divorçaient, l’ambiance était pourrie, j’oscillais entre les deux maisons. J’en voulais terriblement à mon père, car en plus il nous avait annoncé vouloir épouser sa copine pas très sympa avec ma sœur et moi. Aussi, un samedi matin où j’étais chez lui pour le week-end et seule avec un de ses amis d’environ cinquante ans, X. Sud-Américain de naissance et Français de cœur, peintre de son état. Je l’ai chauffé un max et comme c’était un « chaud lapin », il a compris le message et m’a suivie dans ma chambre. Dès la porte fermée et verrouillée, il m’a étendue sur mon lit, m’a embrassée et sa langue et venue jouer avec la mienne, il avait du savoir-faire, car elle me fouilla la bouche de partout tandis que sa main s’était emparée d’un de mes seins, lorsqu’il commença à défaire mes vêtements, il me regarda et avec son accent me dit :



Je lui ai répondu de ne pas s’inquiéter et de continuer. Je me suis retrouvée en sous-vêtements, le soutif a sauté, il s’est mis à genoux devant moi, m’a enlevé ma culotte et posa ses lèvres sur mon minou. Lorsque sa langue glissa dans ma fente pour jouer avec mon clito, j’ai eu un orgasme fulgurant, les yeux fermés, je savourais cette jouissance, lorsque je l’ai senti se placer entre mes jambes. Avant de me pénétrer, il m’a demandé si je n’étais plus vierge et si j’avais un moyen de contraception, je lui ai dit qu’il devait être le huitième et que je prenais la pilule depuis plus de deux ans. J’ai écarté les cuisses et lui ai dit de venir. Lorsque j’ai senti son gland à l’entrée de mon sexe, j’ai réalisé qu’il était monté comme un bourricot et lorsque son engin s’enfonça dans mon vagin, je me suis sentie envahie comme jamais. Punaise, quelle sensation ! Au fur et à mesure que sa bite avançait en moi, mon vagin l’absorbait à mon grand étonnement. Une fois qu’il a commencé son coït, j’ai appuyé sur ses fesses pour synchroniser ses à-coups avec mon avancée vers lui, lorsqu’il explosa en moi, j’ai joui comme jamais. On s’est retrouvés étendus sur le lit, il m’a dit d’être très discrète vis-à-vis de mon père. Il était gêné, je lui ai dit de ne pas s’en faire, que c’était un secret entre nous deux.


Le lendemain, lorsque j’ai raconté ma matinée à ma sœur, elle s’est marrée et m’a dit avoir couché avec lui trois fois et pensait que notre mère en plein divorce avait été aussi sa maîtresse. Le lundi suivant, j’ai séché mes cours à la fac l’après-midi et je suis passée dans l’atelier de mon amant, il m’a accueillie en me faisant un bisou gentil sur la bouche et en me disant de lui téléphoner avant, car il pouvait avoir des hommes ou des femmes qui posaient pour lui. J’ai mis mes bras autour de son cou et me suis excusée, il m’a soulevée comme une crêpe et m’a entraînée sur son lit, caché derrière un paravent, j’étais accrochée à son cou, mes lèvres soudées aux siennes et on s’est affalé dessus, en rien de temps. J’ai enlevé tous mes vêtements, lui avait gardé son slip, il était couché à mes côtés, je me suis penchée et j’ai fait descendre son ultime vêtement puis je me suis approchée et j’ai pu voir de près ce sexe qui m’avait fait jouir si fort. Maman ! Quelle bête ! il n’était qu’à moitié en érection et dépassait déjà tous ceux que j’avais connus bandés au maximum. Je l’ai caressé, il s’est raidi, je me suis approchée et j’ai posé mes lèvres sur le gland, il a fini de se redresser, j’ai ouvert la bouche et j’ai essayé de le sucer comme j’ai pu. Quelle impression d’avaler un dard pareil ! Ses couilles que je caressais étaient en proportion du reste. Je mouillais comme une folle, je me suis couchée et je lui ai demandé de venir me baiser.


Ce coup-ci, mon minou a englouti son sexe d’un coup, j’étais écartelée, mais ravie de le sentir en moi, avant qu’il ne jouisse, j’avais eu trois orgasmes et lorsqu’il éjacula, j’ai cru que ça allait déborder. Pendant quatre mois, je séchais souvent mes cours, il s’arrangeait pour être libre, je me donnais à lui sans remords. Un jour, j’étais nue à quatre pattes sur le lit, il était derrière moi et sa langue est venue caresser ma rosette, il écarta mes fesses, sans aucune pudeur, je lui facilitai la tâche. Il me dévora l’entrejambe de la rondelle jusqu’au clito, lorsqu’il me demanda s’il pouvait continuer, je n’ai rien répondu, mais j’ai tendu mes fesses vers lui. J’ai senti un liquide tiède se déverser sur mon cul et son gland venir frôler ma rondelle. Je lui ai dit que je n’avais pas beaucoup d’expérience de ce côté et d’y aller très doucement. Centimètre par centimètre, il avançait, repartait en arrière puis reprenait son avancée, il me dit que le gland était rentré. J’avais l’impression d’une constipation à l’envers, il est resté un moment sans bouger puis me tenant par les hanches, il a repris son avancée ; d’un coup, j’ai eu l’impression que mon cul l’acceptait et j’ai senti ses couilles sur mes cuisses. Comment il avait réussi à m’enculer avec son truc énorme ? À nouveau, la jouissance était plus cérébrale (penser que l’ami de mon père était en train de m’enculer), que physique. Je n’ai jamais pris mon pied avec la sodomie, heureusement qu’il s’occupait de mon petit clito en même temps. Quelques mois plus tard, je lui ai dit qu’il fallait que je rattrape mes cours et que je ne viendrais plus, il m’a juste dit :



Pour notre dernier après-midi, je lui ai dit qu’il pouvait faire ce qu’il voulait de moi et il a tout fait, j’ai été léchée de partout. Je me suis appliquée à mettre le maximum de son sexe dans ma bouche sans étouffer, il m’a prise dans des positions inconnues de moi et il a terminé pour, disait-il, garder un souvenir incomparable de moi, par me sodomiser. Par la suite, il est devenu très copain avec Nico redevenu mon petit ami puis mon mari, il était à notre mariage et j’ai toujours dans notre chambre un tableau qu’il a fait de moi dans une tenue assez sage. À son enterrement, trente ans plus tard, j’ai beaucoup pleuré.


Les mois suivants ont été calmes, j’ai eu quelques amants sans intérêts dont je ne me souviens plus, ni de la tête ni du sexe. L’été suivant, on retournait à Menton, Nicolas passait ses vacances avec des copains à une quarantaine de kilomètres et on décida de se voir. Le jour où il est venu avec ses copains, on a passé l’après-midi à la plage, ensuite on est tous partis dans un petit resto puis Nico réussit à persuader ses copains d’aller boire un pot avec moi et ma famille, lorsqu’il m’entraîna sur la piste, au premier slow on s’est serré l’un contre l’autre et on s’est embrassés. On est parti marcher sur la plage, main dans la main, on s’embrassait, on n’a rien fait de plus, mais on savait sans rien se dire qu’on repartait ensemble pour un long moment et qu’on n’était pas pressé.


Quatante-huit ans plus tard, on est toujours ensemble.