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Temps de lecture estimé : 11 mn
29/02/20
Résumé:  Mon mari me laissait libre, après une période de calme, je retrouve mes habitudes.
Critères:  fh ff fhh hagé nympho grossexe fsoumise massage fellation cunnilingu pénétratio double fsodo -totalsexe
Auteur : Pierre Charmand  (J'aime vous lire, j'aime vous raconter)      Envoi mini-message

Série : Ma femme m'a tout raconté, je l'ai écrit

Chapitre 05 / 05
Ma femme, sa vie - Partie 5

Résumé des épisodes précédents :

J’ai connu mon futur mari jeune, je l’ai trompé. On a cassé pendant deux ans. Ensuite, Nico m’a autorisée à prendre des amants. J’en ai profité un peu, beaucoup, passionnément… Après une période calme, je renoue avec mes envies.





Brigitte – Cinquième et dernière partie




Dix-sept ans sans aucun amant, régulièrement sollicitée, mais le SIDA était arrivé, j’avais beaucoup donné, bref, faire l’amour avec mon chéri me suffisait. Pourtant, il me disait régulièrement que je devrais reprendre un ou des amants, il me conseillait même d’en prendre un de régulier pour ne pas utiliser de capotes, mais le temps passait sans rien.


On a un couple d’amis, Roger et Éliane, on mange et on sort souvent ensemble, on part de temps en temps en week-end. On est partis à l’île Maurice. À la maison, il est souvent avec moi dans la cuisine, car c’est un passionné, mais depuis 1983 qu’on se connaît, rien d’équivoque jusqu’à mes cinquante-cinq ans où il m’a embrassée sur la bouche le jour de mon anniversaire. Le lendemain, merci les portables, il m’a téléphoné me proposant de se retrouver dans un bar pour discuter et la discussion s’est terminée dans une des chambres juste au-dessus.


Après dix-sept ans, ça fait très drôle de se retrouver au lit avec un amant et, qui plus est, un ami. J’ai retrouvé rapidement mes réflexes et mes sensations et sa langue m’a fait jouir très vite. Il a été mon amant pendant plus de six mois et il y a peu de temps, Nicolas m’a avoué avoir été presque au même moment l’amant d’Éliane, sa femme, et presque aussi longtemps. Donc, lorsqu’on s’est retrouvés la première fois dans cette chambre d’hôtel, on a eu un moment de gêne puis il m’a prise dans ses bras, nos bouches se sont soudées et nos langues se sont trouvées. Étendue sur le lit, j’ai senti mes vêtements disparaître un à un, lorsque j’ai ouvert les yeux, j’étais nue et Roger en caleçon à mes côtés, sa bouche mettait mes seins en émoi et sa main atteignait ma fente, j’écartais les cuisses pour lui laisser l’accès à sa disposition. Lorsque sa bouche et sa langue ont remplacé ses doigts, j’ai eu mon premier orgasme. J’ai baissé puis enlevé son caleçon et j’ai entamé ma première fellation à mon ami qui n’était pas encore complètement mon amant, état qui changea quelques minutes plus tard lorsqu’il se positionna sur moi et me pénétra.


Physiquement, Roger et Nico ne se ressemblaient pas, Roger est plus grand, Nico plus musclé, mais leurs sexes étaient identiques et ils faisaient l’amour presque de la même manière et je jouissais autant avec l’un qu’avec l’autre. Nico savait que j’avais un amant, mais ignorait que c’était Roger, notre ami. Je savais qu’il avait une maîtresse, mais j’ignorais que c’était Éliane, notre amie et l’épouse de mon amant ; si seulement on avait osé le dire, les chassés-croisés auraient été plus faciles. Un jour où nous avions des invités, dont Roger et Éliane, lorsque Nico est venu ramener des assiettes dans la cuisine, j’étais dans les bras de mon amant, mais juste serrée. Le soir, Nico m’a demandé si je couchais avec lui et je n’ai pas osé dire oui.


Ce n’est qu’il y a quelques mois qu’on s’est avoué le nom de nos liaisons. Bon, donc, ce n’était pas toujours facile de trouver un moment, surtout que Nico ayant profité d’une mesure intéressante pour partir en pré-retraite, était souvent à la maison. Sitôt qu’une occasion se présentait, on en profitait. C’était très agréable de se faire manger la chatte par notre ami, lorsque je le suçais les yeux fermés, je ne pouvais dire si c’était lui où mon mari, la seule différence était qu’il avait plus envie de me sodomiser que mon chéri et je lui ai donné mon cul de temps en temps. On arrêta lorsque notre relation s’est espacée et on a retrouvé notre amitié intacte.


Fin 2011, des copains ont organisé une fête, ils prenaient leur retraite et retournaient dans leur Normandie natale. La veille de leur départ, Antoine m’a téléphoné et a demandé s’il pouvait passer, Nico était à Bordeaux pour voir sa mère hospitalisée, et je lui ai dit qu’il n’y avait aucun problème. Depuis vingt ans qu’on le connaissait, je savais qu’il fantasmait sur moi et je n’ai pas été étonnée qu’il me sorte le grand jeu dès son arrivée, j’avais même été me doucher avant qu’il arrive. Après notre premier baiser, je l’ai amené directement dans une chambre, et une fois nus tous les deux, j’ai cru qu’il allait éjaculer tellement il était fébrile, aussi, je l’ai amené vers mon minou qu’il dégusta goulûment.


Je lui ai dit de prendre son temps, enfin il s’appliquait et j’ai pu jouir, ensuite, je l’ai sucé, mais pas longtemps, car je voulais qu’il vienne en moi, lorsque ce fut le cas, il avait un visage rayonnant. Il n’arrêtait de m’embrasser me disant même qu’il m’aimait. Lorsqu’il éjacula, il resta sur moi, son sexe ramolli dans ma chatte. Il m’a dit qu’il aurait dû tenter sa chance plus tôt, j’ai répondu qu’il se serait cassé les dents et qu’aujourd’hui j’avais couché avec lui parce qu’il partait le lendemain. Un mot de moi et il laissait sa femme partir seule en Normandie. Le lendemain, ils déménageaient et on ne les a plus revus.


Le soir, alors que j’allais raconter par téléphone à Nico mon après-midi de baise, il m’annonça le décès de sa maman. Le lendemain j’allais le retrouver, ensuite, il y eut les obsèques en pleines vacances de fin d’année et après, c’était un peu tard pour lui dire et il a été au courant en même temps que l’aveu de ma liaison avec notre ami Roger. À nouveau une période calme jusqu’à l’automne dernier où je suis tombée par hasard sur mon ancien amant de trente ans en arrière, le guitariste. Il m’invita à boire un pot, me raconta qu’il était divorcé, qu’il faisait toujours partie du même groupe, et que bien qu’on ne les voie plus à la télé, ils passaient souvent dans les salles de province. En me quittant, il me donna son numéro de portable en me proposant de se revoir rapidement.


Après discussion avec Nicolas, je le contactai, j’allai chez lui et bien sûr, il redevint mon amant. On savait tous les deux que si je venais ce n’était pas pour discuter et après m’avoir proposé un pot, il s’est assis à mes côtés et m’a embrassée puis m’a invitée à venir dans sa chambre. J’avais peur qu’il soit déçu de mon corps après tout ce temps, j’avais dépassé les soixante, mais il me déshabilla et me sauta dessus comme avant, c’est-à-dire en commençant par un cunnilingus qui enflamma ma chatte puis mon corps et me permis d’avoir un orgasme, je retrouvais les mêmes sensations que dans mon lointain souvenir ; comme avant, je l’amenais vers moi pour le sucer, son sexe était bien raide malgré ses soixante-dix ans, utilisait-il la pilule miracle, je n’en ai pas vu traîner. J’ai léché son gland un moment puis j’ai fait progresser sa tige au fond de ma gorge par de lents et longs allers-retours lui caressant les couilles d’une main et pressant sur ses fesses de l’autre. Je m’étendis sur le lit, l’attirai sur moi et son sexe s’est calé au fond de ma chatte.


Je l’ai regardé dans les yeux, j’ai serré par à-coups mes muscles vaginaux et il a joui. Il m’a demandé pourquoi à l’époque on n’avait pas continué de se voir, je lui ai répondu qu’il était marié et qu’il était presque toujours en tournée ou à la télé. Il m’a invitée un soir au restaurant puis à passer la soirée ensemble. N’ayant mis aucune objection, quelques jours plus tard, il m’a amenée dans un petit resto sympa puis de retour chez lui pendant qu’on discutait, un de ses amis est arrivé, il s’est assis face à nous et mon amant a commencé à me chauffer. Lorsqu’il m’a couchée sur le canapé, le corsage et le soutif dégriffés, et que sa main est passée sous ma jupe, son ami nous a rejoints, il s’est placé entre mes jambes, a baissé mon collant et mon string et a mis ses lèvres sur mon abricot. À partir de ce moment, j’ai su que j’allais laisser mon amant et son ami me baiser ensemble.


Une fois nue, mon amant m’a amené dans sa chambre, son pote s’est mis nu et est venu m’embrasser pendant que le premier se déshabillait. Je n’ai cessé d’avoir une bite dans la bouche, une langue dans mon con, en 69 sur l’un, moi dessus, le second me pénétrait, il me semblait que la langue de celui du dessous quittait ma fente pour aller lécher le sexe de son pote. J’ignore le nombre d’orgasmes que cette soirée m’a procurés. Une fois terminé, j’ai regagné le salon et une fois prête, j’ai appelé mon « copain » et je lui ai dit que d’accord, j’avais pris plusieurs pieds, mais qu’il n’essaie pas à recommencer sans me demander mon accord préalable. Une fois à la maison, Nico voulut me faire l’amour, mais je lui ai demandé d’attendre le lendemain.


Quelques jours plus tard, mon amant m’a envoyé un long SMS d’excuse, il me demandait ce qu’il pouvait faire pour s’excuser. Je lui ai dit en premier me laisser le temps de digérer la soirée, la méthode m’avait déplue, mais le résultat non. Mes derniers trios remontaient lorsque j’avais vingt-six ans avec mon mari et son meilleur ami, j’avais beaucoup aimé, mais avec Nico parmi les deux hommes, je ne pouvais pas me libérer complètement. Lorsque son pote est devenu mon amant pendant plusieurs mois, il n’y avait aucun sentiment de mon côté et je me suis lâchée complètement. Il a utilisé mes fesses régulièrement alors que je n’étais pas spécialement amatrice. Et j’avoue avec mes deux amants de la dernière fois, ils m’ont prise un dans la chatte et l’autre dans mon cul.


Après dix jours de silence, il m’a envoyé un SMS m’invitant à un repas chez lui et me prévenait qu’il y aurait aussi une amie noire, en tout bien tout honneur. À mon arrivée, Morgane était déjà là, elle se leva pour se présenter et naturellement me fit une bise appuyée. Après un apéro décontracté, on est passé à table, le repas commandé au traiteur du coin était excellent et les vins aussi. Ensuite, on est retournés sur le canapé discuter, Morgane plaisantait beaucoup, en riant, elle posait une main sur ma cuisse â la limite de ma robe, la retirait puis la posait un peu plus haut, elle se pencha pour me dire un truc à l’oreille et passa un bras derrière mon cou et l’autre main assez haut sur ma cuisse. Mon amant, face à nous, sirotait son verre tout en nous regardant. Elle, se penchant un peu plus, déposa un bisou dans le cou puis me tourna le visage et posa ses lèvres sur les miennes.


Je ne savais pas si j’avais envie ou pas et lorsque sa langue a pénétré ma bouche, j’ai répondu à son baiser et nos langues se sont trouvées. Mon amant s’est levé, m’a tendu la main et m’a amenée dans sa chambre. Je me suis retrouvée étendue sur le lit, Morgane d’un côté et Patrick de l’autre en train de me déshabiller. Patrick m’embrassait tandis que Morgane avait les lèvres sur mes seins et une main dans ma fente et lorsque sa bouche la remplaça, j’ai joui immédiatement. J’ai sucé Patrick pendant que Morgane me léchait le clito, les petites lèvres jusqu’à effleurer ma rondelle et lorsque Patrick me baisait, Morgane m’embrasait la bouche et les seins. J’ai joui plusieurs fois et j’ai vu Morgane se caresser pour parvenir à l’orgasme, Patrick a joui deux fois et deux fois dans ma chatte.


Une fois au repos, Morgane m’avoua qu’elle était amie avec Patrick et rien d’autre, car elle était homo. Je lui ai avoué avoir fait l’amour une fois avec une amie, en trio avec mon mari. Ayant un institut d’esthétique, elle me proposa de me faire des soins avant la fermeture. La semaine suivante, elle avait préparé une ambiance intime, je me suis mise nue et elle me fit un soin très relaxant avant de s’occuper de mon corps par des caresses et des baisers dans tous les coins. J’avais les jambes écartées, Morgane sa bouche recouvrait mon sexe et sa langue fouillait mon intimité, je n’ai compris pourquoi elle se couchait sur moi que lorsque j’ai senti un gode me pénétrer, elle s’était équipée d’un gode-ceinture et me faisait l’amour avec, c’était moins bien qu’un sexe masculin, mais j’ai joui rien que de penser qu’une femme me baisait.


Mon amant, Patrick m’a recontactée après deux semaines de silence, j’ai accepté de le revoir chez lui. Pendant qu’on baisait et que j’étais très excitée, son copain et un troisième sont arrivés et je n’ai pas pu ni voulu arrêter. Et là, découverte, ils m’ont tout fait, mais se sont aussi sucés entre eux, j’ai même eu l’impression pendant qu’un me baisait que mon amant se faisait sodomiser par le troisième. Dès que j’ai retrouvé mes esprits, je me suis rhabillée et je suis partie. Depuis, je laisse ses SMS d’excuse sans réponse. Morgane m’a dit qu’il ne peut pas s’empêcher de partouzer, le succès de leur groupe dans les années 80 les a entraînés dans des dérives sexuelles qu’ils n’ont jamais plus se débarrasser, ça leur a coûté leur mariage.


Lorsque j’allais voir Morgane, ses soins esthétiques étaient très bons, ses cunnilingus fantastiques, mais seule avec elle, je n’aimais pas trop lui rouler des patins et encore moins lui manger son minou, il fallait que je sois très excitée pour que ça me plaise.


Nico l’a invitée, elle est venue dîner chez nous, ambiance décontractée, un peu de gêne ensuite lorsqu’on est partis dans une chambre. Il savait qu’il pouvait regarder ou participer à la seule condition de ne pas la toucher sexuellement. Il était sur un fauteuil et regardait, Morgane était très excitée, elle m’a dévoré la chatte comme jamais, m’a roulé patin sur patin, je répondais à tout. Je voyais Nicolas qui bandait et se caressait, je me suis mise sur ma maîtresse en 69 et au bout d’un moment, j’ai fait signe à mon chéri de venir me prendre par-dessus. Il était tellement excité qu’il a éjaculé avant de me pénétrer, du coup, dépité, il est parti se coucher dans notre chambre.


Le matin, lorsqu’on est arrivée pour le petit-déjeuner, tout était prêt, bisou sur la bouche pour moi, sur la joue pour Morgane, c’était étrange d’être avec mon mari et ma maîtresse vêtue d’un petit haut transparent et d’un string minimaliste. Lorsqu’on a été seul, Nico m’a dit être désolé de sa prestation, je lui ai dit que c’était dommage, car si j’étais sur Morgane en train de lui lécher la chatte c’était surtout pour être en position pour qu’il me baise. Il m’a répondu que ce n’était que partie remise. Aujourd’hui, nous en sommes là.


Avec le recul, ai-je des regrets ? Bien sûr que oui. En premier d’avoir cédé au président des copropriétaires, vieux con, riche, moche, imbu de sa personne. Oui, il m’a fait jouir non pas par sa manière de faire l’amour, mais par la situation dégradante dans laquelle je m’étais retrouvée. Une heure plus tôt, on m’aurait dit que j’allais le sucer, qu’il allait me faire un cunni puis me baiser, j’aurais ri de bon cœur. Un autre, le rugbyman qui ne m’a draguée et mise dans son lit qu’uniquement pour se venger de Nicolas qui lui avait piqué sa copine quelques années plus tôt, mais sur le coup, je ne le savais pas. Aucun regret avec T. l’artiste peintre de cinquante ans, ami de mon père, lorsque j’en avais dix-huit. D’abord par vengeance envers mon père et ensuite parce qu’il était monté comme un cheval et m’a fait jouir très fort à chaque fois. Le maire de la commune en banlieue parisienne lorsque j’avais vingt-cinq ans et lui soixante, pas de regret non plus. Il était charmeur, souriant, gentil, intelligent et cultivé et adorait s’occuper de mon entrejambe.


À chaque rencontre, il m’a fait jouir avec sa langue et avec son sexe, quelles que soient les positions, il prenait son temps et s’occupait de mon plaisir avant du sien. Mon italien de vingt-cinq ans de plus que moi, non plus, j’avais peu d’expérience de la fellation, je suis devenue très douée, il a été le premier à m’enculer (toujours excitant ce mot par sa vulgarité) et y a été en douceur.


Je regrette un peu ma liaison avec l’ami d’enfance de Nico parce que ça lui avait monté à la tête et que maintenant il ressemble plus à Gérard Jugnot qu’à Alain Delon jeune. Un autre, le dernier avant ma longue période de sagesse où je me suis demandé ce que je faisais là et mon dernier regret, Jean-Marc, il m’attirait physiquement, mais politiquement et intellectuellement, il me rebutait. Tous les autres, présents ou enfouis dans ma mémoire m’ont apporté du bonheur et de la jouissance et, comme disait Louis Aragon : « si c’était à refaire, je referais ce chemin ».