n° 19470 | Fiche technique | 34033 caractères | 34033Temps de lecture estimé : 21 mn | 27/02/20 |
Résumé: Changement de région, d'habitudes et de connaissances. Puis on reprend nos habitudes. | ||||
Critères: fh couplus extracon cocus inconnu vacances plage gymnastiqu fête voyage fellation cunnilingu 69 fsodo échange confession -totalsexe | ||||
Auteur : Pierre Charmand (J'aime vous lire, j'aime vous raconter) Envoi mini-message |
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Résumé des épisodes précédents :
J’ai connu Nico très jeune, je l’ai trompé plusieurs fois. Pendant deux ans, on n’était plus ensemble, puis on s’est retrouvés. Nico m’a donné l’autorisation de prendre des amants ; au début je n’en ai pas trop abusé, ensuite si. Nouvel enfant, nouvelle maison, nouvelle région, nouvelles connaissances.
Ça y est, on est installés, je venais de fêter mes vingt-neuf ans. Il y a encore pas mal de choses à faire, Paris ne s’est pas construit en un jour, notre maison non plus. Au printemps, le jardin est engazonné et la maison rangée. Avec les beaux jours, la famille et les amis « descendent » nous voir et découvrir notre nouveau cadre de vie.
Au mois de juillet, Martine et Jean-Marc sont venus passer quatre ou cinq jours chez nous. La veille de leur départ, les enfants couchés, on a habillé les deux hommes en robe longue et les femmes en robe très courte, on a mangé et picolé dans ces tenues, les hommes nous faisaient des effets de jambes. Ensuite, ils ont passé un tee-shirt et un jean et on a dansé. J’ai sorti un CD de slow, Jean-Marc m’a fait danser et Nicolas, Martine, je les voyais très serrés. J’avais mes bras autour du cou et Jean-Marc, les siennes me serraient de très près. Martine et Nicolas en étaient au même point.
Lorsque leurs lèvres se sont collées ensemble, j’étais en train d’embrasser mon cavalier, en me tournant, je voyais la main de Nico passée sous la robe de Martine. Jean-Marc me caressait la poitrine libre de soutif et je sentais mes pointes durcir sous ses mains. Lorsque j’ai entraîné Jean-Marc dans notre chambre, j’ai juste eu le temps de voir Martine enlever sa culotte et la poser sur un meuble. Entre la porte et le lit, ma robe est tombée à mes pieds et j’ai atterri sur le lit en culotte et talons hauts. Jean-Marc m’a ôté mon dernier rempart, s’est penché sur moi et sa bouche est venue se coller sur mon abricot. Les talons plantés sur le bord du lit, les cuisses ouvertes au maximum j’offrais mon entrejambe sans pudeur à mon amant. Une fois nu, il est venu se mettre en 69 sur moi et j’ai pu le sucer, retrouvant le contact de mes précédentes pipes avec lui. Après un premier orgasme, je lui ai demandé de me prendre, il m’a pénétrée, j’ai entouré ses cuisses avec mes jambes et on a entamé un coït puissant et on a joui presque en même temps.
Il m’a prise dans ses bras en me disant regretter que je ne l’aie pas empêché de se marier. Je lui ai dit que pour moi, ses relations avec sa femme étaient son problème, que j’aimais mon mari et qu’avoir des amants n’avait rien à voir. Au bout d’un moment, il a repris de la vigueur, je me suis mise à genoux et il m’a prise en levrette au moment où la porte s’ouvrait sur nos conjoints qui, nous voyant, se sont placés comme nous et on a fini en parallèle. Le lendemain, ils repartaient. L’année suivante, ils divorçaient, on a gardé le contact avec Martine et très peu avec lui.
L’hiver suivant, nous étions de sortie avec des copains récents, en boîte, un mec qui dansait en face de moi a commencé à me baratiner et au bout d’un moment, tout en me parlant dans l’oreille m’a glissé un papier dans la main où il y avait son prénom et son téléphone. Il m’a juste demandé mon prénom en me disant qu’il avait très envie de me voir dans un endroit plus calme et plus intime.
En rentrant, j’ai raconté ma rencontre à Nico, il m’a dit que je faisais ce que je voulais à condition d’en avoir envie. Le lendemain, j’ai appelé Jacques et le soir même j’étais dans son lit. Je n’étais pas très à l’aise, il ne me sauta pas dessus immédiatement. On a bu un pot, discuté un moment puis, il s’est rapproché de moi, m’a enlacée puis m’a embrassée, d’abord un peu hésitant puis lorsque sa langue a rencontré la mienne, j’ai répondu à son baiser et il m’a proposé d’aller dans sa chambre. Au fur et à mesure de ses caresses, mes vêtements se retrouvaient à nos pieds et une fois nue, j’ai entrepris de le mettre dans la même tenue.
Lorsque j’ai baissé son slip, son sexe s’est dressé devant moi et je l’ai pris en bouche, c’est toujours excitant le premier contact d’une verge dans sa bouche. Je l’ai sucé un moment puis il m’a fait m’étendre sur le côté, une jambe relevée, il s’est mis dans mon dos et m’a pénétrée. Pendant qu’il me baisait, il me caressait le clito, ce qui m’a permis d’avoir un orgasme. On ne s’est plus revus.
Quelques mois plus tard, lors d’une exposition de peinture, j’ai discuté avec l’ami d’un des peintres exposants, on a été boire un pot après le vernissage et bien sûr, il m’a proposé de nous revoir. Je n’ai pas donné de réponse de suite et quelques jours plus tard, je lui ai proposé de passer boire un pot chez nous, Nico m’avait dit qu’en son absence, sortir assez longtemps était gênant à cause des enfants. Du coup, il est venu un après-midi, il n’a pas attendu de boire un verre pour m’embrasser puis on est partis dans une chambre d’amis, j’avais des scrupules à baiser dans le lit conjugal. Lorsque je fus nue et lui en slip, avant de l’enlever il m’a dit qu’il n’était pas bien fourni par la nature. Il m’embrassait, s’occupait de ma chatte avec ses doigts et sa langue et reculait le moment de tomber son slip, aussi, j’ai pris les devants en le lui enlevant. Effectivement, ce n’était pas mon peintre brésilien et lorsque je l’ai sucé, en érection il ne devait pas de passer les 10 cm ; c’était drôle et touchant de sucer une bite en érection si petite et lorsqu’il me baisa, je le bloquais dans ma chatte et actionnais les muscles internes de mon minou pour lui faire un semblant de masturbation et pour moi, un minimum de sensation. J’ai pris mon pied lors du cunni, pas pendant le coït, mais sa gentillesse remplaçait un peu la faible grosseur de son sexe.
L’année suivante, on est parti trois semaines en vacances aux Antilles, le père du copain, âgé de presque soixante-dix ans avait un cabinet médical et finissait sa carrière gentiment. Nos amis habitaient chez lui et nous, on dormait dans une cabane en bois à 100 m de chez lui. Notre copain nous présenta un Martiniquais d’une trentaine d’années, la peau « café au lait » et les yeux bleu clair, un mélange résultant des nombreux croisements dans les îles. Son regard me transperça. Notre copain nous dit qu’il était le propriétaire de notre cabane et habitait un peu plus loin une grosse bâtisse, ancienne maison d’esclaves, restaurée en chambres d’hôtes. Deux jours avant notre départ, avec la copine on passa le voir, je lui dis que le lendemain je passerais lui régler notre location et en me fixant dans les yeux, il me dit qu’il m’accueillera seule avec grand plaisir. Je me doutais de ses intentions, car chaque fois qu’on le croisait, il ne me quittait pas des yeux et me déshabillait du regard ; il faut dire que je n’avais pas grand-chose sur le dos en général.
Le lendemain, Nicolas me dit d’en profiter, on repartait dans moins de 24 h et il savait que j’étais troublée par ce métis. Lorsque j’arrivai, il m’accueillit, me proposa un cocktail « maison » assez alcoolisé puis de visiter sa maison, chose qu’on avait déjà faite la veille, et dans une chambre, il m’attrapa la main, me prit par la taille et me roula un patin. On se mit sur le lit puis, après quelques baisers et caresses, il me dit qu’il partait se doucher. Pendant son absence, je me déshabillai et me glissai sous le drap. Il est arrivé nu avec une serviette autour de la taille et lorsqu’il passa sous le drap, elle tomba à ses pieds. Nus l’un contre l’autre, on s’est embrassés, nos langues jouaient ensemble, ses mains passaient de mes seins à ma chatte, puis restèrent dessus ou dedans. Je caressais son sexe qui était tendu au maximum et naturellement je l’ai pris en bouche pour le sucer. J’ai cru qu’il allait éjaculer aussitôt, je ralentis mes succions, mais devant la crainte de partir trop tôt, il arrêta ma pipe, écarta mes cuisses et se positionna sur moi, ses yeux bleus se plantèrent dans les miens en même temps que sa bite dans mon minou, et d’un seul coup, il fut au fond de moi. Pendant le coït, entre ses allers-retours, il s’arrêtait, on s’embrassait ou on se souriait.
Je le bloquai dans moi et avec mes muscles vaginaux j’exerçai des pressions sur sa verge. À ce rythme, il ne résista pas longtemps et un puissant jet se déversa dans ma chatte. Il se coucha â mes côtés et, voyant que je n’avais pas joui, recommença à me caresser le sexe et surtout le clito. Ses lèvres embrassèrent mes seins, mon ventre puis se placèrent sur ma vulve dégoulinante de son sperme et là, il me lécha de partout, pas gêné par ses sécrétions et ne s’arrêta que lorsqu’un orgasme me fit vibrer des pieds à la tête.
Avant de repartir, je lui confirmai notre invitation sur notre terrasse en bois le soir même pour fêter notre départ où nous serons une douzaine. Nico m’attendait sur la plage. J’ai enfilé un maillot et main dans la main, on a été se baigner. Dans l’eau jusqu’au cou, les bras autour de son cou, les jambes enroulées autour des siennes, j’ai sorti son sexe, poussé ma culotte de maillot et je l’ai introduit dans ma chatte. Dans cette position, je lui ai raconté en détail ma baise avec mon nouvel amant, on a joui en même temps.
En début d’après-midi, pendant qu’il se baignait avec nos amis, je suis passée chez le toubib chercher certaines affaires. Il me demanda si ça s’était bien passé le matin, car, connaissant la réputation de Malston, il se doutait que j’avais couché avec lui. Il s’approcha de moi, essaya de m’embrasser, mais ses quarante ans de plus que moi me firent tourner la tête, comme j’étais en maillot de bain deux-pièces, il me pelota la poitrine puis passa une main dans mon slip. Il réussit à atteindre mon clito qu’il caressa, mais rapidement, j’ai réussi à me dégager et, en allant rejoindre mon chéri, je lui ai dit :
Il s’est excusé et en partant je lui ai dit que tout le plaisir avait été pour moi. Le soir, on s’est retrouvés sur ta terrasse de notre cabanon en bois. Lorsque tout le monde commençait à partir, une jeune martiniquaise a embrassé Claude sur les lèvres et, une fois rentré, il m’a dit que mon amant et la jeune martiniquaise étaient encore là. Du coup, il est sorti leur dire de venir et pendant qu’il faisait l’amour avec la jeune femme sur la terrasse, mon amant m’a rejointe sur le lit. On s’est déshabillés et il a commencé en premier par s’occuper de mon minou. Mon clito, ma fente jusqu’à l’anus, mon vagin, tout y est passé, visités par ses doigts et par sa langue. J’ai eu plusieurs orgasmes avant qu’il ne me pénètre et, à son tour, il a joui dans ma chatte. Il me dit que c’était vraiment dommage d’avoir attendu notre dernier jour, qu’il aurait bien laissé tous les soirs sa cousine à mon mari pour profiter de moi. À regret, on leur a dit au revoir, car il nous fallait dormir, la journée du lendemain était longue. Avant de m’endormir, je refis l’amour avec Nico, quatrième fois pour moi en alternance avec mon amant et mon mari.
Après une nuit en avion et un transfert vers Nice, on retrouva nos deux filles qui nous avaient beaucoup manqué et l’après-midi, mes beaux-parents regagnaient leur appartement.
Avec une amie, nous étions à la terrasse d’un café, on nous a accostées pour nous proposer un petit rôle dans un film tourné localement quelques mois plus tard. Nos essais furent concluants. Je n’avais pas grand-chose à faire et à dire. Le dernier jour du tournage, il y a eu une fête organisée par la production, l’alcool coulait à flots, l’acteur principal était à mes côtés et me draguait ouvertement. Tard dans la nuit, il m’a pris la main et on est parti dans sa chambre. Sitôt entrés, il m’embrassa, nos vêtements volèrent et on s’étala sur le lit, nus comme des vers. Je ne suis retrouvée jambes ouvertes, et X, la tête sur mon minou en train de me faire un cunni. Incroyable, moi Brigitte, j’avais X en train de me brouter la chatte téter mon clito et me procurer un orgasme fulgurant !
Avant que j’aie eu le temps de le caresser et de le sucer, il est venu sur moi et a essayé de me baiser. Son érection n’était pas la plus remarquable du monde, il réussit tout de même à me pénétrer avec mon aide, mais rapidement il débanda. Confus, il s’est couché à mes côtés en s’excusant, mettant l’alcool en accusation. Il s’est aussitôt endormi, j’ai regagné ma chambre. Le lendemain, après le petit-déjeuner, lorsque je suis partie, il était toujours dans sa chambre à cuver son vin. Je ne l’ai plus revu à part au ciné ou à la télé.
L’été suivant, Nico ayant eu un nouveau poste plus important n’a pas pu avoir de congés et on est parti en vacances deux semaines avec Marie-Christine, la femme du cousin de Nico devenue une amie et nos enfants respectifs, quatre au total. La fille de Marie-Christine ayant quatorze ans s’occupait facilement des trois plus jeunes à condition de la laisser tranquille dans la journée, on pouvait aller boire un verre dans la soirée lorsqu’on en avait envie.
Un soir, vers une heure du matin, en rentrant on est tombé sur deux hommes de nos âges qui fermaient le bar où ils travaillaient, on discuta et comme on habitait juste à côté, on leur proposa de venir boire une bière sur notre terrasse. Nous étions face à eux, assis autour de la table extérieure, lorsque le pied du beau mec à mon goût est venu se frotter au mien. Il me demanda si je pouvais lui montrer les toilettes, il m’a suivi et, sitôt à l’intérieur, m’a serré la taille, m’a embrassée dans le cou et une de ses mains s’est posée sur mon ventre, s’est enfoncée sous ma culotte et a caressé directement mon clito. On est ressortis bras dessus bras dessous, on a dit bonne nuit aux deux autres qui nous ont vu partir se demandant comment on avait fait aussi rapidement.
On est partis vers la plage, il a étendu son blouson et sa chemise sur le sable, je me suis couchée dessus, lui à genoux devant moi. J’ai ouvert son pantalon et j’ai attaqué une fellation. De sa main disponible, il ouvrit mon pantacourt et j’ai soulevé mes fesses pour lui permettre de l’enlever avec mon string puis il s’occupa de mon minou, je mouillais comme une fontaine, et lorsqu’il mit ses lèvres dessus, j’ai joui aussitôt. J’avais le haut habillé et le bas dénudé, José était torse nu et avait le pantalon sur les genoux, il m’a baisée peu après.
Le lendemain, en fin d’après-midi, de loin il m’a fait signe, Marie-Christine a réagi au quart de tour et a demandé aux enfants qui voulait aller manger des crêpes, tout le monde a été partant sauf moi. Dès leur départ, José est arrivé, j’étais en maillot de bain une-pièce, on s’est mis à l’intérieur pour plus de discrétion, lui assis sur une chaise et moi face à lui, assise à califourchon sur lui, j’ai mis mes bras autour de son cou et je l’ai embrassé. C’était un baiser très profond, il a descendu les bretelles de mon maillot pour mettre à nu ma poitrine qu’il a caressée et sucée, ensuite, ses jambes se sont légèrement ouvertes m’obligeant à suivre le mouvement avec les miennes, il a pu glisser sa main entre nos jambes, écarter la culotte et rentrer un doigt dans ma chatte.
J’avais toujours mes bras autour de son cou, nos langues jouaient toujours ensemble et son doigt passait du clito au vagin, descendait entre les lèvres et revenait caresser le clito. Il écarta sa main, ouvrit son short et sa bite m’enfila. Il me dit de bien me cramponner autour de son cou et de passer mes jambes autour de lui lorsqu’il allait se lever, emboîté dans mon sexe, il me souleva et m’amena jusqu’au canapé où on s’étala dessus, toujours l’un dans l’autre. Il commença alors à me baiser très virilement et j’ai joui peu avant lui. On s’est rhabillés rapidement, car on ne connaissait pas la durée de la dégustation de crêpes. Lorsque la famille est rentrée, il y avait vingt minutes qu’on avait fini de baiser, j’étais présentable et en train de préparer le repas du soir. Par téléphone, j’ai raconté mon histoire à mon chéri qui m’a promis de bien me baiser à notre rencontre proche, il a bien tenu.
Avec ses nouvelles fonctions, Nicolas partait souvent en déplacements un peu partout et parfois longtemps. Avec une copine, nous nous sommes inscrites dans un club de fitness, les premières salles se créaient un peu partout ; c’était à celle qui avait la tenue la plus moulante avec toute la panoplie d’accessoires. Le prof, très bel homme, nous montrait les bons mouvements et je remarquais qu’il venait souvent me montrer allant même jusqu’à s’étendre sur moi pour me perfectionner. Un jour où nous avions chacune notre voiture, je traînai volontairement dans les vestiaires et une fois seule, je le vis arriver soi-disant pour discuter. Assis à mes côtés, il reprit des gestes pour me montrer des exercices, les arrêta m’embrassa et commença à me caresser par-dessus ma tenue. J’ai mis la main sur le survêtement, son sexe était tendu, je le libérai et commençai à le caresser. Des bruits à l’entrée de la salle nous obligèrent à interrompre ces cours particuliers. Le temps d’arriver chez moi, le téléphone sonnait, mes coordonnées étant dans ses fichiers, c’était lui et il me proposait de se voir le lendemain, son jour de repos. Mon mari n’étant pas joignable, j’ai pris la décision de l’inviter à venir chez nous en début d’après-midi, les enfants ne rentrant de l’école que vers 17 h.
Lorsqu’il est arrivé, le garage était ouvert et suivant mes conseils il a mis sa voiture directement à l’intérieur, discrétion oblige. Sitôt entré, il m’a embrassée puis je l’ai amené directement dans une chambre d’amis. Là, tout en m’embrassant, il m’a déshabillée debout au pied du lit puis a enlevé ses vêtements ne gardant qu’un caleçon. J’étais nue dans ses bras et je sentais son sexe tendu contre mon ventre. J’ai commencé à lui faire des bisous sur la poitrine puis, à genoux devant lui, sur le ventre. J’ai légèrement baissé son caleçon et son gland est apparu, je me suis penchée et j’ai posé mes lèvres dessus, le couvrant de petits baisers avant de le sucer. J’ai retiré son caleçon et j’ai sucé sa verge en entier, mes mains appuyaient sur ses fesses pour le pousser dans ma gorge, les siennes accompagnaient ma tête.
Au bout d’un moment, il se releva, me coucha sur le lit, les fesses sur le bord et me lécha la chatte. J’avais une jambe sur son épaule et l’autre pliée et inclinée. Il téta mon clito, lécha ma fente, s’aventura jusqu’à ma rondelle, mordilla doucement mes lèvres intimes puis se releva et me baisa d’un coup. À chaque poussée il venait en butée au fond de mon con, nos langues s’emmêlaient, nos sexes s’épousaient et lorsqu’il se déversa en moi, j’ai joui instantanément. Durant quelques mois, lorsque Nicolas était absent le mardi, nos enfants restant à la cantine, il arrivait en milieu de matinée directement dans notre garage, il amenait régulièrement deux repas achetés chez un traiteur et on passait la journée à faire l’amour. Je n’étais pas amoureuse, mais sexuellement, nos corps étaient en harmonie, que ce soit dans les préliminaires ou les coïts, je montais aux rideaux.
Vers la fin de notre relation, je lui ai même proposé de me sodomiser presque en remerciement des jouissances rendues. Je n’ai toujours pas spécialement aimé ça, mais il m’a enculée en y allant en douceur et c’était assez agréable de le sentir complètement dans mon anus. L’été approchant et donc les vacances, j’ai mis fin à notre liaison.
En septembre, je suis partie quelques jours à Paris chez une amie. Un copain de notre ancienne adresse avec qui je jouais au tennis et qui avait les yeux qui lui sortaient de la tête lorsqu’il me voyait en jupette, tenue à la mode pour les tenniswomen, tenait un restaurant vers Montparnasse et m’a invitée dans son établissement. Une fois son restaurant fermé, on s’est embrassés, il m’a déshabillée, couchée sur une banquette et m’a fait un timide cunnilingus qui au fur et à mesure est devenu digne d’intérêt. Une fois nu à son tour, je l’ai caressé et sucé en vain, à aucun moment son sexe n’a commencé à se durcir, impossible de tenter la moindre pénétration, du coup, on s’est rhabillés, lui très gêné, je lui ai fait une bise de copain en lui disant que ce n’était pas grave.
Un mois plus tard, il est venu passer un week-end chez nous. Le samedi, après le resto, on a été boire un verre puis on est rentrés, on a discuté encore affalé dans le salon puis on est partis se coucher, lui au premier dans une chambre d’amis. Dans le lit, Nico m’a proposé d’aller le retrouver. J’ai enfilé une petite nuisette, j’ai ouvert sa porte et me suis glissée à ses côtés, il m’a dit : et Nico ? Je lui ai dit que c’était lui qui m’a proposé, du coup il m’a prise dans ses bras, m’a embrassée et fait passer ma nuisette par-dessus la tête, comme il dormait nu, on était à égalité. Face à face on s’est embrassés, il a commencé à me caresser et j’ai senti son sexe se durcir, je suis descendue et j’ai fini de le faire bander en le suçant à ma façon. Il m’a fait passer sur lui et m’a embrassé la chatte. Enfin, il bandait dur et je pouvais lui déguster la bite en commençant par le gland puis fit coulisser sa tige dans ma gorge. Sa langue jouait avec mon clito et me léchait la fente sur toute la longueur. J’ai arrêté ma pipe le temps de ma jouissance puis je lui ai demandé de venir me baiser. Lorsqu’il me pénétra, j’ai cru qu’il allait éjaculer, mais il a réussi à se calmer pour pouvoir me faire l’amour comme j’aime qu’on me le fasse. Il aurait bien aimé me garder pour la nuit, mais nos enfants dans leurs chambres nous en empêchaient. Lorsque j’ai rejoint mon chéri dans notre lit, on a baisé ensemble avant s’endormir enlacés.
Avec une amie, nous étions en boîte de nuit un samedi soir, j’ai retrouvé un type que je connaissais ; je l’avais rencontré lors d’une invitation par une mairie pour définir le planning de la salle de spectacle, moi pour du théâtre et lui en tant que guitariste d’un groupe fort connu en ce temps-là. On a discuté et il devait partir, il me demanda mon numéro de téléphone en me disant qu’il aimerait me revoir. Ensuite, en dansant, un jeune de dix-huit ou dix-neuf ans est venu me baratiner, j’en avais alors trente-quatre, il était très mignon. Vers quatre heures du matin, on est parti tous les trois, on a déposé mon amie chez elle puis il m’a indiqué un chemin discret près de chez ses parents où j’ai garé ma voiture. Il s’est penché sur moi, on s’est embrassés, sa langue a trouvé la mienne, sa main a ouvert mon chemisier, je lui ai dit que l’attache du soutif était entre les deux bonnets et ainsi, il a pu se pencher sur mes seins et les dévorer. Sa main remonta le long de mes Dim-up et arriva facilement sur mon string qu’il fit descendre. Vu la position en voiture, j’ai dû l’aider et j’ai fini par l’enlever et le glisser dans le vide-poche de la portière. Le dossier incliné au maximum, il était penché sur moi pour m’embrasser et fouiller mon sexe. Ayant du savoir-vivre, j’ai commencé à lui caresser son sexe à travers les habits et lorsqu’il descendit son pantalon et son boxer, j’ai pu le sucer. À cet âge, la verge était raide avant de commencer à poser mes lèvres dessus et je l’ai enfournée d’un seul coup.
Voyant qu’il ne tiendrait pas longtemps, je lui ai dit de remonter son pantalon et de faire le tour de la voiture, pendant ce temps, j’ai changé de siège, il a pris ma place, j’ai incliné le mien et l’ai attiré sur moi. Malgré l’inconfort, il a réussi à se mettre entre mes jambes, je lui ai guidé le sexe et il est rentré dans ma chatte. Vu l’inconfort, car je n’ai plus seize ans, je n’ai pas réussi à prendre mon pied, mais lui s’est bien vidé au fond de moi. On s’est rhabillés, devant la voiture il m’a embrassée, m’a donné le numéro de sa mère en souhaitant me voir dans un lieu plus confortable et il est rentré chez lui à pied. C’était assez sympa, mais à la fougue de la jeunesse, je préfère l’expérience d’un amant de mon âge voire de dix ou vingt de plus.
Lorsque Nico est rentré le lendemain matin, je lui ai raconté ma séance en voiture et l’autre rencard possible, après le repas. Il est parti faire une petite sieste qui s’est transformée en baise torride lorsque j’ai été le réveiller. Le lundi matin, le « copain » guitariste m’a téléphoné, un ami lui avait prêté son studio et il était libre l’après-midi. Devant l’acceptation de Claude, je lui ai dit que j’y serais entre deux et trois heures. Il m’attendait, me fit entrer et sans perdre de temps, m’embrassa et me déshabilla, je me retrouvais nue et lui toujours habillé, il m’étendit sut le lit et partit à la découverte de mon corps, il m’embrassa chaque parcelle du cou au minou, j’ai eu l’honneur de sa langue sur le clito, tout autour, sur mes lèvres intimes et à l’entrée de mon vagin, il s’est mis nu et j’ai pu à mon tour goûter au plaisir de déguster sa tige aux dimensions respectables. On a fini bien sûr par s’emboîter nos sexes l’un dans l’autre et j’ai fini notre coït après avoir eu trois orgasmes. Quel pied d’avoir eu entre le dimanche matin quatre heures et le lundi 17 h, trois hommes complètement différents à ma disposition. J’ai jeté le numéro du jeune, ce n’est décidément pas ma tasse de thé, et j’ai attendu trente ans pour recroiser mon guitariste, mais ça, c’est une autre histoire.
Le mois suivant, mes beaux-parents sont venus garder nos filles, je partais avec Nico, il organisait pour son entreprise un séjour d’une dizaine de jours à Tahiti avec les conjoints. Dès le premier jour, des groupes se formèrent, un collaborateur proche de Nico et une jeune employée venaient toujours avec nous. Au milieu du séjour, il y avait deux jours de relâche, on est parti en avion les deux jours et une nuit à Bora-Bora avec eux, on avait réservé deux chambres avec lits doubles, une pour les femmes et une pour les hommes. Après la soirée, devant les chambres, Nico a attrapé Mireille par la main et Louis a fait de même avec moi et chaque couple est rentré dans une chambre. Louis, après m‘avoir embrassée m’a avoué avoir très envie de moi depuis le premier jour, mais sans le geste de son chef, il n’aurait jamais osé me le proposer.
Vu nos tenues, on s’est retrouvés nus rapidement, en premier il m’a embrassé les seins qu’il avait vus l’après-midi sur la plage, les suçant et tétant les bouts, puis a posé sa bouche sur mon abricot, incrustant sa langue, il m’a fait jouir avec sa langue sur le clito. La tête toujours entre mes cuisses, il s’est mis sur moi et j’ai pu découvrir sa verge et la sucer dignement en 69. Enfin, il s’est mis face à moi et m’a baisée. Jusqu’à notre retour en Métropole, et surtout dans les hôtels où il y avait nos collègues, on a passé une soirée sur deux avec nos amant et amante, mais on dormait toujours Nico et moi ensemble pour ne pas faire jaser inutilement.
J’ai revu Louis une fois vers Nice lors d’un déplacement dans la maison-mère et j’ai passé la soirée avec lui à faire l’amour. Une autre fois, Mireille a téléphoné, j’étais seule, j’ai été la chercher à son hôtel, on a fait la fête et on s’est retrouvée avec deux types chez l’un d’eux, chacune dans une chambre à se faire baiser, j’ignore leur nom.
Nicolas aimait que je raconte mes aventures sexuelles, en revanche, je n’aimais pas qu’il me raconte les siennes, aussi, il connaît presque tout de moi alors que j’ignore la grande majorité de sa vie en dehors de moi.
On « montait » régulièrement à Paris. Un soir après avoir été danser nous deux et Martine, on est venus chez elle, fraîchement divorcée de Jean-Marc, il nous restait quatre heures avant d’aller prendre l’avion. On s’est couchés dans le même lit, moi au milieu, Nico a commencé à me faire l’amour et pendant qu’il avait la tête entre mes cuisses, j’ai tourné la mienne et embrassé mon amie. Elle s’est retrouvée nue dans nos bras, on s’est embrassées, caressées, brouté le minou, Nico nous a léchées de partout, en 69 l’une sur l’autre, il nous a baisées toutes les deux. Quel pied ! Par contre, lécher un minou n’est pas mon truc, il a fallu plus de trente ans pour que je refasse l’amour avec une femme.
En général, lorsque j’allais en boîte avec une copine, si on n’avait qu’une voiture, on rentrait ensemble et je recontactai les types quelques jours plus tard. Avec une amie niçoise, je la laissai et partai chez mon futur amant ou à l’hôtel. Un jour, chez un type, pendant qu’il me baisait, il y a eu des coups à sa porte, il s’est levé, a passé un peignoir et ensuite, il y a eu une forte altercation, c’était sa copine, lorsqu’il est revenu dans la chambre, j’étais prête à partir et il a fini sa nuit seul.
L’été on allait toujours quelques jours dans un petit village savoyard, berceau de mon beau-père. Pendant une fête, je cherchai les toilettes et un ami de mon beau-père me proposa d’aller chez lui juste à côté, avant de partir, je partis à la salle de bain me laver les mains, Claude est arrivé par derrière, m’a serré la taille et s’est plaqué dans mon dos, une main est passée vers mes seins et l’autre vers mon sexe. Mon pantacourt et mon string sont vite tombés à mes chevilles et j’ai senti sa queue se frotter sur mes fesses. Je me suis appuyée sur le lavabo, jambes écartées et sa queue a envahi ma chatte. Bon, je n’ai pas joui, lui si, mais c’était tout de même très agréable. Lorsque j’ai rejoint mon chéri, vu le temps où j’ai été absente il m’a demandé si j’avais l’amour, je lui ai dit que non, que j’avais juste baisé.
Plusieurs années de suite, on est allé sur la côte atlantique, loin de la foule de la Côte d’Azur. Nico, les enfants et moi avec mon amie et cousine et ses deux enfants. Le soir lorsque tout le monde partait au lit, avec Marie-Christine on se préparait et on partait en boîte. Le patron, François discutait avec nous, deux femmes de trente-quatre ou trente-cinq ans étaient plus intéressantes que les minettes tout juste majeures. Le premier soir, Marie-Christine est repartie avec un jeune de vingt ans et le lendemain, elle m’a raconté qu’ils avaient été sur la plage pour baiser, et moi, eh bien, je suis repartie avec François, le patron, dans son appartement situé à 300 m de notre location et hop, un nouvel amant dans ma collection. Vu l’heure, la première fois, on a tout fait, mais assez rapidement, je l’ai sucé, il m’a léché la minette, m’a baisée, mais tout ça sans perdre de temps.
Le lendemain après-midi, sous prétexte d’un rendez-vous chez le médecin, j’ai passé deux heures chez lui où on a pu reprendre tout en prenant notre temps. L’été suivant, pendant de nombreux jours, pour nos enfants, j’allais trois fois par semaine chez le kiné et je fonçais rejoindre François où en général, il me baisait deux fois avant de repartir. Plusieurs fois, on l’a rencontré au moment de l’apéritif et je me retrouvais assise entre mon mari et mon amant. Un jour, il m’a dit qu’il trouvait Nicolas très sympa et était gêné de me baiser, j’ai eu beau lui dire qu’il était d’accord et au courant, il n’y a rien eu à faire. Fin de mes coïts avec lui.
Je ne me rappelle pas où, quand, ni comment j’avais invité un mec chez nous, je l’ai amené directement dans la chambre d’amis, on s’est déshabillés et mis sous la couette, après quelques patins, il m’a caressée un peu partout. Comme ça traînait, je l’ai sucé et l’ai entraîné sur moi, je l’ai guidé et poussé dans ma chatte. Pendant qu’il coïtait, je me suis demandé ce que je faisais là avec ce mec en train de me baiser. J’ai appuyé sur ses fesses et j’ai accéléré le rythme pour qu’il se vide rapidement, ensuite, je lui ai demandé de partir et j’ai décidé d’arrêter de prendre des amants jusqu’à nouvel ordre de ma part. J’avais trente-huit ans et avec le dernier, je me suis posé plein de questions et en particulier, pourquoi je l’avais fait venir dans mon lit.
Fin de la quatrième partie.