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n° 19492Fiche technique49441 caractères49441
Temps de lecture estimé : 28 mn
18/03/20
corrigé 05/06/21
Résumé:  La mini, ce fabuleux générateur de fantasmes ! Jacques et Seb en sont les victimes consentantes, pour leur plus grand plaisir.
Critères:  hh copains plage danser fête hsoumis exhib fellation hsodo sm -hhomo
Auteur : Jacques44            Envoi mini-message
La mini

Ce samedi de mai 1995, j’accompagne ma femme en ville pour quelques achats. Elle cherche un chemisier. Nous allons dans une friperie proche du centre-ville de Nantes. Il y a là quantité de fringues de tous styles, souvent populaires, souvent surprenantes, parfois marrantes. Essentiellement pour femmes.

Pendant qu’elle cherche la perle rare, je me balade dans les rayons. C’est là que je vois un rayon de minijupes sur une penderie. Il y en a bien 1 m ! Pas mal de minis en jean, certaines très courtes, certaines de taille assez large. Ça me rappelle la déflagration causée par la mini lorsqu’elle est arrivée, fin des années 60 et début 70. Ça a fait fantasmer toute une génération, dont moi, qui arrivais à la puberté en 1973. Voir ces longues jambes, imaginer …

De retour à la maison, j’y repense, et me dis que j’aimerais bien essayer une mini. Ça me trotte dans la tête toute la semaine, et la boîte à fantasmes s’emballe.


C’est décidé, le samedi suivant je retourne à la boutique pour essayer. Fin de matinée, je prends mon vélo et j’y vais, plein d’excitation.

Je retourne dans le rayon, et en choisis une en jean bleu foncé, taille 40 et très courte : 26 cm de haut, avec une braguette de 7 cm (je la mesurerai plus tard). La mini-scule ! Une déco de broderie à fils dorés genre midinette orne une des mini-poches arrières, elle est doublée à l’intérieur au niveau de la ceinture avec un joli tissu à fleurs, et est nantie de larges passants permettent de la porter avec un ceinturon. Une merveille ! Il faut que je l’essaye, je ne suis pas habitué aux tailles de jupe. Un brin provocateur, je pose la mini sur le comptoir.



J’y vais, enlève mon pantalon, et enfile sans mal la mini, qui est bien à ma taille. C’est tellement plus facile à enfiler qu’un pantalon. Je me regarde dans la glace, et j’ai le coup de foudre ! C’est sexy bien sûr, avec un côté vulgaire du fait d’être porté par un homme. Je suis brun, mais pas très poilu, mes jambes et mon cul sont mis en valeur ; ça me plaît. Par contre les chaussettes, c’est pas terrible. Je les baisse ; c’est mieux. Une bouffée de coquinerie me monte à la tête. Je repense à mes aventures champêtres avec Nico. Je sens l’érection monter, j’ai trop envie de me promener avec, m’exhiber, sentir les regards. La mini est juste assez haute pour qu’on ne voie pas le slip, mais c’est tout juste. Mais si je me penche, alors là c’est le panorama. Je sens l’afflux sanguin dans mon visage et plus bas. Je me rhabille et vais payer, tout excité. Je dois être tout rouge, mais personne ne semble le remarquer. J’en suis un peu déçu. Alors, dis à la vendeuse d’un ton un peu provocant :



La vendeuse ne fait aucun commentaire, mais me jette un regard que je ne sais interpréter : veut-il dire « vilain pervers », ou « petit coquin » ?



Cet achat est l’un des plus maquant de ma vie. J’ai vécu par la suite quelques aventures mémorables avec cette mini, notamment avec un couple de gays belges en camping naturiste, des cyclistes rencontrés sur les pistes cyclables, mes voisins Pascal et Sylvie et nos jeux de voyeur/exhib, ou encore des rencontres le soir dans des parcs et les plages. Mais je vais raconter ici la première aventure vécue, en juin 1995, alors que j’avais trente-cinq ans.


De retour à la maison, je ne peux résister à l’envie de mettre ma mini. Je m’isole pour cela dans mon atelier. Je m’amuse à la remonter, à me pencher ; je prends des photos (alors argentiques). Il faudrait que je m’équipe d’un slip sexy, plutôt que mon boxer. En dentelle noire ! Il faudra aussi que je refasse la coupe de ma toison pubienne. J’adore faire ça. Ce petit jeu m’excite, des images érotiques, tendance hard, me viennent, des pensées lubriques.


Jeudi soir, coup de fil providentiel. C’est notre ami Marion :



D’autant moins que je connais bien les fêtes chez Marion et Éric pour en avoir vécu plusieurs bien joyeuses. Et tout de suite ça fait tilt dans ma tête : mon déguisement est tout trouvé !

Je vis les deux semaines d’attente dans la fébrilité, pensant à ce que je vais mettre avec la mini, à la façon dont je vais me comporter, aux réactions que j’espère. Mais il faut d’abord que je parle à ma femme de mon déguisement. Nous sommes assez libres, et je sais qu’elle me suivra dans mon délire.



Je ne suis pas allé jusqu’à lui avouer que j’avais déjà acheté la mini.



Enfin le 20 mai arrive. Je mets ma mini sur un slip noir, des baskets blanches à l’ancienne (on disait alors des « tennis »), un T-shirt gris clair, une chemise en jean et une ceinture de cuir large. Je me rase, me coiffe « à la décoiffé » genre sauvageonne, et mets mon parfum. Devant la glace, je suis satisfait du résultat : plutôt séduisant, le mec et assez troublant, ce côté androgyne.

Cathy est tout à fait charmante avec sa tunique sur un pantalon de toile légère, sa couronne de fleurs, ses tongs.

Zut, on a zappé le cadeau de Marion. Bon, prenons au moins une bouteille. Allez, on y va !

On arrive chez Marion et Luc vers 21 h.

Ding-dong.

Grand éclat de rire quand elle vient nous ouvrir.



Elle est bien aussi, avec sa peau de mouton tout droit sortie des alpages.

On entre. Beaucoup de monde, bien une trentaine de personnes, dont je connais la plupart. Rires, félicitations, embrassades. Il y a là une belle brochette de zozos. Futals moulants à pattes d’eph’, chemises cintrées à cols pelle-à-tarte, sabots et tongs, ambiance flower-power… On sent flotter dans l’air une bonne envie de rigolade ce soir. Une première coupe de champ’.

Comme escompté, j’ai un bon petit succès, autant chez les femmes que chez les hommes. Quelques commentaires un peu égrillards, mais pas trop. Et uniquement de la part d’hommes ! Je commence à comprendre ce que vivent parfois les femmes lorsqu’elles veulent être séduisantes…

Petit à petit, l’attention se porte sur d’autres. Ouf, ça fait du bien.



Je me retourne. C’est Sébastien. Je rigole à cette blague potache. Sortie au débotté, c’est pas si mal.



Ça fait un bon bout de temps que je n’ai pas vu Seb, depuis qu’il est parti en mission en Allemagne. Il a les yeux verts, les cheveux blonds et bouclés, est mince, environ 70 kg pour 1,80 m. Il dégage une impression de bienveillance, de sérénité, d’ouverture. Sa tenue me fait penser à celles que pouvait porter David Bowie dans les années 70, un peu androgyne et futuriste, très colorée. Il a l’air un peu gauche, comme s’il avait du mal à assumer cette tenue, ce qui lui donne un côté craquant. Je suis tout de suite séduit.



Sa compagne et lui se sont séparés à leur retour d’Allemagne. D’un commun accord, dit-il. On continue à bavarder, nous raconter, plaisanter. Il a de l’humour. Je me sens tout de suite à l’aise avec lui, en confiance. On s’échange nos numéros (fixes à l’époque).

Puis je suis happé par d’autres amis.

La soirée avance. Un verre à la main, une clope, une assiette (oui, je sais, ça fait trois mains). Je rejoins un groupe d’amis assis sur le canapé. Je m’y assois aussi et prends part à la discussion animée sur un concert auquel ils ont assisté. Ma mini, déjà très courte, est encore remontée quand je me suis assis, si bien que je suis carrément très impudique, même si je serre les genoux comme le font les femmes. Je guette discrètement les regards à la dérobée, qui révèlent ceux qui les portent autant que mon penchant exhibitionniste.


Le niveau sonore monte, musique rock, funk et disco. Les femmes se mettent à danser. J’ai envie moi aussi. Pour le plaisir de danser bien sûr, mais aussi pour me montrer. J’y vais. Je prends beaucoup de plaisir à danser en mini, à sentir les regards sur moi, mes jambes et mon cul. Je me sens vraiment bien comme ça. Je vois Seb danser un peu plus loin. Ses mouvements sont assez sobres, mais c’est fluide et il a le sens du rythme. J’aime le regarder, et j’aime qu’il me regarde. J’ai envie de ses mains sur moi.


La soirée a continué dans la joie, la danse, la déconnade. Un vrai plaisir. Cathy et moi sommes partis vers 4 h du mat’.



Le mardi suivant, je reçois un appel de Sébastien vers 20 h. Après quelques commentaires sur la soirée d’anniversaire de Marion, il en vient au fait :



Je sens bien qu’il est un peu gêné de me proposer ça.



Le lendemain, je mets un jean et un T-shirt, et pars en ville à grands coups de pédales. On se retrouve comme convenu. Quand j’arrive, il est déjà installé à une table près de la vitre. Il porte un pantalon de toile bleu foncé et une chemisette ocre. Il a un air de petit garçon dans un corps devenu soudainement trop grand.

La discussion démarre, sur le boulot, les loisirs (il fait de l’aviron), les souvenirs, etc. Je me sens vraiment en confiance, et je crois que c’est réciproque. Puis la conversation dévie vers la soirée d’anniversaire de Marion.



Il marque un temps d’arrêt, puis dit :



Je me demande si cette question ne veut pas dire que je reste ouvert aux expériences… Je choisis de le laisser dans l’incertitude. Je demande :



Le jeudi suivant à 18h, je retrouve Seb comme convenu. Il arrive à pied, vêtu d’un jean et une chemisette bleue. Il a le rouge aux joues. Ce doit être l’excitation de l’essayage à venir ! Et moi ça me plaît de sentir son excitation.

On entre dans la boutique, et je le mène droit au rayon mini.



On en trouve trois, dont une noire, dans un genre simili cuir. Fait penser à du latex. Un peu mauvais genre. Même franchement. J’adore.



Je l’emmène aux cabines. Il entre. Je l’entends qui essaye les minis. Après quelques minutes, il me dit en entrebâillant le rideau :



Je rentre avec lui dans la cabine, et le découvre avec la mini noire. Il a de belles jambes fines. Ses poils blonds sont à peine visibles. L’émotion lui rougit les joues.



Il se tourne, j’en profite pour poser mes mains sur ses hanches.



Il obéit. Mais mains glissent sur ses fesses et s’y attardent.



Ouf, il devait faire 50° dans cette cabine, tellement c’était chaud.

Il ressort en tenue « convenable », il règle son achat et nous sortons.



Je reprends ma voiture dans un parking souterrain et nous emmène dans un sex-shop du centre-ville que je fréquente à l’occasion. Nous entrons et nous dirigeons vers le rayon des sous-vêtements homme. Nous choisissons le même modèle : un string en dentelle, avec une ouverture sur les côtés par des boutons pression clinquants, et une ficelle dans la raie. Hummmm. Je le prends en noir, lui en rouge.

On se balade dans le magasin, captivés par la créativité des sex-toys et autres accessoires SM.



On se marre comme des (grands) gosses, on paye et remonte dans la voiture. Je demande :



On se fait une bise et je m’éclipse le cœur léger, tandis que je sens son trouble avec ravissement.


Quelques jours plus tard, je l’appelle.



J’en reviens à l’objet de mon appel :



Et il me donne son adresse.


J’arrive chez lui vendredi à l’heure convenue, à vélo et en mini. J’ai mis un petit pull dans un sac, avec une serviette de plage, une bouteille d’eau et un petit pique-nique. Je sonne à l’interphone.



Il apparaît avec sa mini noire, une ceinture genre sangle brune, une veste de toile grise sur un T-shirt rouge, et tennis blanches. Il est craquant !

On passe prendre son vélo, et je ne peux m’empêcher de contempler son cul lorsqu’il se penche pour ouvrir l’antivol.

On met les vélos dans sa voiture, et nous voilà partis.



On roule tranquillement sur la quatre voies pendant un bon quart d’heure en écoutant Dire Straits. Je regarde ses jambes, j’aperçois son string, car la mini remonte quand on s’assoit. Je pose ma main sur sa cuisse. Je sens qu’il écarte légèrement les genoux. Souriant, il me jette un regard encourageant.



Pour l’encourager, ma main glisse vers son sexe et passe sous le string. Il bande déjà à moitié ! Je sors son engin : taille tout à fait correcte, forme gracieusement arquée, un beau gland lisse et épais, une grosse veine rouge. Sa toison est abondante, manifestement pas taillée, mais pas trop apparente, car blonde. J’empoigne le manche à pleine main, le serre, le branle. Puis je me penche, et le suce. C’est bon cette odeur de sexe ! J’excite son gland avec ma langue, puis le branle avec mes lèvres, de plus en plus profond, autant que sa position assise le permet.



Je sens sa main droite investir mon string et saisir ma queue.



Il comprend tout de suite, serre mon chibre, le tord, le tape contre ma cuisse. Comme j’aime. On est vraiment bien en phase.



Notre bagnole à sa gauche attire le regard du conducteur, un artisan probablement, cinquante ans, dégarni. Il ouvre de grands yeux en découvrant le spectacle de ces deux folles en minijupe. Je le regarde à la dérobée, attends un peu. Il ne freine ni n’accélère ; j’en déduis que le spectacle égaye sa tournée.



Je le vois faire signe à son passager, qui se penche pour profiter aussi. J’adore ! Je vois que dans leurs têtes se livre la bataille entre la répulsion du tabou (les « tantouzes »), la fascination, et l’inavouable envie !



Je vois Seb jeter un œil à droite. Ce petit jeu d’exhib’ m’excite. On doit être tous les quatre à 120 pulsations minute !

Avec ma main droite, je sors mon engin déjà bien enflé, puis ma main gauche se glisse sous la mini de Seb. Les deux gars ont l’air comme hypnotisés. Là je les regarde franchement, et leur fais signe avec le pouce levé et un grand sourire.



On continue ces petits jeux innocents jusqu’à l’arrivée à Guérande. On se gare sur le parking de la Maison des Paludiers, et on sort les vélos sous les yeux franchement réprobateurs des indigènes. On met nos petits sacs à dos, et hop en rut. Et en route !


Quel plaisir se rouler dans ce paysage magnifique, de voir Seb et sa mini devant, de sentir l’air lécher mes cuisses ! Seb arbore un grand sourire. Je le double, et me mets à pédaler en danseuse même si c’est plat. Je suis sûr qu’il se rince l’œil, derrière. J’adore. On se balade pendant une petite heure, faisant quelques détours et pauses avant d’arriver au parking de Pen Bron. On gare les vélos, et on marche à travers la pinède vers la plage.



Et je fais de même avec la mienne.



Je le prends par la taille, et nos pas s’accordent. Il passe son bras sur mes épaules. J’aime sentir son cul balancer. Ma main passe sous sa mini et trouve le contact de ses fesses bien fermes. Je joue avec la ficelle du string entre ses fesses, la fais claquer.



Il se penche sur moi et pour la première fois nous nous embrassons. Sa langue est souple et adroite. Je me plaque contre lui pour le plaisir de frotter nos tiges dures.



On continue notre chemin jusqu’à la plage. On installe nos serviettes côte à côte sur le haut de la dune, un peu en retrait. On se déshabille, ne gardant que nos minis et strings, et on s’étend sur le dos, nos sacs à dos en guise de coussin.

Je tends la main vers le torse de Seb, joue avec son mamelon, que je sens rapidement durcir. Je le pince doucement, puis un peu plus fort. Je l’entends gémir.



Je détache les pressions latérales de son string et lui enlève. C’est vrai que c’est plus excitant de retirer un string comme ça qu’en le descendant sur les jambes. Il a déjà une belle érection.

Je le branle, le tords, le serre, le fais battre sur sa cuisse, alternant caresses et rudesse. Elle est bientôt raide comme un bâton, dépassant de la mini.



À mon tour, je retire mon string, et me mets à califourchon sur lui, lui offrant un point de vue total sur mon intimité.



Je lui raconte ces vacances mémorables (voir « Nico et Jaco vont en rando »), comment j’ai découvert le plaisir anal. Je vois à son regard qu’il fantasme dur à ce récit ! En témoigne son érection, que je sens monter tout contre mon anus. Le moment est formidablement érotique. À la fin de mon récit, il dit :



Je me relève sur les genoux, il se redresse, prend ma bite à deux mains, et entreprend de sucer mon gland comme je l’ai fait avec le sien.



Il fait coulisser mon manche dans sa bouche, de plus en plus profond. Une main sur mes fesses pour s’aider à faire des va-et-vient. De l’autre il caresse mes boules. Moi je saisis sa tête pour lui dicter mon rythme.



J’adore tellement qu’assez rapidement je lui dis d’arrêter, car je vais venir. Il arrête sa fellation, mais reprend sa masturbation.



J’éjacule, inondant son buste de foutre. Il trempe ses doigts, puis les lèche et me les donne à lécher. Il arbore un large sourire.

Après quelques minutes de repos, j’attrape le tube de gel dans mon sac à dos. Je m’en enduis les doigts et l’anus. Je soulève mon bassin, m’introduis doucement un doigt, puis deux, et me dilate en douceur. J’enduis son sexe toujours tendu, puis me l’introduis doucement, comme Nico l’avait fait sur moi bien des années auparavant.

Une fois bien en place, je commence les va-et-vient, avec une amplitude croissante. Je le regarde dans les yeux.



Quand je soulève un peu mon bassin, il se met à me pistonner. Ça glisse bien, le plaisir monte. Je vois qu’il regarde sa queue rentrer et sortir de moi, tantôt les mâchoires serrées, tantôt la bouche ouverte. Du plat de la main je remonte ma queue mi-molle et mes burnes pour qu’il voie mieux les va-et-vient de sa bite rentrer dans mon fondement.

Puis je m’assois bien à fond sur lui, j’ondule du bassin pour qu’il rentre le plus loin possible. Puis je me soulève à nouveau pour qu’il puisse me limer.



Et je le sens venir dans mon cul, les yeux fermés et les mâchoires serrées, le souffle rapide. Après une minute de récupération :



Après un petit moment de repos, je propose :



On va au bord de l’eau toujours habillés de nos seules minis. On les retire et on court à poil dans l’eau fraîche. On chahute, se frottant l’un contre l’autre. Il devait être environ 21 h à ce moment-là, la lumière du soir était parfaite, nous étions les seuls dans l’eau, les vacanciers étant partis dîner, et les dragueurs pas encore arrivés.

Nous sortons de l’eau, remettons nos minis (sans strings), et remontons nous sécher. Il commence à faire un peu plus frais. Seb a un peu la chair de poule sur ses cuisses. Arrivé à nos serviettes, j’enfile mon pull et lui sa veste.



Je sors les sandwichs et la bouteille d’eau.



Et on croque dans nos sandwichs, que nous avalons prestement.



J’aime son langage châtié. J’aime aussi le voir en tailleur, la mini remontée et sans rien dessous. Est-ce par maladresse ou par perversité qu’il fait tomber une cuillerée de yaourt sur son membre ? Je pencherais pour la seconde hypothèse …



Il s’étend sur le dos sur sa serviette, la tête appuyée sur son sac. Il a un début d’érection. Je le saisis par les hanches, approche lentement ma bouche, et donne des coups de langue sur le yaourt, puis sur tout son manche. Quel pied !



On se rhabille, nous prenons nos sacs, et on repart à travers la pinède. Il fait sombre sous les pins à cette heure-là, et on devine quelques silhouettes déambulant à la recherche d’un coup, certains signalant leur présence avec une lampe de poche.



Je tourne la tête dans la direction indiquée par Seb. En effet, un gars est agenouillé devant l’autre, laissant peu de doutes sur leur activité.



En effet, un autre gars arrive, la bite à l’air, se dirigeant vers les deux premiers.



Il met sa main sur ma fesse gauche, et je lui glisse un bisou.



Quand on arrive aux vélos, il fait quasi nuit noire.

On roule doucement à travers les marais salants, de front.

Quelques voitures nous doublent, et j’imagine leurs commentaires en voyant dans les phares nos culs fendus par nos strings et dépassant de nos minis !



On arrive à la voiture, y range les vélos, et on s’installe.



On remet les vélos dans sa voiture, et on part. Rassasiés de sexe, on se calme un peu pendant le retour. On discute de boulot, voyages, blabla. J’aime sa conversation vivante et intéressante. Tout juste si je lui caresse la nuque pendant qu’il pose sa main sur ma cuisse. Il est 23 h 30 quand nous arrivons chez lui à Nantes, quartier Procé.



On monte. C’est un petit deux-pièces au dernier étage. Mobilier simple, mais avec de jolis meubles, pas le genre Ikea, et des bibelots témoignant de son parcours de vie. Il y a un petit canapé qui tourne le dos à la cuisine américaine. Après avoir mis de la musique, il se met à faire cuisine, toujours en string et mini.

Je trouve ça tellement sexy de le voir en mini affairé à ses tâches domestiques. Il joue le jeu, retire son pull, remonte sa mini au point que je vois bien son string rouge. Il se penche de façon provocante pour accéder aux tiroirs.



Il pose son omelette – salade sur la table, une bouteille de côtes-du-rhône, et met deux couverts côte à côte.



Je m’assois, et on dévore ce repas frugal en évoquant nos prouesses balnéaires. Puis on va s’installer sur son canapé en toile écrue. La bouteille de rouge vite bue produit son effet.



Je lance la pièce… qui tournicote dans les airs, et retombe sur… Pile.



Je retire mes baskets et prends un lacet.



Un peu surpris, il comprend vite le jeu.



Il se met debout devant moi qui suis toujours assis sur le canapé.



Je glisse mes mains sous sa mini, fais sauter les pressions de son string qui tombe à terre. J’entoure son membre et ses couilles avec le lacet, et je serre d’un coup sec. Tchak ! Il tressaille sous la surprise et la douleur. Je caresse ses jambes, et vois son érection monter.



Je prends le second lacet et lui dis en me levant :



Il enserre mon paquet, et TCHAK !

L’effet est immédiat : forte érection garantie.



Je prends son pieu, le lèche et embouche de plus en plus profond, jusqu’à avoir des haut-le-cœur. Je lui mordille le sexe, le tapote. Un peu plus fort, encore plus fort, jusqu’à ce qu’il crie grâce.



Je lui pince le gauche, en remontant ma main le long de sa cuisse jusqu’aux fesses.

Puis je retire ma ceinture, me lève et lui ordonne :



Il se penche sur la table de la salle à manger.

Je remonte sa mini, puis me mets à lui fouetter les fesses et les cuisses. Le bruit du fouet, ses petits cris. Des zébrures rouges ne tardent pas à apparaître. J’alterne les caresses et les coups.



Je vais chercher le gel, en mets une noix dans ma main, et lui enduis la rosette avec douceur.

J’entreprends de lui masser l’anus tout en lui caressant le dos. Puis j’introduis très progressivement l’index. Je le sens se raidir.



Je le sens se décontracter petit à petit.



Je le sens s’ouvrir petit à petit.



Et petit à petit, j’introduis aussi le majeur, et tourne mes doigts. Après quelques minutes, je demande avec douceur :



Je me place à son côté.



Délice de ses mains s’insinuant sous ma mini. Il fait sauter les pressions, le string tombe, dévoilant mon sexe tendu. Je remonte haut ma mini.

Je prends mon braquemart et m’en sers comme d’un bâton pour battre ses cuisses, puis lui tends le tube de gel.



Il prend une noix de gel et enduit ma queue. Je me place derrière lui, et plaque doucement mon gland sur son anus. Je pousse doucement, et entre millimètre par millimètre en caressant ses fesses.



Je le lime doucement, puis de plus en plus vigoureusement. Je le prends par les hanches. Han, han, han !



Je suis son regard, et nous vois dans le miroir de l’entrée. Le tableau est… renversant : lui torse nu, cambré, penché en avant, sa mini noire remontée, les jambes écartées. Moi, la mini remontée à mi-fesses, le tenant par les hanches, en train de le bourrer. La vue de ma belle bite s’enfonçant dans sa chair, nos minis battant l’une contre l’autre.

Décidément, une bite bien raide dépassant d’une mini, j’adore.



Il s’exécute, regardant l’effet dans le miroir.



Il serre.



Je me mets à fourrager son cul de droite et de gauche. Mon bassin claque sur ses fesses. Je saisis son membre raide, le serre fort. Il se cambre encore plus.



Je le lime de plus belle, et éjacule dans mon amant.



On s’affale dans le canapé. Après quelques instants de récupération :



Et on part d’un bon rire de garnements.


La suite et fin de cette soirée a été tout en tendresses. De gestes, d’attitudes et de mots, qui ont scellé dans nos mémoires ce moment partagé unique, inoubliable.

Sébastien et moi avons continué nos jeux pendant des mois, jusqu’à ce qu’il rencontre Lydia, avec laquelle il a eu deux enfants, et avec qui il vit toujours, heureux semblent-ils.

Je ne peux pas imaginer vivre en couple avec un homme. En cela je ne suis pas vraiment un homo. Mais si je l’avais été, c’est sans doute avec Seb que c’eut été possible.


Cette histoire est la première de mes « mini-dérapages ». La mini possède de puissants pouvoirs, et je compte parmi les chanceux qui en ont usés. Pour mon plus grand plaisir. Elle enflamme notre libido et notre imagination, tout ça dans la joie.