n° 19614 | Fiche technique | 38146 caractères | 38146Temps de lecture estimé : 27 mn | 22/05/20 |
Résumé: Premiers pas d'un jeune homme curieux et ouvert aux multiples facettes de la sexualité. | ||||
Critères: fh fhh fplusag jeunes extracon copains fépilée boitenuit autostop fdomine voir fellation cunnilingu pénétratio sandwich fdanus fsodo hdanus jouet init québec -initiat | ||||
Auteur : Coquinsapio Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Oser expérimenter Chapitre 01 / 02 | Épisode suivant |
J’étais à l’aube de la vingtaine, étudiant dans un collège strict depuis environ un an. Les privilèges vestimentaires commençaient à s’élargir, mais la pleine liberté (relative) ne commençait pas avant la troisième année d’étude.
Il nous fallait donc normalement porter le veston cravate aux couleurs du collège. Il était donc impossible de sortir discrètement en ville.
Durant le relâche scolaire de mars, j’avais été sélectionné pour représenter notre collège à une compétition sportive regroupant des compétiteurs des trois collèges frères au Canada à l’invitation de celui en Colombie-Britannique qui célébrait son cinquantième anniversaire d’existence.
Puisque c’était la relâche scolaire et que seuls les quelques compétiteurs étaient sur le site universitaire en attente pour l’envolée le lendemain, nous avions les privilèges vestimentaires des plus âgés. Nous pouvions donc enfin sortir en ville comme tout étudiant de notre âge. Un ami et moi avons alors décidé d’en profiter pour aller au club de danseuses.
Nous étions en marche dans une rue sombre pour rejoindre le boulevard principal puis nous rendre à pied au club. Nous portions les manteaux sport aux couleurs du collège, mais le plan était de les cacher juste avant d’entrer. Pour le moment, il faisait encore froid, alors le port des manteaux était incontournable.
Un véhicule luxueux noir s’est arrêté à notre hauteur et la fenêtre a baissé. L’occupante d’une quarantaine d’années, seule, nous a demandé si nous souhaitions qu’elle nous dépose. Ma première pensée a été celle de décliner poliment pour éviter de dévoiler où nous voulions nous rendre.
La dame aux courts cheveux brun et visiblement habillé chic et sexy devait revenir d’une fête du type « 5 à 7 ». Au premier refus hésitant, elle a insisté un peu et offert à nouveau de nous conduire en ville. Après un court moment de réflexion, nous avons accepté son offre avec un mélange de gêne, de questionnement et d’excitation.
Nous avions commencé à prendre conscience de la nature ambiguë de l’offre et de l’étendue des options que cette offre généreuse pouvait prendre à partir de ce point.
L’internet n’était pas ce qu’il est aujourd’hui et nous n’avions pas beaucoup de vécu adulte, mais nous n’étions pas totalement innocents.
À partir du moment où l’un prit place à l’avant et l’autre sur la banquette arrière, elle prit la situation en main. D’abord en engageant la conversation et sachant nous mettre à l’aise. Elle était alerte et visiblement éduquée.
C’était assez pour nous inciter à parler ouvertement et sans trop d’hésitation. Nous avons ainsi révélé le lieu réel où nous désirions nous rendre. Elle ne s’est pas offusquée. Elle a plutôt eu un petit sourire complice.
Elle a indiqué qu’elle n’avait pas de projet et qu’elle aimerait bien nous accompagner aux strip-teaseuses si nous étions d’accord. À ce moment nous étions déjà en mode séduction… et elle en mode chasse.
Il semblait maintenant assez évident que le club de danseuses ne serait qu’une mise en bouche pour elle… et nous étions ses proies.
Nous étions jeunes et encore un peu coincés parce que plutôt portés sur les sports, les études et par-dessus tout, le désir de bien débuter notre vie adulte avec une image de gentleman, mais nous avions vingt ans…
À la table assignée en retrait, l’un d’entre nous a offert la première tournée et nous avons trinqué à notre bienfaitrice qui nous avait épargné le froid durant une longue marche. Nous étions probablement maladroits, mais le jeu était agréable et excitant.
Elle devait bien nous trouver un peu nerveux, mais n’en laissait rien voir. On se croyait « chasseurs », mais en fait, pour elle, c’était nous les proies. C’est ce premier toast qui, en quelque sorte, a marqué le moment où elle est passée en deuxième vitesse de son plan.
Elle nous a souhaité la plus belle des soirées en nous regardant cette fois avec un regard suggestif quant à l’étendue de la portée de ces dernières paroles.
Les regards et les non-dits faisaient déjà leur œuvre. J’étais déjà très inconfortable dans mes jeans, alors que le langage devenait de plus en plus explicite.
En observant les danseuses à tour de rôle sur scène, elle nous observait apprécier le spectacle et elle demandait souvent notre opinion sur les traits, les courbes, les expressions et les mouvements qui nous plaisaient davantage.
Entre deux danses, elle s’intéressait à nos expériences coquines vécues et à nos fantasmes. Il était étonnamment facile de se révéler à cette étrangère. L’alcool aidait sans doute, mais malgré le sujet grivois, il y avait cette assurance et cette aisance chez elle qui se transmettait à nous.
J’avais l’impression que l’on pouvait parler de tout sur l’anatomie humaine et le désir, et ce, avec les mots directs et crus, sans risquer de l’offusquer… bien au contraire.
C’était plutôt elle qui posait les questions au début, mais elle a su y glisser les détails sur elle pour préparer son invitation à nous joindre à elle… hors de l’établissement.
Lorsqu’elle a laissé entendre que son mari était en voyage d’affaires à l’étranger pour quelques jours et que la maison était bien confortable, mais ennuyante sans lui, nous avions compris ou était le « ailleurs » en question.
En ajoutant le fait que ses mains baladeuses caressaient maintenant nos cuisses, il nous apparaissait clair que la soirée au club tirait à sa fin et qu’il n’y aurait pas de détour dans un resto pour une fin de veillée typique d’un étudiant.
À ce moment, nous l’aurions suivie n’importe où. Nous n’avons pas hésité à accepter son invitation à quitter pour une prochaine consommation … chez elle, tout près.
En idée préconçue de bon gentleman que nous nous apprêtions à devenir au fil des années, nous n’avions pas encore osé toucher de façon déplacée. Après tout, elle n’avait caressé que nos cuisses.
Le silence dans l’auto parlait beaucoup. Chacun pensait à la suite des événements. Gab et moi étions un peu perdus dans nos fantasmes qui déroulaient en vrille dans nos esprits.
Une fois rendus et tout juste entrés à la maison, Lucie nous invita à retirer nos manteaux et cette fois on a chacun eu droit à un baiser langoureux alors qu’elle rangeait nos manteaux. Elle nous invita à nous mettre à l’aise au salon pendant qu’elle nous servait à boire.
Elle mit une musique douce et alluma la télévision pour patienter, alors qu’elle s’excusait vers la salle d’eau puis vers sa chambre pour quelques minutes.
Le hasard, si c’en était un, voulut que la chaîne télé projetait un film X tel que projetait « Bleu Nuit » à l’époque. C’était bien « soft », mais tout de même thématique de la soirée jusqu’à présent.
En sortant de la chambre, en lingerie cachée sous une robe de chambre chic, elle observa nos regards sur elle, totalement désireux et conquis. Elle ne manqua pas de remarquer les renflements annonciateurs de son succès sur nous.
Elle s’agenouilla et, un à un, elle nous fit lever devant elle pour défaire la ceinture puis le bouton et la fermeture éclair doucement et bien concentrée en dégageant un sourire approbateur et un bout de langue indiquant son désir, mais sans se détourner de sa tâche jusqu’à ce que les jeans soient mis de côté.
C’est seulement à ce moment qu’elle se permit de passer une main pour sentir et définir sous le matériel la fermeté, la taille et le contour de nos pénis.
Elle y posa un baiser avec la langue en nous regardant chacun dans les yeux puis s’assit entre nous en prenant la télécommande et son verre de bière.
À l’écran, Emmanuelle, la coquine, était sur le point de se faire prendre par deux hommes. Elle se massait les seins en les regardants avec un regard invitant.
Madame Lucie caressait nos cuisses maintenant découvertes pendant que nous avions chacun de notre côté entrepris de la caresser avec la même douceur suggestive.
Je caressais au niveau des cuisses pendant que mon ami caressait au niveau du cou, des oreilles… et de la bouche. Un premier long baiser eut pour effet de lancer clairement la partie de jeu.
Elle ouvrit d’instinct ses cuisses pour révéler une chatte complètement rasée et déjà trempée à souhait. J’y passai un doigt et je l’ai porté à ma bouche pour goûter.
Madame Lucie massait maintenant chacune de nos queues sous nos sous-vêtements. Pour me calmer un peu et ne pas jouir, j’ai brisé ce contact pour me positionner à genoux entre ses cuisses. Déjà, encore à plusieurs centimètres de sa chatte, l’on sentait les effluves de son excitation.
Je m’approchai lentement, mais sûrement, de sa chatte mouillée. Lucie fit un geste vers moi quand elle a soulevé les fesses pour approcher le bassin au bord du fauteuil dans une position plus allongée.
Mon copain Gab avait pris le chemin inverse. Il s’était levé à la directive de Madame Lucie, la louve. Elle baissa brusquement les sous-vêtements et entreprit de masser, observer et goûter cette queue très dure et déjà humectée de liquide préséminal.
Je goûtais la délicieuse chatte crémeuse pendant que j’entendais les bruits de succion d’une fellation agressive. Madame Lucie était en plein contrôle de la queue entre ses lèvres du haut et de la bouche sur ses lèvres du bas en y pressant la langue par une pression de main sur ma nuque.
Je la sentais monter en plaisir, mais je voulais le faire durer. J’ai donc baissé un peu la tête pour titiller le clitoris et les lèvres avec mon nez puis avec mes cheveux courts agissant comme une brosse à poils doux. Je sentais mon front et mes cheveux s’imprégner de son jus d’amour dans un nuage d’effluve des plus excitants.
Madame Lucie continuait de caresser ma nuque et mes cheveux avec sa main assurée. Elle inséra deux doigts dans sa chatte pour les porter à ma bouche puis pressa à nouveau mon visage sur sa chatte pour un dernier droit pour le terme du premier voyage vers son septième ciel de la soirée.
Elle avait accéléré le rythme de sa fellation et envisageait clairement tout prendre en bouche, si possible, en parfaite coordination avec son propre orgasme auquel je m’activais entre ses cuisses.
Je sentais les cuisses commencer à montrer des signes de nervosité, elles s’ouvraient et se resserraient sur mes joues, la main sur ma nuque pressait ma bouche et mon nez sur sa vulve et son clitoris. Le bassin faisait des soubresauts vers ma langue alors que le flot de jute augmentait.
J’avais du mal à tout boire à mesure que les glandes sécrétaient et pourtant il n’était pas encore question de douche séminale. Sans expérience, mais audacieux, vu mon peu d’expérience à ce jour, j’insérai deux doigts dans sa chatte tout en la léchant et c’est alors que madame Lucie décolla.
Cette fois, c’était la douche, les soubresauts secs, intenses et hors de contrôle. Cette fois, c’est moi qui retenais les cuisses pour pouvoir garder ma bouche et ma langue collées et active sur sa vulve pour maintenir ce plateau de jouissance en cours alors que plus haut, Gab lâchait la sauce.
Dans son orgasme en cours, le scellé sur la queue de mon partenaire avait été brisé et elle reçut la première giclée au visage, mais prenant conscience de l’éjaculation, sa bouche reprit contrôle de la queue pour boire et clairement savourer les giclées encore à venir.
Elle jouait un peu avec le sperme en bouche un peu pour nous faire un spectacle, mais aussi assurément pour son propre plaisir de goûter la première victoire de son audace qui a commencé au moment où elle s’est arrêtée pour nous offrir son aide.
Elle a nettoyé son visage avec ses doigts et avalé cette offrande avec délectation en nous regardant avec le sourire d’une femme assurée et jusqu’à présent comblée. Elle a sucé la queue pour la nettoyer complètement. Sur ce, Gab s’est excusé en demandant pour la salle de bain.
Maintenant seuls, madame Lucie et moi, nous nous sommes assis pour savourer ce moment. Elle a pris un peu à boire en gardant un contact d’une main sur ma cuisse et moi sur la sienne.
Elle a pris conscience que dans ce trio enflammé, je n’avais pas encore eu l’occasion de jouir ni même d’observer mon mandrin à l’air libre.
Elle en avait bien senti la fermeté et le contour un peu plus tôt, mais ne l’avait pas encore vu. Elle s’est donc levée et agenouillée devant moi, en m’indiquant de soulever mes fesses pour retirer mon sous-vêtement.
La baisse de tension avait eu un effet apaisant sur mon pénis, mais il ne tarda pas à reprendre la forme dès que j’ai senti les yeux de cette « cougar » sur moi.
Elle le manipulait doucement et le massait doucement tout en le décrivant. Elle passait le pouce sur le méat urinaire enduit de liquide séminal. Il reflétait des faibles faisceaux de lumière tamisée.
Elle se tourna vers la table de salon pour prendre une gorgée de bière et une cigarette de son paquet « king size ». Elle s’alluma puis sachant que nous étions aussi fumeurs (à l’époque), elle me tendit la cigarette.
Je pris une longue bouffée pour me calmer pendant qu’elle descendait sa bouche gourmande pour engouffrer ma queue en faisant des va-et-vient à un rythme pour faire durer le plaisir un peu.
Sa bouche humectée et bien scellée sur ma queue était, ainsi que la vue de cette coiffure en mouvement, un vrai délice des sens. Elle remontait souvent les yeux pour faire contact avec les miens et goûter par la vue le plaisir que me procuraient ses caresses.
Elle brisa le « scellé » pour tendre la bouche vers la cigarette que je tenais. J’ai compris alors qu’elle voulait une touche.
J’ai approché la cigarette à sa bouche et elle en prit une longue bouffée en me regardant puis elle approcha la bouche vers mon gland pour le faire disparaître dans un nuage de boucane et poursuivre en englobant le gland en reprenant du mouvement.
Que de nouveauté excitante, je me disais. Que nous réserve encore la soirée ?
Elle reprit le rythme en observant mon langage corporel. Lorsque j’ai porté la cigarette à ma bouche pour une bouffée, elle s’est relevée et a approché sa bouche de la mienne pour aspirer la fumée sortant de ma bouche et terminer par une danse des langues alors qu’une main continuait de masser ma queue doucement.
Je caressais son visage d’une main et j’ai porté la cigarette à sa bouche pour refaire cet échange de boucane en rôle inversé pendant que je portais une main à sa chatte totalement mouillée.
J’ai bien pensé qu’elle s’apprêtait à s’empaler sur moi, mais elle est simplement redescendue entre mes cuisses pour reprendre sa fellation profonde et rythmée.
Je sentais la pression monter et cette femme d’expérience le sentait aussi. Elle a accéléré le rythme et serré sa bouche pour sceller le gland. Il était clair maintenant que j’aurais droit au même traitement que mon copain un peu plus tôt.
La sachant avide de sperme, je ne cherchai ni à l’avertir, ni à la repousser, ni à me retenir. Au contraire, j’y ai placé une main sur la nuque et j’ai dirigé l’accélération du rythme pour le « dernier droit ». Cette fois, Lucie n’a pas manqué le premier jet, et elle a maintenu le scellé pour la totalité de l’éjaculation.
Maintenant la bouche pleine, j’ai bien pensé qu’elle jouerait un peu avec sa langue avant d’avaler, mais je me trompais. Elle est remontée vers moi, m’a pris la tête entre ses mains puis est venue m’embrasser pour rouler nos langues dans ce mélange de sperme et de salives.
Une fois partagé, elle s’est retirée et nous nous sommes observés avaler notre portion respective. Une « première » de plus pour moi.
Cette fois, bien que l’expérience ait été très chaude et cochonne, j’étais un peu soulagé que Gab n’ait pas été témoin cette première fois. Il me faudrait encore un peu de temps pour savoir quoi penser de cette pratique… qui, au fil des années suivante s’est répétée.
Madame Lucie et moi avons pris chacun une dernière bouffée pour terminer la cigarette puis elle s’est levée, nue, pour nous servir une nouvelle consommation.
C’est alors que j’ai remarqué une lueur ronde et brillante entre ses fesses à la hauteur de son anus… Ahh, cette femme allait de surprise en surprise… Il faut dire qu’avant ce jour, notre expérience de vie en matière de sexe avait été plutôt de base avec des plus jeunes femmes de notre âge.
La glace était maintenant vraiment brisée. Gab et moi, au début un peu intimidés, bien qu’excités, prenions du galon en confiance. Madame Lucie, la « cougar » en chasse, était un peu moins la madame en contrôle de tout et de plus en plus la salope gourmande qui allait se faire « malmener » pour notre bon plaisir… et le sien. Cependant un peu moins sous son contrôle et peu plus sous le nôtre.
Et tant qu’à découvrir, aussi bien profiter de cette occasion unique. Elle osera bien nous dire stop si nous devions aller trop loin, mais j’avais du mal à imaginer que l’on puisse envisager quoi que ce soit qu’elle n’ait déjà expérimenté.
En tout cas, il était clair que le plug anal qu’elle devait porter depuis le début de notre rencontre était non seulement un message d’acceptation, mais bien une invitation claire à la prendre par le petit trou… et pourquoi pas les deux en même temps ?
La gourmande Lucie, petite et menue, était de nature chaude, demanderesse et visiblement endurante.
Elle avait la jouissance facile, elle l’avait déjà démontré, mais il était évident que ceci n’était qu’une mise en bouche et qu’elle pourrait prendre de multiples orgasmes avant de lancer la serviette et demander grâce.
Seulement cette fois, la première éjaculation hors de l’équation et la timidité du débutant grandement tombé, c’est l’énergie des jeunes mâles en rut qui prendrait le dessus.
Nous avons suivi le buttplug rouge rubis se dandinant entre les fesses de Lucie marchant jusqu’à sa chambre. La chambre était ultra spacieuse, de concert avec la taille et la luxure de la maison. La chambre possédait beaucoup de portes coulissantes sur un pan de mur entier, toutes en miroir.
Un accès direct à une grande salle de bain munie d’un bain à jets et d’une douche italienne spacieuse avec des jets par le haut et par trois côtés. J’envisageais commencer par un massage quatre mains sur le lit, mais cette douche était attrayante et parfaite pour une infinie variété de caresses à trois.
Pendant que Gab et Lucie se bécotaient devant le mur miroir, je préparai les jets de la douche et je les invitai à me rejoindre. Il était agréable de bouger pour se mettre dans l’axe des jets et, par le fait même, se frotter sur le corps de Lucie et elle sur les nôtres d’autant plus que nos queues déjà ben dures avaient le radar facile pour se frotter aux fesses, aux cuisses et au pubis de Lucie.
Elle, au centre, avait droit à un massage quatre mains, deux bouches et deux glands par-devant et par-derrière. L’un s’agenouillait pour caresser des jambes au bassin, l’autre caressait le cou, la poitrine, le ventre et le dos et nous jouions au yo-yo. Lorsque l’un remontait, l’autre s’abaissait, par côté pile et par côté face.
Le buttplug toujours en place demeurait une nouveauté et une curiosité pour nous. On le bougeait de façon circulaire, on l’enfonçait et le retirait pour le remettre… Je me suis permis une fois de le prendre en bouche et le lécher sous le regard souriant et cochon de Lucie.
Me voyant ouvert aux jeux nouveaux, elle prit mes fesses et les écarta pour caresser l’étoile de l’anus et y insérer un doigt… C’était une sensation totalement nouvelle d’avoir un intrus à l’entrée pour un organe ne servant en principe que pour l’évacuation.
Une fois passé l’aspect nouveauté, j’ai pu me concentrer davantage sur ses autres caresses. Son doigt rejoint par un confrère me massait et me faisait plaisir autour et dans le petit trou.
C’était serré au début, mais sur les conseils de Lucie, j’arrivai à me détendre… assez qu’elle retira les doigts pour retirer le buttplug de ses fesses… le porta à ma bouche pour le lécher de nouveau puis, me regardant en souriant, le pointa à l’entrée de l’anus et l’inséra doucement.
Elle jouait avec le buttplug entre mes fesses comme nous l’avions fait pour elle un moment auparavant.
Pendant ce temps, par-derrière, mon copain avait entamé un massage plus actif avec sa queue sur les fesses et la chatte de Lucie, mais sans pénétration. Lucie participait en roulant ses fesses puis en les pressant sur cette queue pour accentuer le contact.
Elle était prête à prendre n’importe lequel d’entre nous par n’importe quel trou… et nous aussi nous étions plus que prêts, plus particulièrement Gab qui était pratiquement déjà en position de la pénétrer d’un seul coup, mais l’expérience douche et les caresses debout s’arrêteraient là pour le moment.
J’avais encore ce buttplug dans l’anus à la sortie de la douche. J’ai bien songé à l’enlever, mais j’ai fait le choix de continuer à être joueur. Marcher avec cet objet et s’asseoir dessus, je le sentais à chaque fois que je remuais un peu.
Il était difficile de se concentrer sur ce qui se passait autour de moi, mais le plug devenait de moins en moins inconfortable et de plus en plus agréable.
Lucie est revenue avec de nouvelles consommations. À peine nous avait-elle transmis nos bières et elle-même bu une gorgée avant de poser le verre sur la table, qu’elle venait s’asseoir sur les cuisses de Gab, face à lui.
Il y avait suffisamment d’espace pour qu’elle empoigne sa queue semi-rigide tout en l’embrassant. J’étais en position avantageuse pour observer sur le côté, mais je me suis levé pour m’asseoir sur la petite table et regarder par-derrière. Lucie s’adressant à Gab…
Les quelques caresses de poignet avaient vite fait de remettre mon ami « sur le piton », et sans plus attendre, elle souleva les fesses et dirigea le pinceau dans sa chatte. Elle prit un instant pour savourer la pleine pénétration puis commença de légers mouvements en acceptant une gorgée de la bière que lui tendait mon copain.
Lucie imposait le rythme, régulier, pleine profondeur et à vitesse modérée. Elle balançait ses seins sur la langue de Gab. Il goûtait et mordillait. Il massait et pinçait. Il était totalement concentré dans l’action en cours.
C’est alors que je pris conscience que la pénétration était sans protection. Cependant, maintenant que c’était fait, il était trop tard pour faire marche arrière et je ne voulais pas briser le moment, mais je me promettais d’éclaircir le point avant de me joindre.
Je me suis allumé une « King size » du paquet sur la table. En tant que voyeur, je fumais doucement et sirotais ma bière en m’imprégnant de l’ambiance. Dans mon dos, la télévision projetant la fin du film X.
Devant les mouvements de Lucie sur une queue bien dure que j’apercevais clairement à chaque mouvement vers le haut, le tout dans un tourbillon d’onomatopée. Hummm, ahhh…
Je me suis approché pour offrir la cigarette à Lucie qui en prit une touche profonde. Elle en quémanda une deuxième pour la transmettre à Gab en l’embrassant dans un nuage de boucane.
Elle prit la cigarette en main pour poursuivre avec ce qu’il en restait alors que j’ai commencé à la caresser dans le dos et sur les fesses. J’ai porté un doigt à sa bouche en lui disant de bien l’humecter… et avec ce doigt, j’ai caressé son étoile. J’ai inséré un doigt, puis deux pendant qu’elle poursuivait son galop sur la queue de Gab.
J’ai retiré le plug de mes fesses et je l’ai inséré aisément en Lucie. Son anus bien détendu retenait bien le plug malgré tout. Il suivait le mouvement durant la première double pénétration de la soirée.
Après un temps, Lucie se tourna pour s’asseoir en « cowgirl inversé ».
Cette fois je voyais bien son clitoris bien excité et ses lèvres luisantes qui épousaient la queue de Gab. Je m’approchai de Lucie pour l’embrasser malgré ses mouvements, puis elle pressa mes épaules pour me faire comprendre de lui caresser les seins… et une nouvelle pression sur les épaules pour descendre encore…
Cette fois c’était un peu plus délicat pour moi. Un pénis, de surcroît celui de mon ami, s’activait très proche de l’endroit convoité. Je m’efforçai de stimuler le clitoris avec ma langue… en prenant bien soin d’être précis et ne caresser que le sexe féminin malgré le mouvement et ses mains pressant ma nuque sur sa chatte.
Elle a ralenti le rythme pour prendre une gorgée de sa bière puis en a laissé se déverser entre ses seins. La bière a poursuivi sa course sur le ventre, le nombril et enfin sur ma langue. Ce n’était pas aussi savoureux que sa mouille abondante… mais c’était original et ludique.
Elle s’est relevée pour se tourner sur quatre points d’appui faisant face à Gab pour le sucer et m’exposant ainsi ses fesses et son buttplug bien fiché dans son anus.
J’ai caressé les fesses avec les mains, puis la bouche. Elle suçait à bon rythme, mais la première éjaculation ayant eu lieu, Gab était en contrôle pour faire durer le plaisir.
Derrière, mes baisers et léchées se sont transformés en mordillage. J’écartais les fesses pour lécher les lèvres, la chatte et le plug que je pouvais remuer un peu avec ma bouche… J’entendais les bruits du plaisir. Un plaisir de « donner » par-devant, mais aussi celui de « recevoir » les caresses par-derrière.
Des caresses douces, devenues pincette et mordillage, je suis passé aux claques. La première, bien que légère, a suscité un sursaut de Lucie.
Elle a rapidement fait savoir son consentement après quelques fractions de seconde pour analyser cette nouvelle situation.
Je me suis donc permis plusieurs tapes en crescendo de puissance. J’en avais mal aux mains moi-même, mais il était clair qu’elle aimait, quelle que soit la puissance. Les fesses étaient rouge vif… mes mains aussi.
J’en avais mal et c’est moi qui ai abandonné… mais c’était de toute façon pour caresser la vulve avec ma queue en mouvement de haut en bas. Je pouvais sentir Lucie frustrée de savoir cette queue à la fois si proche et si loin. Elle n’attendait que je la pénètre alors que je la faisais languir.
Exaspérée d’attendre cette pénétration, mais aussi encline à prendre une pause de pipe pour reposer ses muscles maxillaires, elle releva la tête pour me répondre.
Rassuré, je laissai de côté l’idée de caoutchouc et je m’enlignai. Elle a craint que je la fasse languir à nouveau. Alors elle a pris les choses en main, au figuré et au sens propre… Elle aligna la queue elle-même et repoussa les fesses vers moi pour compléter la pénétration.
Elle s’est activée, tout en ayant repris la fellation. J’ai suivi le mouvement. C’était si bon, si chaud, si accueillant. Je me suis mis à accélérer le mouvement et l’amplitude en y ajoutant des tapes avec mes mains encore sensibles, mais ayant repris leur couleur normale.
Je tenais parfois les hanches fermement ou frappais les fesses en alternance et il m’arrivait d’activer le plug avec un pouce. C’était ma première « triple pénétration », même si l’un des trois n’était qu’un objet.
Pour une nouvelle pause de ses muscles maxillo, mais aussi pour parler, elle releva la tête et l’inclina de côté pour me regarder et voir ma réaction à sa prochaine requête.
J’avais souvent fantasmé sur la pénétration anale, mais jusqu’à présent, aucune de mes deux amies n’avait osé l’offrir, ni moi le demander. Et voilà que maintenant, la femme que je baise ne se contente pas de me l’offrir… elle m’ordonne de le prendre.
Cette journée est sans doute déjà la plus belle de ma vie, que je me disais.
Je ne me le fis pas prier à nouveau… Sans tarder… je me retirai de la chatte et guidai ma queue entre les fesses dès qu’elle eut retiré le plug. Elle en était à ce point pressée.
J’y allais quand même en douceur pour ne pas lui faire de mal… mais elle ne le voyait pas de cette façon. D’un coup de fesses vers moi, son anus prit aisément la queue en entier et d’un seul mouvement arrière et continu du bassin. C’était serré, c’était différent. C’était cochon et attendu depuis longtemps. Hummmm.
Gab avait une belle vue sur toute l’action. Il nous regarda prendre ce nouveau plaisir, Lucie et moi, mais le « puceau de la sodomie » en voulait un morceau, lui aussi.
Je l’ai compris à son regard complice vers moi. En bon coéquipier. Je me retirai alors que je m’apprêtais malgré moi à franchir le point de non-retour…
Gab comprit que c’était son tour. Nous avons interchangé les positions et les rôles.
Une fois assis devant Lucie, elle n’hésita pas à engloutir ma queue dans sa bouche… qui venait pourtant tout juste de sortir de son anus…
Elle me fit m’allonger sur le canapé, ce qui lui permettait maintenant de s’asseoir sur moi. Gab semblait un peu déçu, mais observait pour la suite. Lucie guida mon pénis en elle. Une fois bien au fond, elle tourna la tête vers Gab…
Il s’agenouilla derrière et s’insérer entre les fesses de Lucie. Hummm. C’était serré. Je pouvais presque sentir la queue de mon partenaire qui était maintenant séparé que par une mince membrane de chair.
Lucie s’activait doucement pour ne pas défaire la double pénétration en cours. Doucement au rythme de la synchronisation entre nous trois, l’amplitude augmenta et le rythme s’accéléra. Waoowww… que c’était bon !
Lucie, bien remplie, semblait entrer en transe. Les yeux révulsés de plaisir, cette position semblait particulièrement excitante pour elle. Elle porta un doigt à son clito et moi je massai ses seins.
Stimulé de partout, son orgasme approchait à vitesse grand V. La mouille était abondante. On entendait des « flicottis » de mouille. Tous les sens étaient en éveil.
Je voyais une femme prendre son plaisir, j’entendais la mouille le confirmant, je sentais les petits spasmes de plaisir. L’arôme dans la pièce sentait le sexe à plein nez. Il ne manquait que les papilles gustatives à être mises à contribution, ce qui ne tarda pas.
Dans un dernier sursaut de Lucie, un jet s’abattit sur mon ventre. Avant que je comprenne ce qui se passait et d’où venait ce jet, un deuxième s’abattit en partie sur mon visage. Lucie stoppa le mouvement pour chacun de ces jets comme pour en savourer pleinement le plaisir, puis reprit le mouvement aussitôt.
Au troisième jet, je me risquai à goûter… C’était de l’urine ou quoi ? Quoi que ce soit, c’était agréable. Pas seulement au goût, mais aussi par l’intensité du moment que nous vivions.
Le quatrième jet était plus petit. La tempête de pluie semblait être passée, mais l’intensité de Lucie persistait alors qu’elle sentait l’intensité de Gab qui, trop excité, s’apprêtait à éjaculer dans son conduit anal.
J’ai compris qu’il était en train de tout lâcher par ses grognements de délivrance et par Lucie qui criait son plaisir final. Elle se laissa retomber sur moi, épuisée, souillée de sa propre mouille, du sperme de Gab et de nos sueurs respectives des suites de cette longue cavalcade.
On resta ainsi, assoupis, en sandwich, savourer la petite mort d’au moins deux d’entre nous. Je n’ai pas éjaculé et j’en étais surpris tellement j’étais dur et tellement ce moment était fort, mais en même temps, je réalisai que la chatte était tellement mouillée et les mouvements tellement saccadés que ma queue, bien au chaud et confortable, n’avait pas été très stimulée.
Cet orgasme « sec », je l’ai obtenu par l’intensité du moment et de la surprise de la dernière nouveauté de la soirée.
Alors que l’on savourait ce nouveau souvenir de bien-être, le scellé à trois se brisait doucement. Gab se releva doucement pour s’asseoir sur le canapé en prenant quelques gorgées de bière pour éponger sa soif. Lucie releva un peu la tête, me regardant droit dans les yeux, me sourit, et me tendit un baiser sur la bouche.
Elle se releva à son tour et prit le verre de Gab pour une gorgée en lui souriant et en lui offrant aussi un baiser sur la bouche. Je me relevai enfin pour m’asseoir tout en étant encore dans ce nuage de bonheur parfait. Nous étions tous les trois silencieux. Visiblement dans la même situation de savourer encore le moment que l’on venait de vivre.
Je proposai une douche pour nous rafraîchir et nous revigorer. Aussi avec résignation, j’annonçai qu’il nous faudrait bientôt envisager de quitter parce que nous avions un vol à prendre dans quelques heures à peine. Je sentais un mélange de déception, mais aussi de soulagement.
Nous étions tous les trois repus et comment monter encore l’intensité d’un cran alors que nous avions l’impression d’avoir été au maximum de ce que la soirée pouvait nous offrir. Nous avions été plus que comblé, même Lucie l’expérimentée.
Dans la douche, l’on se savonnait, se caressait, se rinçait, mais cette fois, c’était des caresses données et reçues dans une atmosphère de détente, moins sexuelle.
Gab sortit de la douche pour s’assécher alors que Lucie et moi finissions de nous rincer. Elle profita de l’occasion où l’on était seuls pour me dire quelques mots.
Nous sommes sortis de la douche et avons rejoint Gab qui finissait de s’assécher. Il proposa de passer la serviette à Lucie, pendant que moi je m’asséchai en observant leur « danse ».
Lucie enfila une robe de chambre satinée et quitta la chambre, alors que Gab et moi finissions de nous habiller. Nos regards se sont croisés et nous arborions tous les deux un grand sourire de satisfaction. Je brisai le silence.
Lucie nous attendait au salon avec des verres contenant un liquide coloré. On aurait dit du jus avec glaçons. Au goûter, on percevait de l’alcool en petite quantité, mais c’était surtout rafraîchissant. J’avais des millions de questions à l’esprit qu’il me brûlait de poser à Lucie, mais ce n’était pas le moment d’entamer cette discussion.
Heureusement, je savais maintenant que j’aurais l’occasion de la revoir puisqu’elle m’avait déjà indiqué souhaiter me revoir… puis nous revoir tous les deux.
Il n’était pas nécessaire que Lucie se rhabille pour nous conduire. Elle n’aurait pu entrer sur le site du collège de toute façon. Et puis la maison n’était qu’à quelques pas et le froid nous aiderait à remettre les idées en place le temps de la petite marche.
Je fus le premier à me lever annonçant le départ. Lucie donna d’abord le manteau à Gab et pendant qu’il l’enfilait, j’ai eu droit au regard de Lucie qui s’assurait que je la voyais insérer quelque chose dans ma poche de manteau en me le remettant. Je fis un clin d’œil discret et j’enfilai le manteau.
Nous avons chacun eu droit à un dernier baiser appuyé avec une main sur nos parties, et un souhait de bon voyage pour l’envolée vers la Colombie-Britannique dans à peine quelques heures.
Durant les premiers pas dans le froid d’une nuit de début de printemps, je prenais conscience que cette soirée marquait un tournant important dans ma nouvelle vie d’adulte.