n° 19629 | Fiche technique | 44676 caractères | 44676 7782 Temps de lecture estimé : 32 mn |
29/05/20 |
Résumé: Après une première rencontre coquine, le récit d'une nouvelle soirée chaude après quelques jours d'attente. | ||||
Critères: ffh fbi fplusag jeunes voir rasage fellation 69 fgode fdanus fsodo hgode jouet uro québec -totalsexe | ||||
Auteur : Coquinsapio Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Oser expérimenter Chapitre 02 / 02 | FIN de la série |
Dans le premier épisode :
Deux étudiants universitaires se font interpeller par une femme qui a l’âge de leur mère. Ils acceptent une offre pour un service banal qui se transforme en un bon moment à trois. Cette soirée réussie mènera à la rencontre qui suit.
Le séjour en Colombie-Britannique s’est très bien passé. Le printemps de cette province était déjà chaud et ensoleillé.
Le gazon était verdoyant, les rues étaient propres et sèches. Là-bas, c’étaient déjà les températures d’été. Le collège était plus petit que le nôtre, mais il était magnifique. La structure principale ressemblait à un manoir reconverti. Nous n’avons pas gagné les honneurs aux sports et nous n’avons pas beaucoup eu l’occasion de visiter la ville, mais cela m’importait peu.
J’avais la tête ailleurs depuis cette nuit d’éveil coquin. Seule l’intensité des matches est arrivée à me libérer un peu de ces pensées, le temps que duraient les matches. Je repensais bien sûr à l’ensemble de notre soirée et je la revoyais dans tous les détails. Pas seulement les gestes, les paroles et les actions, mais aussi les états d’excitation ressentie, les papillons d’excitation mélangée à la crainte, les joies de la découverte et de la nouveauté. Cette soirée avait été un « tout » que j’ai décortiqué encore et encore, chacune des minutes de cette soirée.
J’étais bien sûr excité à l’idée de revenir. Pas tant pour le retour en classe… du moins, pas les classes traditionnelles ! Je dois l’admettre, Lucie m’avait manqué et son invitation à nous revoir à mon retour avec l’allusion à une surprise avait su me mettre l’eau à la bouche. Je ne tardai pas à communiquer avec elle, dès mon arrivée. Heureusement, il demeurait encore quelques jours de ce congé de relâche et par conséquent, il n’y avait pratiquement personne sur le campus universitaire.
Selon le plan initial, mon paternel devait d’ailleurs passer me prendre à mon retour afin de terminer mes vacances à la ferme familiale, tout comme les parents de Gab sont passés le chercher en fin d’après-midi. En ce qui me concerne, j’avais téléphoné à la ferme pour indiquer que les plans avaient changé et que je resterai au collège pour rattraper un peu le retard dans mes travaux de sessions dont les échéances arrivaient rapidement.
Ce qu’il ne savait pas, c’est que, même seul et sans distraction… je n’arriverais jamais à me concentrer sur mes études jusqu’à ce que j’aie pu revoir Lucie… et rien n’était garanti pour le « après », non plus. J’espèrais juste avoir assez de volonté pour me remettre dans le « droit chemin », le moment venu. En téléphonant à Lucie, j’ai eu une belle surprise concernant sa réaction. Visiblement elle attendait mon appel et semblait tout aussi heureuse que moi sur la reprise de contact. Je ne me faisais pas d’illusion quant à une quelconque exclusivité. Son mari était parti pour affaires.
Elle était seule et chaude des fesses avec un carnet d’adresse sans doute très bien remplie. D’ailleurs je me demandais… qui devait-il y avoir dans ce carnet ? Surtout des jeunes comme moi ou si Gab et moi étions les « prises rares, plus difficilement accessibles et inattendues de par notre jeunesse » ?
Ce carnet ne contenait-il que des personnes célibataires ou tout autant des hommes mariés ? … après tout, ils sont plus discrets et donc plus enclins à garder un secret. Ces personnes étaient-elles de la région, donc des voisins qui pourraient reconnaître ou, au contraire, à une distance raisonnable pour minimiser le risque d’être reconnu ou encore quelques personnalités influentes ?
Est-ce que ce carnet contenait aussi des femmes ? Lucie n’avait jamais fait allusion à la bisexualité, mais compte tenu de ses barrières, ou l’absence de barrière, il était plausible qu’elle ne se limite pas au sexe au masculin. Et enfin, si elle rencontre des femmes, pourquoi pas des couples… Oufff… mais c’est qu’elle ne doit pas s’ennuyer cette petite femme d’à peine un peu plus de cinq pieds et tout au plus cent vingt livres « toute mouillée ».
Une fois mes réflexions complétées sur le sujet, je me disais qu’au mieux, j’étais le petit nouveau d’une longue liste et que sa belle réaction sincère au téléphone n’était sans doute que pour un certain temps. Le temps que la nouveauté que je suis pour elle maintenant, n’en soit plus une dans quelque temps. Peu m’importait. Pour le moment c’était l’euphorie de la nouveauté pour moi aussi et je saisirais l’opportunité tant qu’elle durerait. Je me faisais simplement une note mentale à ne pas oublier… un jour, elle ne serait probablement plus aussi enjouée ni empressée de répondre à mes appels… si seulement elle y répondrait encore.
Lucie savait que je rentrais de voyage aujourd’hui. J’espérais donc que l’on puisse se voir dès le début de la soirée… et pourquoi pas tout de suite, en milieu d’après-midi ? Je n’ai pas eu à attendre longtemps pour une réponse. Elle m’invitait à passer dès maintenant en indiquant que l’on se ferait un petit souper en tête-à-tête. Je n’ai pas souvenir d’avoir raccroché le combiné. J’étais en route. Quel gâchis, je sentais déjà mes sous-vêtements imprégnés de liquide préséminal. Je ne voulais pas arriver « souillé », mais j’étais trop pressé de la revoir.
À mon arrivée, j’étais encore impressionné par la taille et le luxe de cette maison. Je me faisais discret pour ne pas être trop remarqué par les voisins, mais le risque était faible puisque la maison était sur une grande propriété bien entourée d’arbres. Les voisins étaient donc assez distants et la vue était obstruée. Aucun doute qu’il était possible de prendre un bain de soleil nu ou un bain de minuit en toute discrétion… mais présentement il faisait un peu froid pour cela.
À mon arrivée, Lucie m’ouvrit chaleureusement et en tenue de jour « class » et sexy comme si elle s’était gardé le plaisir de se faire retirer les vêtements le moment venu. Elle était vraiment souriante et je dirais même… un peu nerveuse, ce qui me surprit, mais aussi me fit plaisir. J’avais un peu l’impression d’être à « égalité », côté nervosité, même s’il était clair que je l’étais déjà beaucoup plus qu’elle. Elle m’embrassa sur la bouche, mais ne cherchait pas à provoquer. Pourquoi se précipiter puisque nous avions tout l’après-midi, la soirée et la nuit devant nous, en tête-à-tête…
Elle avait déjà une coupe de vin rouge sur le comptoir de cuisine. Elle venait visiblement de terminer la préparation du souper, à être cuit plus tard. Elle m’offrit le choix d’une consommation. J’optai cette fois pour une bière. J’aime beaucoup le vin, mais je voulais rester en contrôle, compte tenu de la perspective d’une longue soirée. Elle alluma sa « King size », prit une bouffée et m’offrit cette même cigarette, puis en alluma une deuxième pour elle.
Assise à mon côté et nous faisant face, nous avons commencé à discuter. L’un et l’autre avions beaucoup de questions. Après les questions d’usage sur le séjour en Colombie-Britannique et sa solitude à la maison en l’absence de son mari… et la mienne qu’elle a dit, nous avons abordé des sujets plus intimes. Je me suis lancé le premier.
Et pourtant, je pensais bien en avoir fait le tour… plusieurs fois. C’en était presque ennuyant jusqu’à ce que tu allumes en moi une flamme nouvelle, un sentier que j’ai peu exploré jusqu’à présent. Ce n’est pas de l’amour. Je n’aime d’amour qu’une seule personne et c’est mon mari. Ce n’est pas non plus les positions et les actes sexuels que l’on a faits ensemble… Chacune de ces pratiques, je les ai faites plusieurs fois. Il y a forcément une partie de l’explication dans le fait que tu es jeune, beau et athlétique, mais là encore, j’ai déjà rencontré des jeunes de ton âge auparavant. Pas beaucoup et pas plus d’une fois chacun, mais ce n’est pas nouveau. D’ailleurs, bien que j’aie beaucoup aimé avec Gab, ce n’est pas un hasard si je t’ai demandé de venir seul.
(J’en ai la gorge serrée qu’elle me délivre enfin de ce suspens tout en savourant ce moment d’attente…)
(Heureux d’apprendre que je suis plus qu’un simple jouet sexuel pour elle… même si je m’étais bien contenté de ce statut. Aïe, je manque d’espace dans mes sous-vêtements, il me faut la replacer un peu.)
Le téléphone sonna. Lucie ne semblait pas surprise. Elle prit l’appel. Je n’ai pas entendu ses paroles, mais l’appel fut très court et elle raccrocha. J’imagine qu’elle a fait comprendre à la personne au bout du fil que le moment était mal choisi. Elle revint vers moi…
Elle me prit la main et me guida vers la chambre des maîtres. Elle me laissa un instant pour partir la douche spacieuse et elle s’immobilisa face à moi…
D’instinct, je pris l’approche lente et aussi sensuelle que possible dans le répertoire de ma courte expérience. Pour une fois que l’on n’était pas pressés par le temps ou par les hormones au plafond qui nous incitaient à saccader un tel moment. J’étais à la fois très excité, et l’état de mon pénis pour en témoigner, mais aussi très calme et patient. Admiratif de ce corps chaud comme la braise et assuré, ses mamelons pointés pouvaient en témoigner, mais à la fois détendu et totalement offert.
Du moment où mes mains se posèrent sur les hanches, jamais je ne brisai le contact avec son corps. Je suis passé sur le côté puis m’installai à l’arrière. Je caressais de haut en bas, sur les côtés, des cuisses vers les aisselles en frôlant l’enflure de ses seins. Mes mains sont montées vers le cou, et les lobes d’oreille que je me suis permis de pincer légèrement. J’ai osé risquer la foudre en caressant ses cheveux parfaitement peignés et masser son cuir chevelu avec les doigts. Je me suis collé à elle et je lui ai fait sentir mon érection en la maintenant collée sur moi. Cette fois, je massai les seins à pleines mains puis descendis celles-ci le long de son ventre jusqu’à son entrejambe.
La robe courte à glissière arrière me permit un accès facile à sa chatte libre et complètement trempée. Était-ce de mes caresses ou était-ce plutôt de mon acceptation d’être son obligé qui l’avait mise dans cet état ? Je roulai un peu et doucement sa petite bille déjà sortie de sa cachette puis insérai un doigt pour l’imprégner de sa mouille. Je l’ai porté à sa bouche pour qu’elle suce le fruit de sa propre excitation.
J’ai refait l’exercice avec deux doigts, mais cette fois pour les goûter moi-même, alors que ma bouche était à côté de son oreille pour qu’elle entende bien la succion de mes doigts. Je ne me suis pas trop attardé, la douche nous attendait. J’ai défait la fermeture éclair arrière de sa robe et repoussé les épaulettes sur le côté. La robe légère et ample tomba d’un coup à ses pieds. Puisqu’elle n’avait aucun sous-vêtement, elle fut instantanément nue devant moi. Je la fis tourner pour me faire face et l’on s’est regardés droit dans les yeux en se caressant mutuellement.
Elle prit le contrôle de ma boucle de ceinture et, sans briser notre regard mutuel, elle défit ma boucle, puis le bouton et la fermeture éclair de mon pantalon. Elle le laissa tomber à mes pieds pour masser ma queue au travers de mon sous-vêtement. Sans trop tarder, elle baissa mon slip et empoigna ma queue pour la masser. Elle m’embrassa sur la bouche, mais s’abaissa aussitôt à la hauteur de ma queue.
Elle approcha son visage en agitant le poignet comme pour faire mieux dégager les odeurs cette queue souillée de liquide préséminal. Elle lécha le gland pour le nettoyer, puis la hampe et enfin se permit quelques va-et-vient à bouche pleine et profonde. Elle se releva, empoigna mon pénis comme on tend normalement la main pour saisir une autre main. Elle me guida par la queue vers la douche aux vitres déjà embuées. Cette séance de douche était sensuelle à souhait. Le savonnage mutuel… partout, partout, partout. Je me préparais à quitter quand Lucie me tendit une poire…
J’ai remarqué quelques sécrétions, mais rien d’alarmant ni d’odeur. Elle prit la poire et la remplit de nouveau pour un dernier jet servant de confirmation de propreté.
Je me penchai. J’ai senti le tuyau de la poire faire son chemin doucement puis un liquide chaud, mais agréable se déverser dans ma cavité anale. Je n’osais pas penser à ce qui devait en sortir.
Je me concentrai sur le plaisir de ce liquide chaud. J’ai été à la fois rassuré et déçu quand elle annonça un deuxième et dernier jet pour confirmer la propreté. Je n’étais donc pas si souillé, mais je n’aurais pas droit à un « troisième massage ».
Je perdais un peu la notion du temps avec Lucie, mais je me disais que ce devait être la fin de l’après-midi. La lumière du jour par la grande fenêtre, à l’opposé du mur miroir, me le confirma pendant que l’on s’asséchait mutuellement. Je la guidai vers le lit et la poussai avec assurance pour la faire tomber sur le dos dans le lit conjugal. Cette fois, agenouillé et écartant les cuisses, j’approchai ma tête sans détour pour poser ma bouche sur sa vulve déjà humide malgré que l’on venait de se sécher.
J’avais à la fois faim et soif de sa chatte. Sortant de la douche, l’odeur n’était pas très forte, mais ça viendrait. J’étais décidé à la faire jouir dans cette position et que par cette caresse. Je variais la région goûtée, je variais la pression exercée en demeurant à l’écoute de ses réactions pour connaître ses régions intimes les plus sensibles. Parfois, c’est avec la pointe du nez que je caressais son clitoris et ses lèvres. Parfois c’était avec mes cheveux courts que je faisais agir comme une brosse douce et le plus souvent c’était avec la langue parce que je pouvais me faire le plaisir supplémentaire de m’abreuver à la source tout en la stimulant doucement.
Parfois elle passait une main, ou les deux, sur le dessus de ma tête soit pour simplement caresser mon cuir chevelu ou encore presser ma tête contre elle pour m’indiquer qu’elle voulait une pression plus forte. Je n’étais pas pressé. J’adorais le goût et j’adorais donner le plaisir. J’étais rassuré de son plaisir sincère par les sons légers de sa chanson sans paroles et par les petits mouvements de collaboration pour maximiser son plaisir. Elle acceptait et prenait ce plaisir sans chercher à changer de position pour « rendre la pareille ». Lorsque je glissais vers le bas pour goûter son étoile toute propre, elle poursuivait elle-même les caresses de son clito avec ses doigts. La voyant s’activer plus souvent et plus rapidement sur son clito, je sentais qu’elle se préparait pour la montée vers l’orgasme. Cela devait bien faire une bonne demi-heure que j’apprenais à connaître tous les contours de sa vulve en m’enivrant de ses sucs. J’étais prêt moi aussi à l’aider pour l’approche finale.
J’accélérai la cadence de ma langue et je la reposais un instant en massant avec le bout du nez puis replongé avec ma langue, plus vite et plus fort. Les mains de Lucie s’agitaient dans mes cheveux et me plaquaient sur elle. Elle serrait les cuisses comme pour emprisonner encore davantage ma bouche sur sa chatte. Le corps commençait à être en ébullition. Les mouvements devenaient plus amples et plus secs. La chanson douce se transformait en légers cris soutenus, puis le souffle s’accéléra et la tonalité des sons augmentait, dans une séquence de plus en plus saccadée.
Il n’y avait plus de retour en arrière possible ni souhaité. Elle activa son doigt en usant de sa caresse la plus efficace. Les yeux fermés, elle devait penser à des images de son répertoire le plus cochon… et enfin la délivrance débuta. Cette fois elle criait, son corps balbutiait et le doigt se dégageait tellement les gestes étaient intenses, mais le contact avec son clitoris se refaisait aussitôt et un cri supplémentaire retentissait.
Ce fut ainsi deux à trois bonnes minutes. Je l’aidais à faire durer le plateau du plaisir en massant à la fois l’intérieur de sa chatte et de son anus. Je frottais mes doigts sur cette légère membrane de peau séparant les deux cavités. Puis je reprenais le va-et-vient.
Dès qu’elle eut terminé son orgasme, je m’approchai de sa chatte pour la goûter très doucement et sentir cette odeur magnifique pendant qu’elle « redescendait doucement de son nuage ».
Je remontai lentement vers elle en caressant et embrassant ses seins au passage. Je m’allongeai à son côté et l’observai savourer le souvenir de cet orgasme par le jeunot que j’étais pour elle. Après un court moment de détente, elle s’est tournée vers moi et a commencé à me caresser d’une main. D’abord sur le torse, mais assez rapidement vers mon slip.
D’abord par-dessus pour en délimiter le contour et le sentir prendre de l’expansion, puis sous l’élastique pour en mesurer l’humidité de la région et sans trop hésiter, le sortir pour commencer à le masser. Elle s’est levée pour s’agenouiller entre mes jambes devant ma queue. Elle a ainsi pu raffermir son massage lent, mais constant en observant mes réactions.
Elle s’est abaissée doucement pour commencer à me sucer, mais je sentais que l’objectif, bien que les caresses fussent agréables, n’était pas tant de me faire plaisir, mais plutôt pour me mettre en condition. Une fois la queue bien tendue vers le haut, elle s’est levée vers sa table de lit pour en sortir des gants latex, de l’huile et un vibrateur. Je lui faisais toujours confiance, mais elle m’intriguait.
Elle a enfilé les gants et les enduisit généreusement d’huile puis reprit le massage de mon pénis. Elle s’est assurée de bien huiler partout puis colla le vibrateur à faible vitesse sur mon pénis. Elle le promenait partout et c’était très différent, mais agréable. Ma première réaction a été celle de me dire que « je m’en étais fait pour rien ». Ce n’était que des jouets et instruments différents pour un jeu somme toute assez commuuuuuuunnnnn …
Ouff… Perdu dans mes pensées, elle venait de m’introduire un doigt, puis deux dans mon fondement. Ce n’était pas désagréable, mais le terme « surprenant » est un euphémisme.
J’étais couché sur le dos, les yeux fermés, et à savourer cette pipe. De cette introduction surprise, j’ai levé la tête et les yeux vers elle qui attendait le contact de mes yeux pour me sourire, fière de sa surprise. Elle continuait de masser le sphincter, en entrant et sortant les doigts, mais aussi en les distendant. J’ai compris par la suite que c’était pour détendre le muscle et élargir l’entrée… de la sortie.
J’étais maintenant appuyé sur mes coudes et je l’observais masser à la fois mon anus de ses deux doigts, et masturber mon pénis de son autre main. De temps à autre, elle baissait la tête pour le masser avec la bouche. Maintenant que le choc de la surprise était passé, je prenais vraiment plaisir de toutes ces caresses et de la façon dont elles se complémentaient entre elles. En accélérant un moment avec la bouche, elle profita de mon attention détournée pour insérer un troisième doigt. Hoo… ça commençait à être beaucoup. « Fais-moi confiance qu’elle disait ». Avec ce troisième, je me disais que ce ne pouvait être que le dernier. Il est clair qu’il n’y avait pas de place pour un quatrième !
Elle ne tenta jamais ce quatrième doigt… Fiou… j’eus plutôt droit à son vibro dès qu’elle eut retiré les trois doigts. Je dois admettre qu’elle avait bien préparé mon anus, parce que le vibro entra facilement. Ce qui était nouveau en revanche était la profondeur que le vibro pouvait atteindre comparativement à des doigts.
La formule vibro, poignet et bouche était vraiment extraordinaire. La stimulation de la prostate avait tendance à me déconcentrer un peu, mais Lucie veillait à garder mon érection. Et elle était douée, la belle salope !
Me jugeant prêt, elle se prépara pour le bouquet final. Étrangement, ce ne serait pas avec le vibro, ni avec trois doigts, mais seulement deux avec lesquels elle miserait sur leur agilité. Le poignet s’accéléra, quelques coups de langue et de bouche gourmande. Une pression un peu plus grande à un rythme en accélérant. Je commençais à en avoir des sueurs alors que je sentais le plaisir monter en flèche. Elle continuait de s’activer de partout sur moi, tout en restant à l’écoute pour jauger mon état d’excitation.
Quand je mis mes mains sur ses épaules, elle comprit que l’éjaculation était imminente. Elle emboucha ma queue pour une pipe appuyée par une main en mouvement. Elle prit le premier jet, puis le deuxième avant de ralentir doucement le rythme pour maintenir le scellé. Une fois la source épuisée de mon gland et complètement récoltée en bouche, elle retira ses doigts et releva la tête pour croiser mon regard et rouler le sperme avec sa langue.
D’une seule gorgée, elle a avalé et est venue s’allonger en souriant, fière de sa performance et contente de ma reconnaissance pour ce moment à la fois inédit pour moi, et merveilleux. Cette fois, j’ai eu raison de lui faire confiance. C’était divin.
Après une douche rapide, nous sommes passés à la cuisine pour préparer le souper. J’étais reçu en grand. J’ouvris la bouteille de rouge de grande qualité que j’avais apportée. Lucie me passa les légumes et les filets mignons pour cuire sur le barbecue pendant qu’elle dressait la table. C’était beau et agréable de la voir s’activer nue. J’étais aussi confortable en tenu d’Adam grâce à la verrière chauffée, tout juste à côté du spa. Le souper était agréable et simple comme de bons vieux amis qui se connaissaient depuis longtemps et pourtant… La discussion demeurait sur des sujets coquins. Lucie questionnait sur mon vécu et mes curiosités et moi sur l’époque de ses vingt ans pour mieux comprendre qui elle est aujourd’hui.
Le temps a passé très vite. Le souper a été délicieux, mais je sentais Lucie se soucier un peu plus du temps qui passait. C’était discret, mais je trouvais ce revirement un peu curieux. Elle proposa de prendre un digestif. Je proposai de le prendre au spa. Elle s’absenta un instant pour revenir avec un étui métallique en forme de cylindre.
Assise sur le rebord du spa, elle ouvrit les cuisses et plongea le cigare dans sa chatte… Je regardais intéressé. Remarquant ma surprise…
Il était si gros que je me disais qu’il n’était pas nécessaire d’en ralentir la combustion. Il y en aurait bien assez pour nous deux… mais ayant noté par où il venait de passer… j’avais doublement hâte d’y goûter. Elle l’alluma avec assurance. Lucie était définitivement très douée de la bouche. Une fois bien lancé, elle me le remit puis pris place à mes côtés dans le spa, son verre de cognac à la main.
Nous nous passions le cigare en sirotant notre cognac quand la porte de l’entrée principale ouvrit. Une grande et jolie femme aussi dans la quarantaine et de taille assez forte par contraste à la petitesse de Lucie, arriva avec le sourire. Elle ne sembla pas surprise ni choquée, au contraire, j’avais l’impression qu’elle savait à quoi s’attendre en entrant et qu’elle observait son prochain dessert en nous regardant.
Sans hésitation, elle se déshabilla et entra dans le spa à la position faisant de moi la personne du centre. Elle s’approcha de Lucie pour l’embrasser et lui faire une de ces pelles et par le fait même me faisait balancer ses seins juste devant les yeux. Décidément, ces deux-là étaient des complices pour bien plus que les épilations. Une fois ce baiser de bienvenue achevé, elle se rassit et elle caressa ma cuisse sous l’eau. Elle remonta vers l’entrejambe, mais sa main semblait plus intéressée par l’entrecuisse que le pénis lui-même.
Ahhh… c’était donc ça l’allusion au fait que je serais aussi client…
Cynthia prit une longue touche et vint m’embrasser dans son nuage de boucane… Pour un premier baiser alors que l’on se rencontre à peine… je me disais qu’elle ne faisait pas dans la dentelle. Je compris un peu mieux pourquoi elles s’entendaient si bien.
Étendu sur une table à massage, j’étais à la merci de Cynthia qui avait commencé à raser mon poil pubien. C’était surtout professionnel, à la rigueur sensuel, mais pas sexuel de ce côté. En contrepartie, Lucie, qui ne faisait qu’observer au début, a commencé un massage sur le haut de mon corps avec une huile tiède. Les cuisses écartées pour permettre à Cynthia de travailler ne permettaient pas un bon accès aux jambes. En contrepartie le haut du corps lui était totalement offert, sur une table à la hauteur de ses hanches. Les mains de Lucie circulaient partout et lentement, pour ne pas nuire au travail de Cynthia. Elle était bien concentrée sur sa tâche, mais pouvait aussi percevoir en direct l’excitation que Lucie me procurait.
Cynthia profitait de ce durcissement et la pleine extension de la peau pour faire un rasage propre et complet. Une fois la partie plus sensible complétée, la sensualité a monté de cran. Le pénis recevait de plus en plus de caresses « fortuites » par Cynthia.
Lucie s’intéressait à la fois à Cynthia et à son travail. Elle collaborait pour appliquer une lotion hydratante et maintenant quelques caresses avec la langue au passage. Une danse de mains et de bouche s’activait sous les regards soutenus sur l’émergence d’un membre propre et débroussaillé. Il était tentant et prêt…
Lucie parla la première.
Cynthia grimpa sur la solide table à massage. Elle fit d’abord quelques caresses sur mon torse avec ses seins, puis m’embrassa juste avant de quémander quelques baisers sur ses seins qu’elle branlait sur mon visage. Elle s’est accroupie au-dessus de ma queue empoignée et alignée par Lucie vers la chatte de Cynthia en route vers ce gland rosé.
Cynthia s’activait pour son plaisir pendant que Lucie nous observait et nous massait tous les deux. Elle alternait entre son clitoris et son anus puis mes testicules et mon étoile. J’avais aussi le plaisir de les voir s’embrasser et se masser les poitrines mutuellement. Elles étaient vraiment concentrées, comme dans une bulle où rien ne pouvait les empêcher de savourer leur plaisir, pendant que je savourais le mien par la vue, par le toucher et par la pénétration.
Lucie sortit du champ de vision un court instant. Je l’entendais bouger, mais j’avais la vue cachée et j’étais concentré sur ma partenaire de l’instant. Peu après, Cynthia s’abaissa sur moi et abaissa le rythme de ses mouvements. Je sentis alors le corps de Lucie s’approcher entre mes cuisses… Puis un soupir de Cynthia qui se faisait pénétrer par le fion. Je sentais cette masse supplémentaire se joindre juste au « dessus de ma queue ». Lucie était en train de la prendre en double avec un strap-on que je n’avais pas remarqué dans la pièce.
Le rythme a rapidement accéléré en synergie. Ces femmes étaient définitivement de bonnes coéquipières. Le strap-on semblait très volumineux et il la remplissait très bien par le cul. Lucie n’allait pas en douceur et Cynthia ne s’en plaignait pas. Bien au contraire. Lucie contrôlait le rythme avec un mouvement régulier, assuré et profond tout en maintenant fermement les hanches de Cynthia.
La première tape sur les fesses de Cynthia m’a surpris. Elle était forte, inattendue et elle a aussi surpris Cynthia parce que son soubresaut était issu d’un réflexe réel et non d’une mise en scène. D’autres sont venues, plus rapides et plus fortes. Voyant Cynthia réagir favorablement, je m’en suis permis quelques-unes moins fortes, sur ses gros seins qui ballottaient devant moi. Son sourire grimacé m’a confirmé le plaisir dans la petite douleur. Le rythme ralentit, personne n’avait encore joui. Cynthia s’est soulevée de ma verge encore tendue, pour changer de position et faire face à Lucie. Elle s’est abaissée pour reprendre position, ma queue encore guidée par Lucie, mais cette fois… vers l’entrée anale.
Après le passage emprunté par le gros strap-on, Cynthia s’est aisément abaissée complètement sur moi suivi du strap-on de Lucie qui frayait son chemin dans sa chatte. Hummm, s’était bon d’enculer Cynthia. Et c’était encore meilleur de la savoir prise en double.
Lucie s’adressait à Cynthia en la baisant…
Lucie n’y allait pas de main morte. Chaque mouvement était énergique et profond. En plus d’un pouce qui stimulait le clito. Je sentais Cynthia graduellement perdre la cadence. Ses mouvements saccadés étaient annonciateurs d’un orgasme en suspens. Au combiné du côté pile et de face… Ce devait faire vingt bonnes minutes qu’elle se faisait prendre en double.
Lucie, qui la connaissait très bien, annonçait ses petits secrets pour la faire décoller. Elle lui dicta de se relever pour prendre ma queue dans sa chatte… Aussitôt fait, Lucie se joignit à moi pour faire équipe de queue dans un seul orifice, sa chatte. Cette fois Cynthia en perdit le souffle et il ne lui fallut pas longtemps pour partir en vrille. Moi, je sentais ce pénis de latex bien collé sur le mien. Il y avait un peu de mouvement, mais la taille combinée de nos deux engins emplissait pleinement et causait la friction de la joie avec un minimum de mouvement.
Cynthia criait maintenant son plaisir. Lucie en rajoutait en tapant sur les cuisses et le côté des fesses jusqu’à ce que Cynthia se laisse avachir sur moi par l’arrière. Je massais doucement ses seins sensibles suivant son orgasme pendant que Lucie retirait son strap-on de la chatte à Cynthia et défaisait la lanière de ses hanches.
Lucie aida Cynthia, encore sous ses émois, à descendre de la table de massage. Lucie ne voulait pas la brusquer, mais elle semblait malgré tout pressée. Elle ne perdit pas de temps pour prendre place sur moi, en 69. Elle colla bien sa chatte mouillée sur ma bouche et y allait du mouvement de bassin pour aller au-devant de ma langue et diriger ses lèvres, son clito et son anus sur cette bouche affamée.
Cynthia récupérait encore sur le divan en nous observant d’un regard semi-comateux alors que Lucie avait profité d’une queue encore dure par les mouvements récents de Cynthia. Lucie ne se formalisait pas du fait que cette queue avait visité des coins sombres. Elle se permit même un commentaire…
? ? ? De quoi parle-t-elle ?
Cynthia se leva et prit place debout entre mes cuisses. J’avais la vue obstruée. Lucie continuait à me pomper. Cynthia devait se contenter de nous observer. Je ne sentais pas de mouvement de sa part. Lucie ralentit la cadence. Je sentis qu’elle levait la tête puis… ce liquide… Un flot de liquide tiède. Pas un déversement de liquide glacé, mais bien un flot… avec une certaine puissance en plus… et maintenant jumelé au flot, un déversement de ce même liquide juste au-dessus de ma queue… et maintenant Lucie qui reprend la sucette…. La bouche pleine. Au milieu de tout ceci, Cynthia poussait un soupir de soulagement soutenu… Comme lorsque l’on va à la toilette… Ahh, les salopes, Cynthia me pisse dessus et Lucie en est complice…
Plus que complice, elle reçoit cette douche en bouche et la laisse s’écouler sur ma queue. Cette pluie dorée poursuit sa course jusqu’à mes testicules en perdant de sa température sur son parcours. Elles n’ont vraiment pas froid aux yeux… Et moi non plus, que je me disais. Le moment propice, je leur retournerai la pareille.
Lucie me massait l’anus en suçant ma queue maculée de pluie dorée. Un doigt dans l’anus, puis deux, et maintenant deux de chaque main qui étiraient mon anneau. Je trouvais Cynthia bien silencieuse. Je sentais aussi du mouvement, mais ne pouvait discerner ce qu’elle faisait. Il ne fallut pas longtemps pour que je comprenne ce qui se passait. Cynthia, aidée par Lucie qui élargissait bien mes fesses, guidait la pointe du strap-on qu’elle venait d’enfiler sur l’entrée de mon étoile. Lucie, qui avait bien préparé le chemin en humectant et en massant l’entrée, permit à Cynthia de me pénétrer assez aisément. Elle entrait doucement, mais sûrement jusqu’aux testicules fictifs du strap-on qui ont servi de frein.
Ce nouveau strap-on était visiblement plus petit que le premier, mais pour un néophyte de ce jeu, c’était déjà bien assez. Cynthia m’accorda un moment de répit une fois bien enfoncé avant d’entamer des mouvements. Je tentais de me concentrer sur la chatte de Lucie que j’avais en plein visage. J’avais l’impression de régler la vitesse de ses caresses par la vitesse de mes caresses sur elle.
Quant à Cynthia, elle avait adopté un rythme lent, mais avec des mouvements les plus profonds que son strap-on lui permettait. Elle se permettait parfois de sortir complètement pour permettre à Lucie de changer de queue à sucer. Elles étaient vraiment des complices magnifiques.
Après un moment dans cette position. Je sentis que mes caresses commençaient à faire monter Lucie qui se remuait un peu plus sur ma langue. De mon côté, j’étais dans un mélange d’excitation par la bouche de Lucie et de plaisir, mais avec difficulté de concentration par la queue de Cynthia dans mon fondement. J’étais excité, mais encore en plein contrôle pour faire durer le plaisir.
Lucie se releva pendant que Cynthia s’activait encore. Elle avança ses hanches, empoigna ma queue et la guida pour s’empaler par l’anus et commença à remuer. C’était agréable, mais j’aurais aussi aimé être un petit oiseau pour voir la scène d’un autre angle. Dans cette position, je ne voyais rien. Je ne pouvais que sentir les contacts et entendre les doux gémissements.
Cynthia changea de position et d’orifice, pour prendre la chatte de Lucie et ainsi la faire galoper jusqu’à l’orgasme par une double pénétration. Je n’étais plus qu’un piquet humain, n’eurent été mes mains qui aidaient au soutien du dos en caressant la nuque et les seins de Lucie. Elle était déjà très proche de l’orgasme en changeant de position alors il ne fallut pas longtemps pour que le tempo s’accélère pour le galop final.
Cynthia en rajoutait en tapant énergiquement les cuisses et les fesses de Lucie. Les bruits des claques étaient sans équivoque. C’étaient des claques solides et les cris de Lucie le confirmaient, mais elle ne s’en plaignait pas. Au contraire… c’est ce qui la fit partir en vrille. Cynthia accélérait encore le rythme en maximisant l’amplitude de ses mouvements. Ma queue sentait le strap-on entrer et sortir séparé seulement par une mince paroi, pendant que Lucie avait de plus en plus de mal à garder ses mouvements coordonnés pour la double insertion simultanée. Cynthia y ajoutant un massage du clitoris avec un pouce pendant que Lucie savourait son orgasme en cours…
Une fois consumée, Lucie se releva péniblement, ce qui permit à Cynthia de s’abaisser et sucer ma queue fraîchement sortie des fesses à Lucie. Elle me pompa avec rythme dans le but évident de me faire jouir à mon tour pour compléter le trio d’orgasme. Il ne me fallut pas longtemps. J’étais excité et j’avais envie de jouir dans la bouche de Cynthia. Elle obtint son vouloir rapidement et prit la totalité en bouche, mais sans l’avaler. Elle fit rouler la crème avec sa langue en me regardant et en s’assurant que je regardais bien son manège. Un petit clin d’œil et un sourire coquin avant qu’elle s’abaisse vers mon visage pour venir m’embrasser la bouche pleine de ma semence jumelée à sa salive. J’ai pris le tout, mais sans avaler non plus. Je me suis levé et j’invitai mes deux complices à venir m’embrasser. Nous avons ainsi réparti le sperme en trois bouches dans une embrassade à trois langues.
Il était à peine huit heures le soir. La soirée ne venait que de commencer et bien que jeune et endurant je me demandais comment j’arriverais à survivre la nuit avec ces deux gourmandes. Quoi qu’il en soit, c’était l’heure de la pause… et la proposition de Lucie d’aller au spa en dégustant un bon vin rouge me convenait parfaitement. Cette fois, j’étais un peu soulagé de ne pas avoir la position du centre. J’étais à la fois « tranquille », mais aussi j’avais une bonne vue sur mes deux acolytes dans un même champ de vision.
? ? ? Environ deux heures pour quoi au juste ?
Ouff… et moi qui m’inquiétais déjà avec deux…
Cynthia prit la parole…