n° 19632 | Fiche technique | 23499 caractères | 23499 4313 Temps de lecture estimé : 18 mn |
29/05/20 corrigé 05/06/21 |
Résumé: — Réfléchis ! Tu as bien un sex-toy, j'en suis pas jaloux, tant qu'avec lui cela reste comme un sex-toy, pourquoi je serais jaloux.
— C'est vrai ? Tu ne m'en voudrais pas si j'essaye ? J'ai vraiment ce fantasme !
— Je ne pense pas que | ||||
Critères: fh fhh hagé extracon cocus alliance grossexe vacances campagne collection dispute odeurs cunnilingu conte -couplea3 | ||||
Auteur : Dalibor Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Oncle John Chapitre 01 / 04 | Épisode suivant |
Introduction
Mon oncle, John, américain, a perdu sa femme Lancy depuis bientôt une année et pour les vacances, il nous a invités dans son ranch, Jessica et moi, Jérémie. Il faut le tenir un peu au chaud, si on veut avoir au moins une ligne dans sa succession. C’est un genre de colosse débonnaire septuagénaire, toujours content. Il n’a pas voulu reprendre de femme pour égayer son veuvage. Il a un arrangement avec une femme du village pour tenir son ménage et ses repas.
J’ai été touché par le décès de Lancy, car c’est elle qui a fait de moi un homme, si on peut dire, il y a dix ans de cela, j’étais un jeune homme timide, un peu peureux de la gent féminine, pas assuré du tout. Profitant d’une absence de son mari, devant se rendre aux abattoirs de Chicago pour une semaine, elle m’avait pris sous son aile si on peut dire pour me dégrossir des choses de l’amour. Comme j’étais moins développé que son époux, elle m’a appris comment combler ce que certains pensent un handicap ; selon elle, c’est complémentaire, un gros piston sans langue, c’est pire qu’une langue agile avec un petit piston.
Inutile de dire que j’ai mis en pratique ces bonnes recommandations, qui finalement m’ont amené au mariage. Jessica appréciant fort mon jeu de langue.
L’invitation et le premier jour
Au mois de mai, nous recevons, Jessica et moi, une lettre des USA. Putain de pays avec un psychopathe comme président, mais à la lecture, on voit deux billets d’avion venant de mon oncle John.
Vol sans histoire jusqu’à Kennedy Airport puis Chicago où John nous attend.
Imaginez un grand cowboy endimanché ; Jessica est un peu subjuguée, elle fait vraiment petite poupée à côté. Une fois les bagages enfouis dans son van, en route pour le ranch. Dix heures de route, mais cela n’a pas l’air de l’affoler, nous un peu plus, cela faisait déjà plus de dix heures que nous étions partis, après une courte collation, hop au lit, sans autre forme de procès.
Le lendemain, émergeant péniblement dans la journée, on se rue sur le repas, mais John avait prévu large avec un steak comme on en rêve en Europe, saignant comme il se doit avec une énorme patate au four. Une fois fini, il revient vers nous en costume de bain et nous invite à la piscine.
Ça fait du bien hum, l’eau juste à bonne température, un ciel bleu comme on les aime, les petits oiseaux piaillant dans les environs, c’est vraiment bucolique.
C’est alors que je remarque que ma chère Jessica a un regard un peu fixe, dirigé vers mon oncle qui laisse deviner que son costume de bain est bien rempli, des pectoraux bien dessinés, on voit que ce n’est pas un homme de bureau, mais un homme de la terre. Malgré ses septante ans bien sonnés, il a une très belle prestance, pas de bide, des épaules larges des cuisses sans varices et bien musclées.
Je me sens un peu troublé en laissant ma Jessica à proximité, surtout que Lancy m’avait raconté que c’était vraiment un homme à femmes.
La balade
On commence par visiter l’enclos des chevaux et Samuel me choisit une jument qu’il m’annonce douce et lui se prend son étalon. Ce que cet idiot ne me dit pas, c’est que ma jument est en chaleur et par la suite, ce ne fut pas facile de les maintenir sans les blesser avec le mors. Mais le plus embêté, ce fut bien Samuel qui a failli deux ou trois fois être désarçonné, l’étalon voulant saillir la jument et de voir les sabots se lever vers mon dos ne me rassuraient pas et la trique sortie de l’étalon me rappelait les dangers d’être sorti seul.
Cahin-caha, on arriva à la zone de débardage du bois qui était au repos.
En continuant notre ballade, on est arrivé à la concentration des bovins. Des steaks sur pieds. Cela rend un peu nostalgique de penser que dans cinq à six jours, la moitié de ces bêtes auront passé de vie à trépas pour le plus grand plaisir des consommateurs.
On tourne encore un moment quand Samuel regardant sa montre m’annonce :
Je suis un peu surpris qu’il y ait une heure où on peut rentrer et pas une autre, mais je ne dis rien.
De retour au bercail
Laissant Samuel bouchonner les chevaux, je rentre tranquillement au ranch et je les retrouve toujours au bord de la piscine, presque dans la même position que quand je suis parti, si ce n’est que Jessica me semble avoir pris un petit coup de soleil.
John très sûr de lui :
C’est alors que je remarque une certaine gêne de Jessica, elle n’a pas l’air à son aise ou je me fais un cinéma.
N’ayant pas encore rattrapé le décalage horaire, on va relativement tôt au lit, comme des jeunes mariés et je commence à prendre soin de ma chérie. J’étale la biafine sur le dos et quand je veux tirer le slip, dans le cas où elle aurait fait cul nu, de tartiner aussi son popotin ; mais elle résiste à mon intention et j’insiste pour découvrir un derrière qui a dû passer l’après-midi au soleil.
On passe aux choses sérieuses
Pour me remercier, Jessica a été étonnante et démontée, j’ai eu droit au grand jeu et les environs. On s’est endormis repus de sexe, j’ai quand même réussi à la faire grimper aux rideaux trois fois, mais la dernière, je ne sais pourquoi elle murmurait « John » et moi, au même moment, pour la faire mousser, je murmurais « Nancy », un nom qui me passait comme cela par la tête ou on pouvait aussi comprendre Lancy.
Le lendemain, le même scénario de la veille se reproduit, Jessica est à nouveau fatiguée après notre nuit agitée et avec Samuel qui a des ordres de ne pas rentrer trop tôt. On va à la chasse, cette fois.
Il me promet des écureuils, ils sont beaucoup plus gros qu’en Europe, de masse, cela ressemble plutôt à de gros lapins. Armés de fusils de chasse, on part vers la forêt et relativement rapidement on fait deux cartons, ce qui sera suffisant pour la journée. À nouveau, Samuel regarde sa montre en me faisant signe qu’on peut rentrer. Je me demande ce qu’il peut en penser que je laisse ma femme à disposition et les ordres de ne pas rentrer trop tôt. Comme hier, je laisse Samuel s’occuper des chevaux et je rentre silencieusement en voulant clairement les surprendre.
En fait, elle n’est pas encore arrivée à ses fins, enfin, c’est ce que je pense. Ils sont assis proches l’un de l’autre en se roulant des pelles à neige. J’arrive même à saisir des bribes de conversation.
Et je vois ma chérie à cet instant se pencher sur ce que j’estime être la braguette de John et commencer un mouvement en haut en bas significatif. La salope ! tout de suite la pipe, elle qui me fait la fine bouche pour la prendre en bouche, pourtant, je dois moins lui massacrer la mâchoire que ce bélier de John. Finalement, c’est elle qui arrête, probablement une crampe des mandibules, John se relève et je peux voir à quoi elle était exposée. Je pense que l’étalon gagnerait de justesse et encore, j’en suis pas sûr. Edmond Rostand pourrait faire un poème sur le style du nez de Cyrano.
Je vois que doucement il s’enfonce dans ma chérie qui tout d’abord se mord la lèvre presque jusqu’au sang, la grimace qu’elle fait me met un peu de baume au cœur. Cela n’a pas l’air de passer tout facile.
Ils sont tellement occupés à leur petite affaire qu’ils n’ont même pas remarqué ma présence et je continue à être discret tout en ayant une trique pas possible.
Lentement, Jessica accepte ce bélier qui lui perfore la chatte, elle a desserré les dents un sourire béat apparaît sur ses lèvres. Lentement, John met sa machine en route. Au fur et à mesure que les tours montent, la température fait de même, le claquement des chairs qui se rencontrent fait une drôle de mélodie.
La figure de Jessica, de la couleur tomate passe à pivoine éclatant ; même elle commence à se démener, elle va au-devant du tunnelier exprimant son plaisir par une série d’onomatopées et John régulièrement, pour ne pas dire machinalement, enfonce son gourdin, d’un coup Jessica se tend en criant sans retenue. Elle vient d’avoir un orgasme que je n’ai jamais réussi à lui donner, incroyable et d’un coup, je lâche tout dans mon pantalon. Et merde, j’en ai plein. Discrètement, je m’éloigne puis reviens sans discrétion.
Je me change vite fait, passe sous la douche et laisse couler la douche pour revenir sur les lieux du crime.
À ce moment-là, je descends des escaliers et passe devant eux, j’ai de nouveau la trique.
Pendant que nous avions cette discussion hautement intellectuelle, Jessica n’en perdait pas une miette, elle ne pouvait rien dire, ayant la bouche et la langue occupée à autre chose et son puits d’amour, à nouveau investi d’importance.
John, qui n’avait pas encore pris son plaisir, commençait à sentir la mayonnaise qui prenait et moi, devant tant d’application de Jessica et le spectacle qu’ils m’avaient offert, j’avais aussi atteint la cote d’alerte, surtout qu’elle me pressait avec amour les roubignoles. Finalement, on a fini les trois ensemble, Jessica sentant une trombe (pas une trompe, elle y était déjà) gicler dans son intérieur a failli me rendre infirme et j’ai eu juste le temps de me retirer pour ne pas être amputé de ce qui m’est très précieux.
Rassasiés, nous passons à table pour nous refaire une santé, car entre-temps l’épouse de Samuel a eu le temps de cuire les deux écureuils. Le décalage se fait moins sentir, mais on est quand même un peu fatigués et on annonce à John que l’on va se reposer.
Rentrés dans la chambre Jessica me saute dessus et m’embrasse comme jamais auparavant. Elle se love contre moi, plus amoureuse que jamais.
D’un coup, elle se relève.
Là-dessus, je m’endors heureux quand, sept heures plus tard, vu les bonnes bouteilles de vins californiens, j’ai des petits soucis avec ma vessie et je me lève pour aller pisser.
Tiens, Jessica n’est pas au lit. Elle est où ? Je vais d’abord pisser et après on verra. Une fois la vessie libérée, j’ai l’esprit plus clair.
Ça y est, elle a remis ça, quelle santé ! je me dis dans mon for intérieur. Elle ne peut plus s’en passer. Je sais où est la chambre de John et cela ne manque pas aux bruits qui en découlent, ils s’en donnent à cœur joie. Je frappe à la porte et demande si je peux entrer.
C’est alors qu’il a prétendu qu’il était fatigué et qu’il désirait se reposer. Il a affirmé qu’il n’avait plus vingt ans depuis longtemps. J’ai compris qu’il se retirait élégamment du problème.
Le récit de Jessica
Depuis que j’ai vu John, je ne sais pourquoi, mais je flashe sur lui. À la sortie de la piscine, quand je l’ai vu en caleçon de bain et surtout ce qu’il cache, chaque fois que je le regarde, j’ai une bouffée de chaleur qui me tord le bas-ventre. Hier, quand il est venu me faire de l’ombre sur mon popotin qui prenait la couleur de la tomate et qu’en me redressant, j’ai vu un serpent qui sortait de son slip, heureusement que Jérémie était de retour, sinon je ne suis pas sûre que ma main n’aurait pas voulu l’apprivoiser. Je crois que j’ai été sauvée par le gong. Jérémie me propose gentiment de calmer le coup de soleil avec de la crème post coup de soleil.
Cela fait beaucoup de bien et me détend de sentir ses mains douces sur ma peau un peu brûlée, mais j’ai pas envie qu’il voie mon cul qui est presque trop brûlé et je m’oppose à ce qu’il descende mon slip. Je n’ai pas envie qu’il voie que j’ai une inondation au sous-sol, il pourrait penser je ne sais quoi.
Mais il insiste et d’autorité il me descend le slip, sans s’attarder sur l’état d’humidité et l’odeur de mouille que mon minou doit émettre. Il me fait remarquer que c’est justement là qu’il faut bien mettre de la crème, la peau étant rouge vif.
Il me demande des explications et je suis franche avec lui en lui disant que j’ai fait du nudisme, pensant que John s’était retiré dans son bureau et qu’il a avait eu tout loisir de me contempler pile et face et qu’heureusement qu’il était arrivé, car quand j’ai vu un serpent qui dépassait du caleçon de bain, j’avais une furieuse envie de l’apprivoiser, même s’il était bien vieux. Un morceau pareil on n’en voit pas tous les jours.
À la suite de mes explications, mon chéri me fait une drôle d’explication en m’affirmant qu’il n’est pas jaloux de mon sex-toy et que si je prends John comme un sex-toy, il n’a pas lieu d’être jaloux.
Il me met au défi d’arriver à séduire son oncle. Il ne sait pas ce que j’ai vu quand il m’a observée quand il me faisait de l’ombre et que son serpent guignait au-dessus du slip de bain.
Devant cette possibilité qui couvre mon fantasme d’en essayer une vraie grosse queue. Je lui avoue mon fantasme et simultanément, une envie folle de faire l’amour débridé et lui depuis qu’il reniflait l’odeur de ma chatte en chaleur n’hésite pas et plonge affamé entre mes cuisses et me sert un cunnilingus incroyable, à croire que d’imaginer John en train de me faire l’amour le booste à mort.
Complètement exténués, on s’endort, repus d’amour pour nous réveiller le lendemain encore un peu fatigués, enfin moi, je n’ai pas encore tout à fait récupéré le décalage horaire.
Je ne sais si c’est exprès, mais Jérémie, à la place de me garder, part avec l’homme à tout faire de la maison pour aller chasser, me laissant seule avec John, à croire qu’il pense que je ne vais pas être capable de tâter du saucisson américain. Il me connaît mal et surtout que John ne m’a pas l’air désintéressé de la chose à voir la façon qu’il me regarde.
Après avoir fait amener des en-cas, il me propose de voir l’album de famille américaine et on commence à feuilleter et je vois sa femme défunte, elle a une certaine ressemblance avec Jérémie. En la voyant, une ombre de tristesse passe sur son visage. D’instinct, je me mets sur mes genoux (il est grand) et je le serre dans mes bras et l’embrasse tendrement et il m’assoit sur ses genoux en m’entourant de ses grands bras et ses mains pressent mes fesses contre lui. Je suis toute troublée, j’ai l’impression d’être une petite poupée fragile entre ses bras et cela m’émeut horriblement.
Respirant un bon coup, il me dit que mon parfum lui rappelle mon épouse décédée et que cela le trouble et d’un coup je sens un morceau de bois croître contre ma cuisse. Il me murmure dans l’oreille.
Et il me soulève et me couche sur le canapé en m’enlevant ma petite culotte, je ne me débats pas, au contraire. J’ose lui dire que je suis aussi très troublée par sa force.
Il met sa tête entre mes jambes et commence à me laper avec vigueur. C’est moins appliqué qu’avec Jérémie qui en a la médaille d’or, on voit qu’il n’a plus pratiqué depuis longtemps, mais c’est comme le vélo, cela ne s’oublie pas et rapidement je pars dans le bonheur de voir mon rêve enfin se réaliser. Une fois m’avoir bien fait jouir, il se relève et me confie que ce n’est pas dans ses habitudes et qu’avec sa femme, elle n’y avait droit qu’à son anniversaire et quelques fois à Noël. Là, pour égaliser, je lui apprends que Jérémie, lui, par contre, est un as dans le broute-minou.
Sans attendre, je mets à jour ce qui m’intéresse. Je le débarrasse de son caleçon et ne peux m’empêcher de goûter à son sucre d’orge. Dire que je fais la difficile avec mon chéri, je crois que je suis une vraie débauchée. J’ai un peu des remords, surtout qu’un morceau de viande pareil, le mettre dans la bouche, c’est pas trop dans mes capacités de le faire longtemps sans me décrocher la mâchoire.
J’arrête de le sucer et il comprend que son morceau est trop difficile à interpréter, il se lève et se met en face de mes cuisses. L’instant de vérité est arrivé, je vois que son monstre est prêt à s’attaquer à ma petite minette, j’angoisse un peu, vais-je réussir à absorber une telle montagne de viande dans mon petit chez-moi ? Il me rassure qu’il va y aller doucement.
Enfin les lèvres de ma minette sont doucement écartées. Avec fermeté, il promène son monstre de haut en bas, effleurant mon pistil avec tendresse puis, lentement comme promis, il s’enfonce dans ma grotte. Ouf ! C’est du gros, je suis pratiquement écartelée, cela fait pas trop mal, car j’ai abondamment joui quand il m’a brouté mon bijou, la descente au paradis se poursuit lentement, je n’ai pas de douleurs, que du bonheur. Enfin, il est au fond, je sens que son bâton caresse l’entrée de ma nursery. Je vois les étoiles dans le ciel à travers le plafond. C’est à ce moment-là que je vois mon chéri, se dirigeant vers la salle de bain d’une drôle de démarche et criant de ne pas nous déranger et qu’il va prendre une douche. John qui ne l’avait pas vu commence à paniquer et envisage même de ne plus niquer. Ce qui ne ferait pas mon affaire, je le calme en l’encourageant à continuer ce qu’il avait si bien commencé.
Juste à ce moment, Jérémie arrive en annonçant qu’il a perdu son pari et qu’on peut poursuivre ; mais il bande comme un satyre et pendant que John continue à me faire du bien, je ne peux m’empêcher de lui prendre sa gaule, elle est quand même plus facile à mettre en bouche. On sent que le plaisir arrive presque en même temps pour les trois, Jérémie m’envoie une bonne rasade de jus de pruneau et comme j’arrive à jouissance après avoir crié comme une perdue, machinalement je resserre les dents et là, j’ai failli lui couper le tuyau, il a eu juste le temps de le retirer.