n° 19647 | Fiche technique | 28688 caractères | 28688 5312 Temps de lecture estimé : 22 mn |
05/06/20 |
Résumé: Jessica et Jérémie sont invités par l'oncle John dans son ranch quelque part aux USA, après le bain à la piscine découvrant un peu la plastique de John qui est bien pourvu, Jessica fantasme à son égard et avec la permission de Jérémie elle... | ||||
Critères: fh hagé extracon extraoffre cocus grossexe vacances dispute odeurs fellation -extraconj | ||||
Auteur : Dalibor Envoi mini-message |
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Depuis que je suis allé à Chicago, je n’arrête pas de me passer en boucle l’image de ma belle nièce. Je réalise que mon veuvage ne m’a pas coupé les idées et alors que je pensais être calmé de ce côté, cela revient en force.
Hier, alors que j’avais dit que j’allais un moment dans mon bureau contrôler quelque chose, quand je suis revenu, elle dormait en plein soleil, complètement nue. Je sais en Europe, le nudisme dans certaines régions est passé dans les mœurs, mais pas ici, dans le biblebelt. Avec toutes les grenouilles et crapauds de bénitier, cela ne passerait pas.
Son cul, qui probablement n’avait pas trop l’habitude d’être au soleil, prend une couleur un peu trop vive. Je me place pour que Phébus ne lui grille pas trop le popotin, ce qui ne m’empêche pas d’admirer le reste, la descente de reins, sa peau satinée. D’un coup elle se réveille, peut-être dû au manque de soleil et sans s’en rendre compte, se tourne et me présente son intégrale beauté.
Des jolis petits seins presque de jeune fille, bien en place, un ventre sans vergeture, un buisson pour faire semblant de cacher ses trésors, mais on voit clairement deux lèvres que je dirais gonflées.
Du coup, c’est un coup de clairon, un réveil en fanfare, mon slip devient indigent et incapable de contenir ce qu’il devrait et cela guigne par en dessus. La coquine a le regard scotché sur mon appendice qui prend l’air quand mon neveu rentre de sa promenade.
« Ouf ! Je crois que je l’ai échappé belle, à voir son regard de dévoreuse, il s’en est fallu d’un poil qu’elle goûte à ma saucisse de Strasbourg. »
Elle a l’air un peu mal à l’aise comme si elle s’était fait prendre la main dans le caleçon. Après lui avoir demandé de s’occuper de son coup de soleil, je les laisse, je pense qu’ils sont de toute façon encore fatigués du voyage.
Le lendemain, longtemps avant qu’ils ne se lèvent, je demande à mon homme de main de faire une partie de chasse et de ne pas trop se presser pour rentrer, j’aimerais traiter quelque chose avec ma nièce par alliance.
Il me répond avec un sourire de connivence :
Je sais qu’il m’en veut encore un peu d’avoir dessalé sa femme à la mort de la mienne, mais c’est de l’histoire ancienne.
Une fois les deux partis avec force de fusils de chasse, je demande à notre cuisinière de nous servir du café dans une cafetière et puis de s’occuper de sa cuisine.
Nous dégustons notre café et moi je me demande comment amener le sujet, je vois ses yeux de gourmande qui me fixent avec désir, mais j’ai de la peine à me lancer, c’est une pente savonneuse. J’ai une idée, on pourrait commencer par l’album de famille cela nous permettrait de nous rapprocher.
On s’installe sur le canapé et je lui montre le début du ranch quand j’étais encore célibataire et toute mon équipe, en suite notre mariage avec Lucy et mon premier enfant qui est parti pour Boston et dont je n’ai plus eu de nouvelles, il m’a fait savoir qu’il était fâché après moi, car je n’étais permis de regarder ce qu’il y avait dans le décolleté de sa femme en me traitant de pervers. J’ai su plus tard que mon épouse n’avait pas été trop discrète sur mes incartades.
Le deuxième s’est fait tuer dans cette connerie de guerre du Vietnam. Les pages tournent et on arrive quand Jérémie est venu, c’est là que je remarque, ce que je n’avais jamais vu, qu’il regarde Lucy de manière amoureuse, ce fut une belle époque, on aurait pu croire qu’elle avait fait table rase de mes infidélités et qu’est-ce que j’en ai profité, juste avant que ce putain de cancer me la ravisse ! En me rappelant ses souffrances dans les derniers jours, j’ai les larmes qui me montent aux yeux. Je ne devrais plus voir ce putain d’album, cela me remue trop.
Compatissante, Jessica se met à genoux sur le canapé, m’entoure de ses bras et me fait un gros câlin, Dieu que c’est bon de la sentir contre moi, je la prends, la soulève comme une plume, la pose sur mes genoux et je la serre de reconnaissance contre moi pour cet instant de compassion.
Quand tout à coup, je sens émanant d’elle la même odeur que quand ma femme avait besoin d’un gros câlin, ça sent la chatte en chaleur, d’un coup ma fusée à tête chercheuse se redresse violemment, cela fait si longtemps que je n’ai plus senti de près une femme qui demande. Je ne peux me retenir et je la prends pour la coucher sur le canapé sur le dos, je lui enlève son slip et même elle y participe, il faut que je goûte ce plat que je n’ai plus eu depuis si longtemps.
C’est bon, je crois bien qu’elle apprécie aussi ma prestation, je la vois qui se trémousse comme une folle, elle me gicle carrément sur la langue, je ne me souviens pas qu’avec Lancy, il y avait une telle passion, ce petit pain aux lèvres bien gonflées, un délice, moi qui renâclais à le faire.
Quand enfin, repus de sa jouissance je me redresse, j’ose lui avouer que si par le passé, je ne le faisais qu’aux anniversaires et éventuellement à Noël j’ai pris beaucoup de plaisir à la déguster, même si je ne suis pas très adroit dans ce domaine.
Là, elle m’affirme que son Jérémie est champion olympique dans la discipline du broutage de minou, mais pour le reste, c’est un peu moyen et qu’elle va me rendre la pareille.
Je me souviens que Lancy n’arrivait qu’à peine avec sa bouche à la Julia Robert à enfourner ma queue, là, je demande à voir. Mais c’est pas mal, elle sait se servir de sa langue la petite, même si elle a de la peine à me gober le gland et il ne faut pas s’imaginer aller plus loin. Finalement après un grimace marquant la difficulté de me faire plaisir de cette façon, je me dis que le moment est arrivé de lui faire sentir au bon endroit ce qu’il faut, je l’étends sur le dos, mais avant, je la débarrasse de sa robe et je la veux nue pour moi. Elle a l’air un peu effrayée devant ce qui se présente devant sa moule et me demande de faire doucement.
Évidemment, je ne suis quand même pas un monstre pour me plonger comme une brute dans ce joli coquillage. Lentement je présente mon sexe et parcours le sien, jouant un peu avec son bouton d’amour puis je me laisse descendre dans son puits. C’est bien graissé ou huilé, ça rentre sans difficulté, mais le plaisir de sentir quelque chose de comme neuf, bien serré, je pense qu’elle apprécie, car elle ne râle pas, au contraire, il me semble qu’elle vient au-devant de ce qui la défonce.
Je suis un peu pris de remords vis-à-vis de mon neveu, je nique sa femme, je suis un salaud, mais c’est trop bon. C’est alors que je le vois pressé d’aller sous la douche avec l’excuse que la chasse, cela fait transpirer. À priori, la façon dont il marche, on dirait qu’il a fait dans sa culotte, mais cela me coupe mes moyens, je n’ai pas envie d’entendre les mêmes reproches que m’a servi mon fils aîné.
Mais Jessica ne l’entend pas de cette oreille, elle en veut pour son compte. Elle m’assure qu’il n’est pas jaloux et qu’il faut que je continue. Comme elle me le dit et pour confirmer, Jérémie sort de la douche avec un peignoir affirmant qu’il a effectivement perdu son pari. Il n’a vraiment pas l’air fâché et il bande comme un fou, je suis sûr qu’il doit être plus dur que moi. Jessica compatissante lui attrape la queue et commence à la sucer pendant que je la lime d’importance, on arrive en même temps à l’orgasme, peut-être Jérémie un petit peu avant. Quand on est jeune, on part au quart de tour.
Après cela, la journée s’est bien déroulée et les jeunes sont repartis se coucher pour absorber la fin du décalage horaire. Après avoir vu les actualités et ma série préférée, je vais aussi me coucher, sans me laver, je veux garder cette bonne odeur de jeune mouille pour m’endormir heureux.
Je fais un rêve merveilleux, quelqu’un s’est glissé sous mon duvet et s’occupe de mon matériel matrimonial, mais ce n’est pas un rêve, je soulève le duvet et vois Jessica acharnée sur mon pieu qui s’est bien redressé. Sans attendre, elle vient me chevaucher, un vrai rodéo. Elle en veut, elle jouit deux ou trois fois quand d’un coup la porte s’ouvre et apparaît Jérémie, à moitié fâché.
Je lui explique que Jessica avait besoin d’un petit câlin et que je n’ai su résister d’autant plus qu’elle ajoute que quand elle s’est réveillée il dormait si bien qu’elle l’a laissé dans ses rêves, mais qu’elle avait besoin d’un câlin ce qu’elle est venue chercher ici.
C’est là que j’ai voulu sauver ce qui pouvait être sauvé en lui affirmant que je n’avais pas encore joui en elle. Le fin renard m’a proposé que je m’occupe de sa bouche d’en haut pendant qu’il s’occuperait de celle d’en bas. Il m’a bien eu, je n’aime vraiment pas le goût du sperme, surtout le mien qui est un peu rance à mon goût, peut-être pas à celui de Jérémie, mais moi non, c’est pas ça. C’est vrai qu’elle n’a pas voulu que je me vide dans son minet, car elle savait que ce n’était qu’un petit entracte alors je lui ai rempli la bouche. Elle n’a pas bronché et a avalé, mais l’odeur reste.
Alors je leur ai dit d’aller dans leur chambre que j’étais fatigué. On a bien le droit à mon âge, même si ce n’était pas vrai et que j’aurais bien pu encore la sauter allégrement jusqu’à plus soif, mais si elle avait promis, elle devait tenir ses promesses, la démonstration de son amour.
xxx
Sitôt de retour dans la chambre, c’était loin de l’ambiance de la veille, elle faisait la gueule des mauvais jours :
Là, je tombais des nues. J’avais pourtant l’impression d’avoir eu l’esprit large et positif, mais j’avais peut-être ouvert la boîte de Pandore. Maintenant que je l’avais laissé goûter à une super queue, peut-être que la mienne lui était insuffisante ? J’étais devant un sacré dilemme, je n’avais pas envie de renoncer à elle, mais elle qu’est-ce qui en était ? Est-ce John passait de sextoy à quelque chose de différent dont, à terme, je serais exclu ?
Et je sors en claquant la porte, vraiment fâché ou tout au moins donnant l’impression. Je vais de ce pas dans la chambre de John, j’aimerais voir ce qu’il convient de faire dans ces cas, s’il a du sentiment pour elle, etc. Je lui explique mon problème et lui demande ce qu’il en pense.
Sur ces conclusions, il appelle Samuel :
Cela fait demi-heure qu’on est parti à cheval, ce qui favorise la réflexion sur soi, mais malgré tout, je m’imagine mal la suite, enfin on s’arrête au bord d’une rivière à deux pas d’une petite cascade.
Je lui explique en gros que j’ai donné une certaine licence à ma femme si elle voulait avoir une aventure avec John, mais que cela devait rester seulement sexuel, elle a été troublée par la vue de son gros sexe et elle semble accro à ça.
… J’ai accepté et ma femme, malgré ses rêves envolés d’être sa femme, a accepté de temps à autre lui délivrer, pour son plus grand plaisir, un peu de tendresse. Mais avec le temps, c’est devenu de plus en plus rare et pour se faire pardonner elle devenait de plus en plus aimante avec moi. Du reste si tu veux te venger, je te la prête volontiers, j’aime voir quand elle a du plaisir.
En se déshabillant, je m’aperçois qu’il bande comme un âne, il serait de la confrérie de la jaquette fendue ? De l’armée des cougne-pets ? Finalement devant son érection, je renonce à me baigner, mes problèmes personnels me suffisent et je le lui dis.
Après qu’il se fut séché au soleil, on rentre tranquillement et en arrivant, il s’enquiert si je suis fâché, je lui réponds non, on a bien discuté, je le remercie de son soutien et sa seconde proposition simplement ne rentre pas dans mes habitudes.
De retour au ranch, je vais directement dans la chambre de John et je les retrouve les deux toujours en grande discussion. Je ne remarque pas d’odeur suspecte. Il l’a vraiment entreprise pour savoir ce qu’il y a. Voilà à peu près son résumé.
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Peu après ton départ, elle est venue me rejoindre en pensant avoir un complément et finir ce qui avait si bien commencé. Elle a commencé à me caresser l’entrejambe, mais je l’ai arrêtée tout de suite en lui disant qu’il y avait un problème avec moi et que je n’étais pas d’accord avec sa conduite, que c’était déplorable avec un si gentil mari d’être aussi vache avec. Elle a ouvert de grands yeux, surprise de ma réaction. Je lui ai clairement demandé comment elle voyait la suite. Sans rien changer m’a-t-elle déclaré, j’aime Jérémie, mais j’aime aussi ton sexe et j’ai de la peine à choisir et mettre les priorités.
Je lui ai demandé si elle se rendait compte que tu étais très fâché contre elle.
Là elle essaye de m’amadouer en jouant la vamp.
Peu de temps après, tu es arrivé, je lui ai fait la morale en lui disant qu’avec un mari trop gentil, ce serait idiot de sa part de le perdre. Maintenant, la décision vous appartient.
En arrivant et pour essayer de m’attendrir, elle a bien essayé de se faire calmer sa minette par mes soins, ce n’est pas que je n’en avais pas envie, mais je me rendais bien compte qu’après, il faudrait faire des concessions.
« Amour est toujours la frime riche de la langue française. »
Sans attendre je prends un papier et je commence à écrire notre pacte.
« Pacte entre Jérémie comme maître et Jessica sa soumise ».
Déjà là, elle m’interrompt :
Je reprends l’écriture :
« Moi Jessica soumise, accepte de me soumettre à tous les désirs de mon maître, sans exception et à le satisfaire du mieux que je peux. En cas de manquement je sais que la punition sera de plus en plus dure. En particulier, je ne forniquerai avec d’autres personnes qu’avec l’autorisation expresse de mon maître Jérémie mon époux, chaque fois renouvelée ou sous ses indications.
Fait le … »
Sur ces mots que je pensais fort, elle me répond :
Elle remet sa valise au placard et commence à se déshabiller. Vraiment, je suis un con, dire que j’ai failli perdre ce trésor pour une question d’amour-propre. Elle est belle ma femme et surtout son odeur de chatte en chaleur me grille les neurones, je crois que je ne pourrai jamais m’en passer, mais ça, il ne faut pas qu’elle l’apprenne.
Là, je m’en donne à cœur-joie et je me rassasie, quand je sens ses lèvres bien gonflées me distribuant son jus divin, je ne sens plus ma joie, surtout quand de ma langue j’agace son bouton d’amour et que je la sens partir.
Me glissant dans son nid d’amour, je remarque que contrairement à précédemment, c’est nettement moins serré, je dirais qu’il y a du jeu, mais qu’importe, je me sens bien dans cet étui chaud et accueillant et rapidement je sens l’excitation me prendre, sans qu’elle ait manifesté des signes de jouissance comme avant, zut qu’importe, j’ai envie de jouir, tant pis si elle n’a pas son pied et sans perdre plus de temps, je jouis à fonds, la laissant insatisfaite.
Mais le cœur n’y est pas, ni d’un côté, ni de l’autre, j’ai eu ce que je voulais, sa moule odorante à m’en péter les moustaches et le reste est un peu anecdotique.
Après son départ, je sors me rafraîchir les idées et je croise Samuel.