n° 19645 | Fiche technique | 41030 caractères | 41030Temps de lecture estimé : 23 mn | 05/06/20 |
Résumé: Jean part en vacances avec Pascal et Ève, un couple d'inconnus rencontrés sur le net, dans leur camping-car. Le couple libertin l'initie à leurs pratiques. Après une première nuit d'échanges onaniques, la belle Ève décide de prendre la virginité de Jean. | ||||
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Auteur : Hisoka02 (Un amateur) Envoi mini-message |
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Résumé des chapitres précédents :
Jean est accueilli par Pascal et Ève dans leur camping-car. Il est le témoin passif de leurs ébats nocturnes auxquels le couple le convie. Il se masturbe près d’eux pendant leur rapport sexuel. Ève prend également les choses en main et lui offre sa première masturbation par une femme.
L’ambiance du petit-déjeuner fut agréable, aussi conviviale que la veille et Jean finit même par se demander si les événements de la nuit et particulièrement du matin avaient réellement eu lieu.
La faim qui commençait à le démanger singulièrement, comme tous les matins, trouva un adversaire de taille chez Pascal, redoutable manipulateur de grille-pain au grand dam de tartines certes nombreuses, mais cependant impuissantes.
Sitôt repu, Pascal se leva et proposa à Jean d’aider Ève à débarrasser et à laver tandis que lui-même irait utiliser la douche.
Tous deux allèrent prendre leur douche tandis que Jean terminait de nettoyer le plan de travail et les bols. Quinze minutes plus tard, Pascal était sorti de la salle d’eau rasé et habillé par un pantalon de toile léger bleu gris et d’une chemise à manche courte et col Mao blanche légère et dont deux boutons ouverts lui donnaient l’allure d’un homme d’affaires décontracté. Ève était encore en train de se préparer lorsque Jean entra dans la douche tandis que le véhicule démarrait.
Ève en sortit quelques minutes après, vêtue d’une robe dos nu plissée au tissu clair à motifs simples, les cheveux attachés en une longue queue de cheval. Ses yeux avaient été auréolés d’une nuance chair rosée tandis que ses lèvres brillaient d’une nuance prune.
Jean sortit également et vit le couple affairé à chercher un endroit où se restaurer. Il ne put s’empêcher de constater combien Pascal et Ève étaient bien assortis, complices, heureux d’être ensemble et, durant un instant, il se sentit à nouveau comme un intrus. Mais ce sentiment fut rapidement balayé par Pascal qui l’incitait à les aider à repérer un éventuel magasin où trouver le pain qui leur manquait puis, les achats terminés, tous trois repartirent dans le camping-car.
Jean s’exécuta, non sans entendre certaines plaisanteries entre les deux conjoints. Tout le reste du voyage fut ponctué de discussions, de silence dont Jean profita pour lire.
Ève lui proposa de jouer à quelques jeux, dont un jeu de dames et un jeu d’échecs. Jean accepta tout en n’ayant aucune idée de la façon de jouer et Ève l’initia aux règles. Une heure passa ainsi et Ève proposa à son mari de s’arrêter près d’un petit parc pour pouvoir se restaurer. Pascal et sa femme préparèrent les victuailles tandis que Jean sortait et dressait la table.
Le repas fut léger, l’heure avancée du petit déjeuner ayant laissé peu de répit aux trois voyageurs. Jean, que les événements de la matinée et de la veille n’avaient pas encore quitté complètement, orienta la discussion sur le programme de l’après-midi.
Tous trois rirent et Jean se détendit un peu. La conversation s’orienta sur le cinéma et le repas fut vite pris. Ils débarrassèrent, rangèrent et se mirent en route. Pascal annonça les trois prochaines heures de route et proposa de regarder un film pendant le trajet.
Jean eu alors l’occasion d’admirer l’immense collection de films dont disposait le couple, tous gravés pour la plupart et estima à environ un bon millier, sinon plus, le nombre de disques entreposés. Le choix fut fait et le véhicule redémarra tandis que le film résonnait dans le véhicule. Une fois le film terminé, et la circulation étant devenue quelque peu difficile, les trois se lancèrent dans une critique du film. Au bout de trois quarts d’heure, et la circulation étant redevenue plus fluide, ils se concentrèrent à nouveau sur la route et Jean et Pascal, se mirent à jouer également tandis qu’Ève relayait ce dernier au volant.
Au bout d’une bonne heure et demie à rouler, Ève annonça que Lyon était proche. Jean savait que cela signifiait le début de son cours, mais il s’efforçait de ne pas y penser, à la fois excité et intimidé.
Le véhicule s’arrêta non loin d’un parc. Ève retourna dans la salle de bain tandis que Pascal se mit à chercher une carte à l’arrière du camping-car.
Ils sortirent tous les trois dans une ambiance bon enfant, détendue. Pendant un instant, Jean se sentit presque en famille. Ils marchèrent longtemps dans les rues de Lyon. Apparemment, le couple connaissait un peu l’endroit et ils lui firent découvrir une ville accueillante. Pascal et sa femme semblaient prendre un malin plaisir à se montrer particulièrement amoureux, s’embrassant sans retenue devant Jean. Ève passait régulièrement sa main de façon ostentatoire sur les fesses de son mari, lequel lui rendait bien ses contacts appuyés le tout devant Jean durant leur marche et ce dernier fut persuadé que cela était délibéré.
Jean ne pouvait détacher les yeux de ses compagnons. Pendant un bref instant, il s’imagina dans la peau de Pascal. Il imagina l’effet qu’il ressentirait en découvrant les formes minces des hanches de la belle Ève tandis qu’il sentirait la main de celle-ci se poser sur ses fesses. Il la voyait dans sa tête le regarder et approcher ses lèvres des siennes. Il resta ainsi à marcher avec le couple durant le reste de l’après-midi entre discussions et rapides pauses photo.
Jean était sur le point de se retrouver à nouveau plongé dans ses rêves quand Pascal proposa de prendre le repas sur une petite terrasse, non loin du parc où était garé leur véhicule. La proposition acceptée, tous trois s’installèrent et les commandes furent rapidement passées. Les convives discutèrent et mangèrent bien et longtemps ce qui laissa à Jean l’occasion d’occulter de ses pensées les paroles qu’Ève avait émises avant de quitter le camping-car.
La fin du repas arrivant et l’heure avancée amenant avec elle le crépuscule, Ève demanda à Jean et Pascal, absorbés par une conversation cinématographique, de l’excuser tandis qu’elle s’apprêtait à se rendre aux toilettes.
Pascal s’occupa de l’addition rapidement en attendant que sa femme revienne tandis que Jean l’attendait à la table. L’addition payée, ils se dirigèrent vers la sortie du petit restaurant tandis qu’Ève les rejoignait un large sourire aux lèvres. Jean ne put s’empêcher de la trouver délicieusement belle et, durant un instant, se sentit submergé par les images vécues durant une partie de l’après-midi.
Sans laisser au jeune homme le temps de répondre, Ève attrapa la main de Jean et l’entraîna vers le parc. Ce dernier ne sachant pas très bien ce qu’il faisait la suivit et put goûter au contact de sa main. Rapidement, il se rendit compte que sa cavalière se collait contre lui tout en marchant. Il tourna la tête vers Ève qui le regarda droit dans les yeux. Même dans la pénombre, il ne put s’empêcher de contempler la délicieuse nuance de ses lèvres qui s’étirèrent en un sourire plein de fraîcheur. Dans un même mouvement, elle s’enlaça la taille par le bras du jeune homme tandis qu’elle-même enlaçait son cou.
Sans avoir le temps de réagir, Jean vit Ève s’approcher de lui et sentit ses lèvres se coller aux siennes dans un tendre baiser. Jean se laissa emporter et lui rendit son baiser, ce qu’Ève accueillit avec un soupir de satisfaction. Après une cour instante, Ève décolla ses lèvres et invita Jean à reprendre leur marche tout en restant fermement maintenue par la main de ce dernier qui n’avait pas quitté ses hanches.
Les minutes s’écoulèrent ainsi pour le jeune homme, entre les regards d’Ève qui sans cesse demandait davantage d’attentions et quelques pas durant lesquels Jean finit par remarquer que Pascal, auparavant resté derrière eux, les avait à présent dépassés et le devançait maintenant en direction du camping-car.
Au bout d’un moment, ils atteignirent une étendue de pelouse et virent le camping-car deux cents mètres plus loin. Soudain, Jean sentit Ève le tirer vers elle tandis qu’elle s’allongeait dans l’herbe devenue fraîche avec l’arrivée de la nuit qui avait à présent remplacé les nuances sombres du crépuscule. De son bras, le jeune homme se retint pour ne pas écraser la femme. Il songea un instant s’en servir pour se relever, mais il laissa finalement son corps se poser sur celui d’Ève, laquelle le regardait à nouveau de cette manière si particulière qu’il ne se sentait plus aucune volonté sinon celle qu’elle lui autorisait. Il sentit la main de la belle venir lui caresser la nuque et elle l’embrassa à nouveau ce qu’il laissa faire sans résistance.
Jean n’était pas un novice dans l’art du baiser, mais l’interdit dont était teintée chacune de ses étreintes avec la femme de Pascal lui enlevait toute assurance, toute sérénité. D’autant plus que le conjoint n’était qu’à quelques mètres de lui.
La voix de Pascal annonçant qu’il avançait vers le camion acheva d’ailleurs d’exacerber ce sentiment curieux de faute, même s’il avait gardé à l’esprit les sensations qu’il avait ressenties lorsqu’Ève et son mari lui avaient offert son plaisir le matin même. Il sentit la nervosité le gagner et durant un instant se trouva comme perdu en lui-même.
Cependant Ève ne l’entendait pas ainsi et le ramena bien vite à la réalité.
Ne pouvant que répondre à cet ordre, Jean s’exécuta et s’abandonna à nouveau dans un long baiser. Il se sentait toujours aussi intimidé, aussi dénué de pensées qu’un instant auparavant, mais il avait cependant laissé la volonté de la belle prendre le dessus sur lui. Il ne voulait que satisfaire ses attentes sans désirer autre chose, sans intentions ou envies. Seul comptait le bien qu’elle voulait qu’il lui fasse. Jean laissa ses mains vagabonder sur ses hanches, il remonta ainsi le long des côtes et atteignit les épaules menues, mais fermes et si douces de cette femme décidément si envoûtante.
Depuis le premier baiser qu’il avait échangé avec Ève, il avait senti une érection le gagner et qu’il avait toutefois réussi à contrôler. À présent son sexe était devenu dur, vivant et infiniment sensible. Il n’osait s’appuyer complètement de peur que son état en devienne trop perceptible par la belle. Ève décolla à nouveau ses lèvres de celles du jeune homme et lui saisit la tête pour l’enfouir dans le creux de son cou.
Jean se mit à embrasser et à goûter la peau de sa séductrice du bout de la langue. Il sentait les bras de cette dernière qui l’enlaçaient, l’encourageant dans ses baisers. Il laissa sa langue se promener sur les épaules puis sur la gorge de la belle, descendant doucement puis remontant jusqu’à la peau son cou. D’un geste pressé, Ève passa ses mains sur les fesses du jeune homme et l’appuya contre elle en même temps qu’elle ramena son visage vers elle pour l’embrasser à pleine bouche cette fois. Jean sentit la langue envahir sa bouche puis jouer avec la sienne.
Il n’avait plus conscience du temps. Il se sentait n’exister que pour elle, que par elle. Avec tendresse, Ève le repoussa doucement.
Sur ces mots, Ève se leva, réajusta rapidement sa robe et partit vers le camping-car. Jean ne la regarda qu’un instant, car la seule vue de cette femme s’éloignant d’un pas léger conjuguée avec les instants qu’ils venaient de passer ensemble le troublait. Il détourna le regard dans le but de faire ce qu’Ève attendait de lui : qu’il retrouve son calme.
Le fait même d’avoir entendu Ève évoquer avec autant de naturel l’érection qu’elle avait ressentie contre son ventre et qu’elle savait avoir provoquée le plongeait dans un émoi difficilement descriptible. Il y avait une gêne que le désir qu’il avait tenté de cacher eut été découvert et en même temps un plaisir intense que ce secret fut éventé. Il s’y mêlait également une satisfaction du rôle qu’il jouait, de la position de docilité dans laquelle il se trouvait pris.
Perdu dans ses pensées, Jean revint subitement à la réalité à la pensée des moments intenses qu’il n’osait pas imaginer et tourna la tête juste à temps pour voir Ève ouvrir la porte du camping-car et entrer dans le véhicule.
Le jeune homme se releva donc et commença à marcher en sa direction, s’efforçant de vider sa tête de toute pensée, pour ne pas perturber le calme qu’il avait réussi à imposer à son entrejambe. Il continua son chemin en admirant la clarté du ciel noir et parsemé d’étoiles sous lequel il se déplaçait.
À peine une minute plus tard, il fut à l’entrée du camping-car et se prépara à entrer, non sans avoir préalablement remarqué que le pare-brise et les vitres du véhicule avaient été masqués de leurs stores intérieurs.
En entrant, il vit Pascal lui sourire et lui dire de verrouiller la porte.
Jean prit place sur le canapé, en face de Pascal à présent confortablement installé sur l’un des sièges pivotants du véhicule. Jean ne put s’empêcher d’avoir une appréhension en pensant qu’Ève allait sortir et sans doute continuer son jeu de séduction devant son mari.
Au même moment, cette dernière sortit de la salle de bain et s’avança aussitôt sur le canapé devant le jeune homme. Elle tourna sur elle-même pour se prêter aux regards des deux hommes puis s’assit sur les genoux de Jean en passant son bras autour de son cou.
Sans laisser à Jean le temps de réagir, mais non sans avoir lancé un regard complice à son époux, Ève attira vers elle le visage du jeune homme et l’embrassa à nouveau, appelant sa langue de la sienne avant qu’elles ne se mêlent en leur délicieux ballet. Cette fois, Ève maintint fermement, bien qu’avec toujours autant de douceur, le jeune homme contre elle et poussa de légers soupirs tandis que les mains de son élève, enivré par tant de sensations, parcouraient doucement son corps des hanches jusqu’aux épaules en une caresse légère comme une brise.
Comme dans le parc, Ève amena Jean d’une tendre poussée de sa main qui lui caressait la nuque à descendre le long de son cou et celui-ci se laissa porter une nouvelle fois, goûtant le parfum de cette peau si chaude. Il laissa glisser ses lèvres le long du cou de la belle et l’embrassa longuement, avec douceur. Ève soupira de nouveau. Jean continua ses baisers, sentant le souffle de cette femme contre ses oreilles, ses mains qui lui caressaient la nuque tout en accompagnant et en guidant ses baisers. Subitement, Jean se souvint de la présence de Pascal à moins de deux mètres de lui. Il jeta un bref coup d’œil en direction du siège où était attablé ce dernier et le vit en train de les observer en souriant. Il avait l’air d’une personne éprouvant une pleine satisfaction au spectacle qui s’offrait à lui, à la fois comme si l’attitude de Jean était celle qu’il attendait de lui et qu’il en tirait un plaisir personnel.
Ce bref échange de regard dissipa soudain les doutes et les hésitations du jeune homme. Il se sentait pris du désir d’être l’élève qu’ils attendaient et de se laisser guider. Il ne voulait plus que se prêter à leur jeu et en retirer les enseignements que ce couple qui lui était encore inconnu quelques jours auparavant avait décidé de lui inculquer. Il se mit à parcourir la gorge d’Ève de ses lèvres, lui léchant délicatement le cou du bout de la langue en une légère caresse. Il laissa ses mains parcourir les flancs de la belle, remontant jusqu’à effleurer de ses doigts la circonférence de sa poitrine à travers le tissu léger de la robe.
Jean s’exécuta et laissa ses mains aller à sa découverte. Il fit descendre ses baisers le long de son cou, de ses épaules, de ses clavicules tout en les caressant. Il laissait ses mains découvrir la douceur de chaque centimètre de chair avant de goûter à leur parfum. Son regard se posa sur le renflement que la poitrine d’Ève imprimait à la robe. Timidement, Jean en approcha les mains. Il effleura ses seins du bout des doigts pour en apprécier la forme puis caressa par dessous pour en éprouver le poids.
Tout doucement, il prit ses seins dans sa main, d’abord surpris pas le contact de leurs pointes dressées par le désir contre ses paumes. Il fit rouler les pointes contre ses mains et les saisit doucement entre ses doigts, ce qui fit se cambrer Ève dans un soupir de contentement. Il approcha ses lèvres et fit glisser délicatement sa langue sur les tétons dressés de sa partenaire avant de l’enrouler tout autour et de le prendre tout entier dans sa bouche. Il se mit à sucer ses seins l’un après l’autre en ne cessant de caresser l’autre du bout de ses doigts. Enivré par la douceur de ces sensations, envoûté par les petits gémissements que laissait à présent échapper Ève, il continua ce traitement tandis qu’elle se soulevait doucement de lui, ondulant des hanches dans un mouvement ample qui exerçait une pression soutenue sur l’entrejambe du jeune homme durci par les sensations qui l’envahissaient.
Ève se recula doucement, la respiration chaude et haletante et prit la main du jeune homme et le regardant droit dans les yeux.
Jean s’exécuta et la prit dans ses bras pour la soulever tandis qu’elle enserrait de ses jambes la taille du jeune homme. Il la déposa doucement, assise sur le lit. Elle défit le nœud qui maintenant sa robe attachée dans son cou et laissa choir le haut du vêtement, découvrant sa poitrine. Elle se recula, s’allongea de toute sa longueur sur le lit et laissa tomber ses chaussures tandis que le jeune homme enlevait les siennes.
Jean vint donc se placer au-dessus d’elle et l’embrassa à nouveau. Il se remit à lécher et à embrasser avec douceur chaque nouveau morceau de peau laissé libre par la robe désormais ôtée. Il s’attarda à nouveau sur les seins d’Ève qui se saisit de sa main et la posa sur ses cuisses. Jean se laissa faire et effleura doucement cette peau qu’il sentait douce et légèrement moite. La belle écarta légèrement ses cuisses et Jean laissa promener sa main le long de celle-ci, remontant par lentes vagues tandis que sa bouche s’affairait sur les tétons durcis d’Ève qui accueillait ces caresses en gémissant. Lentement, Jean remonta le long de sa cuisse et ses doigts finirent par effleurer le bas de la robe qu’Ève souleva à mesure de sa progression. Il s’appliqua à embrasser à nouveau le torse d’Ève qui se cambrait en soupirant à chaque nouvelle montée de sa main vers le haut de la cuisse.
Enfin, les doigts de Jean se posèrent sur une bande de tissu soyeux sur laquelle ses doigts se mirent à courir pour venir ensuite caresser l’entrejambe de son initiatrice. Jean tressaillit en posant la main sur la bande centrale de ce tissu rendu humide par l’excitation. Ève se saisit de la main du jeune homme et l’appuya sur sa soie avant de repousser le bord de sa culotte d’une couleur pourpre rappelant le rouge à lèvres dont elle s’était ornée.
Les doigts de Jean se posèrent sur les lèvres de son sexe, luisantes de sécrétions. Il trouva le contact humide, glissant, infiniment doux et accueillant. Il s’en dégageait une odeur chaude et fauve qui ne faisait qu’exciter davantage la raideur qu’il sentait déjà présente dans son pantalon. Il se mit à la découverte de l’intimité désormais offerte de la belle, restant attentif à ses réactions lorsque ses doigts effleuraient ses grandes lèvres. Il imita les souvenirs qu’il avait gardé des quelques films pour adultes qu’il avait pu voir en cachette et imprima un mouvement de caresse en cercle sur le sexe luisant et sentit à cet instant un léger relief en la présence du clitoris.
Lorsqu’il y posa les doigts, Ève se cambra violemment, la respiration devenue saccadée, le visage empourpré laissant échapper de doux gémissements de ses lèvres entrouvertes.
Comme hypnotisé, Jean suivit ses indications et ses doigts s’enfoncèrent sans difficulté dans un orifice gluant, chaud, aux chairs tendres et vivantes. Il les fit coulisser doucement tandis que les gémissements d’Ève s’amplifièrent. Il remua les doigts dans le ventre d’Ève et éprouva le contact de son vagin humide d’excitation. Il se sentait comme un chef d’orchestre essayant de composer une symphonie, chacun de ses gestes amenant un son qu’il essayait d’accorder avec les précédents.
Les soupirs, les mouvements de bassin d’Ève étaient devenus autant d’indicateurs du bon aboutissement de l’exercice auquel il se prêtait. Attiré par ce sexe luisant, il approcha son visage et caressa de sa langue les chairs humides et rosées des grandes lèvres avant de s’attarder sur le clitoris. Il se mit à lécher et embrasser chaque partie du sexe d’Ève, savoura ses sécrétions, enfonçant sa langue dans son orifice avant de sentir la main de la belle le repousser.
Sur ces mots, elle amena Jean près d’elle et le tira par la ceinture tandis que Pascal qui les avait rejoints sur le lit plongeait sa tête entre les cuisses de sa femme et entreprenait de s’occuper de son sexe.
Elle défit rapidement la ceinture du jeune homme et ouvrit son pantalon de toile. D’une main ferme, assurée, elle baissa le tissu du boxer sous lequel se dessinait le sexe gonflé de Jean qu’elle saisit dans sa main. Elle en approcha son visage et y déposa un baiser avant de lécher doucement le gland luisant de sécrétion du jeune homme. Puis elle ouvrit la bouche avant d’y faire entrer le sexe sur lequel elle referma ses lèvres brillantes. Elle se mit à sucer le sexe à longs mouvements profonds.
Jean se laissa envahir par cette sensation nouvelle, si délicieuse, il posa ses mains sur les épaules de sa bienfaitrice et les caressa doucement tandis qu’elle s’appliquait à lui faire cette voluptueuse première fellation. Jamais il n’avait été aussi excité. Il se sentit soudain sur le point d’atteindre l’extase et tenta de prévenir Ève, mais celle-ci le devança et stoppa sa caresse en le regardant dans les yeux.
Sur ces mots, elle acheva de déshabiller Jean tandis que Pascal l’aidait à se débarrasser de sa robe. Ève s’allongea à nouveau, les cuisses écartées et attira Jean à elle, guidant son membre vers son intimité.
Jean se sentit soudain comme avalé par le sexe de son initiatrice. Il se mit à entamer instinctivement un lent mouvement de va-et-vient, conscient qu’il ne lui faudrait pas grand-chose pour exploser. Chacun de ses mouvements de bassin arracha à la belle des soupirs de satisfaction. Jean vit Pascal se placer près du visage de sa femme pendant que celle-ci guidait son pénis vers sa bouche pour lui infliger le même traitement dont il venait lui-même de bénéficier. Il vit la langue d’Ève courir le long de la tige durcie de son mari. Jean eut le temps de remarquer que le sexe de Pascal paraissait plus volumineux que le sien malgré que son gland fût plus trapu.
Il continua son mouvement de va-et-vient, ressentant la caresse des chairs chaudes du vagin d’Ève contre son membre. De ses mains, il caressa le corps d’Ève et se pencha pour prendre ses seins à pleine bouche. Il essayait d’alterner entre un rythme rapide et un autre plus lent pour lui permettre de se donner du temps ce qui semblait visiblement contenter sa partenaire qui gémissait sans retenue et l’encourageait en haletant et en ondulant du bassin pour accompagner les mouvements de son pénis dans son ventre.
Les ondulations d’Ève se firent rapidement plus violentes, plus rapides, comme empressées par le plaisir qu’elle sentait en train de la gagner et Jean accéléra les mouvements de ses reins, bien conscient qu’il se rapprochait de leur plaisir commun.
Il vit soudain Ève se cambrer en gémissant violemment tandis qu’il sentait son sexe envahi par un flux soudain de sécrétion. Jean s’enfonça au plus profond d’Ève dans une ultime poussée de ses reins tandis qu’il vit Pascal déverser son plaisir sur le visage de sa femme toujours gémissante. Il n’eut soudain plus conscience du temps et se sentit vaciller, laissant son corps se reposer sur celui de la belle qui, à présent, recueillait les gouttes blanches du plaisir que son mari avait déposées sur son menton et ses joues. Elle affichait un sourire de satisfaction sur ses lèvres pourpres rendues luisantes par le sperme qui s’y était déversé.
Après qu’ils eurent tous trois repris leur souffle, Pascal s’étant allongé à côté de sa femme, Jean laissa son sexe sortir sans effort de la vulve trempée d’Ève et se coucha sur son autre côté.
Elle se leva donc et fila une nouvelle fois rapidement vers la salle de bain devant le regard amusé de son mari et un Jean à la fois légèrement troublé et ravi des moments qu’il venait de vivre.