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n° 19672Fiche technique18977 caractères18977
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Temps de lecture estimé : 14 mn
19/06/20
corrigé 05/06/21
Résumé:  Jérémie a permis à sa femme de coucher avec son oncle dans l'idée que ce n'était que du sexe, mais ils n'ont plus de plaisir à coucher ensemble. Tout en restant ensemble, ils batifolent chacun de son côté, elle avec John et Jérémie avec la cuisinière.
Critères:  fh 2couples -extraconj extraoffre cocus grossexe vacances pénétratio fsodo conte
Auteur : Dalibor      Envoi mini-message

Série : Oncle John

Chapitre 04 / 04
Clusion

Résumé des épisodes précédent :

Jérémie et Jessica sont invités par l’oncle de Jérémie dans son ranch aux States. Jessica, attirée par l’oncle très viril, succombe avec l’assentiment de son mari, mais elle promet de se rattraper le lendemain. Au réveil de Jérémie, Jessica à la place de lui apporter son amour, copule avec l’oncle.

Fâché du manque de la part de Jessica, il les retrouve encore en train de forniquer et l’oncle s’excuse et lui suggère de faire un tour pour faire le point. Il ne veut pas détruire le couple.

Après un essai raté de vouloir en faire sa soumise, Jérémie propose un pacte à Jessica plus conforme au respect de la femme et pour égaliser fornique avec la femme de Samuel avec son accord, vu qu’il est plutôt homo à tendance bi.




Comment ce fut pour Jessica.


Après le souper, je me retrouve avec Jessica pour faire le point.



C’est ainsi que ma chère Jessica, après s’être fait élargir de manière disproportionnée le sexe, va se faire visiter le rectum pour mon plaisir.

Je vais chercher Samuel, qui vient avec un ensemble de pommades plus ou moins odorantes et commence à lui masser les seins pour commencer, on voit qu’il a l’habitude pour forcer l’excitation :



C’est vraiment bizarre sa technique, mais elle marche, le popotin de Jessica commence une danse que je connais bien, surtout quand elle enfourche John.



Il prend soin de l’œil de Satan, le beurrant comme une tartine au miel, sans les mouches évidement. La petite bouche donne l’impression d’appeler autre chose, on sent qu’elle a envie d’une visite, sans plus se poser de question, vu que j’avais bien profité de sa femme, il sort son engin, fin, mais d’une longueur très respectable, on voit qu’il ira loin, à défaut dans la vie, du moins dans le rectum de ma moitié. Ça rentre bien gentiment et quand sa toison vient frotter celle ma chérie, il se met en mouvement, j’espère qu’elle n’a pas trop de sels dans le colon ou dit autrement des merdes qui attendent gentiment dans le cul. Mais si c’est le cas, en tout cas, cela n’a pas l’air de les gêner, ni l’un, ni l’autre.

Après avoir bien enfilé sa canne et l’avoir remué dans tous les sens, finalement, il se crispe et on voit qu’il décharge à gros flocons dans le cul de ma chérie qui part dans un orgasme bien partagé.



Samuel se retire et me dit :



Écartant ses fesses, je constate qu’effectivement, son œillet bien ouvert a l’air d’attendre ma visite. Dans ces cas, il ne faut pas trop tergiverser, je baisse mon slip et me présente avec arme et bagages devant son temple dédié au culte de Sodome.

C’est chaud, bien huilé et comme je l’ai un peu plus large que Samuel, j’ai l’impression d’avoir retrouvé mes sensations que je n’ai plus avec la voie normale. Là, je pistonne dur, assurant sec dans cette fissure diabolique.


Cela me rappelle mes jeunes années d’escalade. Enfonçant avec rage mon trombone, je mets en route mon piston et lui joue rhapsody in blues dans l’intégrale. J’ai l’impression que j’ai regagné une partie de ce qui était parti sur le devant de la scène. Dans la joie de retrouver mes marques, je me laisse aller et sans que j’y prenne garde, dans un déchaînement de cymbales, j’éructe de la queue, j’arrose son cul en feu, cela fait déjà plusieurs jours que je n’ai eu un tel plaisir.



Ses sens rassasiés, mon épouse s’endort d’un sommeil que j’aurais du mal à qualifier du juste, mais au moins profond, jusqu’à ce que dans un sursaut, elle crie « John ! »

Merde, même dans ses rêves, je n’y tiens plus de place, même après tout le mal qu’on s’est donné. Enfin, on fait ce qu’on peut comme on peut.




La vie continue enfin pas éternellement


Jessica étant complètement accro à John, j’ai perdu espoir de la faire revenir comme avant et mon Indienne me convenait parfaitement. Mes relations avec Samuel avaient aussi évolué devant sa gentillesse, parfois je me prêtais à le masturber et même une fois je lui ai pris le jonc pour le sucer, il était aux anges, il m’a demandé s’il pouvait aussi m’enculer, là, je n’étais pas d’accord, en tout cas pour le moment, même si je sais qu’il apportera tout le soin que l’on peut attendre.

Deux ans après notre venue, je m’étais installé définitivement dans le ranch et John me l’avait vendu pour une bouchée de pain et les soins de ma chérie qui était de plus en plus demandeuse finirent par avoir des conséquences.

Comme dit le proverbe, tant va la cruche à l’eau, à la fin elle se brise et un matin, éperdue, Jessica, quittant le lit de John arrive en pleurant.



Effectivement John était parti comme le président Félix Faure, en piochant dans la motte d’une gourgandine.

Après des obsèques conséquentes, avec nombre de femmes des environs qui souhaitaient rendre un dernier hommage à celui dont elles avaient probablement bénéficié des faveurs, souvent accompagnées d’enfants ayant un petit air de famille ; on vit venir son fils pensant récupérer son héritage. Mais John m’avait légalement vendu son domaine, il était venu pour rien, enfin pas tout à fait, Jessica, le voyant, vit John ressuscité et n’eut de cesse à ce qu’il s’intéresse à elle en espérant que tel père tel fils. Elle ne m’en parla même pas, même si nous étions toujours mariés. Elle fit tout pour qu’il reste pour dormir et lui offrit la chambre de son père, ce qu’il refusa, il ne voulait pas prendre la chambre d’un mort.


Tenant à son idée, elle me demanda si cela me gênait de récupérer la chambre de John et de laisser la nôtre à Dominique son fils. Pourquoi pas, maintenant effectivement la chambre du maître du ranch me revenait de droit, mais cela me faisait bizarre de recoucher avec ma femme, je n’y étais plus habitué. C’était Anne qui me tenait au chaud maintenant et je savais que ce con de Dominique était un peu coincé au niveau de la zigounette.



Plus tard, au bord de la piscine, après que nous eûmes fait quelques traversées, devant un bon verre de Bourbon, je me permets d’entamer une discussion avec Dominique.



… La voilà après ces x traversées qu’elle dit nécessaires pour se détendre après le décès de John.



Je le vois venir avec ses gros sabots, s’il n’a pu hériter de John, il a bien envie de se rattraper sur le bénéficiaire, mais finalement pourquoi pas, Jessica pour moi, c’est mort à mon grand regret, mais il ne sert à rien de courir après une chimère. D’autant plus que Plume Rouge m’a promis sa fille cadette après mon divorce. Elle m’a l’air encore meilleure que sa sœur aînée. Elle a l’innocence en plus.



Là, ma Jessica, ne sentant plus sa joie de voir ses vœux à nouveau sur le point de se réaliser :



C’est ainsi que je me retrouvais avec Anne dans la chambre de maître, accompagné de Samuel. Une heure après, j’ai fait ma tournée habituelle d’inspection et en entendant une conversation dans mon ex-chambre, je ne peux m’empêcher de tendre l’oreille.



Bon, cela confirmait ce que je pensais depuis longtemps ; que j’avais été versé aux pertes et profits.



Au moins, cela a le mérite d’être clair. Elle n’a pas du tout envie de rabibocher. Ce qui me met à l’abri d’un nouveau cocufiage pénible combiné à une solution à risque.

Le lendemain, au petit déjeuner. On est trois à avoir les traits un peu fatigués surtout eux qui passaient l’épreuve du futur.



Une semaine après, on était divorcés et je pouvais convoler avec Fleur d’Oranger. Neuf mois après, j’étais papa d’un garçon et deux ans après venait le deuxième bébé, une ravissante fille, et ma pauvre Jessica restait improductive, mais elle trompait son envie d’être mère en étant une tante exemplaire.




Voilà comment se termine cette saga qui sur la fin n’encourage pas à la branlette vigoureuse, mais il n’est pas interdit au lecteur de faire des commentaires, si possible, flatteurs.