Résumé des épisodes précédent :
Jérémie et Jessica sont invités par l’oncle de Jérémie dans son ranch aux States. Jessica, attirée par l’oncle très viril, succombe avec l’assentiment de son mari, mais elle promet de se rattraper le lendemain. Au réveil de Jérémie, Jessica à la place de lui apporter son amour, copule avec l’oncle.
Fâché du manque de la part de Jessica, il les retrouve encore en train de forniquer et l’oncle s’excuse et lui suggère de faire un tour pour faire le point. Il ne veut pas détruire le couple.
La promenade avec Samuel, suivie de la discussion entre John et Jessica
Cela fait une demi-heure qu’on est parti à cheval, ce qui favorise la réflexion sur soi, mais malgré tout, je m’imagine mal la suite, enfin on s’arrête au bord d’une rivière à deux pas d’une petite cascade.
- — Alors, dites-moi ce qui ne va pas.
Je lui explique en gros que j’ai donné une certaine licence à ma femme si elle voulait avoir une aventure avec John, mais que cela devait rester seulement sexuel, elle a été troublée par la vue de son gros sexe et elle semble accro à ça.
- — Eh bien ! Cela me rappelle un peu mon histoire avec mon épouse. Ce ne fut pas facile, elle visait de divorcer pour le marier au décès de Lucie. Cela ne fut pas facile aussi pour moi, car évidemment au sortir d’un décès très difficile, il avait besoin de réconfort. J’ai fait idem parce que j’aime beaucoup John, mais passé un certain stade, j’ai eu un peu la même discussion, je suppose, que tu as eue avec lui. Là, il m’a rassuré, en aucun cas, il n’envisageait de se remarier, mais que ma femme lui avait été d’un grand secours, mais il pensait que maintenant il pouvait s’en passer, mais peut-être si cela ne me gênait pas, de temps en temps, il aurait besoin d’un peu de tendresse.
J’ai accepté et ma femme, malgré ses rêves envolés d’être sa femme a accepté de temps à autre de lui délivrer, pour son plus grand plaisir, un peu de tendresse. Mais avec le temps, c’est devenu de plus en plus rare et pour se faire pardonner elle devenait de plus en plus aimante. Du reste si tu veux te venger, je te la prête volontiers, j’aime voir quand elle a du plaisir.
- — Merci, tu me suggères de faire la même chose ?
- — Non, mais à chacun sa solution. Je suppose que John va lui tenir un peu le même discours et si l’objectif de ta femme n’était pas uniquement sexuel, d’apprendre que tu as des vues sur une autre femme va lui changer peut-être sa façon de voir.
- — C’est que je suis très amoureux de ma femme et je ne sais pas comment cela se passerait.
- — Avant de prendre une décision sur la suite, attends donc si John a réussi à démêler le nœud de serpents. Tu ne veux pas prendre un bain dans la rivière avant de rentrer cela lui laissera plus de temps pour trouver ?
- — Pourquoi pas, mais je n’ai pas de costume de bain.
- — Moi non plus, mais on se met tout nu.
- — Je croyais que dans cette région, dès qu’on voit un nu, on le brûle comme suppôt de Satan et en plus on n’a pas de linge pour se sécher.
- — Pour le linge, pas de problème, il suffit de se laisser sécher et pour être pris en faute, encore faut-il qu’il y ait des témoins et là, il n’y a jamais personne.
- — Bon, si tu le dis.
En se déshabillant, je m’aperçois qu’il bande comme un âne, serait-il de la confrérie de la jaquette fendue ? De l’armée des cougne-pets ?
Finalement devant son érection, je renonce à me baigner, mes problèmes personnels me suffisent et je lui le dis.
- — Dommage, d’habitude les nanas ont un faible pour les hommes qui s’aiment entre eux, cela les fait un peu fantasmer.
- — Non, sans façon, je veux gérer un problème à la fois et en principe, c’est pas ma tasse de thé.
Après qu’il se fut séché au soleil, ses illusions coupées, on rentre tranquillement et en arrivant, il s’enquiert si je suis fâché, je lui réponds non, on a bien discuté que je le remercie de son soutien et que sa seconde proposition simplement ne rentre pas dans mes habitudes.
De retour au ranch, je vais directement dans la chambre de John et je les retrouve les deux toujours en grande discussion. Je ne remarque pas d’odeur suspecte. Il l’a vraiment entreprise pour savoir ce qu’il y a. Voilà à peu près son résumé :
- — Peu après ton départ, elle est venue me rejoindre en pensant avoir un complément et finir ce qui était si bien commencé, elle a commencé à me caresser l’entrejambe, mais je l’ai arrêtée tout de suite en lui disant qu’il y avait un problème avec moi et qu’il n’était pas d’accord avec sa conduite, que c’était déplorable, avec un si gentil mari, d’être aussi vache avec. Elle a ouvert de grands yeux, surprise de ma réaction. Je lui ai clairement demandé comment elle voyait la suite. Sans rien changer, m’a-t-elle déclaré, j’aime Jérémie, mais j’aime aussi ton sexe et j’ai de la peine à choisir et mettre les priorités. Je lui ai demandé si elle se rendait compte que j’étais très fâché contre elle.
- — Ah ! Bon ! Pourquoi ?
- — Tu ne te rends pas compte ? Tu as un mari qui accepte que tu aies des relations extraconjugales avec moi sans poser de condition, il te laisse faire et tu le traites plus bas que terre. Tu lui promets un réveil radieux et tu viens te faire mettre à la place et quand il se plaint, tu l’envoies sur les roses. Cela ne me plaît pas j’aime beaucoup Jérémie ; ne joue plus jamais ce petit jeu avec moi. J’ai eu du plaisir avec toi, mais c’est pas indispensable. Je préfère le voir heureux que de te donner et prendre du plaisir avec toi ; à mon âge, c’est moins contraignant. Maintenant que je t’ai expliqué, explique-toi, que se passe-t-il dans ta petite tête de linotte.
Là elle essaye de m’amadouer en jouant la vamp.
- — Laisse ça tranquille et explique-toi !
- — Mais il n’y a rien à expliquer, c’est comme cela.
- — Alors tu sais ce que tu risques ?
- — Non, je ne vois pas.
- — Il m’a parlé de divorce, cela t’arrangerait ? Évidemment tu aurais tous les torts, car ce n’est pas lui qui est en faute ; les vacances seraient pour toi abrégées et tu reprendrais l’avion le lendemain. C’est vraiment cela que tu veux ?
- — Mais je pensais que tu pourrais m’aider, voire m’épouser.
- — Non, n’y compte pas. Je sais que pour les femmes, le chiffre vingt est très attirant et marque une limite idéale, mais cela ne va pas.
- — Comment quatre-vingts ?
- — Oui, un mari de plus de quatre-vingts ans qui a un compte en banque de plus quatre-vingts millions et qui a des pulsations cardiaques de plus de quatre-vingts à la seconde.
… J’en ai parlé avec Jérémie, il veut bien que je fonctionne encore comme sex-toy comme c’était prévu au départ, mais pas plus et avec son autorisation et je pense qu’il ne veut pas que tu agrandisses ton champ de connaissances avec d’autres sex-toys humains. Il m’a parlé qu’il veut te proposer un pacte de conduite à venir pour ne pas divorcer, réfléchis bien et si tu l’aimes comme tu dis, je l’accepterai.
- — J’avais pas vu les choses sous cet angle. Ce que tu ne sais pas c’est que la première fois entre nous, on a eu des rapports non protégés et quand je lui ai dit que je risquais de tomber enceinte de toi, tu ne sais pas ce qu’il m’a dit ?
- — Non, je ne vois pas.
- — Que c’est pas grave si c’est ton fils, car il sera plus beau que si c’est le sien. Il m’aime trop.
- — Je connais pas de femmes qui ont eu la chance d’avoir un mari comme lui et par bêtise tu risques de le perdre. Reprends-toi et ne sois pas complètement idiote, parce que je n’aime pas les idiotes qui n’ont pas un brin de jugeote.
- — Comme tu veux, mais je t’aime aussi.
- — Moi pas, certes, j’ai du plaisir en baisant avec toi, une toute jeune, mais pas plus.
- — Là maintenant, tu ne veux pas me baiser en les attendant.
- — Non, j’aimerais d’abord savoir ce qu’il a décidé et je t’ai dit que je ne te baiserais qu’avec sa permission expresse.
Peu de temps après, tu es arrivé, je lui ai fait la morale en lui disant qu’avec un mari trop gentil, ce serait idiot de sa part de le perdre. Maintenant, la décision vous appartient.
- — Je ne sais pas encore sous quelle forme je vais le mettre, mais il y a une chose qui est certaine, c’est que John sera ton seul sex-toy humain. Maintenant, est-ce que je veux tout autoriser ou ne rien savoir. Les deux ont des avantages et des inconvénients, mais dans les deux cas, je veux être ton maître si tu acceptes ce pacte et si j’ai une exigence quelle qu’elle soit, elle devra être satisfaite sans rechigner.
- — Je crois que j’ai assez informé Jessica pour que vous puissiez en discuter tous les deux dans votre chambre, j’ai deux trois choses à régler aujourd’hui.
Le pacte
En arrivant et pour essayer de m’attendrir, elle a bien essayé de se faire calmer sa minette par mes soins, ce n’est pas que je n’en avais pas envie, mais je me rendais bien compte qu’après, il faudrait faire des concessions.
- — Laisse ça tranquille pour le moment. Je veux garder les idées claires.
- — Mais qu’est-ce que vous avez les deux ? Aucun ne veut me faire plaisir ce matin.
- — En me levant ce matin, c’était mon idée et très fortement, malheureusement tu te faisais bourrer ailleurs, tu peux comprendre que cela ne m’ait pas plu, surtout avec ce que tu m’avais promis le soir précédent.
- — Bon d’accord, j’ai fait tout faux ce matin, mais ne m’en veut pas trop. Je t’aime !
- — Je ne te rappellerais pas le bon mot de Cocteau si je ne me trompe :
« Amour et toujours la frime riche de la langue française »
Sans attendre, je prends un papier et je commence à écrire notre pacte.
« Pacte entre Jérémie comme maître et Jessica, sa soumise ».
Déjà là, elle m’interrompt :
- — Pourquoi tu veux mettre maître et soumise. C’est pas nécessaire.
- — Si, c’est pour bien marquer nos futures relations puisque les relations simples ont été ridiculisées par toi, je tiens à mettre clairement les choses pour continuer notre vie ensemble.
Je reprends l’écriture :
« Moi, Jessica, soumise, accepte de me soumettre à tous les désirs de mon maître, sans exception et à le satisfaire du mieux que je peux.
En cas de manquement je sais que la punition sera de plus en plus dure.
En particulier, je ne forniquerai avec d’autres personnes qu’avec l’autorisation expresse de mon maître, Jérémie, mon époux, chaque fois renouvelée ou sous ses indications.
Fait le … »
- — Tu veux dire quoi avec cette phrase ?
- — Que tu ne seras pas libre de forniquer comme tu le désires, mais que comme je te l’autoriserai ou que je désirerai. C’est pourtant simple.
- — Et tu as prévu quoi comme punition en cas de manquement ?
- — Tu verras bien, mais tu peux être sûr que ce ne sera pas du gâteau, surtout si c’est fait volontairement dans un esprit frondeur.
- — Et si je ne signe pas ?
- — Je crois que John te l’a expliqué. C’est le divorce et retour en Europe par le premier avion. Ce sera dur pour moi, c’est clair, mais pour toi encore plus. Enfin j’en suis sûr avec une jolie femme qui est avide de sexe, tu peux t’en sortir.
- — Mais je ne suis pas comme cela, j’ai eu un fantasme, mais un seul et tu étais d’accord. Toi, tu n’en as jamais eu ? C’est vrai que tu ne m’en as jamais parlé.
- — Un de mes fantasmes, c’est que je ne sois pas obligé d’agrandir les portes pour pouvoir passer la tête avec les cornes qui dépassent et là tu viens de le briser.
- — Mais tu m’avais permis tu te souviens ?
- — Oui d’avoir un sex-toy, mais pas de passer après, ce qui a été le cas. Trêve de discussions, tu signes ou tu ne signes pas ?
- — Je peux réfléchir jusqu’à quand si j’accepte ?
- — Disons une heure où je te laisse le temps de me prouver que je ne fais pas une connerie en te proposant ce pacte qui ouvre beaucoup de portes, même si j’en garde le contrôle. Top chrono !
Sur ces mots que je pensais fort, elle me répond :
- — Où est ma valise ?
- — Pourquoi ?
- — Je ne peux accepter ce dictat, dictat qui ferait de moi ton esclave, ce n’est pas du tout équilibré. Je ne me suis pas mariée avec toi pour être ton esclave. Je préfère le divorce à l’esclavage.
- — Alors comment tu aimerais que ce soit écrit.
- — C’est pas difficile, tu supprimes les mots « soumise » et « maître » et tu ajoutes la même chose en intervertissant toi et moi. Ça, je peux l’accepter.
- — Tu as raison, ce serait mieux. Je l’accepte.
- — Viens que nous fêtons notre réconciliation.
- — J’ai un fantasme, que j’annonce pour voir sa réconciliation.
- — Oui ? c’est quoi ?
- — J’aimerais faire l’amour avec une Indienne, par exemple la femme de Samuel.
- — Exclu, éventuellement que tu l’utilises comme garage à bites, mais pas lui faire l’amour.
- — C’est bien ainsi que je le pensais.
- — Alors tu ne lui lécheras pas son garage ?
- — Il faut bien préparer avant l’utilisation et c’est bien là mon principal atout. C’est comme si je te disais, tu ne bénéficieras pas de l’introduction du vit de John, tu le suceras seulement. Tu n’y verrais que de te distendre les mandibules sans en avoir du plaisir.
- — C’est vrai, tu as raison. Je te permets si je peux encore avec John.
- — Seulement si on n’a pas quelque chose en suspens entre nous. Je ne suis pas d’accord de jouer à cinq contre un de dépit, pendant que tu t’éclates avec un autre.
- — Finalement, notre discorde, c’est qu’une question de se concerter, on est bien d’accord là-dessus. Je te promets que je ne te ferais plus jamais le coup de ce matin, je te réveillerai plutôt.
- — Je suis d’accord, maintenant, il ne te reste plus qu’à tenir ta promesse d’hier soir avant le souper, alors que c’était prévu pour le réveil et on récrira à deux mains ce contrat à la suite.
Elle remet sa valise au placard et commence à se déshabiller. Vraiment, je suis un con, dire que j’ai failli perdre ce trésor pour une question d’amour-propre. Elle est belle, ma femme et surtout son odeur de chatte en chaleur me grille les neurones, je crois que je ne pourrais jamais m’en passer, mais ça, il ne faut pas qu’elle l’apprenne.
- — Tu viens me préparer, je sais que tu aimes me lécher la moule et moi j’adore quand tu le fais.
Là, je m’en donne à cœur joie et je me rassasie, quand je sens ses lèvres gonflées me distribuant son jus divin, je ne sens plus ma joie, surtout quand de ma langue j’agace son bouton d’amour et que je la sens partir.
- — Viens maintenant j’ai besoin de te sentir en moi.
Me glissant dans son nid d’amour, je remarque que contrairement à précédemment, c’est nettement moins serré, je dirais qu’il y a du jeu, mais qu’importe, je me sens bien dans cet étui chaud et accueillant et rapidement je sens l’excitation me prendre, sans qu’elle ait manifesté des signes de jouissance comme avant, zut qu’importe, j’ai envie de jouir, tant pis si elle n’a pas son pied et sans perdre plus de temps, je jouis à fond, la laissant insatisfaite.
- — Excuse-moi, mais depuis le temps que j’étais en attente, j’ai pas eu la possibilité de me retenir.
- — Est-ce que tu serais fâché si j’allais prendre un complément chez John.
- — Pas tout de suite, tu ne veux pas essayer de réveiller mon instrument de plaisir ?
- — Je veux bien.
Mais le cœur n’y est pas, ni d’un côté ni de l’autre, j’ai eu ce que je voulais, sa moule odorante à m’en péter les moustaches et le reste est un peu anecdotique.
- — Je vois qu’il n’y a rien à faire. Vas-y et reviens-moi vite, peut-être que je serai prêt pour continuer d’ici là.
- — Tu ne seras pas fâché si je suis pleine de son plaisir ?
- — Pas plus que lui quand il va devoir faire avec le mien. Il n’est pas interdit de se laver après usage.
- — Tu es un amour, vraiment je crois qu’on était en train de faire une belle connerie les deux en voulant se séparer.
Après son départ vers la douche, je sors me rafraîchir les idées et je croise Samuel.
Vive les Amérindiennes.
- — Alors, cela s’est bien passé ?
- — On peut dire cela, finalement il fallait qu’on s’explique, je lui ai dit que tu m’avais proposé ta femme et que j’allais accepter, c’est toujours d’actualité.
- — Je ne lui en ai pas parlé, mais comme indienne, elle est assez soumise, donc cela ne devrait pas faire de problème. On y va ?
- — Pas tout de suite, on va d’abord faire quelques pas si tu veux, discuter un peu.
- — Oui, sans problème, j’ai rien d’urgent maintenant, mais viens, on va dire à ma douce qu’on va faire quelque pas et qu’en rentrant je lui réserve une surprise. Alors, je suis curieux, raconte un peu.
- — En premier, je lui ai présenté un pacte pour en faire une femme soumise, mais elle n’a pas accepté et a commencé à faire sa valise en me disant qu’elle préférait le divorce à l’esclavage, ce qui ne m’arrangeait pas ; je lui ai ensuite demandé ce qui la gênait. Sa réponse a été tout à fait logique entre deux personnes normales, elle voulait la suppression de mention de maître et d’esclave et que ce que j’avais énuméré comme devoir pour elle, elle voulait que je les énumère aussi pour elle.
Ne voulant pas la perdre, c’est moindre mal.
- — Tu as bien fait, elle est vraiment très jolie et là tu aurais perdu.
- — C’est un peu ce que je pensais, mais quand on s’est lancé dans les câlins, si pour le cunni, il n’y avait pas de problème, quand je l’ai prise, j’avais l’impression de baiser une poupée gonflable, si ce n’est que ce n’était plus comme avant, les chairs étaient relâchées, c’est avec peu de plaisir que je lui ai éjaculé dedans.
- — Comme je t’ai dit, j’ai connu cela, c’était bien pareil à l’époque où John se faisait plaisir avec mon épouse. Tu comprends pourquoi je préfère l’anus à la minette.
- — Oui, mais depuis le temps, cela a dû se raffermir. Enfin, j’espère, car autrement c’est vraiment désolant si je dois me concentrer sur sa turbine à caca.
- — C’est aussi pas mal, j’ose t’affirmer qu’elle va rapidement repasser de poupée gonflable à quelque chose de plus vivant. Tu le lui as déjà fait ? En fait je ne crois pas et il faut le faire avec technique, tu veux que je te montre ?
- — Avec ta femme ?
- — Par exemple ou si tu as peur d’un impair, avec la tienne, je peux la préparer et te prêter quelques petits gadgets bien utiles.
- — Je ne suis pas sûr qu’elle apprécie ton intervention.
- — Bon, on va rentrer et je te laisse faire le côté pile et quand vous vous êtes bien fait plaisir, je te montrerai comment procéder.
- — Cela me convient.
Le cassage de cul
En rentrant, je vois que Jessica n’est toujours pas rentrée, elle prend vraiment du bon temps, alors pourquoi pas moi. On se dirige vers les appartements de Samuel où son épouse nous attend.
- — Il ne me reste qu’une heure de pause avant de commencer le repas du soir. Alors qu’est-ce que tu as de nouveau inventé Samuel ?
- — Anna, voilà, Jérémie, il est malheureux, son amour est en train de se faire entreprendre par John, c’est pas qu’il soit jaloux, mais après c’est plus la même chose, il a l’impression que c’est comme de la viande morte. Tu te souviens comme c’était.
- — Oui, en ce temps-là, j’avais encore des illusions et beaucoup de plaisir, mais qu’est-ce que je peux faire ?
- — J’ai dit à Jérémie que tu serais d’accord de le consoler et le rassurer que le phénomène de la viande morte n’est pas définitif.
- — Vieux vicieux, tu veux que je couche avec lui et tu veux regarder te connaissant pour ensuite me visiter le fondement.
- — Tu as tout deviné.
- — Je ne dis pas non, cela me changera de tes habitudes de sodomiste. Comment me trouves-tu Jérémie ? Je me souviens quand madame était encore là, vous étiez très proche les deux, très, très proches, je l’ai quelques fois enviée, mais à l’époque j’avais des vues sur John, mais il n’a pas voulu de moi pour remplacer madame, tu penses qu’il veuille le faire avec ta femme ?
- — Non, pour lui, c’est juste sexuel et je pense que pour ma femme aussi quoiqu’on ne sait jamais, elle a l’air drôlement accro à son saucisson, qui il faut le dire, est remarquable.
- — Montre-le-moi, comment tu es et je te dirai si tu as une chance de t’en sortir.
- — Mais il faut que ce soit des deux côtés, j’aimerais aussi d’admirer et tes vêtements ne permettent que d’admirer ton visage, mais le reste est vraiment peu visible.
- — S’il n’y a que ça !
Joignant le geste à la parole elle fait passer sa robe de travail par-dessus sa tête et apparaît tout à fait nue devant mes yeux. Elle est splendide, c’est une beauté qui cache bien ses qualités. Ses seins sont accrochés très haut, sa peau hâlée, son ventre plat surmontant une forêt noire comme la nuit, mais pas du tout dense, ses cuisses sont sans cellulite, elle pourrait participer à toute compétition de beauté hors USA et gagner.
- — Alors, montre maintenant que tu t’es bien rincé les yeux.
J’hésite un peu, si elle veut comparer mon sexe à celui de John, je suis perdant et je ne compte pas sur ceci pour me faire plaisir, je veux explorer son entrejambe, me gaver de ses parfums.
- — Pas mal, dans la norme, je pense qu’on va se payer un peu de bon temps.
- — Je peux te caresser, sucer, lécher ?
- — Tout ce que tu veux, ça, c’est vraiment pas monnaie courante dans la région.
On s’assoit sur le canapé et je commence à lui prendre ses lèvres pour un baiser profond, c’est pas comme à Hollywood, elle ne sait pas trop quoi faire avec sa langue alors après avoir caressé ses seins, je m’approche des jolies fraises des bois qui les ornent pour les dévorer, en plus, ses aisselles dégagent un parfum excitant, ni trop fort, ni trop fade, légèrement vinaigré et épicé. De ma main libre évidemment, je pars en exploration du reste de son corps, son buisson ardent n’échappe pas à mes caresses et je me rapproche de plus en plus de ce qui m’intéresse.
- — Tu ne veux pas te mettre sur le dos et ouvrir tes jambes que je puisse t’honorer.
- — Déjà ?
- — C’est trop tôt pour t’embrasser la minette ?
- — Ça, je ne sais pas, je pensais que tu voulais déjà venir dans moi. On ne m’a jamais embrassé la minette comme tu dis. Fais !
Alors, avançant une lippe avantageuse, je remplace ma main qui avait reconnu le terrain pour une inspection plus détaillée. Son petit pain m’a l’air bien appétissant, c’est assez relevé comme parfum, nettement plus que ma chérie, mais j’aime bien, c’est comme passer du Petit Lu au Camembert bien fait, coulant à souhait.
Surprise de sentir ma langue récolter son miel, la surprise, le plaisir, l’inédit font que rapidement les petites rivières se transforment en un fleuve puissant, les petites ondulations des hanches en tremblements violents, je ne touche pourtant pas sa rondelle, laissant ceci au spécialiste diplômé de l’enculage gratiné. Les doigts d’Anna me serrent la tête, pour ne pas me laisser m’échapper, jusqu’à ce qu’un soupir de satiété vienne m’indiquer que je peux quitter provisoirement le lieu de fête.
- — Viens me dit-elle, en me tirant contre sa tête.
Sans me faire prier, j’introduis mon sexe dans sa minette inondée, si cela rentre facilement, c’est délicieusement serré, comme chez Jessica avant qu’elle se fasse écarteler sa chatte par le monstre de John.
- — C’est bon d’avoir à nouveau la visite à ma nurserie. Samuel, il ne s’égare plus de ce côté.
- — Cela me rassure que la déformation n’est pas permanente, Samuel m’a appris que tu avais aussi avec John et que tu n’avais plus de réaction quand il te prenait et qu’il était obligé de te prendre par-derrière pour que vous ayez une certaine sensation. Il ne me faudra pour ma chérie peut-être qu’à attendre qu’elle fatigue.
À ce moment-là Samuel se manifeste.
- — Tu fais des beaux rêves, mais une fois qu’elles ont goûté à de la grosse artillerie, elles ont beaucoup de peine à s’en passer, les autres armés de fusils normaux paraissent fades. Mais je suis content de voir que c’est à nouveau praticable avec ma femme.
- — C’est quand même bizarre qu’avec ma tante, je n’ai jamais eu cette impression de vide comme avec Jessica. Comment faisait-elle ? Je crois qu’elle avait des rapports réguliers avec John.
- — Elle a probablement visité quelques sorciers indiens qui moyennant un bon coup leur fournissent de l’ouchditaki.
- — C’est quoi ?
- — C’est une plante miracle qui resserre les muscles du ventre, très utile après l’accouchement.
- — Alors si j’ai bien compris, tu es aussi allé chercher cette herbe miracle ?
- — Bien oui, je ne voulais pas rester perpétuellement avec des courants d’air dans mon trésor matrimonial, de toute façon, John semblait fatigué de mes services.
- — Mais tu aurais pu m’en parler.
- — Pourquoi, j’aime bien quand tu me prépares et utilises la porte de service… Bon la récréation est finie les enfants, il faut que je prépare le repas du soir.
- — Mais Samuel devait me montrer comment faire pour utiliser la porte de service quand l’entrée principale a été utilisée par des visiteurs trop importants.
- — Eh ! Bien ! Il ne te reste que trois solutions, attendre demain, convaincre ta moitié de lui laisser faire la démo ou essayer toi-même.