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Temps de lecture estimé : 16 mn
23/06/20
Résumé:  Sabrina a maintenant rejoint Jean pour ses vacances avec Ève et Pascal. Ces derniers font étape chez un couple d'amis, Nicolas et Chantal. Ils vont passer une première soirée très spéciale en leur compagnie.
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Auteur : Hisoka02      Envoi mini-message

Série : Vacances sans frontières

Chapitre 08
Une étape

Résumé de l’épisode précédent :

Après avoir fait l’amour avec Pascal devant Jean qui le faisait avec Ève, Sabrina renouvelle avec Jean et lui offre leur première sodomie. Ève et Pascal, attendris par ce jeune couple, s’arrangent pour que Sabrina les accompagne dans leur virée en camping-car. Le jeune couple est réuni. Ils vont maintenant se rendre chez des amis de leur couple de bienfaiteurs.





Le trajet se déroula tranquillement. Pendant les deux premières heures, ils parlèrent de tout et de rien, et notamment du fait que Jean connaissait assez l’Ardèche pour y avoir passé quelques étés lorsqu’il était enfant, avant qu’il ne lui soit plus possible de partir.



Tous rirent à cette plaisanterie, mais Jean revint à la charge.



Jean se sentit soudain mal à l’aise de cette légère remontrance d’Ève, le regard de léger reproche de Sabrina le lui confirma.



Un nouvel éclat de rire général s’empara du camping-car. L’ambiance resta très détendue tout le long du trajet jusqu’à l’arrivée à Aubenas. Finalement ils parvinrent à arriver sur les lieux avec une heure d’avance ce qui réjouit leurs amis, qu’ils eurent au téléphone pour annoncer leur arrivée imminente.


Le camping-car arriva devant la grille d’une grande maison bordée de haies qui maintenait une certaine intimité. Les grilles s’ouvrirent et le véhicule entra dans un parc joliment entretenu, avant d’arriver après quelques dizaines de mètres, devant une grande maison de style assez moderne. Un homme d’une quarantaine d’années, les cheveux rasés. Dans sa tenue sportive, il avait la démarche dynamique et chaleureuse. Il vint accueillir Pascal et Ève qui descendirent, suivis de Jean et Sabrina.



Pascal entreprit de prendre le nécessaire dans la soute, suivi de Jean qui prit son sac et celui de Sabrina. Ils entrèrent dans la maison et arrivèrent directement dans le salon qui, à l’image de la maison, était grand, spacieux et semblait très confortable.



Jean et Sabrina le suivirent tandis qu’Ève restait avec leur couple d’amis. Pascal leur indiqua leur chambre, tout aussi spacieuse et munie d’une douche et d’un coin salle de bain, ce qui était le cas de toutes les chambres, selon Pascal.

Jean posa ses affaires puis celles de son amie. Il s’apprêtait à ressortir de la chambre, mais Sabrina le prit par la main et le retint.



Jean s’approcha d’elle tandis qu’elle lui prenait l’autre main et se collait contre lui.



Il la prit dans ses bras, et l’embrassa tendrement.



Ils retrouvèrent Pascal qui était redescendu et avait rejoint Ève et Chantal qui discutaient, tandis que Nicolas tentait de calmer leurs deux bébés pour les emmener chez ses beaux-parents. Pascal assistait à la scène hilare.



Pris de court, Jean vit Nicolas déposer l’un des deux bébés dans ses bras. Les femmes et Pascal riaient, mais se turent subitement en voyant Jean le redresser, poser la tête de l’enfant sur son épaule puis se mettre à le bercer. L’enfant se calma presque instantanément.



Nicolas en profita pour s’occuper de l’autre bébé, puis reprit son enfant dans les bras. Il partit ensuite et fut de retour une demi-heure plus tard.


Jean et Sabrina firent connaissance avec le couple d’amis. Tous les six prirent place à table puis profitèrent du repas que leurs hôtes avaient commandé. L’ambiance était agréable et détendue, chaleureuse. Le dessert achevé, ils allèrent s’installer au salon, prenant place dans les larges canapés confortables. Jean et Sabrina s’assirent côte à côte. La jeune femme s’appuya contre son ami, posant sa tête contre son épaule en lui prenant la main.



Sabrina s’approcha de Jean et lui déposa un tendre baiser qui se changea en un long et profond échange, chacun jouant avec la langue de l’autre. Sabrina posa sa main sur la nuque de son homme lorsque Ève intervint.



Jean, tout en embrassant sa belle, laissa ainsi ses mains se promener sur elle, sentant son corps, si menu, si beau, ressentant sa douceur en même temps que sa force. Il respirait à l’unisson avec elle, remontait ses mains le long de ses bras fins, caressant sa douce peau, effleurant ses épaules, jusqu’à son cou, ce qui la fit frémir. Il laissa ses doigts glisser sur le creux de son cou, arrachant à la belle un profond soupir qui interrompit son baiser. Sabrina le regarda, pressant sa main qu’elle avait gardée dans la sienne et l’embrassa à nouveau, fougueusement. Un baiser passionné.



Jean ne se fit pas prier et prit Sabrina dans ses bras et l’embrassa avant de descendre lentement sur son cou, ses épaules. Il fit passer ses mains sous son tee-shirt, reniflant sa peau, levant la tête pour regarder son amante qui frémissait sous ses caresses, sous ses baisers. Jean contenait son impatience, sa fougue, pour n’être que tendresse et douceur. Sabrina soufflait sous ces sensations. Il l’embrassait partout, lui ôta son haut pour pouvoir mieux parcourir sa peau. Elle le regardait, les yeux brillants appelaient ses caresses et semblaient hurler son envie. Sabrina sentait sa culotte s’humidifier, excitée comme jamais de sentir son plaisir dépendant de ces deux couples qui les regardaient. Elle espérait leurs ordres, désirait qu’ils permettent à son doux amant de la prendre. Elle voulait sa queue en elle, mais devait toujours se contenter de rester les bras ballants, ses doigts se crispant sous les délicieuses caresses de son amour.



Sabrina s’exécuta, embrassant à nouveau son cher amant. Elle sentait sa queue, durcie et gonflée, son gland suintant ayant mouillé son boxer.



Sabrina se laissa glisser entre les genoux de Jean et le prit dans sa bouche. Tout en le suçant avec passion et douceur, elle laissa ses doigts glisser sur son minou, ouvert et trempé. Elle se caressa doucement.



Tandis que Sabrina écartait les cuisses pour laisser le passage à son amant, elle vit venir près d’elle Pascal et Nicolas. Les deux hommes libérèrent leur sexe déjà bien tendu, vinrent sur le canapé puis approchèrent leur sexe du visage de Sabrina. Elle jeta un regard interrogateur aux deux femmes restées à l’écart, se caressant mutuellement.



Sabrina ferma les yeux et prit ces queues dans sa bouche. Pascal ne lui était pas inconnu et elle avait aimé son sexe trapu, long. Elle avait aimé le goût de ses sécrétions. Nicolas avait un sexe plus épais, mais plus court. Ils sentaient bon tous les deux. Elle alternait les deux sexes dans sa bouche, passant de l’un à l’autre, les sentant frémir sous ses coups de langue. Pascal et Nicolas gémissaient sous le traitement de la jeune fille. Elle regardait Jean. Son amant la regardait, caressait tout son corps, la pénétrait avec sa langue. Heureuse elle s’abandonna, elle fit venir les sexes tendus entre ses lèvres. Elle voulait les voir jouir sous ses caresses.


Les deux hommes gémissaient de plus en plus fort. Ève et Chantal se caressaient le sexe en s’embrassant devant ce spectacle. Tout en suçant ses deux partenaires, elle gémissait sous les coups de langue de Jean. Son assentiment l’excitait encore davantage à chacun des regards qu’ils échangeaient. Elle voulait prendre du plaisir. Elle voulait devenir l’instrument du plaisir de Pascal et de son ami. Elle voulait les faire jouir.



Les deux hommes finirent par gémir éjaculant presque simultanément de longs jets puissants qui arrosèrent les mains et le menton de la belle Sabrina, excitée comme jamais. Elle se recula puis vint prendre leurs deux queues tandis qu’ils finissaient de projeter par saccade de faibles jets blanchâtres qui maculaient les lèvres et la langue de Sabrina. Elle jouit en même temps que ses amants, les gouttes de sperme coulant sur son visage, ses lèvres, son corps. Elle jeta un regard craintif à Jean qui la regardait, immobile, les yeux inexpressifs.



Sabrina s’essuya le corps et le visage tandis que Jean se redressait, le sexe dur, tremblant d’excitation. Il entra en elle et elle le prit dans ses bras, le serrant contre elle de toutes ses forces.

Ils firent l’amour passionnément devant les deux couples qui les regardaient. Sabrina l’attendait tant qu’elle eut un, puis deux, puis un troisième orgasme, criant de plaisir sous les baisers, les caresses et les va-et-vient de son homme. Jean le sentit. Peu importe ce qu’elle avait fait. Peu importe le plaisir qu’elle pouvait prendre avec d’autres. Il l’aimait et elle l’aimait.


Leurs mouvements, leurs cris synchrones devinrent de plus en plus précipités, frénétiques. Ils jouirent ensemble, dans un cri, s’étreignant réciproquement, transpercés tous deux par un violent et interminable orgasme.

Lorsqu’ils eurent repris leur souffle, Jean et Sabrina se regardèrent.



Sabrina, sourit, une larme coulant le long de sa joue et se blottit contre lui tandis que tous les regardaient. Pascal et sa femme sourirent, main dans la main, une larme au coin de l’œil d’Ève.