Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 19673Fiche technique32280 caractères32280
Temps de lecture estimé : 19 mn
19/06/20
Résumé:  Avec Sabrina, Jean a vécu sa première expérience échangiste avec Pascal et Ève. Mais le temps est venu pour eux de profiter ensemble de leur nuit... leur dernière nuit ?
Critères:  fh jeunes bus amour intermast fellation cunnilingu pénétratio fsodo -libercoup
Auteur : Hisoka02      Envoi mini-message

Série : Vacances sans frontières

Chapitre 07
Un nouveau départ

Résumé de l’épisode précédent :

Après avoir fait l’amour avec Sabrina, la jeune barmaid du club libertin, Jean s’éprend de cette dernière dont les sentiments semblent réciproques. Devinant ce coup de foudre, Ève et Pascal s’arrangent pour que la jeune femme les suive dans leur camping-car afin de s’amuser tous ensemble. Là, Sabrina se donne à Ève puis à Pascal devant Jean qui découvre la difficulté de voir celle qu’il aime dans les bras d’un autre.





Ève se releva et rejoignit Pascal qui la prit dans ses bras. Ils s’appuyèrent sur un côté du lit du camping-car. Pascal sortit une large couverture sous laquelle lui et Ève, ainsi que Jean et Sabrina, purent se blottir. Jean et Sabrina relâchèrent leur étreinte et Jean se redressa contre l’autre bord du lit tandis que Sabrina se blottissait à nouveau dans ses bras.



En effet, après avoir augmenté le thermostat pour ne pas souffrir de la fraîcheur de la soirée sans qu’ils aient à se rhabiller, Pascal revint avec deux plateaux de toasts que lui et Ève avaient dû confectionner avant de se rendre au club. Il disposa les plateaux sur le lit et chacun se servit.



Tous rirent un peu. L’atmosphère se détendit un moment. Pascal et Ève évoquaient la prochaine étape de leur périple de vacances qui les conduirait en Ardèche, chez un couple d’amis qui les attendaient le lendemain dans la soirée.



En guise de réponse, Jean se pencha vers elle, respira le parfum du creux de son cou et y déposa un tendre baiser qui fit soupirer sa jeune amie. Il appuya davantage ses baisers sans que sa main ne cesse de caresser son sein à la pointe maintenant franchement dressée par le désir. Sabrina le regarda, sans dire un mot. Jean l’embrassa tendrement, voulant simplement profiter de ce moment près d’elle. Sabrina se laissa faire, heureuse de profiter des baisers de son ami, heureuse de se livrer à ses caresses. Elle voulait être à lui.


Jean continua de caresser sa poitrine, titillant les pointes de ses doigts curieux, se laissant guider par la respiration de Sabrina, ses tremblements, ses soupirs entrecoupés de petits « oui » presque inaudibles. De son autre main, Jean caressa son ventre, tandis qu’il embrassait à nouveau son cou, déposant sur son amie des baisers tendres, mais appuyés. Son autre main se rapprochait de son mont de Vénus, et déjà Sabrina ondulait des hanches pour venir à la rencontre de ses caresses. Jean posa ses doigts sur le sexe humide de la belle dont la respiration déjà s’accélérait. Il sentit alors la main de Sabrina glisser sur son ventre et venir à la rencontre de son sexe qu’une érection avait déjà largement gagné, tandis qu’elle guidait son autre main sur sa poitrine.


Sabrina saisit le sexe de Jean, d’un toucher si léger qu’il le sentait à peine. Elle se mit à le caresser avec tendresse, ses doigts courant sur la longueur de sa queue avec une infinie douceur, son pouce venant caresser son gland qui suintait déjà d’excitation. Au bout de quelques instants de ces douceurs exquises, elle se tourna vers lui et l’embrassa à nouveau. Un baiser passionné durant lequel elle s’écarta, se libérant des bras de son amant. Elle fit glisser ses lèvres le long de son torse, de son ventre, puis prit Jean dans sa bouche, le suçant avec douceur, presque amoureusement. Jean soupira de plaisir, tremblant de désir lorsqu’elle le regarda tout en lui léchant le sexe. Durant cette fellation, le regard de Jean se posa sur le couple qui les regardait tous deux. Ève se leva et attira Pascal avec elle. Ils se levèrent, s’habillèrent brièvement et s’éloignèrent en lui adressant un sourire, préférant leur laisser le bonheur de cette étreinte.


Ils se rendirent tous deux à la cabine avant de sortir tandis que Jean relevait Sabrina et la faisait s’allonger afin de goûter sa poitrine et son sexe. Sabrina sourit tandis que Jean s’approchait d’elle à nouveau, l’embrassait d’un profond baiser, mêlant sa langue à celle de son amie tout en caressant son sexe trempé, la regardant dans les yeux tandis qu’il allait embrasser le sexe de la jeune serveuse. Il la léchait avec douceur, et passion, titillant chaque zone de chair rosie d’excitation, humant son parfum fauve, se délectant de chaque tremblement et frisson que les glissements de sa langue provoquaient. Bientôt Sabrina ondula de plus en plus lascivement. Elle se releva et attira contre elle le visage de son partenaire, l’embrassa fougueusement et s’approcha de lui, se préparant à s’empaler sur son amant. Jean eut un instant d’hésitation, pensant qu’il n’avait aucune protection, mais Sabrina y répondit d’un simple regard. Elle le voulait entièrement cette fois. Juste elle et lui, juste leur désir, pas de barrière entre eux. Juste l’amour qu’elle ressentait pour lui.


Elle se releva pour laisser le sexe de Jean se redresser puis s’empala sur lui en poussant un long soupir. Elle se mit à onduler en même temps que son amant, enfouissant son visage contre son torse. Jean ne pensait plus qu’à elle. Il ne voulait plus rien que rester ainsi pour toujours. Ils firent l’amour longuement, de plus en plus vite. Soudain Sabrina plongea son regard dans celui de Jean.



Jean se retint du mieux qu’il put tandis que Sabrina le chevauchait de plus en plus vite, de plus en plus fort, pour finir par gémir longuement, s’accrochant au cou de son ami.

Quelques secondes plus tard, elle se remit à bouger et fit passer sa main derrière son dos. Jean sentit ses doigts caresser sa queue quelques instants puis Sabrina se dégagea.



Et Jean sentit la main de son amante guider son sexe sur les bords d’un orifice serré et pourtant déjà lubrifié par la cyprine que Sabrina y avait déposée. Elle s’y empala doucement, progressivement. Après quelques va-et-vient, elle fut plantée sur son amant. Elle s’allongea, l’attirant sur elle. Ce dernier entama de longs va-et-vient dans ses entrailles, attentif à chaque réaction, craignant de lui faire mal. Mais les soupirs de plaisir le rassurèrent rapidement, il se mit bouger en elle avec plus d’intensité, s’enfonçant profondément dans sa belle.


Il la prit dans ses bras et lui fit l’amour avec passion. Puis, prenant appui sur un bras, il libéra une main qui vint caresser le sexe de Sabrina, trempé de plaisir. Sous l’effet de cette double caresse, Sabrina gémit, suppliant son amant qu’il continue.



Ils jouirent ainsi ensemble, Sabrina sentit le sperme de son amant dans ses entrailles et vint à la rencontre de ses lèvres, dans un baiser profond, un baiser passionné, un baiser empli de leur amour réciproque.

Tous deux restèrent soudés l’un à l’autre de longues minutes avant que Jean ne se mette sur le dos, vite rejoint par Sabrina qui se colla contre lui. Ils restèrent un long moment ainsi, ne brisant le silence que par les sons humides de leurs baisers, échangeant des regards reconnaissants, heureux.

Aucun des deux ne soupçonnait ce qui se jouait à quelques mètres d’eux.


Car Ève et Pascal étaient confus. Aucun des deux ne voulait ce qui se passait. Ève avait toujours été sentimentale, comme Pascal bien qu’il le cachait plus facilement.



Quelques minutes plus tard, Ève sortit rejoindre son mari et le trouva en pleine conversation téléphonique. Il lui passa le téléphone et elle put parler au patron du club où travaillait la serveuse tandis qu’elle chevauchait son compagnon.

Quand ils rentrèrent tous deux dans le véhicule, Sabrina s’était endormie sur son amant, la tête posée sur son épaule. De sa main, elle serrait la main de Jean qui dormait lui aussi, son bras posé sur les hanches de son amie.

Ève et Pascal se déshabillèrent puis prirent également place dans le large lit, échangèrent un sourire puis s’endormirent.




*****************************




Au matin, Jean fut réveillé par un brusque mouvement de Sabrina. Il ne saisit pas tout de suite ce qui se passait, mais l’inquiétude le gagna quand il vit l’expression anxieuse de la jeune serveuse. Elle était au téléphone, l’air angoissé.



Devant son expression affolée, Jean se redressa immédiatement. Pascal et Ève, qui étaient déjà debout depuis quelques heures. Étaient venus voir également.



Sabrina prit ses vêtements et partit dans la salle de bain. Jean se sentit coupable tout en enfilant un short et un tee-shirt rapidement. Il éprouva soudain une énorme bouffée de colère lorsqu’il vit Sabrina sortir de la salle de bain. Plus il la regardait, le visage sombre, plus cette colère se muait petit à petit en fureur. Une rage terrible contre lui-même. Comment pouvait-il être si lâche ? comment pouvait-il encore la regarder alors qu’il la laissait à sa détresse ? Elle s’était donnée à lui, l’avait serré dans ses bras, lui avait avoué ses sentiments. Il savait qu’elle était préparée à son départ. Comment avait-il pu trouver cela acceptable ? Quel genre de salopard était-il pour la laisser seule après tout ce qui s’était passé cette nuit ? Il devait réagir, être l’homme qu’il avait été quelques heures plus tôt quand il s’était perdu dans ses yeux. Ne plus juste être cet ado, ravi de jouer à des jeux de grands.


Il se leva et prit Sabrina par les épaules, plantant un regard déterminé dans ses yeux, si brillants où se lisait l’anxiété.



Jean resta muet durant les quelques minutes qui suivirent, attendant l’arrivée du patron de Sabrina qui manifestait désormais une inquiétude grandissante, encore accrue par le silence de Jean. Ève et Pascal les regardaient tous les deux, calmement, lorsqu’on frappa à la porte.

Ève alla ouvrir et accueillit le visiteur.



Christophe entra dans le camping-car et Pascal le salua tandis que Sabrina se levait et lui souriait également. Il lui rendit son salut, et sourit lui aussi. L’accueil et le ton de son patron la rassuraient un peu. C’était désormais le regard déterminé de Jean qui l’inquiétait.

Christophe vint saluer Sabrina l’air sérieux.



Ils prirent tous place autour de la table et Jean prit la parole.



Un silence s’installa durant lequel tous eurent les yeux rivés sur Jean. Sabrina le regarda, les yeux pleins de larmes. Ève et Pascal regardèrent leur jeune protégé en souriant. Ève était aussi au bord des larmes. Ce fut Christophe qui rompit le silence.



Christophe lui tendit une enveloppe. Sabrina la prit d’une main tremblante, muette, des larmes coulant sur ses joues.



Sabrina prit la main de Jean, la serra de toutes ses forces et le regarda droit dans les yeux. Jean soutint son regard.



Jean jeta un regard interrogateur au couple qui souriait.



Il serra la main de Sabrina plus fort encore.



Tous se levèrent et sortirent du véhicule. Christophe salua le couple d’amis puis prit Sabrina dans ses bras.



Jean vint lui serrer la main, s’excusant encore de s’être emporté.



Sur ces mots il repartit tandis que tous rentraient dans le camping-car.



Tous acceptèrent. Une heure plus tard, le camping-car repartit déposer Sabrina à son studio. Ève l’y accompagna. Pascal regarda Jean attendre son amie, le cœur battant.



Sabrina vint près de Jean dont elle prit la main avant de l’embrasser tandis que le véhicule démarrait.