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n° 19679Fiche technique67212 caractères67212
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24/06/20
Résumé:  Deux amants profitent d'un voyage professionnel pour s'en donner à cœur joie. Encore que le cœur...
Critères:  fh hplusag couple extracon cadeau collègues sexshop hotel voyage douche amour noculotte fellation anulingus pénétratio fdanus hdanus hgode jouet portrait humour -extraconj
Auteur : Cormobin      Envoi mini-message
Bruxelles et les projets européens

Lors de notre voyage au Pérou, nous avions profité, avec Clotilde, une de mes jeunes collaboratrices, des bienfaits de l’éloignement pour profiter du pays et de nos corps.

(Lire éventuellement : « C’est le Pérou ! »)



Une fois rentrés au bureau, nos relations étaient redevenues normales, ou presque. Clotilde semblait toujours aussi contente lorsqu’elle travaillait avec moi. Ce qui lui valait quelques désagréments de la part de ses collègues qui trouvaient qu’elle ne se donnait à fond que lorsqu’elle travaillait avec moi. Et quand je dis « se donner à fond », je ne parle que du travail, bien entendu. Elle venait toujours me saluer le matin. Lorsque je recrute une collaboratrice directe, je passe au tutoiement tout de suite, et au bout de quelques semaines, je propose qu’on se fasse la bise et qu’on abandonne le serrage de louche, que je conserve avec les hommes. La plupart des filles choisissent la bise. Enfin, choisissaient, tout ceci, c’était avant le COVID.


Au retour du Pérou, Clotilde venait me faire la bise en arrivant le matin, et, sauf s’il y avait du monde dans mon bureau, me claquait deux bises, comme avant. La différence, c’est qu’avant, les bises, c’était sur les joues, alors qu’après le Pérou, c’étaient deux bises sur les lèvres. Presque le même mouvement de la tête, d’un côté, puis de l’autre. Il aurait fallu très bien regarder pour s’en rendre compte. Je ne disais rien, bien entendu. Je souriais, comme Clotilde.


Parfois le soir, si on était là tous les deux, et si elle avait le temps, quand son mari rentrait et s’occupait des enfants, elle passait me dire au revoir. Je la soupçonnais de vérifier que j’étais seul parce que le cérémonial était le même. Je reconnaissais son pas dans le lointain. Puis elle faisait une pause dans les toilettes, rapidement, et venait ensuite dans mon bureau. Là, les deux bises matinales se transformaient en un roulage de pelle monumental. Elle s’arrêtait pour reprendre son souffle et me dire « caresse-moi les fesses » et je découvrais qu’elle n’avait rien dessous. Au bout de quelques épisodes, elle n’avait même pas besoin de me le dire. Il y avait des variantes « touche-moi la chatte » d’abord, et parfois, « doigte-moi, je suis trempée ». Mais ça n’allait pas plus loin. Je lui laissais l’initiative. En me quittant, elle repassait par les toilettes, sans doute pour remettre quelque chose, et rentrer chez elle. Et quand elle n’était pas en robe, elle arrivait avec juste des trucs en haut, laissant parfois sa chatte parfaitement visible. Il n’y avait personne, et on se connaissait très bien avec nos quelques jours passés à Lima, donc il n’y avait plus de pudeur entre nous. À part ça, aucun changement du côté professionnel. Un arrangement qui nous allait bien. Jusqu’au virus.


Avec le confinement, tout ceci s’était arrêté. Le télétravail permettait d’avancer les sujets, mais les projets, notamment les projets européens, étaient un peu en stand-by. Il y en avait un en particulier sur lequel elle travaillait, et dont on sentait qu’il allait repartir de plus belle : la rénovation thermique des bâtiments. Une réunion était prévue fin-juin. C’était la seule qui n’avait pas sauté, en attendant la réouverture des frontières. Le sujet paraissait au cœur des problématiques de développement durable, qui dit isolation, dit moins de gaz à effet de serre. Les travaux sont faits par des entreprises locales, et ça augmente le pouvoir d’achat des ménages sans augmenter les salaires, juste en baissant les dépenses. Qui dit mieux ? Et c’était le sujet sur lequel Clotilde était spécialiste. Grâce à elle, on avait été embarqué dans un projet européen. Et comme j’adore Bruxelles, nous voilà prêts à partir dès le feu vert institutionnel, qui, comme prévu, fut donné à temps.


Quand je pars à l’étranger avec une de mes collaboratrices, je lui laisse la responsabilité de la réservation des chambres d’hôtel, avec mon secrétariat. Je ne veux pas avoir d’histoire. Et parfois des bonnes surprises… Clotilde s’était débrouillée avec ma secrétaire. Je leur avais donné les numéro et code de ma carte bleue, et j’avais récupéré ma facture. Ma secrétaire en avait gardé une copie, pour les frais de déplacement. Je n’avais même pas eu le temps de regretter que Clotilde n’en ait pas profité pour nous réserver une seule chambre. Je me disais que nos amusements latino-américains étaient lointains, et avec le confinement, plus question de se faire la bise, coquine ou pas, vu qu’on ne se voyait pas.


Cela faisait donc quasiment trois mois qu’on ne s’était pas vu, quand on s’est retrouvé à l’aéroport. J’étais venu en transport en commun. Son mari, Olivier, que je connaissais un peu, l’avait accompagné dans l’aérogare, et on s’était salué, en respectant la distanciation sociale. Clotilde avait l’air amusé et avait ajouté pour son mari que c’était tout de même un peu ridicule puisqu’on allait être assis côte à côte dans l’avion. Olivier en avait très largement souri. Au Pérou, Clotilde avait eu l’occasion de m’expliquer que leur couple était assez libre, c’est-à-dire qu’ils pouvaient faire ce qu’ils voulaient lors de leurs déplacements professionnels, à condition de ne pas en parler, et de ne pas faire de bêtise. Et nous en avions bien profité.


Une fois les contrôles passés, nous arrivons en salle d’embarquement, Clotilde se tourne vers moi, et me dit :



Et elle m’en claque deux, sur les lèvres. Je reste un peu surpris, et elle poursuit :



J’avais eu l’occasion de dire à Clotilde que depuis mon divorce, je ne restais pas inactif côté relations féminines. Chacun ses libertés.


Comme souvent, je compte sur mes collaborateurs pour préparer le programme, et mes interventions. Avec le temps, ils se sont habitués, et ça leur permet aussi de gagner en autonomie et en responsabilisation. On s’assoit dans la salle d’embarquement, et je demande donc très naturellement à Clotilde :



Et Clotilde se lève, je la suis. On est dans la file d’attente, et comme je suis intrigué, je lui demande :



Clotilde a l’air un peu exaspérée, elle se penche à mon oreille :



Je suis interloqué, je me recule. Clotilde a un sourire jusqu’aux oreilles :



On s’assoit dans l’avion. Comme il n’est pas plein, on est assis côte à côte, et il n’y a personne autour de nous. Je lui demande :



Après le vol, les transports bruxellois, les subtilités entre le flamand et le français, nous voilà à l’hôtel. Une fois dans le hall, Clotilde s’adresse à moi :



Je l’attends, elle se dirige vers l’accueil et revient quelques instants après :



La chambre est spacieuse. Sympa, jolie vue.



À la fin de la journée, plutôt une séance plénière, nous retrouvons nos partenaires. Paola, la cheffe de projet, nous demande, en anglais :



Nous repartons, et Clotilde en profite pour me glisser :



Une fois arrivés à l’hôtel, Clotilde se pose sur le lit.



Nous nous retrouvons sous la douche. Embrassades, à pleine bouche. Clotilde a des seins superbes, des courbes superbes. Ses deux maternités lui ont plutôt réussi. Presque pas de vergetures. Je la savonne partout. Elle me tourne le dos. Je lui savonne les fesses. Je passe un doigt dans sa raie, je la titille. Elle tourne la tête. Je l’embrasse. Elle sourit. On s’embrasse. Mon doigt la pénètre, sans aucune difficulté.



En même temps, Clotilde me savonne, elle passe dans mon dos, me savonne partout, y compris les fesses. Elle passe ses doigts. Elle hésite. Je ne dis rien. Et elle enlève sa main.



Nous nous retrouvons tous les deux sur le lit. Clotilde est détendue. Je la caresse. Nous nous embrassons :



Je m’allonge à côté d’elle. Je glisse ma main gauche sous ses fesses.



Et je lui glisse la première phalange de mon majeur gauche dans l’anus. Et, quelques minutes après, je commence à sentir avec mon doigt ses contractions. Puis Clotilde crie, doucement, mais elle crie sa jouissance. Je lui caresse bien le clito, et je me redresse. J’enlève ma main gauche, je me place entre ses cuisses. Sans que j’ai à le lui demander, elle m’attrape, et elle me fait rentrer dans sa chatte :



Et je continue à la pénétrer. Je prends ses chevilles, ses mollets, je lui lève les jambes, je les pose sur mes épaules, et je la prends. Fermement. Fortement. Comme je l’ai déjà fait. Son corps n’a pas oublié. Sa tête, je ne sais pas, mais son corps, non. Elle jouit vite. Elle sourit. Presque gênée. Je lui redescends les jambes, je passe mes cuisses à l’extérieur des siennes. Je la serre. En même temps, je l’embrasse. Sa bouche est gourmande. J’en profite. Elle aussi :



Je recommence la même séquence, l’orgasme est rapide. Puis une autre fois. L’orgasme vient encore plus vite.



J’attrape ma queue et je la descends vers son anus. Je la regarde. Elle attend. Je lui souris :



Et je m’enfonce, en lui souriant. Les yeux dans les yeux. Je m’enfonce encore :



Je continue à m’enfoncer. Je m’allonge sur elle. Je l’embrasse. Et je commence à la limer, doucement. Elle sourit.



Je la lime, doucement, sereinement, les yeux dans les yeux.



Elle sourit.



Je sors doucement. Clotilde sourit toujours. Je vais dans la salle de bain, je passe sous la douche.


Je suis à peine arrivé, que Clotilde arrive et me rejoint sous la douche.



Je la savonne, le dos, les fesses. Je passe dans sa raie. Machinalement, je vérifie, elle ne tressaille pas quand je passe un doigt, mais sans l’enfoncer.



Clotilde me savonne. Quand elle me savonne les fesses, cette fois, elle est plus hardie. Elle met un doigt, puis elle l’enfonce :



Une fois habillés, si l’on peut dire, nous partons dîner. La nuit n’est pas encore tombée, et il fait bon. Bruxelles est une très jolie ville. Pas très grande. Clotilde, qui a réservé l’hôtel, a aussi repéré le coin des restaurants. Il faut juste marcher quelques centaines de mètres. Nous commençons à marcher. Clotilde nous guide avec son smartphone. Je suis tout de même étonné, et je m’en ouvre à elle :



Nous entrons, et une vendeuse ne tarde pas à venir nous voir. Quelques tatouages et piercings, mais pas vulgaire. Enfin, pas trop. Elle a dû nous entendre parler, car elle s’adresse à nous en français :



Clotilde s’apprête à dire non, mais je la devance :



Clotilde se tourne vers moi :



La vendeuse, bonne commerçante, a compris :



La vendeuse entraîne Clotilde qui se laisse faire, et je m’éloigne un peu. Je traîne dans les rayons et je regarde de temps en temps. Finalement, Clotilde rit avec la vendeuse. Elles ont l’air de bien s’entendre. Elles font différents rayons, je laisse faire. Je les entends rire de temps en temps, je les perds de vue même. Et enfin, je retrouve Clotilde à la caisse :



Et je me dirige vers la sortie. Clotilde paie et me rejoint, le sourire aux lèvres.



Clotilde me tend le sac, noir opaque. J’ouvre, et je m’attends à trouver un rosebud ou un plug. Mais non, c’est une boite.



Je passe la main, je tourne la boîte : « Stimulateur de prostate ».

Je suis surpris, très surpris :



Je reprends le sac. Il n’y a qu’un seul objet. Clotilde me sourit :



Alors qu’on continue à marcher, je finis par comprendre. Je passe la main sur les fesses, et je sens quelque chose.



C’est vrai que je reste complètement surpris. Nous arrivons dans le coin des restaurants. Je laisse Clotilde choisir, nous prenons un plat. Lorsqu’arrive la serveuse avec la carte des desserts, Clotilde refuse. Je lui demande :



Elle se penche vers moi pour ne pas se faire entendre :



Je suis surpris. Je finis par trouver la répartie, en sortant une phrase insignifiante, au cas où elle serait entendue :



Nous quittons le restaurant, et nous regagnons l’hôtel, un quart d’heure de marche. Clotilde sort son téléphone :



Et elle range son téléphone en souriant. Elle me regarde. Avec ma tête surprise, elle se sent obligée de parler.



Je caresse ses fesses. J’appuie un peu sur le plug. Clotilde rit :



Nous arrivons dans la chambre. Clotilde pose son sac sur le lit :



Clotilde se tourne, soulève sa robe, et effectivement, c’est assez joli. Une petite pierre rouge orne le rosebud. Et surtout ses fesses.



Clotilde déballe l’objet :



Et Clotilde commence à me passer l’objet entre les fesses :



Je sens la langue de Clotilde qui s’insinue, qui câline. Elle descend jusqu’aux couilles, puis elle remonte.



Je sens que Clotilde a mis un doigt maintenant. Elle appuie, elle s’amuse.



Je sens l’objet qui rentre. Clotilde fait des mouvements, plutôt doux. La sensation est agréable. Unique. Pas très forte, mais unique.



Je ne réponds pas. Elle a raison. Elle continue, doucement.



Je me tourne. Clotilde maintient l’objet.



Clotilde sourit.



Elle passe à l’action.



Et Clotilde me prend dans sa bouche. Elle suce, très active. Je jouis. Longtemps. C’est très bon. Clotilde continue à me sucer. J’ai l’impression qu’elle reste longtemps alors que j’ai fini. Enfin, elle lève la tête. Elle avale. Un sourire jusqu’aux oreilles.



Clotilde me rejoint sous la douche, me savonne partout :



C’est le matin, la nuit a été calme et agréable. Quelques caresses, des baisers. Au moment de quitter la chambre, Clotilde me dit :



Je ne réponds pas, je ne vois pas ce qu’elle veut dire.



Après une petite séance collective, nous sommes répartis en ateliers, en fin de matinée, et en début d’après-midi. C’est très studieux. Je fais ma présentation, bien accueillie, et Clotilde, lorsqu’on se croise brièvement, me dit que pour elle aussi, la présentation est bien passée, auprès des partenaires, et du superviseur. Ces premières réunions sont importantes pour la suite des projets. Cela permet de jauger la qualité des partenaires, et lorsqu’il y a des possibilités de budget supplémentaire, c’est beaucoup plus facile de se positionner. Là, visiblement, on a marqué des points.


Pour la séance de clôture, nous reprenons place dans la salle plénière. Nous ne sommes pas rapporteurs, il ne faut pas non plus trop en faire. Donc pour nous, il suffit d’écouter. Clotilde se penche à mon oreille :



J’ai du mal à comprendre, je ne vois pas de quoi elle parle, vu qu’on ne parle plus. Elle me regarde avec un sourire qu’elle essaie de faire désespéré.



La séance se termine. Nous saluons tout le monde. Certains partenaires repartent le soir même, donc comme Paola l’avait dit, pas de repas en commun, pas besoin d’inventer une fausse excuse. D’habitude, c’est plutôt moi qui ai envie de partir, mais là, je constate que Clotilde a enfilé sa veste et m’attend ostensiblement. Je vais donc la rejoindre :



Je vois qu’il est temps que j’obtempère.


Une fois arrivés à la chambre, Clotilde se tourne et relève sa robe, et baisse sa culotte. Assez grande pour éviter les marques. Le rosebud est en place :



Clotilde a l’air déterminée. Elle finit de se déshabiller et elle vient se lover dans mes bras. Elle m’embrasse à pleine bouche.



J’évite de faire de l’humour. Humour et érotisme se marient très mal. Et dans certaines circonstances, il vaut mieux s’abstenir complètement.



Je finis de me déshabiller. Je retire tout l’attirail qu’il y a sur le lit et j’allonge Clotilde sur les draps. Il fait suffisamment chaud. Je décide de commencer par un cunni. Après quelques coups de langue bien placés, je relève la tête, et je lui dis :



Après encore quelques coups de langue, je la sens qui commence à réagir. Je remonte avant d’approcher trop près de l’orgasme, et je me glisse en elle. D’instinct, elle relève les jambes. Je n’ai plus qu’à l’aider un peu pour qu’elle les pose sur mes épaules, et presque aussitôt, elle jouit. Elle sourit. Je l’embrasse. Pas de commentaire sur le goût, son goût, sur mes lèvres. Je descends ses jambes. Je passe mes cuisses à l’extérieur des siennes, comme la veille. Ça devient une habitude. Je la sens qui serre les cuisses, j’ai à peine besoin de serrer avec mes genoux. Puis je décide qu’on peut recommencer, et j’écarte à peine mes genoux, elle écarte et remonte ses jambes. Je les remets sur mes épaules, quelques coups, et nouvel orgasme de sa part. Elle est radieuse :



Je sors de sa chatte, je descends légèrement ma queue vers son anus. Et, les yeux dans les yeux, elle sourit :



Je m’enfonce lentement. Clotilde se crispe un peu :



Et effectivement, j’ai senti l’anneau s’ouvrir. Je m’enfonce. Pas de résistance, et toujours le sourire. Elle relève un peu la tête, sa bouche cherche la mienne. Sa langue trouve la mienne.



La conjonction de ses encouragements, de son sourire, de sa joie, visible, de son corps qui se tend, tout cela a rapidement raison de ma résistance. Je me tends :



J’ai joui. Je sens que je vais commencer à débander.



Clotilde m’embrasse. Plusieurs fois. Elle a l’air émue.



Je file sous la douche. Clotilde passe aux toilettes, puis me rejoint sous la douche. Je la savonne, surtout le dos, fesses comprises :



Nous finissons la douche. Nous nous préparons et nous partons au restaurant. La serveuse nous emmène à la table, nous donne les menus et s’en va. Clotilde sourit :



Son téléphone se met à vibrer. Clotilde s’exclame :



Elle décroche :



Clotilde raccroche. Je la regarde, incapable de dire un mot, les yeux exorbités.



Très grand sourire de Clotilde, satisfaite de son bon mot.



Elle insiste…



Nous finissons notre repas, et nous rentrons à l’hôtel. Clotilde s’arrête à la réception, prend la clé, et me rejoint à l’ascenseur. Les corps se frôlent dans cet espace clos, les mains s’égarent. C’est agréable. En arrivant, Clotilde plonge dans sa valise :



Le lendemain matin, au lever du jour, Clotilde est toute guillerette :



Et Clotilde file dans la salle de bain. Au retour, elle plonge sous les draps.



Je ne vais pas me plaindre, tout de même. Cependant, alors que je commençais à bien apprécier, on frappe à la porte. Clotilde joue la mauvaise humeur, et sort sa tête de sous les draps, en faisant mine de bougonner :



Et elle descend du lit, et se dirige vers le couloir. J’ai juste le temps de lui dire :



J’entends qu’elle ouvre la porte, puis un bruit de chariot, qui arrive dans la chambre, et un mec qui le pousse. Il a du mal à masquer son sourire. Clotilde arrive à son tour, très à l’aise, pas du tout gênée :



Clotilde ne perd pas son assurance et répond :



Clotilde me regarde :



Je tente ma chance :



Une fois les plateaux débarrassés, Clotilde, toujours nue et souriante :



Clotilde se place au-dessus de moi, elle m’attrape, et elle me fait rentrer. Et elle commence les mouvements. J’aime bien aussi cette position, car comme ça, je peux attraper ses seins, les caresser, pincer les tétons. Et surtout, c’est elle qui choisit de m’embrasser. Ce qu’elle fait plusieurs fois. Elle se redresse. Elle est dynamique, elle bouge bien. Je la laisse faire, mais ça ne dure pas très longtemps.



Nos corps sont parfaitement en phase. C’est presque devenu instinctif, Clotilde pose d’elle-même ses chevilles ou ses mollets sur mes épaules, et jouit très vite. Puis elle redescend ses jambes. Elle m’embrasse à pleine bouche. Nous recommençons plusieurs fois. Elle est très en forme. Elle reprend son souffle uniquement pour dire « encore ». Avec nos deux séances précédentes, je n’ai aucun problème pour l’endurance, et avec mon entraînement de course à pied, j’assure physiquement. Et c’est surtout très agréable de faire l’amour avec une femme pleine de vie, qui sourit, qui embrasse, et qui jouit. Sans être prétentieux, j’ai l’impression que la séance dure très longtemps, qu’elle ne s’arrêtera pas, et ça ne me gêne pas.


Clotilde finit par de nouveau parler :



Ses doigts sont doux. Je jouis. Elle aussi, en même temps. Elle m’embrasse.



Le reste de la matinée s’est bien passé. Mais nous avons bien perçu tous les deux que notre relation avait évolué. On n’en a pas reparlé, jusqu’au moment de se séparer, de retour à l’aéroport en France. Après avoir embrassé Olivier, nous avons commencé à nous diriger vers les parkings. Juste avant qu’ils regagnent leur voiture, et alors que je les laissais prendre un peu d’avance, Clotilde a dit à Olivier :



Elle a fait quelques pas vers moi, en arrière, et m’a dit, d’un air très sérieux, pour faire professionnel :



Et je souris, en la voyant rejoindre Olivier.

Il me regarde en souriant, et je devine la question qu’il lui pose :